Transcription
1 Poly de Noël PACES RANGUEIL Tout droit réservé au Tutorat Associatif Toulousain
2 Sommaire UE 1 Chimie...4 Sujet Type 1 ( 20 QCM 1h ) :...4 Sujet Type 2 ( 20 QCM 1h ) :...8 QCM en Vrac (30 QCM) :...14 Correction :...21 Sujet Type 1 :...21 Sujet Type 2 :...23 QCM en Vrac :...28 UE1 Génome...33 Sujet Type 1 ( 26 QCM 1h )...33 Sujet Type 2 ( 26 QCM 1h ) :...41 Sujet Type 3 ( 27 QCM 1h ) :...49 QCM en vrac :...61 Correction :...73 Sujet Type 1 :...73 Sujet Type 2 :...76 Sujet Type QCM en Vrac :...86 UE1 Biomol...92 Sujet Type 1 ( 30 QCM 1h ) :...92 Sujet Type 2 ( 28 QCM 1h ) : QCM en Vrac ( 29 QCM ) Correction : Sujet Type 1 : Sujet Type 2 : QCM en Vrac : UE Sujet Type 1 (40 QCM 1h30) : Sujet Type 2 (40 QCMs 1h30) : QCM en vrac Biocell (20 QCM) : QCM en vrac Histo / Embryo (50 QCM): QCM en Vrac BDR / BDD (40 QCM) : Correction : Sujet Type 1 : Sujet Type 2 : QCM en Vrac Biocell : QCM en Vrac Histo Embryo : QCM en Vrac BDR / BDD : UE Sujet Type 1 (30 QCM 1H30) Sujet Type 2 (30 QCM 1H30) QCM en Vrac (36 QCM) / 291
3 Correction : Sujet Type 1 : Sujet Type 2 : QCM en vrac : UE Sujet Type 1 (15 QCM 1h) : Sujet Type 2 (15 QCM 1h) Sujet Type 3 (15 QCM 1h) : QCM En Vrac ( 38 QCM ) : Correction : Sujet Type 1 : Sujet Type 2 : Sujet Type 3 : QCM en Vrac : Bien-Être et Méthodologie : TAT Innovation Pédagogique Petit message du Nain RI et des RF : On vous souhaite à tous de bonnes révisions et de bonnes fêtes! Force et honneur vous êtes dans la dernière ligne droite du S1, Bonne chance! 3 / 291
4 UE 1 Chimie Sujet Type 1 ( 20 QCM 1h ) : QCM 1 : Parmi les propositions suivantes laquelle/lesquelles est/sont exacte(s) : A. L orbitale atomique n=3, l=1 et m=2 existe. B. Mg2+ a pour configuration électronique : 1s2 2s2 2p6 3s2 3p2 (12Mg) C. Cl a tendance à former un anion pour acquérir la configuration électronique du gaz rare qui le précède. D. Si n = 4 l atome peut contenir au maximum 32 électrons. E. Br - est l ion le plus stable de l élément brome. QCM 2 : Parmi les atomes ₁₁Na, ₇N, ₉F, ₁₇Cl, et ₁₀Ne quelles sont les réponses exactes : A. Le Néon a le rayon atomique le plus grand. B. L anion ₉F a un rayon atomique plus petit que l atome ₉F. C. Pour une même période, plus Z augmente plus le rayon atomique diminue. D. Energie d ionisation et Électronégativité varient dans le même sens. E. On peut classer ces atomes par électronégativité décroissante tel que : ₁₀Ne>₉F>₁₇Cl>₇N>₁₁Na. QCM 3 : On donne 1H, 7N, 8O, 15P, 16S, 17Cl A. La molécule d ammonium NH4+ contient une liaison dative. B. La molécule d ammonium NH4+ est hybridée sp3. C. Dans PCl5, les atomes de chlore sont activés. D. PCl5 est hybridée sp3d. E. Dans la molécule H2SO4, 2 des atomes d oxygènes sont excités. QCM 4 : Cocher la(les) affirmation(s) correcte(s). (₅₄Xe, ₉F, ₅₃I, ₁₇Cl, ₈O, ₁H) A. XeF₄ est hybridé sp3d². B. XeF₄ est polaire. C. La molécule NH₄ est hybridé sp². D. ICl₅ possède des angles de liaisons α>90. E. H₂O est hybridé sp3 et sa géométrie est coudée en forme de V. QCM 5 : Parmi les molécules suivantes, lesquelles sont polaires? (6C, 9F, 14Si, 53I) A. ICl5 B. SiF2Cl2 C. SiH4 D. 17Cl, E. QCM 6 : A propos des liaisons intermoléculaires A. Les interactions de London interviennent uniquement pour des espèces apolaires. B. Plus la masse molaire d une molécule est grande et plus les forces de Van der Waals exercées sont fortes. C. Plus il y a de liaisons hydrogènes intermoléculaires, plus la température d ébullition augmente. D. La température d ébullition varie en sens inverse de la température de fusion. 4 / 291
5 E. Les liaisons hydrogène sont moins fortes que les interactions de Van der Waals. QCM 7 : Soit les molécules CH3CH2COOH et CH3(CH2)3CH3 A. Elles peuvent réaliser entre-elles des interactions de Keesom. B. Elles peuvent réaliser entre-elles des interactions de Debye. C. Les molécules de CH3CH2COOH peuvent réaliser des interactions de London. D. Les molécules de CH3(CH2)3CH3 sont incapables d interagir par des liaisons hydrogènes. E. Une molécule de CH3CH2COOH est capable de former des liaisons hydrogènes intermoléculaires. QCM 8 : Soit la réaction de glycolyse suivante : Glucose + 2ADP + 2Pi = 2Lactate +2ATP + 2H 2O + 2H+ Pour cette réaction à 300K : ΔrG = -122,6 kj.mol-1, R = 8,31x10-3J.mol-1.K-1. Quelles sont la ou les réponses exactes? A. Cette réaction est exergonique. B. La constante d équilibre K est inférieure à 1. C. La constante d équilibre K est supérieure à 1. D. La réaction est plus rapide à 300K qu à 600K. E. La constante d équilibre K est sans unités et ne dépend que de la température. QCM 9 : Par les affirmations suivantes laquelle(lesquelles) est(sont) correcte(s)? Couple 1 : Zn2+/Zn : E 1 = -0,76V Couple 2 : MnO4-/Mn2+ : E 2 = +1,51V Couple 3 : Cr2O72-/Cr3+ : E 3 = +1,33V A. MnO4- est un réducteur dans le couple redox 2 B. Parmi les 3 couples cités, est Zn le réducteur le plus fort C. Dans la réaction d oxydo-réduction mettant en jeu les couples 1 et 2, 5 électrons sont échangés D. Parmi les 3 couples ci-dessus, l oxydant le plus fort est le Zn 2+ E. Mn2+ présente un nombre d oxydation égal à -II QCM 10 : On considère la demi-équation suivante : 2 S O C l 2+ 4 e 4 C l + S O 2 + S Dans une pile au lithium, le chlorure de thionyle (SOCl 2) oxyde le lithium (Li/Li+). Données : E Lithium= -3,03 V ; (Li+/Li) = 10-2 ; E Chlorure de thionyle = 0,65 V. Quelles sont les propositions exactes : A. Dans la pile au lithium, l anode correspond à la demi pile où se produit la réduction B. Dans le soufre présente une NO égale à +IV C. Le potentiel d électrode E du couple Li/Li + est égal à -2,91 V. D. La f.e.m. de la réaction est de 3,70 V E. La f.e.m. de la réaction est de 3,80 V QCM 11 : Soient les molécules suivantes : (A) (B) (C) (D) A. (A) est un stéréoisomère de configuration RR. B. (B) est un isomère de configuration (E). C. (C) est le méta-dichlorobenzène. 5 / 291
6 D. (D) possède 2 carbones asymétriques de configuration R. E. (D) possède un carbone asymétrique de configuration S. QCM 12 : Considérons les molécules suivantes : A. 1 et 2 forment un couple d énantiomères. B. 1 et 3 forment un couple d énantiomères. C. 1 et 2 sont énantiomères, 2 et 3 sont des diastéréoisomères. D. Un mélange équimolaire de 1 et 2 présente une activité optique non nulle. E. Il existe 16 stéréoisomères possibles pour cette molécule. QCM 13 : Parmi les formes mésomères suivantes la(les)quelle(s) est(sont) correcte(s)? (A). (B). (C). (D). (E). QCM 14 : Parmi les propositions suivantes : A. La forme mésomère suivante est correcte : B. La forme mésomère suivante est correcte : 6 / 291
7 C. La polarisation d un atome est proportionnelle à son volume. D. La mésomérie correspond au déplacement d électron σ sur une molécule. E. La délocalisation des électrons π sur le benzène ne contribue pas à sa stabilité. QCM 15 : Classer les composés suivant par ordre d'acidité décroissante A. 2>1 B. 3>4 C. 2>4 D. 3>2>1>4 E. 3>1>2> QCM 16 : Le (2R,3S)-2-chloro-3-diméthyloctane en présence d une base forte et d une solvant polaire protique. On obtient majoritairement deux isomères A et A et a un composé minoritaire B. A. Le mécanisme de formation de A, A et B est de type E2. B. Le mécanisme de formation de A, A et B est de type E1. C. La formation de A, A et B est régiosélective. D. La formation de A et A est non stéréospécifique. E. B présente une isomérie géométrique. Les qcms 17 et 18 sont liés. La molécule suivante est traitée à froid par une solution d hydroxyde diluée selon la réaction suivante : QCM 17 : En considérant le réactif et la réaction, parmi les affirmations suivantes laquelle(lesquelles) est(sont) exactes? A. Le réactif est le 2-bromo-2-phénylbutane. B. Le réactif est le 1-bromo-1-éthyl-1-phénylethane. C. La réaction est une Substitution nucléophile. D. Cette réaction est une élimination. E. La réaction est d ordre 1. QCM 18 : En considérant la réaction et les produits, parmi les affirmations suivantes laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s)? A. La vitesse de la réaction dépend de la concentration en brome et de la concentration en hydroxyle. B. Le produit A le 2-phénylbutan-2-ol. C. Le mélange obtenu est actif sur la lumière polarisée. D. Le mélange obtenu est un mélange racémique de 2-phénylbutan-2-ol, l un des produits étant en configuration R et l autre en S. E. Le produit B a la même nomenclature que le produit A. 7 / 291
8 QCM 19 : Soit la réaction suivante de déshydratation à 170 en présence d H 2SO4 du 2-méthyl-butan-2-ol (A). Parmi les affirmations suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s)? (A) (B) + (C) + H2O. A. Il s agit d une déshydratation intermoléculaire. B. Il s agit d une élimination d'ordre 1. C. Les produits obtenus correspondent à un composé majoritaire (B) et un autre minoritaire (C) ainsi qu une mole d H2O. D. L alcène majoritaire est le : 2-méthyl-but-2-ène. E. HSO4- attaque un hydrogène en 𝜶 de l alcool, ce qui entraîne le départ d une molécule de l alcool, ce qui entraîne le départ d une molécule d eau. QCM 20 : Soit les réactions mettant en jeu une fonction carbonyle : A. Dans les fonctions carbonyle, on retrouve les aldéhydes et les cétones. B. Un aldéhyde réagissant avec un excès d alcool conduit à la formation d un hémiacétal. C. Une cétone carbonyle réagissant avec de l ammoniac conduit à la formation d une imine. D. L hydrogénation d une cétone en présence de catalyseur (H 2/Ni) conduit à la formation d un alcool primaire. E. L oxydation d une cétone par K2Cr2O7 conduit à la formation d un acide carboxylique. Sujet Type 2 ( 20 QCM 1h ) : QCM 1 : Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes : A. Le nombre de masse d'un atome est égal à N + Z. B. A partir de Z, on peut définir un élément. C. La règle de Hund stipule qu'il ne peut y avoir que 2 électrons dans une case quantique. D. 12u correspond à la masse d'un atome de Carbone 12 E. Dans le modèle de Bohr, le retour de l'électron de n = 4 vers n = 1 correspond à une série de Lyman qui émet dans l'uv QCM 2 : Soient les atomes X, Y et Z suivants : A. X et Y correspondent au même élément. B. X et Z correspondent au même élément. C. L'ion Y- a le même nombre d'électrons que les atomes X et Z. D. L'ion X+ a le même nombre d'électrons que l'atome Y-. E. Les atomes X, Y et Z possèdent respectivement 4, 3 et 6 neutrons. QCM 3 : On considère les atomes de magnésium Mg (Z = 12), de soufre S (Z = 16) et de chlore Cl (Z = 17) : A. Ces trois atomes appartiennent au même groupe. B. L'atome de soufre est plus électronégatif que l'atome de Magnésium. C. Le rayon atomique du chlore est plus grand que celui du soufre. D. L'atome de soufre appartient au même groupe que celui du Tellure ( Z=52). E. L'atome de soufre présente un seul électron célibataire. 8 / 291
9 QCM 4 : On considère les molécules GaF3, SeO2, BeH2et AsF3 (31Ga, 9F, 4Be, 33As) : A. GaF3 et SeO2 ont la même figure de répulsion. B. L'angle H-Be-H est égal a l'angle O-Se-O. C. Deux de ces molécules ont une géométrie identique. D. Deux de ces molécules ont un atome central hybridé sp2. E. GaF3 ne respecte pas la règle de l'octet. Se, 8O, 34 QCM 5 : Soit les molécules BF₃, ClF₃, NH₃ : (₅B, ₇N, 8O, 16S, ₁₇Cl, ₉F) : A. Au moins une de ces molécules présente 3 atomes alignés. B. Elles ont toutes la même géométrie. C. Dans les 3 molécules, l'atome central est dans le même état d'hybridation. D. Les angles de valence des molécule diminuent dans l'ordre : BF₃ > NH₃ > ClF₃. E. La molécule SO₃ est dans le même état d'hybridation que la molécule BF₃. QCM 6 : Soient les molécules NH3, SbH3, HCl et HBr (1H, 7N, 15P, 17Cl, 35Br, 51Sb) A. Seulement 2 de ces molécules sont polaires. B. NH3 et SbH3 ont la même figure de répulsion. C. HCl a une température d'ébullition supérieure à HBr. D. La température d'ébullition de NH3 est supérieur à la température d'ébullition de PH3. E. HCl et HBr peuvent interagir entre elle grâce à des liaisons covalentes de Keesom. QCM 7 : Concernant la combustion du méthane : CH 4 (g) + 2O2 (g) = CO2 (g) + 2H2O (l) avec ΔrH = -891 kj.mol-1 : A. L entropie ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.s évolue négativement dans le sens direct de la réaction. B. La réaction est endothermique. C. Une augmentation de pression déplace l équilibre vers la droite. D. Une augmentation de température favorise la réaction dans le sens de la formation d eau. E. La variation d enthalpie s écrit ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.h = ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.u - 2RT. QCM 8 : Parmi les réactions suivantes, quelles sont celles pour lesquelles une augmentation de pression provoquera un déplacement de l'équilibre vers la gauche : A. CH4(g) + 2 O2(g) 2 H2O(l) + CO2(g). B. 2 HI(g) I2(g) + H2(g). C. (NH2)2CO(s) + 3/2 O2(g) CO2(g) + 2 H2O(l) + N2(g). D. CaCO3(s) + 2 HCl(aq) CaCl2(aq) + CO2(g) + H2O(l). E. PCl5(s) + 4 H2O(l) H3PO4(l) + 5HCl(g). QCM 9 : A propos du nombre d'oxydation (no) : A. Le no de O2 est nul. B. Le nombre d'oxydation des halogènes est : - 1. C. Le no de S dans SO2 est - IV. D. Le no de C dans CCl4 est + IV. E. Il y a une oxydation quand on diminue le nombre d'oxydation. QCM 10 : On donne les couples suivants : MnO4- / Mn2+ : E (MnO4-/Mn2+) = 1,51 V NO3- / NO : E (NO3- / NO) = 0,96 V Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes : A. Dans NO3-, le nombre d'oxydation de l'azote est de +VII. B. Dans le couple NO3-/NO, NO est l'oxydant. C. Dans la demi-équation mettant en jeu le couple MnO 4- / Mn2+, il y a 8 H+ et 4 H2O. D. L'équation finale entre ces 2 couples met en jeu 15 électrons. E. L'équation finale est : 3 MnO H+ + 5 NO 3 Mn H2O + 5 NO3-9 / 291
10 QCM 11 : Soit 3 molécules : molécule 1 molécule 2 molécule 3 A. Ces trois molécules ont une action sur la lumière polarisée B. Un mélange racémique de la molécule 1 et 2 a une action sur la lumière polarisée C. La molécule 2 est une diastéréoisomère de la molécule 1 D. Les molécules 1 et 2 sont des énantiomères E. La molécule 3 est de conformation 2S, 3R 10 / 291
11 QCM 12 : Parmi les couples de mésomères suivants, indiquez les propositions correctes : <---> QCM 13 : soit les molécules suivantes : A: B: C: 11 / 291
12 A. Cette molécule est la forme mésomère de A: B. La molécule B n'a pas de forme mésomère. C. L'atome de soufre dans la molécule B a un effet mésomère donneur. D. Les charges qui apparaissent par effet mésomère sont des charges totales. E. La forme mésomère de C est QCM 14 : Classez les éléments suivants par ordre de basicité décroissante : 1: 2: 3: 4: 5. NH2-6 : N-(CH3)2 A. 1 > 2 > 6. B. 6 > 4 > 3. C. 6 > 5 > 1 > 2. D. 2 > 1 > 5 > 6. E. 3 > 4 > 2 > 1 > 5 > / 291
13 QCM 15 : Classer les molécules suivantes par acidité croissante : 1: 2: 3: 4: 5: 6: A. 1 < 4 < 2 < 3 < 6 < 5. B. 4 < 2 < 1 < 3 < 6 < 5. C. 4 < 2 < 1 < 6 < 3 < 5. D. 4 < 3 < 6. E. 2 < 6 < 5. QCM 16 : Cette molécule est traitée par Br2 A. On obtiendra toujours un alcane. B. C'est une réaction de cis-addition. C. Il y aura passage par un ion ponté. D. La molécule finale est : 2,2-dibromobutane. E. La molécule finale est : 2,3-dibromobutène. QCM 17 : Le benzène traité par le chlorométhane en présence D'AlCl 3 conduit au composé A : A. A est le chlorobenzène. B. A est le toluène. C. Le composé A possède un groupement donneur par effet inductif. D. A se forme par une réaction de substitution électrophile sur le benzène. E. Lors d'une réaction avec H2SO4/SO3, A conduit à un composé sulfurique en méta. QCM 18 : Le (3R) 3-chloro-2,2-diméthylbutane (A) traité par la soude diluée à froid, en solvant polaire aprotique conduit à la formation du composé B : A. La formation du composé B se fait par une réaction de type SN₁. B. La formation du composé B se fait par une réaction de type SN₂. C. Le composé B présente une activité optique. D. Le composé B obtenu est le (3S) 2,2-diméthylbutan-3-ol. E. B est un alcool primaire. 13 / 291
14 QCM 19 : Soit la réaction : 3S-phénylbut-1-ène (A) + HCl (B) : A. Le mécanisme réaction est une cis addition. B. L atome de Chlore est sur le 2ème carbone sur le composé B. C. B est un mélange racémique. D. B peut être de configuration 2S,3R. E. B peut être de configuration 2R,3S. QCM 20 : Soit la réaction d'élimination sur le 2-bromo-3-méthylpentane : A. Cette molécule est chirale. B. En présence d'un solvant polaire aprotique, le carbocation est stabilisé, favorisant une réaction E1 en 2 temps. C. Si le carbocation n'est pas stabilisé, la réaction sera plus rapide et sera donc stéréospécifique. D. Si la molécule est sous la forme SS ou RR en présence d'un solvant polaire aprotique, alors la molécule obtenue sera l'isomère géométrique E du 3-méthylpent-2-ène. E. Si cette molécule était un 2-bromo-2-phényl-3-méthylpentane, alors la réaction d'élimination serait E1. QCM en Vrac (30 QCM) : QCM 1 : Soit les atomes : O (Z=8), F (Z=9), Se (Z=34) Parmi les propositions suivantes : A. Tous ces atomes appartiennent à la même période. B. La masse d'un atome de Se (Z=34, A=74) est environ 74g. C. A correspond au nombre de masse et Z au numéro atomique. D. F possède 9 protons. E. O possède 1 électron célibataire. QCM 2 : En considérant les atomes X (Z=9) et Y (Z=19) : A. X appartient à la famille des halogènes. B. X est le potassium. C. Y appartient à la 4ème période. D. Y est un alcalino-terreux. E. X est plus électronégatif que Y. QCM 3 : Concernant l élément 24Cr : A. Sa configuration électronique à l état fondamental est : 18[Ar] 3d4 4s2. B. L'orbitale définie par n=4, l =1, m=1 est possible. C. Cet élément est un métal. D. La configuration électronique de l ion 24Cr+++ est : 18[Ar] 3d2 4s2. E. 24Cr est plus électronégatif que 18Ar QCM 4 : Concernant le Silicium (Z = 14) : A. Il possède le même nombre d'électrons sur sa couche de valence que l'atome de carbone (Z=6). B. A l'état fondamental, il présente sur sa couche de valence 5 électrons. C. Sur sa sous-couche 3p, il possède 2 électrons célibataires. D. Son énergie de première ionisation est plus importante que Al (Z = 13). E. La répartition de ses électrons n'obéit pas à la règle de Hund. QCM 5 : A partir du diagramme LCAO, donnez-la (les) proposition(s) exacte(s) : A. L ordre de liaison de O₂ est de 1. B. L ordre de liaison de F₂, est de 1. C. L ordre de liaison de F₂, est de ½. D. L'état triplet de la molécule de O₂ est diamagnétique. E. La molécule de NO est paramagnétique. 14 / 291
15 QCM 6 : Donnez-la (les) propositions exacte(s) : A. Les liaisons hydrogène intermoléculaires diminuent les T(ébullition) et de T(fusion). B. Les liaisons hydrogène intramoléculaires augmentent les T(ébullition) et de T(fusion). C. Les configurations para- et méta- se prêtent davantage aux liaisons intramoléculaires. D. L acide fumarique (E) possède une température de fusion supérieure a celle de l acide maléique (Z). E. Grâce aux observations de la molécule d H2O, on peut dire que la température d ébullition d un corps est d autant plus élevée que sa masse molaire est grande. QCM 7 : Parmi les propositions suivantes, indiquez lesquelles sont vraies et lesquelles sont fausses : A. L'orthodiphénol peut former des liaisons hydrogène intramoléculaires. B. L'orthodihénol peut former des liaisons hydrogène intermoléculaires. C. Le paradiphénol peut former des liaisons hydrogène intramoléculaires. D. Deux molécules de CH3SH peuvent se lier par des liaisons hydrogènes. E. La température d'ébullition de HF est supérieure à celle de HBr. QCM 8 : Donnez-la (les) proposition(s) exacte(s) : A. Une transformation isobare se fait à volume constant. B. L enthalpie H correspond à : H=U-PV. C. Le premier principe de thermodynamique indique ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.u = W+Q. D. Pour une transformation irréversible d un système isolé : ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.s > 0. E. Lors de la transformation d un système, la variation d entropie de l univers est toujours > 0. QCM 9 : Indiquez les propositions vraies ou fausses : A. Une transformation adiabatique se fait à température constante. B. A volume constant, la chaleur échangée est égale à la variation d'énergie interne. C. Pour les items C, D et E, on considère les réactions 1 et 2 telles que : R1 : ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.h = -322 J/mol et ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.g = -504 J/mol R2 : ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.h = -271 J/mol et ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.g = 302 J/mol Ces 2 réactions sont exothermiques. D. Ces 2 réactions sont spontanées. E. La réaction 2 est plus rapide que la réaction 1. QCM 10 : A propos de : 2 KClO3 (l) = 2 KCl (l) + 3 O2 (g), réaction endothermique : A. Si T augmente, la réaction évolue dans le sens direct. B. Si KCl diminue, KClO3 augmente. C. Si KClO3 augmente, l équilibre se déplacera dans le sens direct. D. Si la pression diminue, la réaction évolue dans le sens direct. E. Cette réaction n est pas influencée par des variations de pression. QCM 11 : Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles pour lesquelles une augmentation de pression à température constante provoque un déplacement de l'équilibre vers la droite : A. C(s) + O2(g) = CO2 (g). B. 2 H2(g) + O2(g) =2 H2O(g). C. A(s) + B(s) = C(s) + D(s). D. N2O4(g) = 2 NO2(g). E. Al2O3(s) + 3 SO3(g) = Al2(SO4)3(s). QCM 12 : Dans la transformation suivante : C 6H12O6(s) = 2 C2H5OH(l) + 2 CO2(g) à 298K, ou ΔrH = -64 kj. Mol-1 et ΔrG. = -200 kj. Mol-1 : A. Dans les conditions standards, cette réaction est exothermique. B. Dans les conditions standards, cette réaction est spontanée. C. Dans cette réaction l'entropie H augmente.. 15 / 291
16 D. Une diminution de la température favorise la réaction dans le sens de formation de C2H5OH. E. L'augmentation de la pression favorise la réaction dans le sens de formation de dioxyde de carbone. QCM 13 : Considérons les deux réactions suivantes, avec les grandeurs thermodynamiques de réaction qui leur sont associées, à 298 K (1) A(g)+ B(s) = C(g) + D(l) avec : ΔrG = -30kJ. Mol-1 et : ΔrH = 800 J. Mol-1 (2) A' (s) + 2 B'(g) = C'(g) + D' (l), avec : ΔrG = 25kJ. Mol-1 et : ΔrH = 1000 J. Mol-1 : A. La réaction 2 est exergonique exothermique, elle est donc spontanée. B. Une augmentation de la pression déplacé l'équilibre de réaction 2 vers la gauche. C. Le ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.s de la réaction 1 est positif : elle s'accompagne d'une augmentation du désordre. D. Si on augmente la température, la réaction 1 est favorisée dans le sens direct. E. La variation d'entropie de la réaction 2 est égale à + 80J/mol/K. QCM 14 : On considère la réaction suivante : A (g) + B (s) C (g) + D (g) : Pour cette réaction, nous avons : ΔH = -50kJ/mol et ΔS = +150 J/mol/K à 298 K : A. Cette réaction est endergonique (sens 2). B. La réaction est en faveur des produits. C. Le premier principe de la thermodynamique ne donne aucun renseignement sur le sens d'évolution. D. Lors de cette réaction, il y a libération de chaleur. E. Un ajout de A favorise la réaction dans le sens 1 (transformation spontanée). QCM 15 : On considère MnO4- / Mn2+ (couple 1) et Cu2+ / Cu (couple 2) : E 1 = 1,51 V, E 2 = 0,34 V : A. Le n. O. Du Mn dans MnO4- est + VII. B. Cu2+ est l'oxydant le plus fort. C. MnO4- + 8H+ + 5e- Mn2+ + 4H2O. D. Dans la réaction entre les couples (1) et (2), 10 e - sont échangés. E. Une réduction est un gain d'électrons, donc implique une diminution du nombre d'oxydation. QCM 16 : Envisageons la réaction non équilibrée de l acide oxalique ou éthanedioïque (H2C2O4) par les ions dichromates (Cr2O72-). Les couples mis en jeu sont Cr2O72-/Cr3+ et CO2/H2C2O4 tels que : α Cr2O72- + β H2C2O4 = γ Cr3+ + δ CO2. A. Dans cette équation, CO2 est l'oxydant et H2C2O4 le réducteur. B. Dans cette équation, Cr2O72- est réduit et H2C2O4 est oxydé. C. On a : α = 1, β = 2, γ = 2 et δ = 5. D. On a : α = 1, β = 3, γ = 2 et δ = 6. E. On a : α = 2, β = 3, γ = 2 et δ = 5. QCM 17 : Donnez-la(les) proposition(s) exacte(s) : A. Le nombre d oxydation (n. O) du manganèse dans MnO₄ est de -VII. B. Le nombre d oxydation (n. O) du brome dans BrO₃ est de +V. C. Le nombre d oxydation (n. O) des hydrogènes dans H₂ est de +I. D. Une oxydo-réduction entre deux couples se produit spontanément entre l oxydant le plus fort et le réducteur le plus faible. E. Le réducteur gagne des électrons lors d une réaction d oxydo-réduction. QCM 18 : On donne les couples : MnO4- / Mn2+ et HSO4- / SO2. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont exactes : A. Dans MnO4-, le nombre d'oxydation du manganèse est de +IV. B. MnO4- s'oxyde en Mn2+ 16 / 291
17 C. Dans HSO4-, le n. O du soufre est de +VI. D. L'équation d'oxydo-réduction est : 2 MnO SO2 + H3O+ + H2O = 2 Mn HSO4E. Cette réaction met en jeu 10 électrons. QCM 19 : A propos de cette molécule : A. Le nom de cette molécule est le (2R) 4-bromo-2-méthyl-butan-1-ol. B. Le nom de cette molécule est le (2S) 4-bromo-2-méthyl-butan-1-ol. C. La fonction prioritaire est l'halogénure. D. Elle contient un carbone asymétrique et elle est chirale. E. Cette molécule a une action sur la lumière polarisée. QCM 20 : Indiquer les réponses exactes à propos de cette molécule : A. Il s agit du 2,3-dichlorohexan-4-ène. B. Il s agit du 4,5-dichlorohexan-2-ène. C. Elle possède 2 carbones asymétriques et une isomérie Z/E donc 6 stéréoisomères. D. Elle possède 8 stéréoisomères. E. Cette molécule existe sous forme de 2 stéréoisomères : QCM 21 : Concernant les molécules : A: 17 / 291
18 B: C: D: A. La molécule A est l'éthyne. B. La molécule B est la 1-amino-2-hydroxy-propan-1-one. C. La molécule C est l'oxyde de butyle et de méthyle ou méthylbutyléther. D. La molécule D est le 5-chloro-3-isopropylpent-1-ène. E. La molécule D possède 4 stéréoisomères. QCM 22 : A propos des effets électroniques : A. Ces deux molécules sont des formes mésomères : B. Dans la molécule précédente, le motif : mésomère. est donneur par effet 18 / 291
19 C. est moins donneur par effet inducteur que (Item D, E) Parmi les molécules suivantes, lesquelles présentent un effet mésomère : D. E. QCM 23 : Soient les composés suivants : HNO3, HCl, BF3, AlCl3 A. AlCl3 est une base selon Lewis. B. HCl et HNO3 sont des acides selon Brönsted. C. BF3 est électrophile. D. Dans une réaction acido-basique l'acide le plus fort et la base la plus faible donne la base la plus forte et l'acide le plus faible. E. L'électronégativité de l'atome varie dans le même sens que la basicité. QCM 24 : Classer les composés par ordre de basicité décroissante : 1/ (CH3)2NH 2/ 3/ NH3 4/ 5/ CH3NH2 A. 3 > 5 > 1 > 2 > 4. B. 1 > 5 > 3 > 2 > 4. C. 1 > 5 > 3 > 4 > / 291
20 D. HCl est un acide selon Bronsted. E. HNO3 est une base selon Lewis. QCM 25 : Parmi les réactions suivantes, lesquelles sont possibles dans le sens indiqué? A. HCl + H2O Cl + H3O+ B. C6H5OH + CH3O- C6H5O- + CH3OH. C. CH3OH + NH3 CH3O- + NH4+ D. CH3COOH + CH3O- CH3COO- + CH3OH. E. CH3OH + HO- CH3O- + H2O. QCM 26 : Classer par ordre d acidité croissante les composés suivants : 1. Cl2CH-OH 2. C2H5-OH 3. (CH3)2-CH-OH 4. F2-CH-OH : A. 4<1<2<3. B. 3<1<2<4. C. 3<2<4<1. D. 2<3<1<4. E. 3<2<1<4. QCM 27 : Parmi ces réactions acide-base, lesquelles sont correctes dans le sens indiqué? A. NH4+ + HO- NH3 + H2O. B. NaOH + HCl H2O + Na+ + Cl. C. NH3 + HO- NH2- + H2O. D. HCl + H2O H3O+ + ClE. CO2 + H2O HCO3- + H+ QCM 28 : Soient les composés suivants : BCl3, NH3, HCO3-, MgCl2, SF2 A. BCl3, MgCl2 et HCO3- sont des acides selon Lewis. B. NH3 et SF2 sont des bases selon Lewis. C. NH3 est une base selon Brönsted. D. BCl3, MgCl2 sont des bases selon Lewis. E. MgCl2 et SF2 sont des bases selon Lewis. QCM 29 : Concernant les réactions de substitution nucléophile SN1 et SN2 : A. Le mécanisme SN1 se déroule en 1 étape. B. Si le carbocation intermédiaire est stabilisé, la SN1 est favorisée. C. La loi de vitesse d'une SN1 est : v = k [RX]. D. Lors d'une SN1, une inversion de Walden peut se produire. E. L'acétone est un solvant polaire aprotique qui favorise les SN2. QCM 30 : Soit la réaction du 2,4- diméthylpent-2-ène avec de l'eau en présence de H2SO4 A. Cette réaction est une hydratation. B. C'est une réaction régiosélective car elle donne une forme majoritaire et une forme minoritaire. C. La forme majoritaire est le 2,4-diméthylpentan-3-ol. D. La forme majoritaire est active à la lumière polarisée. E. La forme minoritaire n'est pas active sur la lumière polarisée car elle forme un mélange racémique. 20 / 291
21 Correction : Sujet Type 1 : QCM 1 : ADE A. l=1 donc m= -1, 0 ou 1. m ne peut pas être égal à 2. B. Mg2+ a pour configuration électronique 1s2 2s2 2p6 car il a perdu 2 électrons. C. Cl a tendance à former un anion pour acquérir la configuration électronique du gaz rare qui le SUIT : l argon (Ar) D. VRAI : Le nombre maximal d électrons que peut contenir l atome est donné par la forme 2n^2. Soit ici 2*4^2= 2*16 = 32 électrons. QCM 2 : CD A. C est le Na. B. Un anion a toujours un rayon atomique plus grand que celui de l atome correspondant. E. Attention, Ne est un gaz rare. Les gaz rares n ont pas d électronégativité. QCM 3 : ABD C. Ils sont excités! E. Ils sont activés! QCM 4 : AE B. La molécule de XeF₄ est apolaire car sa géométrie est un carré plan. Les vecteurs s annulent et le moment dipolaire global de la molécule devient nul. C. Elle est hybridée sp3. D. ICl5 est de type AX5E. La géométrie de la molécule est une pyramide à base carrée et la présence d un doublet non liant réduit les angles entre les atomes. Tous les angles sont INFÉRIEURS à 90! QCM 5 : ABE A. VRAI : Géométrie carrée plane, les vecteurs ne s annulent pas, la molécule est polaire. B. VRAI : Molécule tétraédrique, les substituants sont différents donc la molécule est polaire. C. Molécule tétraédrique MAIS les substituants sont les mêmes donc les vecteurs s annulent et la molécule est apolaire. D. Les deux liaisons C-F sont polarisées et dans le même plan, les vecteurs s annulent donc la molécule est apolaire. E. VRAI : Cette molécule est un cumulène car elle possède deux doubles liaisons côte à côte, les deux liaisons C-F sont dans un plan différent donc les vecteurs ne sont pas dans la même direction, ils ne s annulent pas et la molécule est bien polaire. QCM 6 : BC A. Elles interviennent aussi bien pour les espèces polaires et apolaires. D. Elles varient dans le même sens. E. Elles sont plus fortes. QCM 7 : BCDE A. La deuxième molécule est apolaire et ne peut donc pas interagir par ce mode. C. VRAI : Les forces de London sont présentes dans toutes les molécules, qu elles soient polaires ou apolaires. D. VRAI : Une simple chaîne carbonée ne peut pas faire des liaisons intermoléculaires par liaison hydrogène (il faudrait un groupement COOH, OH, ). QCM 8 : ACE B. A l équilibre rg=0, donc rg = -RTLnK. Ln K = ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.rg /-RT Ln K = (-122,6)/-(8,31x10-3x300) 21 / 291
22 Ln K = (122,6/24)x104 (on arrondit 8,31 à 8 et 122,6 à 122) Ln K = K = exp(5.104) Donc K>1. D. Attention les données thermodynamiques ne permettent pas de déduire l aspect cinétique d une réaction. QCM 9 : B A. c est l oxydant. C. 10 électrons sont échangés. D. L oxydant le plus fort est l oxydant du couple ayant le potentiel standard le plus élevé. Ici : MnO4-. E. Son nombre d oxydation est de +II. QCM 10 : BE A. A l Anode c est l Oxydation. C.D. Calcul E de Li/Li+ : QCM 11 : ABC A. Il est de configuration RS D. La molécule ne contient qu un seul carbone asymétrique et il de configuration R E. Voir D QCM 12 : AC A. VRAI : 1 est de configuration SSR, 2 est de configuration RRS, ce sont bien des énantiomères. B. 1 est de configuration SSR, 3 est de configuration SRR, ce sont des DIASTÉRÉOISOMÈRES D. Un mélange de deux énantiomères présente une activité optique nulle E. 23, soit 8 stéréoisomères. QCM 13 : ABCDE QCM 14 : BC A. Les doubles liaisons ne sont pas conjuguées, il n y a donc pas d effet mésomère en sigma-sigma. D. C est la définition de l effet inductif, la mésomérie correspond au déplacement des électrons 𝚷.. E. C est justement la délocalisation des électrons 𝚷. qui lui confère sa stabilité. QCM 15 : BCE A et D : Attention à la mésomérie du composé 1. Plus le doublet est délocalisé, plus l'acide est fort. De plus, effet mésomère > effet inductif pour les acides. Donc la molécule 1 est plus acide que la 2. QCM 16 : BCD 22 / 291
23 A. C est un mécanisme d'élimination d ordre 1 (E1). Il y a passage par un carbocation secondaire, mais les conditions permettent de reconnaître une E1 (solvant polaire protique favorise le départ de l halogène). E. B étant le (3S)-3-methyl-hex-1-ène il n a pas d isomérie géométrique (double liaison du premier carbone porte 2H en substituant). QCM 17 : ACE B. Chaîne carbonée la plus longue : butane. D. La molécule est traitée à froid par une solution diluée, c est donc une SN. E. Le carbone asymétrique est tertiaire, donc le carbocation intermédiaire est stabilisé, donc c est une réaction d ordre 1. QCM 18 : CDE A. C est une déshydratation intramoléculaire. La déshydratation intermoléculaire se déroule à C en présence d H2SO4. B. C est une E2, mécanisme concerté. QCM 19 : BDE A. La vitesse de réaction ne dépend que de la concentration en brome. C. Le mélange obtenu est un mélange racémique de 2-phénylbutan-2-ol, un en configuration R et l autre en S, il est donc inactif sur la lumière polarisée. Etape 1 : Etape 2 : E. C est une réaction d ordre 1, il y a donc passage par un carbocation. QCM 20 : ACD B. Conduit à la formation d un acétal. C est en présence d une seule mole d alcool que l on obtient un hémiacétal. E. C est l oxydation d un aldéhyde qui conduit à la formation d un acide carboxylique. Sujet Type 2 : QCM 1 : ABDE A. VRAI : A = Z (protons) + N (neutrons). B. VRAI : Ex : Si Z = 4, alors X = Be. C. On parle ici du principe d'exclusion de PAULI! QCM 2 : BE A. Ils n'ont pas le même numéro atomique. C. X et Z ont tous deux 3 électrons tandis que Y- en possède 5 (1 électron de plus que l'atome Y). 23 / 291
24 D. L'ion X+ possède 2 électrons (1 de moins que l'atome correspondant car il est chargé +). QCM 3 : BD A. Ils appartiennent tous à la même ligne, donc à la même période. B. VRAI : L'électronégativité augmente le long d'une période. C. Le rayon atomique augmente de droite à gauche, c'est donc le contraire. E. L'atome de souffre a une configuration électronique telle que (Ne)3s2 3p4, et a donc 2 électrons célibataires (de type p). QCM 4 : ADE A. VRAI : Attention à ne pas confondre la figure de répulsion avec la géométrie. Les deux ont une figure de répulsion triangulaire plane car les deux sont hybridés sp2. B. BeH2 est AX2 (180 ) alors que SeO2 est AX2E ( < 120 ). C. Elles sont toutes différentes - GaF3 est triangulaire plane - SeO2 est en forme de V - BeH2 est linéaire - AsF3 est.une pyramide trigonale. D. VRAI : GaF3 et SeO2 E. Elle possède 6 électrons autour de Ga et pas 8. QCM 5 : DE A. Aucune! B. BF₃ est triangulaire plane, ClF₃ est en forme T, NH₃ est une pyramide trigonale. C. Bore de BF₃ est sp², Chlore ClF₃ est sp³d, Azote de NH₃ est sp³. QCM 6 : BD A. Elles sont toutes polaires. B. C'est une figure de répulsion tétraédrique. C. HBr est une molécule plus lourde que HCl donc sa température d'ébullition est plus élevée. D. VRAI : NH3 établit des liaisons hydrogènes ce qui augmente sa température d'ébullition. E. Attention, ces 2 molécules peuvent en effet interagir par des liaisons de Keesom mais ce sont des liaisons électrostatiques et non covalentes! QCM 7 : ACE A. VRAI : Diminution du nombre de mole de gaz donc diminution du désordre (et donc de l'entropie). 24 / 291
25 B. Elle est exothermique. C. VRAI : Puisqu'on a 3 moles de gaz à gauche et 1 à droite. D. Une augmentation de la température déplace la réaction dans le sens endothermique, c est-à-dire la disparition d eau (sens 2). QCM 8 : CDE A. il y a 3 moles de gaz dans les réactifs et 1 dans les produits donc une augmentation de P provoquera un déplacement d'équilibre vers la droite. B. il n'y a pas d'influence (2 à droite et à gauche). C. VRAI : n (g) produit > n (g) réactif. QCM 9 : ABD A. VRAI : le no d'un corps pur simple = 0. C. no (S) + 2no (O) = 0 avec no (O) = - II donc no (S) = + IV. D. VRAI : no (C) + 4no (Cl) = 0 avec, no (Cl) = 4*(-1) donc no (C) = + IV. E. Oxydation = Augmentation du no (voyelle) et Réduction = Diminution du no (consonne). QCM 10 : CDE A. n. O (N) + 3*n. O(O) = -1 n. O (N) + 3* (-2) = -1 n. O(N) = 5. B. L'oxydant est celui qui capte des électrons, il s'agit donc de NO3C. VRAI : - Le nombre d'oxydation de Mn dans MnO4- est de +7 ; celui de Mn dans Mn2+ est de +2, la réaction met donc en jeu 5 électrons. - On équilibre les charges à droite et à gauche (ici il faut une charge de +2 à droite et à gauche) : MnO4- + 5e- + 8H+ Mn2+ - On équilibre le nombre de H et de O avec H2O : MnO e- + 8H+ Mn2+ + 4H2O. D. VRAI : - le couple MnO4- / Mn2+ met en jeu 5 électrons. - le couple NO3-/ NO met en jeu 3 électrons (voir méthode item précédent) - il faut donc équilibrer les électrons entre les demi-équation : il y a donc 15 électrons mis en jeu. E. VRAI : MnO4- est l'oxydant le plus fort car son potentiel d'oxydation est le plus élevé, il réagit avec NO qui est donc le réducteur le plus fort. QCM 11 : AD A. VRAI : elles ont chacune 2 carbones asymétriques et n'ont pas de plan de symétrie donc elles ont une action sur la lumière polarisée. B. Les molécules 1 et 2 sont des énantiomères, chacune ont une action sur la lumière polarisée. Un mélange racémique est un mélange équimolaire de deux molécules (50% de 1 et 50% de 2), or comme elles sont énantiomère leurs pouvoirs rotatoire sont inversés (l'un est positif, l'autre négatif) donc le pouvoir rotatoire de la solution s'annule et il n'y a donc pas d'action sur la lumière polarisé. C. La molécule 2 est une énantiomère de la molécule 1, mais la molécule 3 est une diastéréoisomère des molécules 1 et 2. D. VRAI : on voit que la molécule 2 est obtenue par rotation a 180 de la molécule 1 E. Elle est de conformation 2R, 3S. QCM 12 : BCD 25 / 291
26 A. Au premier abord, les charges s'équilibrent (neutre a gauche, + et - a droite), néanmoins elles sont inversées. Petit moyen mnémo pour vous : un halogène divalent n'est jamais chargé +! B. VRAI : si on regarde la molécule de droite : le O chargé - cède ses électrons pour faire une double liaison avec le N, et la double liaison entre l'azote et le C du cycle aromatique cède ses électrons au C chargé +. On obtient de nouveau la molécule de gauche. C. Il s'agit d'un système conjugué π σ n donc les électrons se déplacent du doublet non liant vers la double liaison. E. La forme mésomère correcte est celle de l'item D. De même qu'à l'item A, petit moyen mnémo : le O lié 1 fois est chargé - (il possède des électrons non liés) tandis que le O lié 3 fois est chargé + (un de ses doublets non liants est engagé dans une 3ème liaison)! QCM 13 : AD B. C. L'atome de soufre est doublement lié. Il attire un des doublets et a donc un effet mésomère attracteur. E. Il n'y a pas de système conjugué dans la molécule C, donc pas de mésomérie. QCM 14 : BC A. Un composé est d'autant plus basique qu'il est instable. Le composé 6 possède 2 groupements CH3 qui sont donneurs d'électrons. Comme le N possède déjà une charge négative, cet ajout d'électron va d'autant plus le déstabiliser et ainsi augmenter la basicité du composé. Le composé 1 possède un cycle qui délocalise l'électron par effet mésomère, ce qui a tendance à stabiliser la molécule et donc diminuer la basicité. Le composé 2 possède, en plus du cycle, un NO2 qui est mésomère attracteur, ce qui stabilise encore plus la molécule et diminue sa stabilité. La réponse exacte est donc 6 > 1 > 2. B. VRAI : L'électronégativité diminue la basicité. Les composés 3 et 4 ont un Br qui est très électronégatif et donc diminue la basicité. Le composé 4 est plus électronégatif que le composé 3 car il possède un groupe CH2 en plus qui éloigne le Br du N et donc diminue son attraction. Pour le composé 6, cf correction item A. C. VRAI : cf correction de l'item A. Pour résumer : - Un composé est d'autant plus basique qu'il possède des éléments donneurs, une charge négative, un atome disponible (c'est-à-dire que l'atome n'est pas trop encombré, ex : dans NH3, le N est moins encombré que dans NH4+). - Un composé est d'autant plus acide s'il possède des éléments attracteurs, une charge positive, un doublet délocalisé et/ou un atome électronégatif. D. Voir corrections précédentes. E. Voir corrections précédentes. QCM 15 : CE A. Cf item C. B. Cf item C. C. VRAI : Une molécule est d'autant plus acide qu'elle libère facilement un proton. Cela est favorisé par des effets -I et -M (attracteurs d'électrons, comme par exemple les atomes électronégatifs O, S, halogènes...). Ainsi, plus une molécule est substituée, moins elle est acide puisque les groupements CHn donnent des électrons, et ainsi empêchent le départ 26 / 291
27 du proton. Ainsi, on s'intéresse aux molécules 1, 2 et 4. Selon ce raisonnement, la molécule 4 étant plus substituée que la 2, elle même plus substituée que la 1, leur acidité est telle que 4 < 2 < 1. Parmi les 6 molécules, ce sont les moins acides car elles n'ont que la fonction acide. Ensuite, on a le HCl, qui est l'acide le plus fort. Enfin, on doit départager un acide porteur d'une fonction alcool d'un acide porteur d'une fonction thiol. Cela est un cas particulier, bien que l'oxygène est plus électronégatif que le soufre, l'acide porteur du groupement thiol est plus acide. On a donc l'ordre suivant : 4 < 2 < 1 < 6 < 3 < 5 D. Cf item C. QCM 16 : AC A. VRAI : B. De trans-addition. D. On obtient : 2,3-dibromobutane E. Voir D. QCM 17 : BCD A. Voir réponse B. B. E. Conduit à un composé ortho ou para QCM 18 : BC A. SN₂ «solvant polaire aprotique». D. Il s'agit du (2S) 3,3-diméthylbutan-2-ol. Attention à la nomenclature, ici la numération des carbones changent car la fonction alcool devient prioritaire. E. Alcool secondaire. QCM 19 : BD A. Addition électrophile passage par un carbocation. C. C est un mélange de diastéroisomères, seul le carbone portant le chlore (carbone 2) peut être R ou S, le carbone portant le phénol (carbone 3) reste R. 27 / 291
28 E. Le carbone portant le phényl (3) ne peut être que R (le carbone portant le chlore étant le plus substitué par rapport au groupement phényl). On ne le modifie pas selon si le Chlore ajouté pour former un R ou un S. Composé A : Composé B : QCM 20 : ACDE B. Le carbocation sera stabilisé en présence d'un solvant protique. Le reste est vrai. C. C'est le cas avec un solvant aprotique, ce qui donnera une réaction E2. E. C'est vrai car le phényl stabiliserait le carbocation ce qui favoriserait une réaction E1. QCM en Vrac : QCM 1 : CD A. O et Se appartiennent au même groupe (G16) O et F appartiennent à la même période (2). B. Attention à la cohérence (74g c'est beaucoup). Sa masse sera d'environ 74u. E. Il a 2 électrons célibataires. Attention, remplissez bien toutes les cases quantiques avant de coupler les électrons, c'est un piège courant. QCM 2 : ACE B. X est le Fluor, Y est le potassium. D. C est un alcalin. QCM 3 : BC A. 18[Ar] 3d5 4s1. C est une exception de remplissage! On a toujours ns1 (n-1)d5 et ns1 (n1)d10 à la place de ns2 (n-1)d4 et ns2 (n-1)d9 pour 24Cr, 29Cu, 42Mo et 47Ag. B. VRAI : n=4, 0 l n-1 et -l m +l. C. VRAI : c est un métal. D. On enlève toujours les électrons de la couche ayant le n ne plus grand! Donc ici on enlève d abord au 4s puis au 3d : 3d4 4s0 28 / 291
29 E. Les gaz rares ne sont pas électronégatifs! Donc électronégatifs, ils ne sont pas comparables. Cr n est ni plus, ni moins 24 QCM 4 : ACD B. Il en présente 4, 3s2 3p2. E. Car les électrons de la même sous couche ont des spins parallèles. QCM 5 : BCE A. Il est de 2 ((8-4) /2). D. Elle est paramagnétique. QCM 6 : D A. Elles augmentent les T(ébullition) et de T(fusion). B. Elles diminuent les T(ébullition) et de T(fusion). C. C est la configuration ortho qui s y prête. E. L H2O est justement une des exceptions à cette règle. QCM 7 : ABE C. Seul le (1,2) diphénol ou orthodiphénol le peut. D. Seuls les atomes F, N et O peuvent former des liaisons H. QCM 8 : CD A. A pression constante. B. H=U+PV. E. 0. QCM 9 : BC A. Adiabatique signifie qu'elle se fait sans échange de chaleur, mais la température du système peut varier. D. La réaction 2 n'est pas spontanée (ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.g supérieur à 0). E. La thermodynamique ne donne aucun renseignement sur la cinétique de la réaction. QCM 10 : ACD B. Si KCl diminue, KClO3 diminue aussi. E. Si la pression diminue, il y a un déplacement de l équilibre dans le sens d augmentation du nombre de mole gazeuses. QCM 11 : BE A. Il y a autant de moles de gaz à gauche et à droite, donc pas de changement d'équilibre. B. VRAI : Car on a une diminution du nombre de moles (3 à gauche et 2 à droite). C. Car il n'y a pas d'échange de molécules de gaz. D. Déplacement vers la gauche. QCM 12 : ABD C. L'entropie S augmente bien, mais H représente l'enthalpie. E. L'augmentation de la pression favorise la réaction dans le sens de diminution du nombre de moles de gaz donc dans le sens de formation de C6H12O6(s). QCM 13 : CD A. ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.rg et ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.rh sont positifs. La réaction est endergonique et endothermique, et n'est pas spontanée dans ce sens. B. Selon le principe de LE Chatelier, l'augmentation de pression va déplacer l'équilibre de façon à réduire le nombre de mole de gaz, et donc va donc déplacer l'équilibre vers la droite. C. Pas besoin ici de calculer le ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.s, une mole de solide et une mole de gaz donnent une mole de gaz et une mole de liquide, il y a donc effectivement une augmentation du désordre. 29 / 291
30 D. Une augmentation de la température favorise un déplacement dans le sens endothermique. E. La variation d'entropie vaut -80J/mol/K. Sans avoir besoin de la calculer, on voit que la réaction deux s'accompagne d'une augmentation de l'ordre, la variation d'entropie doit être négative. QCM 14 : BCDE A. ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.g = ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.h - TΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.s ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.g = *150 Donc ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.g < 0. B. VRAI : Car ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.g < 0. D. Vrai car ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.h < 0 donc exothermique. E. VRAI : si on ajoute un corps, l'équilibre se déplacera dans le sens de disparition de ce corps. QCM 15 : ACDE A. Le n. O. Du O est -II, -2*4 = -8 et = -1 donc le n. O. Du Mn est +VII. B. C'est MnO4- car le potentiel d'électrode va définir l'oxydant le plus fort et le réducteur le plus fort, or 1,51 > 0,34 donc c'est MnO4- qui est l'oxydant le plus fort. D. La demi équation du couple 1 met en jeu 5 e - et la demi équation du couple 2 met en jeu 2 e- donc 2*5 = 10 e-. E. D'après le cours. QCM 16 : ABD C. cf D. D. VRAI : Cr2O H+ + 3 H2C2O4 = 2 Cr H2O + 6 CO2 E. cf D. QCM 17 : B A. +VII. C. de 0 (car corps pur simple). D. entre l oxydant le plus fort et le réducteur le plus fort. E. le réducteur PERD des électrons, c est l oxydant qui en gagne. QCM 18 : CDE A. : n.o (Mn) + 4 n.o (O) = -I n.o (Mn) + 4*(-II) = - I n.o (Mn) = + VII. B. MnO4- va gagner/capter des électrons pour devenir Mn2+, on dit alors qu'il se réduit en Mn2+. Moyen mnémotechnique : O. R.G. E, l'oxydant se Réduit en Gagnant des Électrons. C. Vrai : n.o (H) + n.o (S) + 4 n.o (O) = -I (+I) + n.o (S) + 4*(-II) = -I n.o (S) = + VI. D. VRAI : - Couple MnO4- / Mn2+ 1. Calculer le n.o du manganèse pour MnO4- ET pour Mn2+ (cf méthode items précédents), vous trouverez n.o (Mn) = + VII pour MnO4- et n.o (Mn) = +II pour Mn2+ 2. Le nombre d'électrons dans votre demi-équation est égal à la différence des 2 n.o : 7-2 = 5, il y aura donc 5 électrons échangés dans cette demi-équation : MnO e- Mn2+ 3. Équilibrer les charges en ajoutant des H3O+ (il y a 6 charges négatives à gauche et 2 charges positives à droite) : MnO4- + 5e- + 8 H3O+ Mn2+ (Vous avez maintenant 2 charges positives partout) 4. Équilibrer les O et les H avec des H2O (ATTENTION : n'oubliez pas de compter les 4 O du MnO4-!! ) : MnO4- + 5e- + 8 H3O+ Mn H2O Vous avez maintenant la méthode, faites pareil avec le couple HSO4- / SO2 30 / 291
31 - HSO4- / SO2 : HSO e- + 3 H3O+ SO2 + 5 H2O - Équation redox : équilibrez les électrons des 2 demi-équations afin d'en avoir le même nombre partout, surtout n'oubliez pas : si vous multipliez le nombre d'électrons, vous multipliez par le même multiplicateur TOUS les autres éléments de la demi-équation. 2 MnO H3O+ + 5 SO H2O + 10 e- 2 Mn H2O + 5 HSO H3O evous n'avez plus qu'à enlever le superflu (les e-, les H3O+ et les H2O qui sont en même quantité) et le tour est joué ; ) 2 MnO4- + H3O+ + 5 SO2 + H2O = 2 Mn HSO4E. VRAI : cf correction précédente. QCM 19 : ADE A. VRAI : Le Brome a un numéro atomique supérieur à l'oxygène donc le carbone asymétrique sera de configuration S. B. Voir A. C. La fonction prioritaire est l'alcool, les halogènes ne sont jamais prioritaires. D. VRAI : le carbone central est lié a 4 atomes ou groupes d'atomes différents (H, CH 2Br, CH2OH). D'après le cours quand une molécule à un carbone asymétrique, elle est chirale. E. Cette molécule est chirale donc elle a une action en lumière polarisée. QCM 20 : BDE A. Voir B. B. VRAI : l alcène est prioritaire sur les halogènes. C. Le début est juste mais on a 8 possibilités : Z (RR, RS, SR, SS) + E (RR, RS, SR, SS). D. VRAI : voir C. E. VRAI : il n y a aucun C* mais on a une isomérie Z/E. QCM 21 : ACD B. C'est le 2-hydroxy-propanamide. E. Il y a le carbone asymétrique donc 2 stéréoisomères (R et S). Concernant la double liaison, il y a les deux mêmes substituants (H) du même côté de la double liaison donc pas de stéréoisomérie. QCM 22 : CE A. La double liaison O possède un effet -M (attire les électrons) : B. Le O possède deux paires d'électrons célibataire il est donc at tracteur (-M). D. Il faut des doubles liaisons conjuguées (avec une simple liaison entre). QCM 23 : BC A. C'est un acide selon Lewis (molécule capable d'accepter un doublet d'électron donc avec une case quantique vide). B. VRAI : Un acide selon Brönsted est une molécule capable de donner un proton. C. VRAI : Un électrophile peut posséder une case quantique vide (carbocation) ou être électropositif. D. L'acide le plus fort et la base la plus forte donne l'acide le plus faible et la base la plus faible. 31 / 291
32 E. Variation en sens inverse. QCM 24 : BD A. Les groupements donneurs amplifient la densité électronique des bases, donc les rendent plus fortes. Ainsi une base avec 2 méthyles donneurs > base avec 1 méthyle donneur > base avec 0 groupement donneur. Les cycles sont des bases faibles, car les électrons sont délocalisés sur l ensemble de la molécule et donc moins disponibles pour arracher un proton. Donc 1, 3 et 5 > 2 et 4. Le groupement NO2 est attracteur par effet mésomère, alors qu une base est forte lorsqu elle a des groupements donneurs. C. Voir item A. D. Acide selon Bronsted : molécule capable de donner un proton. Acide selon Lewis : molécule capable d'accepter un doublet d'électrons. E. C'est un acide! (Selon Bronsted). QCM 25 : ABD B. VRAI : C6H5OH possédant un cycle, ce sera un acide plus fort que CH 3OH. C. Car CH3O- est la base la plus forte car présente une densité électronique supérieure donc la réaction a lieu dans le sens inverse. D. VRAI : les acides carboxyliques sont des acides plus forts que les alcools. E. Car CH3O- est stabilisé par un groupe donneur donc se trouve être la base la plus forte. QCM 26 : E E. VRAI : Car plus un acide est fort plus il présente de groupes attractifs autour de lui, soit des groupes plus électronégatifs. QCM 27 : ABDE A. Attention, ici HO- est une base plus forte que NH3 car la densité électronique autour de HO- est plus grande du fait de de sa charge négative. C. NH2- est une base plus forte que HO- car la basicité varie en sens inverse de l'électronégativité. QCM 28 : BC A. HCO3- est un acide selon Brönsted. B. VRAI : ils possèdent au moins un doublet non liant. D. Des acides selon Lewis. E. MgCl2 est un acide selon Lewis. QCM 29 : BCE A. Il se déroule en 2 étapes. C. La vitesse de réaction ne dépend que de la concentration en halogénure d'alkyle pour une SN1 D. Elle se produit lors d'une SN2 QCM 30 : AB B. On obtient du 2, 4-diméthylpentan-3-ol en forme majoritaire et du 2,4-diméthylpentan2-ol en forme minoritaire. En effet, l'effet inductif donneur rend le Carbone 2 plus électronégatif que le Carbone 3. C. C'est le 2,4-diméthylpentan-2-ol. Pour faire simple, le OH se greffera sur le carbone le plus substitué. D. Non car le carbone qui reçoit le OH n'est pas un carbone asymétrique (il est lié à 2 CH 3). E. La forme minoritaire n'est pas active sur la lumière polarisée car elle n'est pas chirale. 32 / 291
33 UE1 Génome Annexe disponible après les QCM en Vrac Sujet Type 1 ( 26 QCM 1h ) Parmi les composés suivants : A. Adénine B. Guanosine D. Uridine E. Cytosine C. Inosine QCM 1. Le(s)quel(s) de ce(s) composé(s) contient l amine sous sa forme majeure? QCM 2. Le(s)quel(s) peut(vent) être catabolisé(s) en acide urique? QCM 3. Le(s)quel(s) est(sont) un (des) nucléoside(s)? QCM 4. Quel(s) nucléoside(s) contient(nent) une liaison N-osidique entre l azote 1 de la base et le 1 de l ose? QCM 5. À propos de l'adénine, il est exact que : A. C est un nucléoside à base purine. B. Sa forme tautomère majeure s'apparie avec la thymine T dans le DNA, par 3 liaisons hydrogène. C. Elle est remplacée par l'uracile U dans le RNA D. Un de ses dérivés oxygénés est l'acide urique, responsable de la goutte s il est en excès. E. La forme tautomère mineure de A (contenant une imine) s'apparie avec la forme tautomère majeure de la cytosine C. QCM 6. A propos du métabolisme des bases azotées et des nucléotides A. L adénine ayant subi une désamination oxydative peut s apparier avec la cytosine. B. Le phospho-ribosyl-pyrophosphate (PRPP) intervient dans la biosynthèse de Novo des nucléotides puriques et pyrimidique C. La PRPP synthétase est le principal site de régulation positive par l AMP et le GMP de la biosynthèse de Novo des nucléotides puriques D. Une pathologie du catabolisme des pyrimidines peut aboutir à un excès d acide urique responsable d inflammation douloureuse des articulations appelée la «goutte» E. L allopurinol est un inhibiteur de la xanthine oxydase et peut être utilisé dans le traitement de la goutte QCM 7. À propos des superstructures du DNA A. Dans toutes les cellules, le DNA est toujours compacté et replié. B. Chez les procaryotes, l'assemblage du DNA et de protéines spécifiques constitue la chromatine. C. Le chromosome bactérien est en général sous forme circulaire et super-enroulée. D. La chromatine est le 1er niveau d'organisation du nucléosome. E. Le DNA internucléosomal est fragile et exposé aux endonucléases. 33 / 291
34 QCM 8 : Concernant le génome mitochondrial : A. Le génome mitochondrial actuel est quantitativement diminué en comparaison au génome de l α-protéobactérie dont il est issu B. Sa transmission est exclusivement non mendélienne C. Monsieur et Madame Z vont avoir un enfant (félicitations!). Monsieur Z est atteint d une maladie mitochondriale causée par une mutation de l ADN nucléaire : l enfant a des risques d être atteint de cette maladie. D. Son DNA code pour 13 mrna, 2tRNA et 22 rrna E. La réplication du DNA mitochondrial est réalisée par une DNA polymérase δ QCM 9 : Concernant les différents facteurs influant le Tm d hybridation des brins de DNA : A. Pour les fragments de petites tailles, une majorité de liaison d adénine et de thymine augmente le Tm car ils s apparient avec 3 liaisons hydrogène B. Si la concentration en sel dans la solution diminue le Tm augmente C. Ajouter des solvants organiques comme le formamide permet de diminuer le Tm D. Pour les fragments de petites tailles (une centaine de bases azotés par exemple) la longueur des fragments n influence pas le Tm contrairement au fragment de grande taille (100 kb par exemple) E. Plus la stringence est élevée plus le Tm est bas QCM 10 : A propos des altérations du DNA A. Les UV peuvent induire la formation de liaisons covalentes entre deux pyrimidines consécutives B. Le bromure d éthidium peut provoquer une rupture de laissions N-osidique C. Le bromure d éthidium est un analogue de la thymine qui présente une plus grande fréquence de tautomères mineurs D. Une altération du génome peut être bénéfique pour le DNA E. Les vitamines B et E sont des antioxydants qui évitent l altération des bases et des cassures dans le DNA QCM 11 : A propos des éléments transposables A. Un plasmide libre peut s appeler un épisome B. La réplication d un plasmide se fait en même temps qu un chromosome bactérien C. Les éléments transposables correspondent à 45% du génome humain D. Les séquences SINE (short interspersed element) appartiennent à la classe LTR des rétroéléments E. Le reverse transcriptase permet de passer de mrna a cdna QCM 12 : A propos de la réplication des virus à RNA A. Leur réplication utilise des RNA polymérases RNA dépendantes possédant une fonction «proof reading» ce qui permet d avoir un faible taux de mutation. B. Les rétro virus ont un cycle infectieux particulier qui nécessite la synthèse d un cdna viral par une RNA polymérase DNA dépendante (Reverse transcriptase). C. Les rétrovirus exogènes sont des vestiges moléculaires de rétrovirus infectieux ancestraux incorporés dans le génome de l hôte. D. Les reverse transcriptase sont capables de dégrader du RNA. 34 / 291
35 E. Chez les virus à RNA classiques, le brin négatif du RNA sert de matrice pour une RNA polymérase RNA dépendante. QCM 13 : Parmi les affirmations suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) exacte(s)? A. Les individus de sexe masculin possèdent plus de gènes hémizygotes que ceux de sexe féminin. B. Les gènes homéotiques sont impliqués dans le développement C. Les gènes de structures codent pour des protéines autres que les protéines de régulation D. Les gènes domestiques sont des gènes impliqués dans le développement E. Les gènes homéotiques sont des gènes impliqués dans le métabolisme QCM 14 : Familles de gènes de l hémoglobine A. Tous les vertébrés possèdent les mêmes gènes de l hémoglobine. B. L expression de ces gènes varie en fonction de l âge de l individu. C. Il se situent tous sur la paire de chromosomes 16. D. Chez l homme, les mutations des gènes de l hémoglobine sont étudiées sur le DNA des globules rouges. E. Les gènes ɑ ne sont exprimés que pendant la phase pré-natal (in utero). QCM 15 : À propos des antibiotiques et des antimétabolites A. L acridine orange s insère entre les plateaux de paires de bases et permet de visualiser l ADN B. Le cycloheximide est très utilisée en médecine comme antibiotique car il inhibe spécifiquement la traduction des cellules procaryotes. C. L acide nalidixique inhibe la DNA-gyrase (topo-isomérase II) bactérienne et est donc utilisé comme antibiotique (notamment dans les infections urinaires). D. La puromycine est un analogue structural de l extrémité CCA3 d un trna chargé, elle est à l origine de peptides tronqués E. La streptomycine inhibe l initiation de la transcription des procaryotes. QCM 16 : Des fibroblastes humains, provenant d un prélèvement de la peau d un sujet jeune, sont ensemencés dans des conditions optimales permettant leur division tous les 4 jours. La division cellulaire des fibroblastes dure environ 24h. De la [αα ³²P]dCTP est présent dans le milieu de culture.p]dctp est présent dans le milieu de culture. Après 3 jours de culture, quelle(s) affirmation(s) est (sont) exacte(s) : A. Tous les noyaux cellulaires sont marqués de la même façon par le [α ³² P ]dctp B. En utilisant du [γ³² P]dCTP, on obtiendrait les mêmes résultats C. Si on ajoute dans le milieu un inhibiteur de la DNA polymérase I avant l addition du [α ³² P]dCTP, aucun noyau cellulaire ne sera marqué D. Si on ajoute dans le milieu un inhibiteur des topoisomérases avant l addition du [α ³² P ]dctp, aucun noyau cellulaire ne sera marqué E. Une analyse des bases du DNA des fibroblastes (après expérience) montrera la pré sence de base radioactive, la cytosine. 35 / 291
36 QCM 17 à 19 à La séquence humaine de l ADNc de l ARNm de la protéine «TRACTOPELLE» est la suivante : Séquence d un ADNc de l ARNm codant pour l enzyme intestinale «TRACTOPELLE» sécrétée à l extérieur de la cellule dans la lumière du tube digestif. Les acides aminés composant le site catalytique de la protéine sont codés par les nucléotides 421 à 483. La première base appartient à l exon 1. La séquence en acides aminés dérivant de l exon 1 a un poids moléculaire d environ Da et débute par MLWVIGPYYV. La jonction entre l exon 2 et l exon 3 se fait entre la 505ème et la 506ème base. QCM 17 : A. La protéine contient plusieurs méthionines B. En cas de substitution du A en 121ème position en C, la présence d IRES en position 125 permettra à la cellule de synthétiser une autre protéine. Elle remplira le même rôle que l enzyme normale dans l intestin. C. En cas de substitution du A en 121ème position en C, la présence d IRES en position 166 permettra à la cellule de synthétiser une autre protéine. Une fois sécrétée, elle remplira le même rôle que l enzyme normale dans l intestin. D. Le premier intron coupe la séquence codante en plein milieu d un codon. E. Le deuxième intron coupe la séquence en plein milieu d un codon codant pour une Sérine. QCM 18 : A. Cette séquence comprends un seul signal poly A en 3 non codant. B. Dans cette séquence, il manque un élément essentiel de l ARNm. C. La boîte TATA est correctement placée. D. Le passage du gène à l ARN a nécessité l intervention de longs ARN non codants. 36 / 291
37 E. Lors de la mise en place de la coiffe le premier nucléotide du transcrit va perdre 1 phosphate. QCM 19 : Sur un schéma semblable à celui de l insuline, une fois la protéine traduite, elle va être clivée par des peptidases en 3 parties : SHI / FU / MI Ces peptidases vont cliver la protéine après le 51e aa et le 90e aa. La protéine finale a un poids moléculaire de Da A. SHI et FU sont restés liés par l intermédiaire des ponts disulfures interchaînes. B. SHI et MI sont restés liés par des ponts disulfures intrachaînes. C. La protéine est composée de plus de 100aa. D. Lors de la synthèse de l insuline le peptide C permet de rallonger la durée de vie de l insuline en inhibant les peptidases. E. En clinique, le peptide C est utilisé pour estimer la capacité de sécrétion des cellules beta du pancréas. QCM 20 : A propos des trna A. Ils sont synthétisés par une DNA-polymérase RNA-dépendante. B. Ils contiennent une ribothymine et une pseudouridine dans la boucle TΨC.C. C. Ils subissent une maturation avec l'addition de CCA en 5' par une Nucléotidyltransférase. D. Ils subissent des modification chimiques comme la désamination oxydative en position 6 de l'adénosine la transformant en Inosine. E. Les trna portant un même acide aminé ont obligatoirement le même anticodon Soit le gène VIVELEVENT porté par un autosome et qui code pour une protéine qui permet d aimer la période des fêtes et dont la version mutée est récessive. Le Grinch vient vous voir afin de savoir si son dégoût pour Noël vient d une mutation de ce gène. QCM 21 : Afin de répondre à cette question vous séquencez par la méthode de Sanger la fin de l exon 4 de l ADN du Grinch et de celui du Père Noël qui sera votre témoin. Vous obtenez les résultats suivants : 37 / 291
38 A. Un des brins du Père Noël porte la séquence 5 AGCATGTCGTGTCATGCT 3. B. Un des brins du Grinch porte la séquence 5 TCGTACTTTGCTGTACGA 3. C. Un des brins du Père Noël porte la séquence 5 TCGTACAGCACAGTACGA 3. D. Le grinch est homozygote pour une transition G T. E. Sachant que l ADN du Père Noël code pour la séquence peptidique : Val - Leu - Cys la mutation du grinch est une mutation silencieuse. QCM 22 : Étant donné que la mutation du Grinch est silencieuse vous cherchez à comprendre ce qu il se passe, pour cela vous décidez de faire amplifier le cdna du Grinch et du Père Noël par deux expérimentateurs différents qui travaillent indépendamment. Les mêmes amorces sont utilisées, elle s hybrident sur l exon 2 et l exon 5. Vous obtenez les résultats suivants : Expérimentateur 1 Père Noël 800 pb 550 Grinc h 38 / 291
39 pb Expérimentateur 2 Père Noël Grinc h 800 pb 550 pb A. L expérimentateur 2 a peut être travaillé dans des conditions trop stringentes avec le cdna du Père Noël. B. L expérimentateur 2 a peut être travaillé dans des conditions trop stringentes avec le cdna du Grinch. C. Les résultats obtenus par l expérimentateur 1 ne peuvent pas s expliquer autrement que par une erreur de manipulation. D. Pour améliorer ses résultats l expérimentateur 2 pourrait augmenter la température durant la phase d hybridation avec le cdna du Père Noël. E. Pour améliorer ses résultats l expérimentateur 2 pourrait faire une PCR nichée avec le cdna du Père Noël. QCM 23 : Ces résultats vous laissant un peu perplexe, vous décidez d analyser plus en détail la structure du gène VIVELEVENT. Vous obtenez le résultat suivant : Vous pouvez en déduire que : A. Les amorces utilisées par les expérimentateurs sont les amorces A1 et A5. B. Une RT-PCR avec les amorces A2 et A4 fait apparaître une bande de 1030 pb. C. Les amorces utilisées par les expérimentateurs sont les amorces A3 et A5. D. Une PCR faite avec les amorces A1 et A3 donnera une bande de 330 pb. E. Au vu des résultats précédents et de cette structure la mutation du Grinch a vraisemblablement entrainé une rétention d intron après l exon 4. QCM 24 : 39 / 291
40 Vous décidez d analyser l ADN des filles du Grinch pour savoir lesquelles sont susceptibles d essayer de gâcher Noël. Vous procédez donc à une PCR sur le cdna de la famille du Grinch avec les mêmes amorces que les expérimentateurs. Vous obtenez les résultats suivants : Grinch 800 pb 550 pb Fille 1 Fille 2 A. La fille 1 ne peut pas être la fille du grinch. B. La femme du Grinch est forcément hétérozygote pour la mutation. C. La fille 1 pourra s associer à son père pour gâcher Noël. D. La fille 2 pourra s associer à son père pour gâcher Noël. E. Une RT-PCR à partir de l ARNm donnera les mêmes résultats. QCM 25 et 26 : Soit le gène P, porté par le chromosome X, est soumis au phénomène d inactivation de l X. À partir de l ADN génomique de 3 individus (S, E et A), vous réalisez un southern blot avec la sonde indiquée ci-dessous, après clivage de l ADN par l enzyme Hae II puis digestion ou non par l enzyme Lox I (site de clivage unique) Chez ces 3 individus (S, E, et A), l analyse par southern blot donne les résultats suivants : Vous disposez des endonucléases de restriction suivante : - Lox I : 5 AC CGGT 3 sensible à la méthylation - Taq I : 5 AC CGGT 3 insensible à la méthylation 40 / 291
41 QCM 25 : A. Le gène P de l individu S est digéré par Lox I B. L individu S est donc nécessairement une femme C. L individu S peut être de caryotype XY D. L individu S pourrait être de caryotype X0 E. L individu E peut être un homme QCM 26 : A. Le gène P porté par l individu E n est pas méthylé B. L individu A peut-être une femme hétérozygote dont une partie de l ADN du gène P est méthylé C. L obtention du profil de l individu A est impossible D. Lox I et Taq I sont des isoschizomères E. Les mêmes résultats auraient été obtenus si Lox I avait été remplacé par Taq I Sujet Type 2 ( 26 QCM 1h ) : QCM 1 : Nucléosides A. Les molécules 1, 3 et 4 possèdent une base pyrimidine. B. Toutes ces molécules forment des liaisons N-osidique. C. La molécule 5 est un inhibiteur de la xanthine oxydase. D. La molécule 2 correspond à la guanosine. E. La molécule 3 peut s apparier avec la thymidine. 41 / 291
42 Parmi les composés ci-dessous : A. Inosine B. Thymine Désoxyadénosine E. Désoxyguanosine C. Théobromine D. QCM 2. Le(s)quel(s) est (sont) un (des) ribonucléotides(s) à purine? QCM 3. Le(s)quel(s) a (ont) un ou des groupements méthylés dans leur(s) structure(s)? QCM 4. Le(s)quel(s) est (sont) potentiellement responsable(s) des crises de goutte? QCM 5 : À propos du métabolisme des bases azotées et nucléotides: A. La biosynthèse de novo des nucléotides puriques comporte 15 étapes. B. Un défaut d inhibition de la PRPP synthétase entraîne un excès de production de nucléotides à pyrimidines et donc d acide urique. C. On diminue le risque de lithiase urinaire par alcalinisation des urines car l acide urique est moins soluble à ph alcalin. D. L allopurinol est un inhibiteur de la xanthine oxydase. E. La xanthine peut se former à partir de guanosine et d adénosine. QCM 6 : À propos du génome, il est exact que : A. Le génome de Homo Sapiens, du fait de la grande complexité de son organisme, est plus grand que celui des organismes unicellulaires. B. La densité génique du génome mitochondrial humain est supérieure à celle du génome d'e.coli. C. Le génome des procaryotes est majoritairement constitué de séquences non-codantes. D. Les constituants de la mitochondrie ne sont transmis que de façon maternelle (nonmendélienne). E. Les séquences Alu dont des séquences moyennement répétitives SINE non codantes, présentes dans le génome nucléaire des eucaryotes. QCM 7 : Tautoméries et appariements A. Les appariements entre les bases se font par liaison forte. B. Les formes tautomères amine et cétone sont les plus stables. C. Le BrU, analogue de la thymine, a une plus grande fréquence de tautomères mineurs. D. Un appariement anormal peut se produire entre une guanine de forme tautomère mineure et une thymine de forme tautomère mineure. E. L acide urique est un dérivé méthylé de la xanthine. QCM 8 : Le DNA bactérien d E.Coli est cultivé dans un milieu contenant 15N et tous les éléments nécessaires à une bonne réplication pendant 1jour. On récupère cet ADN (1ère génération) : les deux brins sont marqués. On le plonge ensuite dans un milieu contenant du 14N, et on obtient successivement une 2ème, 3ème et 4ème génération. Dans un second temps, on sépare le DNA de ces différentes générations par ultracentrifugation en gradient de densité. Au sujet des résultats, quelles sont les affirmations exactes : A. La centrifugation de la 1ère génération montrera l existence d un ADN double brin marqué 15N/15N et 15N/14N. 42 / 291
43 B. La bande de plus faible densité après centrifugation correspond à l ADN marqué 14N/14N. C. La centrifugation de la 3ème génération montre 3 types d ADN de densité différente : 15 N/15N 15N/14N et 14N/14N. D. Les résultats de la centrifugation en gradient de densité de la 2ème et 3ème génération sont identiques. E. Les résultats de la centrifugation en gradient de densité de la 3ème et 4ème génération on identiques. QCM 9 : Concernant les séquences Alu A. Elles sont hautement répétitives. B. Elles comportent environ 300pb et sont non codantes. C. Elles sont peu présente chez l homme. D. Elles sont présentes dans le génome des murins et des primates. E. elles appartiennent au groupe des SINE. QCM 10 : À propos du génome mitochondrial A. Les mitochondries ont une origine bactérienne qui aurait formé une symbiose avec une cellule eucaryote ancestrale ainsi les génomes mitochondriaux sont les mêmes quelque soit l espèce. B. Tout le génome humain a une transmission mendélienne. C. Le génome mitochondrial est un génome double brin linéaire codant notamment pour 13 protéine qui lui sont exclusivement réservées. D. La réplication bactérienne suit un modèle semi-conservatif. E. Lors de la réplication les topo-isomérases sont responsables de la séparation des brins. QCM 11 : À propos des éléments transposables A. Les éléments transposables sont des séquences d ADN capables de mouvement à l intérieur d une même cellule ou entre les cellules. B. Les plasmides sont des transposons. C. Les séquences Alu sont des rétro-éléments. D. Les rétro-éléments utilisent pour se répliquer un RNA intermédiaire et une Reverse Transcriptase. E. Les transposons sont des éléments génétiques mobiles passant par une forme libre extra-cellulaire. QCM 12. À Propos des virus endogènes A. Ce sont des vestiges moléculaires de rétrovirus infectieux ancestraux qui ont été incor porés dans le génome de l hôte. B. Ils ont perdu leur capacité infectieuse ainsi que leur capacité de transposition. C. Ils sont transmis verticalement. D. Ils occupent une grande partie du génome humain (plus de 25%). E. Ils peuvent coder pour des protéines qui ont des fonctions cellulaires importantes. QCM 13 : A propos des différents types de mutations A. L insertion d une base supplémentaire correspond à une mutation «frame shift». B. Une délétion ponctuelle engendre un changement du cadre de lecture. C. Le changement d une leucine en une phénylalanine est une mutation «non sens». D. La substitution d une base peut être à l origine d une mutation silencieuse. E. La substitution d une adénine en une cytosine correspond à une transition. 43 / 291
44 QCM 14 : Au sujet de cet arbre phylogénétique : A. Le crocodile possède les caractères suivants : gésier, amnios, doigts. B. Le xénope doit être génétiquement plus proche du Bonite que du Lamproie. C. Le cobaye ne possède pas le caractère Amnios. D. L ancêtre commun du Kiwi et du crocodile est moins récent que l ancêtre commun du Xénope et du crocodile. E. Plus un ancêtre commun est récent moins il existe de divergence génétique entre les deux espèces. QCM 15 et 16 : Des hépatocytes sont prélevés sur un patient atteint d une drôle de pathologie, la Tontonite, puis mises en culture. On constate alors que ces cel lules produisent une substance assez atypique : la jaunine! Des chercheurs tentent alors d'inhiber la transcription de ces cellules pour voir si la production de jaunine par les cellules hépatiques en est dépendante. QCM 15 : Pour se faire, ils pourront donc avoir recours à : A. Rifamycine B B. Actinomycine D C.Alpha-amanitine D. Tetracycline E. Cycloheximide QCM 16 : Mécontents de leurs résultats, les scientifiques décident alors d'inhiber la traduction des cellules hépatiques du P2. Ils pourront alors utiliser : A. Streptomycine B. Tetracycline C.Chloramphénicol D. Cycloheximide E. Érythromycine 44 / 291
45 QCM 17 et 18 : Un patient est porteur d une tumeur dans le foie, dont l origine n est pas connue. On prélève donc les ARN totaux d une cellule cancéreuse ainsi que ceux d une cellule hépatique saine pour pouvoir les étudier. QCM 17 : A. Pour isoler les ARNm par chromatographie d affinité, il faut que les billes de cellulose portent des oligo-dc. B. Après le passage sur la colonne, l élution des ARNm isolés et purifiés se fait en condition de faible force ionique. C. La synthèse d ADNc nécessite une ARN polymérase ARN dépendante, une RNase et des dxtp comme substrat, permettant l obtention d un ADNc simple brin. D. Le marquage de l ADNc chimiquement nécessite un désoxynucléotide marqué avec un fluorochrome. E. L ADNc contient des exons et des introns. QCM 18: Après avoir obtenu une banque d ADNc pour les 2 types cellulaires (cellules cancéreuses et cellules hépatiques saines) et les avoir marqués avec 2 fluorochromes différents (cellules cancéreuses en étoile, cellules saines en losange), on réalise une puce à ADN. Les cases blanches sont les cases où aucun ARN ne s est hybridé. A. Une puce à ADN est une méthode permettant d obtenir une vision quantitative de la production d ARNm dans un tissu. B. L hybridation sur les fragments d ADN greffés sur la lame de verre peut être réalisée dans de faibles conditions de stringence (en dessous de 20 C). Soit le résultat de la puce à ADN C. Les cases détectées en noir expriment une modification de l expression du gène dans les deux types cellulaires. D. L absence de détection (caractérisée par une case blanche) peut signifier une absence d expression du gène uniquement dans les cellules cancéreuses du tissu hépatique. La séquence d ADNc caractérisée par l étoile de la première ligne a été séquencée, et donne : 5 ATT GTA ATG CCC AAG AGC TAG GAT CAT AAA TGA AAA AAA 3 Or, par comparaison avec une séquence d ADNc du sujet sain, on a : 5 ATT GTA ATG CCC AAG AGC TAC GAT CAT AAA TGA AAA AAA 3 E. Le cancer peut être le résultat d une mutation non-sens d un gène. QCM 19 : Un nouvel opéron est découvert dans le génome d une souche bactérienne. Les gènes de l opéron CHOCOLAT permettent aux cellules bactériennes de grossir énormément. La salade est une molécule toxique qui entraîne une diminution du volume cellulaire et à long terme l apoptose des cellules bactériennes. Cet opéron est sous le contrôle d une protéine répresseur produite par le gène RÉGIME selon la représentation schématique suivante : 45 / 291
46 A. L ARNm du gène RÉGIME est monocistronique. B. En absence de salade, le répresseur empêche la transcription de l opéron chocolat. C. En cas de mutation de P et en présence de salade aucune cellule ne mourra à cause du complexe répresseur-salade. D. Avant la traduction, pour obtenir autant de protéines différentes que de gènes dans l opéron, l ARNm devra être clivé. E. Les 3 gènes codent pour des protéines ayant un rôle dans la même voie métabolique. QCM 20 : On étudie le transcrit produit par l opéron PACES activé : A. Le schéma suivant peut décrire une étape d addition d un nucléotide lors de la transcription du brin sens du gène de l ADN: B. Lors de la traduction, la première base codant pour le premier aa sera: C. L ajout d une coiffe en 5 participera à la reconnaissance de l ARNm pour l initiation de la traduction. D. Ici la transcription peut être initiée même en l absence d amorce. E. Pour isoler les ARNm produits, on pourra utiliser la technique de chromatographie d affinité, en fixant sur la colonne des oligo-dt. QCM 21 à 24 : Soit le gène ABCD1 porté par le chromosome X responsable de l adrénoleucodystrophie liée à l X (ALD), une maladie neurodégénérative sévère. Elle associe une dé-myélinisation progressive du système nerveux central et périphérique, une insuffisance surrénale et une accumulation d acides gras à très longue chaîne (AGTLC) dans le plasma, les fibroblastes et les tissus. QCM 21: Vous souhaitez obtenir une quantité suffisante d ADN de ce gène ABCD1. Pour cela vous confiez à différents expérimentateurs, une préparation d ADN génomique, et leur demandez de choisir les amorces appropriées pour le gène ABCD1 et de réaliser une PCR avec un tube témoin. 46 / 291
47 On sait que le couple d amorce utilisé doit donner un amplicon de 700pb. (-) signifie que le tube ne contient pas d ADN. Les résultats obtenus sont les suivants : A. L expérimentateur Maraîchois a obtenu ces résultats à cause de l utilisation d une température d hybridation trop basse par rapport à la température idéale. B. Les résultats de l expérimentateur Maraîchois sont dus à des amplifications parasites. C. L expérimentateur Purpanais a obtenu ces résultats par contamination du matériel. D. L expérimentateur Purpanais pourrait améliorer ces résultats par PCR nichée. E. Le Rangueillois a réalisé une PCR dans de bonnes conditions. QCM 22 : Vous soupçonnez la présence d une mutation dans une région de l exon 3 du gène. Vous décidez alors d isoler l ADN génomique chez 2 individus A (sain) et E (sain mais vecteur de la maladie), et réalisez un séquençage selon la méthode de Sanger. Vous pourrez conclure que : A. Chez l individu A, le brin d ADN matrice a pour séquence : 5 GGCTAATCGTT 3 B. Chez l individu E, un brin d ADN a pour séquence : 5 GGCTAAACGTT 3 C. Chez l individu E par rapport à l individu A, il existe une substitution. D. L individu E est homozygote pour la mutation. E. L individu E pourrait être la fille de l individu A. 47 / 291
48 QCM 23 : Vous souhaitez à présent étudier les membres de la famille de l individu E. Vous procédez de la même façon, c est-à-dire par amplification de l exon 3 par méthode PCR à partir d ADN génomique et que vous réalisez dans des conditions optimales. Puis vous soumettez par la suite ces amplicons à l action ou non de Ppax II ( 5 A/ACGTT 3 ). Vous savez que le gène ABCD1 du père ne porte aucune mutation ainsi que le sujet A mais que la mère est hétérozygote pour la mutation et que le frère du sujet E a également un site de coupure pour l enzyme Ppax II. A. Après digestion par Ppax II chez le sujet E, vous vous attendez à obtenir 2 bandes. B. Après digestion par Ppax II chez le père P du sujet E, vous devez obtenir une seule bande. C. Après digestion par l enzyme Ppax II, les résultats du père P du sujet E évoque la possibilité d une séquence identique à celle du sujet A. D. Le frère F du sujet E est nécessairement le fils de P. E. Si l enzyme Mtps I (5 G/CTAA 3 ) avait été utilisé pour tous les membres de la famille à la place de Ppax II, vous auriez obtenu exactement les mêmes résultats. QCM 24 : Vous souhaitez à présent étudier le statut d inactivation du gène ABCD1 porté par le chromosome X. Vous soumettez alors l ADN génomique de 3 individus (R, P et M) à la digestion d une endonucléase de restriction sensible à la méthylation, et en présence d une sonde spécifique de ce gène. Vous obtenez les résultats suivants : NB : Seul le site de restriction central peut être méthylé A partir de ces résultats, vous pourrez conclure que : A. Le gène P de l individu E et F est nécessairement inactivé. B. Le profil obtenu pour le frère F du sujet E est impossible. C. L individu F est atteint de l adrénoleucodystrophie. D. Chez la mère M du sujet E, il existe une inactivation très déséquilibrée du chromosome X maternel. E. Si vous aviez utilisé une enzyme insensible à la méthylation, le profil du sujet M aurait été identique. QCM 25 et 26 : La Kévinofolie est une maladie autosomale dominante causée par une mutation sur le chromosome X et engendrant une anomalie d épissage de l intron 2. Cette maladie entraîne une euphorie à la vue de paillettes, il est donc important d étudier cette pathologie afin de trouver un traitement. La séquence est donnée ci-dessous sous forme d exons (rectangles) et d introns (lignes). On réalise une PCR avant de soumettre les amplicons à une endonucléase EcoR1 qui clive l ADN non muté dans l intron / 291
49 QCM 25 : Parmi les propositions suivantes le(s)quelle(s) est/ sont juste(s) A. Le couple d amorce b/c semble être le plus adapté pour étudier cette mutation. B. En utilisant les amorces a/c on s attend à trouver une séquence de 1500 pb chez le témoin. C. La mutation peut causer un décalage du cadre de lecture. D. Cette anomalie d épissage peut être causée par une mutation en plein milieu de l intron 2. E. Cette technique permet d identifier précisément l origine de la mutation. QCM 26 : Parmi les propositions suivantes le(s)quelle(s) est/ sont juste(s) A. On a utilisé le couple d amorces d/c. B. A est nécessairement un homme sain. C. B est une femme malade. D. A pourrait être le fils de B. E. Il serait pertinent de séquencer l ADNc du témoin pour étudier la mutation. Sujet Type 3 ( 27 QCM 1h ) : A. Pseudouridine D. Inosine B. Désoxycytidine E. Thymidine C. Hypoxanthine QCM 1 : Le(s)quel(s) est un (sont des) désoxyribonucléoside(s)? QCM 2 : Quel(s) nucléoside(s) contien(nen)t une liaison N-osidique entre la base et l ose? QCM 3 : Quel élément peut être formé par désamination oxydative d'une adénine? QCM 4 : A Propos des analogues des bases, des nucléosides et des nucléotides A. Le 5-fluorouracile est un anti-fongique. B. L allopurinol est un inhibiteur de la xanthine oxydase. C. La puromycine va être à l origine de la synthèse de polypeptides tronqués. D. La caféine est un dérivé de la xanthine. E. La théobromine est un analogue naturel des bases pyrimidiques. QCM 5 : A propos du catabolisme des bases et nucléotides 49 / 291
50 A. Les pyrimidines sont complètement dégradées chez l Homme. B. Le défaut génétique de rétro-inhibition de la PRPP synthétase provoque un excès de synthèse endogène de purines. C. Un excès d acide urique peut aboutir à la formation de cristaux et provoquer des crises de coliques néphrétiques. D. On peut diminuer le risque de formation de calculs urinaires en acidifiant les urines. E. La dégradation oxydative de la guanosine aboutit à la formation d acide urique. QCM 6 : Selon le principe de l expérience de Meselson et Stahl, des bactéries sont cultivées dans un milieu contenant du 15N. Elles sont ensuite placées dans un milieu contenant du 14N et leur réplication est bloquée à la fin du premier, deuxième ou troisième cycle cellulaire. On suppose que toutes les bactéries se répliquent de la même façon. Après linéarisation (sans étape de dénaturation/renaturation), l ADN bicaténaire est analysé par ultracentrifugation sur gradient de densité de chlorure de césium. On peut affirmer dans cette expérience que : A. A la fin du premier cycle cellulaire, on obtient 100% de DNA composé de 1 brin de 15 N et 1 brin de 14N. B. A la fin du premier cycle cellulaire, on obtient 50% de DNA 15N/15N et 50% de DNA 14 N/14N. C. Après ultracentrifugation en gradient de densité, à la fin du deuxième cycle cellulaire on observe 2 bandes. D. A la fin du deuxième cycle cellulaire on observe une bande pour le DNA 15N/15N. E. A la fin du troisième cycle cellulaire, 75% de l ADN est sous forme 14N/14N et 25% sous forme 15N/14N. QCM 7. A propos des télomères et des télomérases : A. Chez l homme, les séquences télomériques varient de 3kb à 20kb. B. Le raccourcissement des télomères s accompagne d une accélération de la prolifération cellulaire et d une résistance à l apoptose. C. L expression de la télomérase est en général réprimée dans les cellules différenciées. D. Le RNA de la télomérase contient une matrice AAUCCC permettant la formation d hexanucléotides TTAGGG. E. htert utilise des désoxyribonucléotides comme substrat. QCM 8 : A propos des gènes : A. Un gène de structure est un gène exprimé dans toutes les cellules et est impliqué dans le métabolisme général. B. Un pseudogène est une séquence d ADN codant une forme de protéine différente de la protéine majoritaire. C. Les gènes α et β de l hémoglobine humaine sont homologues et paralogues. D. Les gènes α et β de l hémoglobine humaine se situent sur des chromosomes différents. E. L expression des gènes de la globine diffère en fonction de l âge. QCM 9 : A propos de la structure des gènes, on peut affirmer que : A. Un gène domestique est un gène exprimé dans toutes les cellules, impliqué dans le métabolisme général nécessaire à la vie cellulaire. 50 / 291
51 B. Deux allèles sont des gènes identiques mais présents sur un locus différent du chromosome. C. L'opéron lactose est composé d'une zone régulatrice de petite taille et d'une zone transcrite polycistronique. D. Les introns sont des séquences transcrites mais contrairement aux exons, ils sont éliminés lors de l'épissage. E. Tous les codons AUG sont initiateurs. QCM 10 : Concernant la réplication bactérienne A. La réplication est bi-directionnelle, elle commence au niveau de l'origine de réplication et nécessite une amorce. B. La gyrase sépare les brins d ADN. C. L amorce est une séquence de DNA mise en place par la primase. D. La DNA polymérase DNA dépendante synthétise le brin dans le sens 5' 3. E. La primase est constituée des protéines régulatrices et du primosome. QCM 11 : concernant les mutations du DNA A. Une mutation sur un intron du DNA humain est toujours muette car les introns ne codent pour aucune protéine. B. Une mutation ponctuelle a toujours des effets sur la protéine traduite. C. Une mutation faux sens correspond à un changement d acide aminé. D. Une mutation non sens raccourci la taille de la protéine traduite. E. Une transition est une micro lésion qui correspond à une substitution de bases du même groupe. QCM 12 : A propos des rétrovirus exogènes : A. La première étape du cycle de réplication des rétrovirus utilise une RNA polymérase pour obtenir un RNA double brin. B. Le cycle de réplication des rétrovirus passe par une étape d hétéroduplex RNA/DNA. C. L intégration du cdna viral dans l ADN de la cellule infectée permet ensuite de synthétiser du RNA et des protéines virales. D. Les rétrovirus infectent essentiellement les cellules de la lignée germinales. E. Le VIH est un rétrovirus. QCM 13 : A propos des gènes de la globine humaine A. Ils dérivent d'un gène ancestral commun. B. Leur évolution est spécifique de l espèce humaine. C. La famille des gènes se situe sur le chromosome 11 et la famille des gènes β sont sur le chromosome 16. D. La séparation des rameaux donnant la famille des globines et des myoglobines c est faite il y a 800 Ma. E. Une anomalie de ces gènes est étudiable sur le DNA de leucocytes. QCM 14 : Agents mutagènes A. L intercalation du noyau phenoxazone de l actinomycine D entre 2 plateaux de paires de bases inhibe la transcription et perturbe les topoisomérases. B. L actinomycine est utilisée en biologie cellulaire expérimentale et en médecine comme anticancéreux. 51 / 291
52 C. La rifamycine B inhibe la traduction. D. La rifamycine B inhibe la sous-unité β de la RNA-polymérase bactérienne. E. L acide nalidixique inhibe la DNA-gyrase bactérienne. QCM 15 : Concernant l arbre phylogénétique A. Tous les mammifères sont des amniotes. B. Tous les amniotes ont un cervelet creux. C. Seuls les hommes possèdent des pédoncules cérébraux. D. Les hommes sont plus proches des rongeurs que des crocodiles. E. Les crocodiles possèdent un cervelet creux et 5 vésicules cérébrales. QCM 16 à 20 : Le cancer du sein Le Cancer du Sein est une tumeur maligne de la glande mammaire responsable de plus de décès dans le monde. Comme pour la plupart des cancers, les cellules passent par plusieurs stades dont celui de l arrêt de l expression des gènes suppresseurs de tumeurs (dont p53 fait partie) et celui de l expression de gènes responsables de la résistance aux facteurs de mort cellulaire. La plupart des étapes amènes les cellules à une croissance anarchique (il y a un échappement au cycle cellulaire). Lorsque ces cellules passent dans la circulation sanguine, elles peuvent se réimplanter autre part, et coloniser le milieu : c est une métastase. QCM 16 : Vous souhaitez caractériser le cancer du sein d une femme de 40 afin de choisir un traitement le plus pertinent possible. Pour cela, vous réalisez une analyse de l expression génétique de deux cellules de l épithélium glandulaire mammaire de cette personne, l une étant tirée d une biopsie du cancer et l autre du tissu sain. Vous marquez en rouge les ARNm totaux des cellules cancéreuse et en vert ceux des cellules saines. Vous obtenez les résultats suivant : 52 / 291
53 Avec les résultats précédents, vous pouvez conclure que : A. Comme la cellule cancéreuse a moins de gènes qui s expriment, le cancer sera peu agressif. B. Il y est probable que la colonne D soit celle correspondant aux gènes de résistance aux signaux de mort cellulaire. C. Il y est probable que la ligne 6 soit celle correspondant aux gènes suppresseurs de tumeur. D. Il y est probable que la colonne J corresponde à des gènes de ménage. E. En devenant cancéreuse, les cellules ont gagnée plus de fonction qu elles n en ont perdue (en supposant qu une protéine = une fonction). QCM 17 : Vous décidez d analyser par qrt-pcr l expression de p53 chez votre patiente (toujours avec les cellules saines et les cellules cancéreuses) ainsi que chez une patiente à risque non-malade. 53 / 291
54 Voici les résultats que vous avez obtenus : A. La patiente à risque est non malade car elle possède une quantité normale d ARNm de p53 comme on peut le remarquer après 40 cycles. B. Chez la patiente malade, au niveau des cellules cancéreuses, p53 ne s exprime pas, ce qui est en adéquation avec le cancer. C. La quantité d ADN obtenue est proportionnelle à la quantité de départ d ARNm et ce à tout moment du cycle. D. Le cdna produit lors de la qrt-pcr peut se mesurer grâce à la fixation d un fluorophore : le SYBRgreen qui se fixe sur le petit sillon de la double hélice du DNA. E. Au cours de l expérience, une molécule de ce type (voir schéma ci-dessous) va se former: QCM 18 : GATA3 est un facteur de transcription codé par le gène GATA3 situé sur le chromosome 10. Ce facteur contrôle directement l expression du récepteur nucléaire aux œstrogènes ERα. Une perte de ce facteur de transcription implique un risque accrue (et quasi certain) de cancer du sein. Ce dernier, sera de mauvais diagnostic. 54 / 291
55 Vous décidez d analyser par RT-PCR et Northern Blot les ARNm pour une cellule cancéreuse de votre patiente malade et une cellule de votre patiente à risque. Voici la structure du gène : A. Le gène peut faire l objet d un épissage alternatif suivant la personne chez qui il est exprimé. B. La patiente à risque peut faire l objet de la délétion de l exon 2. C. La patiente atteinte de cancer peut posséder un gène GATA3 muté. D. L expérience 1 est la RT-PCR et la 2 le Northern Blot. E. La longueur de la queue Poly-A est de 150pb pour les ARNm des deux individus. QCM 19 : Le facteur de transcription GATA3 possède une structure en doigts de zinc. A propos des doigts de zinc : A. Les doigts de zinc situés au niveau des récepteurs nucléaires sont situés pour la plupart dans le domaine C-terminal. B. C est la charge positive de l ion Zn2+ qui permet aux doigts de zinc l interaction avec l ADN chargé négativement via les groupements phosphates. C. La séquence suivante code pour un récepteur nucléaire (en sachant que les trois premières bases TCT code pour une sérine : 5 TCTTTTCATGAATTCCCCCACGCGCTCTTGTGGGGGCCCACATGTGAATTCTGTGCGCGC 3 55 / 291
56 D. Les doigts de Zinc sont généralement de type H2H2, c est-à-dire que deux histidines vont lier le zinc avec deux autres histidines. Plus rarement, ils seront de type H2C2, c est-à-dire que deux histidines vont lier le zinc avec deux cystéines. E. En général, les doigts de zinc sont retrouvés seuls dans les facteurs de transcription et récepteurs nucléaires. QCM 20 : Vous décidez de vous entraîner à réaliser des Southern Blot sur un cdna à l aide des sondes I et II. Vous prenez pour cela le cdna du récepteur nucléaire ERα. Vous connaissez parfaitement la structure du cdna (schématisée ci-dessous) et vous savez que la patiente que vous suivez pour un cancer depuis tout à l heure possède une abolition du site de restriction de BamHI. Vous savez aussi que la patiente à risques possède un récepteur Erα parfaitement normal. On admettra pour la suite de l exercice que le récepteur nucléaire est codé par ce seul cdna. Voici le schéma du cdna Les rectangles noirs du schéma précédent représentent la disposition correcte des sondes utilisées. Les résultats suivant sont-ils compatibles avec les conditions d expériences données en item? NB : Dans la piste I vous mettrez le cdna de la patiente atteinte du cancer et dans la piste II vous mettrez celui de la patiente à risque. A. Digestion par BamHI, hybridation avec les sonde 1 et 2. B. Digestion par EcoRI et BamHI, hybridation avec la sonde / 291
57 C. Digestion par EcoRI et SmaI, hybridation avec la sonde II. D. Digestion par EcoRI, BamHI et SmaI, hybridation avec la sonde I. E. Digestion par EcoRI, BamHI et SmaI, hybridation avec sonde II. 57 / 291
58 QCM 21 : Vous analysez le statut d inactivation d un gène porté par le chromosome X. Pour cela on soumet ou non l ADN génomique des différents patients à la digestion de Hpall puis on analyse une zone de ce gène par PCR. On précise qu un seul site de restriction pour Hpall est présent sur la zone analysée. Après électrophorèse voici les résultats obtenus : N.B : Hpall est sensible à la méthylation A. Les résultats obtenus montrent bien un polymorphisme au niveau du gène étudié. B. L obtention d une unique bande sans digestion par l enzyme de restriction, nous permet de conclure avec certitude que le patient 2 est du sexe masculin. C. Des bandes de tailles différentes chez un même individu correspondent à des produits de clivages par Hpall. D. Le patient 1 peut être une femme hétérozygote dont l inactivation du chromosome X s est faite au hasard. E. Si le plus petit fragment chez le patient 3 est d origine paternelle, il y a eu inactivation préférentielle du chromosome X maternelle. QCM 22 à 25 : On cherche à analyser un gène «TAT» par PCR, dont on a représenté l'exon 3 ci-dessous : Sujet type 3 QCM 22 : Les résultats obtenus de la PCR selon 4 expérimentateurs différents sont décrits ci-dessous : Vous pouvez conclure que : A. Les résultats des expérimentateurs 2 et 4 pourraient être le signe d une contamination. B. L expérimentateur 1 semble avoir obtenu le résultat attendu. 58 / 291
59 C. L expérimentateur 3 a sûrement oublié de mettre les amorces ou encore l ADN dans son tube d expérience. D. L expérimentateur 3 a dû faire son expérience avec une trop faible température engendrant la non-hybridation des amorces. E. Pour essayer d améliorer son résultat, l expérimentateur 3 pourrait augmenter la température. Soit la séquence entière du gène «TAT» et la représentation des transcrits possibles à partir de ce gène : QCM 23 : Afin de mettre en évidence les transcrits, parmi ces propositions suivantes, quelle(s) est (sont) celle(s) exacte(s)? A. Vous utilisez des amorces s hybridant avec l exon 1 et l intron 4 afin de les mettre en évidence. B. Vous pourrez mettre en évidence la quasi-totalité des transcrits en réalisant un Northern blot avec une amorce complémentaire de l exon 1 et une autre avec l exon 6. C. Vous pourrez mettre en évidence la totalité des transcrits en réalisant une RT-PCR grâce à deux amorces dont une s hybride avec l exon 6 et l'autre avec l'exon 1. D. Vous pourrez mettre en évidence le transcrit 2 grâce à une réaction de Southern blot avec une sonde ADN s hybridant avec l exon 3. E. Vous pourrez mettre en évidence 3 transcrits en utilisant la technique du Northern blot grâce à une sonde ADN s hybridant avec l exon 1. QCM 24 : Vous cherchez à analyser les différents transcrits du gène «TAT» à partir des ARN isolés du foie, avec une sonde ADN s hybridant avec l exon 4. Vous réalisez des expériences de Northern blot. A. Une ribosonde peut être composée d'adn génomique, de cdna, de RNA... B. Si vous n obtenez aucun signal, il est possible que le foie ne synthétise pas le transcrit numéro 3. C. Le transcrit que l on cherche à révéler est de 800 pb. D. Si d'autres signaux que celui de 800 pb sont révélés c est que le foie synthétise les transcrits 1, 2 ou 4. E. On aurait pu obtenir le même résultat en utilisant une sonde qui s'hybride avec l'exon / 291
60 QCM 25 : on cherche à comparer les transcrits de deux tissus différents soit ici le foie et les muscles. Pour cela on réalise une RT-PCR utilisant deux amorces : une sens s hybridant avec l exon 2 et une contre-sens avec l exon 6. On obtient les résultats ci-dessous : Vous pouvez affirmer que : A. Si vous aviez obtenu un fragment de 500 pb, cela pourrait être due au fait que vous avez fait une mauvaise manipulation en prenant une amorce s hybridant l exon 1 au lieu de l exon 2. B. Avec les résultats obtenus, on est sûr que le muscle ne synthétise pas de transcrit pour le gène étudié. C. Le foie lui ne produit seulement que les transcrits 1, 3 et 4. D. Il est sûr que le muscle ne transcrit pas les mêmes transcrit que le foie. E. En utilisant deux amorces s hybridant avec l exon 6, on obtiendrait exactement le même résultat que cette expérience pour le foie. QCM 26 et 27 : On souhaite étudier la transcription du gène G ci-dessous spécifiquement exprimé dans les cellules musculaires striées squelettiques. Pour se faire on dispose d une sonde U s hybridant spécifiquement à l exon 2 et d un couple d amorce A et B. On étudie ce gène par Northern Blot chez 3 sujets. Un sujet sain témoin, deux sujets 1 et 2 atteints d un cancer des muscles et un sujet 3 pour dépis 60 / 291
61 tage. On possède pour ce faire une sonde T explorant le transcrit d un gène de ménage «serpillère». Après révélation on obtient les résultats suivant : QCM 26 : A. Le sujet 2 possède nécessairement une délétion de l exon 2. B. Le sujet 2 possède peut être une excision de l exon 3. C.Le sujet 3 est nécessairement malade puisque comme le sujet 2 aucune bande de 600b apparaît. D. Les résultats du sujets 3 peuvent être du à une trop forte stringence. E. Les résultats chez le sujet normal peuvent être obtenus à partir de kératinocytes. QCM 27 : A. Le sujet 1 peut posséder une délétion de l exon 2. B.Les résultats du sujet 1 peuvent être dus à une instabilité des transcrits du gène G dégradés par la RNAse H. C. Le séquençage du gène G chez le sujet 1 peut ne présenter aucune anomalie. D. Le Northern blot est une méthode quantitative. E. Suite à une qrt-pcr, les résultats du sujet 1 seraient moindre que chez le sujet normal. QCM en vrac : QCM 1 : A propos des nucléotides, de leurs appariements, analogues et dérivés : A. Les appariements entre bases complémentaires se font par l'intermédiaire de liaisons phosphodiesters. B. Le datp (désoxyadénosine tri-phosphate) contient 2 liaisons riches en énergie. C. La forme tautomère mineure de la thymine s'apparie avec l'adénine. D. Le 5-bromo-uracile, analogue de la thymine, s'apparie sous sa forme tautomère mineure (énol) avec la guanine. E. Le catabolisme des purines aboutit à la formation d'acide urique. QCM 2 : À propos du génome A. Les modifications de l extrémité N terminal des molécules d histones participent à la régulation de la transcription de DNA. B. Le DNA nucléosomal est fragile, il est coupé lors de l apoptose. 61 / 291
62 C. Le génome des eucaryotes n est constitué que de DNA alors que celui des procaryotes peut être fait de DNA ou de RNA. D. Le génome nucléaire reste le même dans toutes les cellules de l organisme. E. Le DNA codant représente une minorité du génome nucléaire. QCM 3 : Concernant l ADN mitochondrial A. Les protéines mitochondriales viennent toute de l'adn mitochondrial et ont une transmission exclusivement maternelle. B. La réplication du DNA mitochondrial se fait par la DNA polymérase γ. C. La mitochondrie a une origine bactérienne. D. L'ADN mitochondrial est toujours circulaire chez les eucaryotes. E. Le code génétique mitochondrial est différent du code génétique universel. QCM 4 : A propos de la réplication bactérienne A. Les DNA polymérases font des erreurs de l ordre de 10^-8 qui peuvent être corrigées par leur fonction proof-reading. B. La fonction proof-reading est une fonction exonucléase 5-3. C. A la fin de la réplication, le primer est dégradé par la DNA-polymérase I qui a une fonction exonucléase 5-3. D. Les erreurs d appariements des DNA polymérases peuvent être causées par les formes tautomères mineures. E. Une ligase synthétise la dernière liaison entre le DNA synthétisé et le fragment d Okazaki. QCM 5 : A propos des éléments transposables : quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) juste(s)? A. Les rétrotransposons ne codent pas pour leur reverse-transcriptase, bien qu ils fassent partie des rétro-éléments. B. Les séquences Alu font partie des éléments transposables C. Les transposons passent par une forme libre lors qu ils se déplacent dans le génome D. Dans les cellules eucaryotes, les plasmides permettent le passage d information génétique d une espèce à l autre. C est un exemple de transmission de l information génétique horizontale. E. Pour les phages, c est durant la phase lysogène qu ils sont intégrés dans le génome bactérien. Le génome du phage sera alors répliqué en même temps que le bactérien. QCM 6 : Au sujet des altérations de l ADN et les systèmes de réparation : A. Le 5BrU est un analogue de la thymine augmentant le risque des mésappariements. B. Le 5BrU permet de visualiser le DNA grâce à ses propriétés fluorescentes. C. Les UV, mécanisme d altération chimique, peuvent induire la formation de liaison covalente entre deux thymines d un même brin. D. La réparation de dimère de thymine implique la coupure double brin du DNA pour pouvoir exciser le segment contenant le dimère. E. Une ligase est nécessaire au rétablissement de la continuité des brins après réparation des dimères de thymine. QCM 7 : Concernant les virus et leur réplication 62 / 291
63 A. Les virus à DNA ont un fort taux de mutation. B. Les rétrovirus sont répliqués par la reverse transcriptase qui est une DNA polymérase RNA dépendante. C. Tous les virus à ARN sont infectieux. D. Les vaccins sont moins efficaces sur les virus à ARN que les virus à ADN. E. Dans le virus à RNA classique, c'est le brin positif qui porte l'information génétique, le brin négatif est non traduit et sert de matrice. QCM 8 et 9 : Soit le fragment d'arnm suivant : 5 AUG UUC GAC UGC CGG ACU GUC AAA QCM 8 : A. La séquence peptidique codée par ce fragment est Met-Phe-Asp-Cys-Arg-Thr-Val-Lys B. La séquence peptidique codée par ce fragment est Met-Phe-Asn-Cys-Arg-Thr-Val-Lys On considère maintenant une mutation (C A) sur la 12ème base de la séquence. C. La transition suivante entraîne l'obtention d'un peptide tronqué. D. La mutation transforme la cystéine en codon stop. E. La mutation modifie le cadre de lecture. QCM 9 : Le fragment d'arnm initial subit à présent une délétion de sa 14ème base A. Cette mutation modifie le cadre de lecture. B. Il s'agit là d'une mutation faux-sens. C. Du fait de la mutation, il y a modification de l'acide aminé codé par le 5ème codon. D. Un codon stop apparaît en raison de la mutation. E. Cette mutation entraîne donc 2 substitutions et 1 délétion d'acides aminés. QCM 10 : Concernant les antibiotiques et les métabolites A. Le BrU (5 bromo-uracile) est un agent mutagène analogue de la guanine. B. Un agent intercalaire comme le bromure d éthidium est mutagène. C. L hydroxylamine est un inhibiteur de la gyrase (topo-isomérase II). D. L actinomycine D est un agent alkylant bifonctionnel c est à dire qu il crée une liaison covalente entre les 2 chaînes de DNA. E. La cycloheximide est un inhibiteur de la traduction qui bloque la sous unité 60S, elle peut donc être utilisée comme antibiotique. QCM 11 à 13 : La Morfalmanie est une maladie rare autosomale récessive, causée par une mutation du gène K situé sur le chromosome 5 (et uniquement par cette mutation) et qui touche de plus en plus de monde aujourd hui. Cette maladie n étant pas sans danger pour l univers, les chercheurs se penchent sur le sujet et décident d étudier l ADN génomique de 3 gros mangeurs (M1, M2 et M3). Après réalisation d une PCR, les chercheurs soumettent les amplicons à une enzyme de restriction (TaqI) coupant le brin étudié seulement s il présente la mutation responsable de la pathologie. On les compare avec les séquences obtenues chez un individu malade qu on appelle contrôle. 63 / 291
64 TaqI : 5 T / CGA 3 PacI: 5 CT / AG 3 QCM 11 : Parmi les propositions suivantes indiquez le(s)quelle(s) est/ sont fausse(s) A. L'élongation ne peut pas être faite avec une polymérase humaine B. L étape d hybridation des brins d ADN requiert une température élevée C. Une amorce s'hybride en 3 tandis que l autre s hybride en 5 du même brin D. Les enzymes de restrictions coupent chaque brin individuellement E. L enzyme idéale serait ici TaqI QCM 12 : Parmi les propositions suivantes indiquez le(s)quelle(s) est/ sont juste(s) A. Le contrôle négatif est contaminé B. Le fragment étudié mesure moins de 1100 pb C. Le tube à essai contenant les amplicons de M1 est contaminé. D. Les petits segments obtenus avec l extrait issu de M1 sont liés à des mutations E. Une PCR nichée améliorerait les résultats obtenus avec l échantillon M1 QCM 13 : Parmi les propositions suivantes indiquez le(s)quelle(s) est/ sont juste(s) A. L individu M3 n est pas atteint de Morfalmanie B. Les amplicons obtenus avec les échantillons de l individu M2 montrent que ses gènes K sont indemnes de toute mutation C.M3 et M2 semblent orienter les chercheurs vers la même conclusion en ce qui concerne le statut des sujets vis à vis de cette maladie D. La même expérience mais avec PacI aurait donné les mêmes résultats. E. La migration se fait du bas vers le haut du gel. QCM 14 et 15 : On suspecte la présence d une mutation dans l intron 1 d un gène G responsable de la maladie M. Le gène est organisé comme suit : 64 / 291
65 NB : Les amorces PCR ou RT-PCR contiennent 20 nucléotides QCM 14 : A. Une RT-PCR réalisée en utilisant le couple d amorce A et B chez un individu normal donne un amplicon d environ 600 pb B. Une PCR réalisée en utilisant le couple d amorce A et B sur de l ADN génomique d un individu normal donne un amplicon de 820 pb C. Une PCR réalisée en utilisant le couple d amorce A et A sur de l ADN génomique d un individu normal donne un amplicon de 1400pb Chez ces mêmes patients atteints de la maladie M, l analyse par RT-PCR avec le couple d amorce A et A révèle un fragment de 1000 pb D. La mutation présente peut-être détectée par séquençage du produit de RT-PCR. E. La mutation n affecte pas la taille du produit de PCR. QCM 15 : À partir de l ADN génomique, on réalise par séquençage le gène G d un patient P1 atteint de la maladie M par rapport à un patient normal (N). On utilisera les amorces A et B. Enzymes de restriction : Mtp I : TAGC / C Mae II : G / CGT Lox I : T / AGCC A. Chez le patient normal la séquence nucléotidique orientée 5 à 3 correspondant au brin non-matrice est 5 CCGCATCGGCAATGT 3 B. Chez le patient normal la séquence nucléotidique orientée 5 à 3 correspondant au brin non-matrice est 5 TGTAACGGCTACGCC 3 C. Chez le patient P1 la séquence nucléotidique orienté 5 à 3 correspondant au brin non-matrice est : 5 GGCGTAGGCGTTACA 3 D. Chez le patient P1, par rapport à l ADN normal, est créé un site supplémentaire pour l enzyme Mae II E. Chez le patient P1, par rapport à l ADN normal, est créé un site pour l enzyme Mtp I QCM 16 : La maladie génétique Purpan est une maladie autosomale récessive responsable entre autre d incompréhension des cours de génome. Les personnes atteintes malheureusement par cette terrible maladie sont appelés Purpanais. On soupçonne que le site de la mutation se trouve sur le chromosome 17, au niveau du site d action de ClaI et qu il l abolit. De plus, une analyse précise de ce chromosome chez les Purpanais et les personnes saines montre qu il n y a pas de différence du nombre de paires de bases. Afin de diagnostiquer la maladie Purpan chez trois étudiants en médecine (appelés Q, R et S), on analyse l ADN génomique par électrophorèse après digestion ou non par ClaI et TaqI. On obtient les résultats suivants : 65 / 291
66 Données : ClaI 5 AT CGAT 3 TaqI 5 T CGA 3 A. Le patient Q est homozygote non muté B. Le patient R ne comprend malheureusement pas ses cours de génome. C. Le patient S possède une mutation responsable du changement d une base adénine sur l un des brins. D. Le patient S est un Purpanais (soyons compatissant.) E. TaqI et ClaI sont des isoschizomères. QCM 17 : Soit le gène Ouaicépafo. On sait que certaines mutations de ce gène sont à l origine de deux pathologies: la provençalite et la gauloitite. Pour étudier ce gène dont on connaît la structure (qui par ailleurs semble être la même chez les individus sains et chez les malades), on dispose de deux sondes A et B. On dispose également de deux amorces qui nous servirons afin de réaliser une RT-PCR. Voici la structure du gène Ouaicépafo : Voici les résultats obtenus après électrophorèse du cdna du gène Ouaicépafo 66 / 291
67 A partir des résultats suivants, quelle(s) est(sont) la(les) affirmation(s) exacte(s)? A. Lors de l électrophorèse réalisée avec la sonde A, les résultats obtenus avec la pro vençalite s expliquent du fait d une dégradation de l ADN par une DNase B. La provençalite peut être liée à l épissage anormal de l exon 3 C. Si on réalisait une PCR avec les amorces 1 et 2, suivie d une électrophorèse sur l ADN d un patient atteint de Gauloitite, on trouverait une bande indiquant une taille d environ 1900pb D. On pourrait utiliser une amorce anti-sens s hybridant avec la partie 3 de l exon 2 pour obtenir un signal chez l individu atteint de Provençalite à l aide de la sonde A. E. Si nous avions réalisé un séquençage des exons du gène Ouaicépafo d un patient atteint de la Gauloitite, il se peut que le séquençage soit parfaitement normal Les QCM 18 et 19 sont liés QCM 18 : Vous souhaitez analyser le statut d inactivation de l X dans une famille afin de réaliser un test de paternité. Pour cela vous décidez d analyser un gène présentant un polymorphisme de longueur ainsi qu un site unique pour une enzyme de restriction sensible à la méthylation ( Noel : 5 CT AG 3 ) en Southern blot. Vous possédez une sonde qui ne s hybride pas sur le site de restriction. Vous obtenez les résultats suivants : No el Père présumé Mère Enfant 1 Enfant 2 Enfant / 291
68 Vous pouvez en conclure que : A. L enzyme Xmas ( AT AT ) est isoschizomère de Noel. B. L enzyme Joyx ( CT AG ) est isoschizomère de Noel. C. Sachant que Joyx est insensible à la méthylation on obtiendrait les mêmes résultats pour la mère si on l utilisait à la place de Noel. D. Sachant que Joyx est insensible à la méthylation on obtiendrait les mêmes résultats pour le père si on l utilisait à la place de Noel. E. L enzyme Noel donne des bouts franc. QCM 19 : A. La mère est hétérozygote pour ce gène. B. L enfant 2 est une fille. C. L enfant 1 peut être une fille homozygote. D. Le père peut être le père de l enfant 1. E. Le père peut être le père de l enfant 3. QCM 20 et 21 : Vous souhaitez analyser le statut d inactivation d un gène porté par le chromosome X dont la méthylation est liée à son inactivation. Pour ça, vous soumettez, ou non l ADN génomique de 3 individus à la digestion par l endonucléase Rangueil (5 AT/CGAT 3 ) sensible à la méthylation, vous analyserez une région polymorphe de ce gène par PCR. Le site de restriction de l endonucléase est symbolisé par l étoile et les amorces utilisées englobent cette région afin de pouvoir faire la réaction de PCR. Gène : Après électrophorèse sur gel, vous obtenez les résultats ci-dessous : QCM 20 : Parmi ces propositions, la(les)quelle(s) sont exacte(s)? A. L individu 1 pourrait être le père des deux autres individus étudiés. B. Chez les individus 2 et 3, les bandes révélées de différentes tailles correspondent à des produits de clivage par Rangueil. C. L individu 2 pourrait être la mère de l individu 3. D. L individu 3 peut être la mère de l individu / 291
69 E. Les deux tailles différentes obtenues chez l individu 2 correspondent à des allèles différents. QCM 21 : Parmi ces propositions, la(les)quelle(s) sont exacte(s)? A. L individu 2 pourrait être un homme hétérozygote pour le gène observé. B. L individu 3 est une femme pour laquelle le phénomène d inactivation du chromosome s est fait préférentiellement sur l allèle le plus petit C. L individu 2 est une femme pour laquelle le phénomène d inactivation du chromosome s est fait au hasard. D. Si le plus petit fragment observé chez l individu 3 est hérité de son père, il y a eu inactivation préférentiellement du chromosome paternel. E. L individu 1 est un homme. QCM 22 à 24. A propos du gène et de l'arnm du Passion Amour Confiance et Estime de Soi β (PACES-β) QCM 22. A propos de l'arnm de la protéine PACES-β. La séquence du cdna correspondant à l'arnm est présentée ci-dessous. Voici la modélisation de ce gène: La séquence en acides aminés débute par MDQYEKV et se termine par KDIGVMP. Le codon stop est souligné. A. L épissage du pré-arnm correspondant à cette séquence est réalisée par le RNPsn (small nuclear ribonucleoproteins) 69 / 291
70 B. La base numéro 333 a la structure suivante: C. Les dernières bases de cette séquence correspondent à une structure synthétisée lors de la maturation de l ARNm. D. La S-Adénosyl-Homocystéine ajoute un groupement -CH3 à la coiffe de l ARNm en 5 E. Tous les exons de ce gène sont codants. QCM 23: A propos de la séquence en acides aminés ci-dessus A. La séquence est composée de plus de 320 acides aminés. B. La masse moléculaire prédite du PACES-β est estimée entre 32 et 33kDa C. Les acides aminés correspondants aux codons des bases 242 à 250 sont D K V D. Le premier acide aminé traduit chez les eucaryotes est le même que chez les procaryotes E. Les premiers acides aminés de la protéine PACES-β peuvent correspondre à un peptide signal. QCM 24: La séquence codante du gène du PACES-β est amplifiée par RT-PCR à partir d'arnm totaux d'un tissu exprimant l'arnm. Les amorces suivantes sont utilisées: Amorce 1: 5'-ACCGAGCACCATGGATCAGTACGAGAAAGTTGAGAAGA-3' Amorce 2: 3'-TACTTCAAGGATATTGGCGTCATGCCGTAGAGTCCATGCC-5' A. Une amorce oligo-dg est utilisée dans la préparation du cdna B. L'amorce 1 contient la séquence sens de la partie 5' de la séquence codante C. L'amorce 2 contient la séquence sens de la partie 3' de la séquence codante D. L'amorce 2 contient la séquence non-sens de la partie 3' de la séquence codante E. Au cours de la réaction de RT, il y a formation d'une molécule de ce type: QCM 25: Des chercheurs travaillent sur certains facteurs de transcription. Voici une séquence qu ils analysent: 5 TACAAAGCCGAGAGCTGTCCCTTCACGAGGTGCGAAGGGCCGATCAGACTGTACCGATTGTGTGAGAAGAGCCCGCAATGTTCGGTT 3 A. Tous les codons possibles du glutamate sont présents dans cette séquence. B. La structure en doigt de zinc suivante peut-être celle de la séquence: 70 / 291
71 C. Les AA à l extrémité du doigt sont chargés négativement. D. La séquence suivante pourrait aussi coder un doigt de zinc: 5 TACAAAGCCGAGAGCTGTCCCTTCACGAGGTGCGAAGGGCCGATCAATGTCCATTACCGATTGGAGAAGAGCCACCCGCAATCGGTT 3 E. Les chercheurs étudient cette séquence car ils pensent qu elle a un impact dans une maladie, cette maladie peut alors être en lien avec un défaut de structure de certains récepteurs nucléaires. QCM 26 : A propos de la synthèse d un ADNc A. Elle nécessite une réverse transcriptase qui est une ADN polymérase ARN dépendante B. Après avoir créé un hybride ARN/ADN, on utilise la soude pour dégrader l ADN C. La transférase terminale utilise des dgtp pour rajouter sur l extrémité 3 une queue poly-g D. La dernière étape consiste à synthétiser le brin complémentaire grâce à l ADN polymérase I et une amorce d oligo-dc E. Ces ADNc pourront être clonés dans des plasmides ou d autres vecteurs. QCM 27 : A propos de la séquence d ARNm suivante 5 AUG GCA AAU CCG UGG UCA 3 A. La séquence du brin matrice du DNA peut être 5 ATGGCAAATCCGTGGTCA 3 B. La séquence du brin non matrice du DNA peut être 5 TGACCACGGATTTGCCAT 3 C. La séquence du brin non matrice du DNA peut être 3 ACTGGTGCCTAAACGGTA 5 D. La séquence peptidique 5 Met-Ala-Asn-Pro-Trp-Ser 3 peut correspondre à la traduction de l ARNm ci-dessus E. La traduction de cet ARNm fait intervenir un ARNt porteur de l anticodon 3 GGC 5 QCM 28 : A propos de l opéron lactose => QCM EN VRAC A. Le gène lac Z, en 3 de l opérateur, permet de faire rentrer le lactose dans la cel lule. B. En présence de glucose et de lactose, l adényl cyclase synthétise de l AMPc qui se fixe sur la CAP. C. Le gène lac i contenu dans l opéron est un facteur cis. D. En présence de glucose et en absence de lactose le répresseur est fixé sur le promoteur et empêche la transcription. E. En absence de glucose et en présence de lactose le complexe AMPc-CAP se fixe sur une région de 20pb entre le gène lac i et le promoteur. QCM 29 : A propos de la régulation de la concentration en fer : A. En absence de fer l'aconitase se fixe sur une structure tige boucle en 5 de l ARNm du récepteur à la transferrine. B. La transferrine est une protéine permettant le transport du fer et dont les récep teurs sont membranaires. C. En présence de fer extracellulaire, l aconitase ne peut pas se fixer sur la structure tige boucle. 71 / 291
72 D. En absence de fer, l aconitase augmente la demi-vie de l ARNm de la transferrine. E. En présence de fer la concentration de récepteur membranaire augmente. QCM 30 : À propos de la maturation de l insuline, donnez la/les réponse(s) vraie(s)? A. La forme mature de l insuline est de 110aa. B. La préproinsuline contient 3 domaines B/C/A et un peptide signal (PS) pour la sécrétion. C. Dans la pro-insuline les carboxylases vont éliminer 2aa entre les chaînes A et C et entre les chaînes B et C. D. De par son activité hormonale le peptide C, lors de son dosage, permet d évaluer la quantité d insuline synthétisée et la capacité de sécrétion du pancréas. E. La pro insuline représente moins de 10% de l activité de l hormone. 72 / 291
73 Correction : Sujet Type 1 : QCM QCM QCM QCM 1: 2: 3: 4: ABE ABC BCD D cette liaison est présente entre une base purique et un (désozyribose)ribose. QCM 5 : DE A. C est une BASE à noyau purine. B. 2 liaisons hydrogène. C. C est la thymine T qui est remplacée par l'uracile dans le RNA. QCM 6 : ABE C. C est un site de régulation négatif. D. C est une pathologie du métabolisme des purines. QCM 7 : CE A. Le DNA n'est PAS TOUJOURS compacté car, par exemple pour se répliquer le DNA doit être dé-compacté. B. Attention!! C'est chez les eucaryotes!! D. C est le contraire! Le nucléosome est le 1er niveau d'organisation de la chromatine! QCM 8 : ABC D. 13mRNA, 22tRNA et 2rRNA. E. C est la DNA polymérase γ. QCM 9 : BC A. Il y a 2 liaisons entre T et A, donc une grande concentration de CG aura plus tendance à augmenter le Tm. B. VRAI : La stringence augmente donc le Tm aussi. D. C est l inverse. E. C est l inverse, plus la stringence (exigence) augmente, plus le Tm est haut. QCM 10 : AD A. VRAI : On parle de dimères de thymine. B. C est l agitation thermique qui casse la liaison N-osidique. Le bromure d éthidium est un agent intercalent. C. C est le Bru (5-bromo-uracile), le piège est classique, attention à ne pas confondre Bromo-uracile et Bromure d éthidium. D. VRAI, toutes les mutations ne sont pas délétères et certaines peuvent même être bénéfiques (même si ce ne sont pas les plus nombreuses). E. Ce sont les vitamines C et E. QCM 11 : ACE A. VRAI, libre veut dire qu il n est pas intégré dans le génome de la cellule hôte. B. La réplication d un plasmide est régulée mais plus fréquente que celle d un chromosome bactérien, il a donc plusieurs plasmides par cellule bactérienne. 73 / 291
74 D. Les séquences SINE (short interspersed nuclear element) appartiennent à la classe nonltr des rétroéléments. QCM 12 : DE A. Les RNA polymérases RNA dépendantes n ont pas de fonction «proof reading» donc le taux de mutation est élevé. Ce sont les DNA polymérases DNA dépendantes qui ont une «fonction proof reading». B. Les rétro virus ont bien un cycle infectieux particulier qui nécessite la synthèse d un cdna viral par la reverse transcriptase mais la reverse transcriptase est une DNA polymérase RNA dépendante. C. Ce sont les rétrovirus endogènes. D. VRAI : Grâce à la fonction RNAse H. E. VRAI : Cela permet de synthétiser le brin (+) qui porte l information génétique. QCM 13 : ABC A. VRAI : Car les chromosomes X et Y possèdent des gènes différents. D. Ils sont impliqués dans le métabolisme et sont exprimés dans toutes les cellules à un faible niveau. E. Ils sont impliqués dans le développement. QCM 14 : B A. Les gênes évoluent différemment selon les lignées. B. VRAI : En effet, certains gênes seront exprimés soit seulement pendant la phase pré-natale, post-natale ou les deux. C. Ils se situent sur les chromosomes 11 et 16. D. ATTENTION il n y a pas de DNA dans les globules rouges!!! E. Les gènes ɑ sont exprimés en phase pré-natal et pendant la vie post-natale également! QCM 15 : ACD B. Le cycloheximide inhibe spécifiquement la traduction des EUCARYOTES et est donc très toxique pour l homme. E. La streptomycine inhibe l initiation de la TRADUCTION des procaryotes. QCM 16 : D A. L absorption de la [α ³² P]dCTP ne sera pas la même dans tous les noyaux, leur activité de réplication n est pas forcément la même. De plus leur avancée dans le cycle cellulaire n est pas forcément synchrone. B. Le [γ³² P]dCTP ne marquera pas les noyaux cellulaires puisque le γ phosphate n est pas incorporé dans le brin lors de la réplication. Seul l α phosphate est présent! C. Attention à l énoncé on parle de fibroblaste humain La DNA polymérase I est une polymérase bactérienne. L item serait juste si on parlait de DNA polymérase δ. D. VRAI: Si on ajoute des inhibiteurs des topoisomérases, le DNA ne sera pas accessible. E. Ici le marquage se fait sur le PHOSPHATE pas sur la base, la cytosine n est pas radioac tive. Exemple de base radioactive [14C]dThymidine. QCM 17 : E A. Il y en a 3 dans la protéine normale. B. Décalage du cadre de lecture. C. Les 15 premiers acides aminés font parti du signal hydrophobe permettant la transloca tion du tout vers le RE et plus tard sa sécrétion là ils sont retirés donc pas de sécrétion. 74 / 291
75 D. Le premier intron coupe la séquence codante entre 2 codons. E. VRAI : Il coupe le codon TCC entre le T et le C. QCM 18 : ABE A. VRAI : AAUAAA en position 643. B.VRAI : Il manque la queue poly A. C. La boîte TATA se situe dans l ADN en amont du promoteur. D. Elle a nécessité l intervention de petits ARN non codants (ARNsn). QCM 19 : CE Le peptide est composé de 162 aa ( 486 bases / 3). A. SHI + FU = = 9900 Da B. Même si SHI + MI = = Da, les ponts disulfures les reliants sont des ponts disulfures INTER-chaînes. D. Pas du tout. QCM 20 : BD A. RNA-polymérase RNA-dépendante. C. L'addition se fait en 3'. E. Les anticodons peuvent être différents pour un même acide aminé (voir tableau). QCM 21 à 23 : QCM 21 : BCE Séquence normale : 5 TC GTA CTG TGC TGT ACG A Séquence muté : 5 TC GTA CTT TGC TGT ACG A A. Il faut lire la chromatographie de bas en haut. D. On passe d une base purique à une base pyrimidique, c est donc une transversion. E. VRAI, CTG et CTT codent tous les 2 pour une Leucine. QCM 22 : BDE A. Les conditions ne sont pas assez stringente car il y a des amplifications parasites. B. VRAI : Puisqu il n y a pas d amplification. C. Les résultats sont parfaitement explicables par la mutation ( cf QCM 3 ). D. VRAI : En augmentant la température, on augmenta la stringence, l hybridation est donc plus spécifique. E. VRAI : Une PCR nichée est plus spécifique, elle empêchera donc les amplifications parasites. QCM 23: CE A. C est la C qui est vraie si on compte le nombre de pb. B. En RT-PCR l amorce A2 n hybride pas, il n y a donc pas de bande. D. Les amorces A1 et A3 étant dans le même sens elles ne donneront rien associées l une à l autre ( quelque soit la technique ). QCM 24 : BDE A. Elle a le chromosome muté de son père et un chromosome non muté de sa mère. 75 / 291
76 B. VRAI : Comme la fille 1 est hétérozygote et la fille 2 homozygote et que le Grinch est homozygote la mère doit forcément avoir un chromosome muté et un non muté. C. La mutation est récessive ( énoncé du début ) et comme elle est hétérozygote elle sera asymptomatique. D. VRAI : Elle est homozygote pour la mutation, elle sera donc atteinte de la même maladie que le Grinch. E. VRAI : Le cdna est obtenu à partir de l ARNm donc les résultats seront identiques. QCM 25 : ACD B. Le profil concorde avec un caryotype XY car le gène étant coupé par Lox I, celui-ci n est pas méthylé. E. Une enzyme sensible ou non coupe le chromosome X porté par un homme car il ne subit pas le phénomène d inactivation. QCM 26 : B A. L enzyme étant sensible à la méthylation, le gène n a pas pu être coupé. C. On dit dans l énoncé que l inactivation se fait bien au hasard, et donc possible pour un individu hétérozygote. E. L une est sensible à la méthylation et l autre non. Sujet Type 2 : QCM 1 : CD Molécule 1 = pseudouridine Molécule 2 = guanosine Molécule 3 = uridine Molécule 4 = 5 fluoro uridine Molécule 5 = allopurinol A. La 1 correspond à la pseudouridine et ne possède donc pas une vraie pyrimidine. B. Pas la 1 car elle ne possède pas de N en position 1. E. Avec l adénosine. QCM 2 : A B. C est une base pyrimidique. C. C est un analogue de base à purine. D,E. Ce sont des DESOXYribonucléotides. QCM 3 : BC QCM 4 : ADE QCM 5 : ADE B. Nucléotides à purine. C. Est plus soluble. QCM 6 : BE A. Il est plus petit que celui des organismes unicellulaires : la complexité d'un organisme n'influe pas sur la taille d'un génome. C. Majoritairement composé de séquences codantes! (à ne pas confondre avec le gé nome des eucaryotes, où les séquences non-codantes sont majoritaires sur les séquences codantes). 76 / 291
77 D. La mitochondrie est également composée de protéines nucléaires à destinée mitochondriale, qui se transmettent donc de façon mendélienne. QCM 7 : BC A. Par liaison faible. D. Entre une guanine de forme tautomère majeure et une thymine de forme tautomère mineure. E. L acide urique provient de l oxydation de la xanthine par la xanthine oxydase. QCM 8 : BE A. La première génération est constitué seulement d ADN marqué 15N/15N. C. La troisième génération ne possède pas d ADN marqué 15N/15N. D. La seconde génération possède de l ADN marqué 15N/14N et la troisième de l ADN marqué 15N/14N et 14N/14N. QCM 9 : BDE A. Elles sont moyennement répétitives. C. Elles sont présentes en grande quantité dans le génome humain. E. VRAI : ce sont des rétroposons. QCM 10 : D A. Ils ont divergé en même temps que les différentes espèces. B. Les mitochondries se transmettent de la mère aux enfants. C. Il est circulaire. E. Elle supprime les super-tours de DNA, c est l hélicase qui sépare les brins. QCM 11 : CD A. Tous les éléments transposables ne sont pas capables de passer d une cellule à l autre (cas des transposons par exemple). B. Ce sont 2 familles à distinguer parmi les éléments transposables. C. VRAI : Ils font parti de la famille des rétroposons. E. Les transposons ne passent jamais par une forme libre. QCM 12 : ACE B. Les virus endogènes ont perdu leur capacité infectieuse mais ils ont conservé leur capacité de transposition. D. Chez l Homme, les rétrovirus endogènes occupent seulement 8% du génome. QCM 13: ABD C. Le changement d un acide aminé correspond à une mutation «faux-sens». Une mu tation non-sens correspond à l apparition d un codon STOP. E. La substitution d une base purique en une base pyrimidique correspond à une transversion. La transition correspond à la substitution de bases de même nature : passage d une base purique en une autre base purique ou d une base pyrimidique en une autre base pyrimidique. 77 / 291
78 QCM 14 : ABE C. Le cobaye possède l innovation évolutives amnios. D. L ancêtre commun du KIWI et crocodile est PLUS récent. QCM 15 et 16: on cherche donc ici à d'abord inhiber la transcription eucaryote, puis la traduction QCM 15 : BC A. Inhibe la transcription PROCARYOTE. D. Inhibe la TRADUCTION PROCARYOTE. E. Inhibe la TRADUCTION eucaryote. QCM 16 : D A, B, C et E inhibent la traduction PROCARYOTE. QCM 17 : BD A. Des oligo-dt pour lier la queue polya des ARNm. C. ADN polymérase ARN dépendante. E. L ADNc ne contient que des exons car il est issu des ARNm mature. QCM 18 : E A. Semi-quantitative. B. A 20 C, l ADNc sous forme double brin, ne peut pas s hybrider avec les oligonucléotides de la lame. C. PAS de modification de l expression du gène dans les 2 types cellulaires (proportion équivalente). D. Pas de détection = pas d expression de ce gène dans les deux types cellulaires E. VRAI : Mutation non-sens = introduction d un codon STOP (à la place d une tyrosine). QCM 19 : AE B. Sans salade, le répresseur ne peut pas se lier à l opérateur. C. Une mutation peut parfois être sans effet donc on ne peut pas savoir si la mutation mentionnée dans l item empêchera la transcription du gène RÉGIME. D. On a un seul ARNm qui ne sera pas clivé mais qui contient 3 sites de fixation différents pour la petite sous-unité ribosomique, ce qui permet d obtenir 3 protéines différentes. QCM 20 : D A. La transcription se fait à partir du brin non sens. B. Ici c est la guanine, or la transcription commence par Met donc la première base doit être une adénine. C. Il n y a pas de coiffe chez les procaryotes, elle concerne les eucaryotes et ici nous étudions un opéron donc chez les procaryotes. D. VRAI : L ARNpol n a pas besoin d amorce. E. Chez les procaryotes, les ARNm n ont pas de queue polya, donc impossible de récupérer les ARNm avec des oligo-dt. QCM 21 : DE A. Il n a pas utilisé les bonnes amorces. 78 / 291
79 B. Le matériel est contaminé puisque la bande observée se situe au niveau du tube témoin. C. Le tube témoin confirme qu il n y a pas de contamination mais qu il y a des amplifications parasites, dans ce cas-là il faudrait augmenter de quelques degré la température pour permettre une bonne hybridation. QCM 22 : BCE A. La séquence lue est celle du brin non-matrice. La séquence du brin matrice est le complémentaire de la séquence lue : 5 CT GGA TTA GCC 3 B. VRAI : L individu est hétérozygote pour la mutation, ce qui veut dire qu il peut avoir comme séquence non-matrice : 5 GGC TAA ACC AG 3 ou 5 GGC TAA TCC AG 3 C. VRAI : Sur un des allèles de l individu E on observe la présence d un A à la place d un T. D. On observe deux bandes au même niveau (A et T) ce qui signifie qu il est hétérozygote. QCM 23 : BC A. D après le qcm 4, le sujet E est hétérozygote pour la mutation donc il doit y avoir présence de 3 bandes. C. VRAI. On dit que le sujet A est sain comme le père P, donc vous vous attendez à obtenir une seule bande après digestion de Ppax II, ce qui évoque alors la possibilité d une séquence identique. D. Pas nécessairement puisque le fils est homozygote pour la mutation et le père est homozygote sain. E. Ce n est pas une enzyme de restriction. Mais en imaginant qu elle ait quand même coupé (ce qui est impossible ok!!!) les profils seraient différents, on aurait des bandes coupées pour chaque membre car l enzyme coupe sur des zones non mutées de l ADN. QCM 24. CD A. L enzyme étant sensible à la méthylation, elle n a pas pu couper le gène P de l individu E qui est méthylé (inactivé), alors qu elle a pu couper le gène P de l individu F (actif). B. F est de caryotype XY donc l enzyme coupera le chromosome X. E. On n aurait pas pu obtenir de bande à 1000pb (seulement un bande a 750pb). QCM 25 : C A. On n obtiendrait pas l intron de 225 pb donc on ne pourrait pas savoir s il contient une anomalie pouvant être à l origine de cette anomalie d épissage. B. L exon 1 ne serait pas amplifié en entier donc on aurait un amplicon de moins de 1500 pb. C. VRAI : Si l intron 2 n est pas épissé, ou partiellement, cela peut engendrer un décalage du cadre de lecture. D. Les séquences importantes pour l épissage se situent aux extrémités de l intron. E. Un séquençage permettrait d identifier la mutation. 79 / 291
80 QCM 26 : ACDE A. VRAI : On retrouve le bon nombre de pb (550pb). B. Il peut s agir d un homme sain mais aussi d une femme homozygote (donc saine). C. VRAI : On a trois bande : 1 correspondant à l ADN non coupé, 2 autre correspondant à l ADN coupé. C est donc une femme hétérozygote pour la mutation. D. VRAI : Il aurait hérité du chromosome sain de sa mère. E. VRAI : Il faut séquencer l ADNc du témoin pour ensuite pouvoir comparer l ADNc du malade et conclure sur la mutation. Sujet Type 3 QCM 1 : BE A. C est un ribonucléoside. C. C est une base. D. C'est un ribonucléoside. QCM 2 : BDE A. Il fait une liaison C-osidique. C. C est une base. QCM 3 : C D. Elle est obtenue à partir de la désamination oxydative de l adénosine. QCM 4 : BCD A. Le 5-fluorouracile est un anti-cancéreux. C est le 5-fluorocytosine qui est un antifongique. D. VRAI : La caféine est le 1,3,7-triméthylxanthine. E. La théobromine est le 3,7-diméthylxantine or la xanthine est un dérivé oxygéné des bases à noyau purique. QCM 5 : ABCE D. On diminue le risque de formation de calculs urinaires en alcalinisant les urines (en buvant de l eau riche en bicarbonates). QCM 6 : ACE B. A la fin du premier cycle cellulaire on obtient 100% de DNA 15N/14N. Le DNA de la bactérie de départ est 15N/15N et le modèle étant semi conservatif, chaque brin sert de matrice pour un nouveau brin. Or comme les bactéries sont cultivées dans un milieu 14 N, l ADN sera constitué d un brin 15N (le brin initial) et d un brin complémentaire néosynthétisé 14N. C. VRAI : 50% du DNA est sous la forme 15N/14N et 50% du DNA est sous la forme 14N/ 14 N donc on observe bien 2 bandes. D. A la fin du deuxième cycle cellulaire on observe 1 bande pour le DNA 15N/14N et 1 bande pour le DNA 14N/14N. QCM 7 : ACDE B. Le raccourcissement s accompagne d un ralentissement de la prolifération et d une tendance à l apoptose. 80 / 291
81 QCM 8 : CDE A. C est la définition d un gène domestique. B. Un pseudogène ne code pas pour une protéine, c est un gène non fonctionnel. QCM 9 : ACD B. Les allèles sont différentes formes d un même gène donc ils sont sur un même locus. QCM 10 : AD B. La gyrase est la topo isomérase II qui catalyse la formation des super tours, c'est l'hélicase qui sépare les brins. C. La primase est une RNA polymérase DNA dépendante : elle fabrique donc une séquence d'arn à partir d'adn. E. C'est le primosome qui est composé des protéines régulatrices et de la primase. QCM 11 : CDE A. Une mutation au début ou à la fin d un intron peut altérer le splicing et donc endommager la synthèse de la protéine. B. Parfois les mutations sont silencieuses c est à dire que l acide aminé reste le même malgré le changement de nucléotide. D. VRAI : Car mutation non sens = apparition d un codon STOP, donc la protéine sera plus courte. QCM 12 : BCE A. Pas de RNA double brin, on utilise une reverse transcriptase pour obtenir un complexe RNA/DNA. D. Ils ne sont pas héréditaires donc ils n infectent pas les cellules germinales. QCM 13 : ADE B. Elle n est pas spécifique. C. C est l inverse. QCM 14 : ABDE C. La rifamycine B bloque le début de la transcription (blocage de l initiation de la transcription, mais pas de l élongation des RNA). QCM 15 : ADE B. Seuls les archosauriens (oiseaux et crocodiles) ont un cervelet creux. C. Tous les mammifères ont des pédoncules cérébraux. QCM 16 : D A. On ne peut pas le conclure, car il n y a pas forcément de lien. B. On remarque que la colonne D est essentiellement composées par du vert, qui est la couleur données aux ARNm des gènes exprimés par les cellules saines. Cela signifie qu une expression de ces gènes est certainement protectrice contre les tumeurs. Il ne peut donc pas s agir des gènes de résistance aux signaux de morts cellulaires qui eux sont pro-tumeurs. 81 / 291
82 C. On remarque que la ligne 6 est essentiellement composées par du rouge, qui est la couleur données aux ARNm des gènes exprimés par les cellules cancéreuse. Cela signifie qu une expression de ces gènes est certainement pro-tumeurs. Il ne peut donc pas s agir des gènes suppresseurs de tumeurs. D. VRAI : On remarque que la colonne J est essentiellement composées par du jaune. Si c est de cette couleur, c est parce qu il y a eu un mélange de rouge et de vert : les cellules saines et malades expriment ces gènes. Or les gènes de ménages sont ubiquitaire. E. ATTENTION on a fait une simplification excessive ici (1 protéine = une fonction) qui n est pas forcément vraie dans la réalité des choses (plusieurs protéines peuvent avoir la même fonction). Les cellules saines interagissent avec 36 spots dont 25 exclusifs aux cellules saines, quand les cellules cancéreuses interagissent avec 26 spots dont 15 exclusif aux cellules cancéreuses. Donc, les cellules cancéreuses ont perdu environ 25 fonctions pour n en gagner que 15. QCM 17 : BD A. Si la patiente à risque est non malade, c est sans doute parce que ces cellules ne sont pas résistantes aux signaux de mort cellulaire, ou qu elles n échappent pas encore au système immunitaire, etc En revanche, elle possède déjà une plus faible quantité de p53 : en effet, on remarque que le moment où la courbe commence à augmenter est beaucoup plus tardif que pour une personne saine! B. VRAI : En effet, si on n obtient pas d amplification après 40 cycles, c est qu il n y a tout simplement pas d expression de p53. De plus, cela est cohérent avec le cancer, vu que p53 est le chef de file des gènes suppresseurs de tumeurs. C. Pour cette PCR, au bout de 40 cycles, la quantité obtenue n est plus proportionnelle à la quantité de départ car nous avons atteint l asymptote pour toutes les amplifications! Il y a une proportionnalité entre la quantité d ADN de départ et la quantité d ADN détectés à ce cycle-là au début seulement, durant la phase d amplification dite linéaire. D. VRAI : En effet. Apprenez-le par cœur! (si c est dans votre TD, même s il ne l a pas dit en cours, c est à savoir!). E. Non, car le brin du bas est aussi composé par des ribonucléotide : on remarque la présence d un groupement OH en 2. Un schéma correct aurait été : QCM 18 : ABCDE B. VRAI : voir A C. VRAI : Il est impossible de le savoir (surtout si la mutation est silencieuse). En effet si la mutation ne se situe pas au niveau du site d hybridation des amorces ou de sites 82 / 291
83 de restrictions, on ne pourra pas détecter une mutation : il faudra passer par un séquençage. Ceci dit, il est possible que la patiente ait un gène normal! D. VRAI : A cause de la présence de la queue poly-a, les bandes migrent à des tailles correspondantes à des tailles plus importantes en Northern Blot qu en RT-PCR. Il est impossible que les bandes aient des tailles plus importantes en RT-PCR qu en Northern Blot. E. VRAI : Quand on regarde la différence entre les expériences 1 et 2, on se rend compte qu il y a à chaque fois une différence de taille de 150pb. Cette différence ne peut venir que de la queue poly A. En effet, en RT-PCR, c est le cdna que l on va amplifier, et les amorces données n amplifient pas la queue poly-a. En Northern blot, on amplifie également cette queue poly-a. QCM 19 : BC A. Le domaine C-terminal des récepteurs nucléaires est généralement le domaine de liaison du ligand. Le domaine C est le domaine de liaison avec l ADN. Désolé pour ce piège, mais c est un grand classique C. VRAI, TCT/TTT/CAT/GAA/TTC/CCC/CAC/GCG/CTC/TTG/TGG/GGG/CCC/ACA/TGT/GAA/ TTC/TGT/GCG/CGC Lorsque l on décortique la séquence, on remarque que les codons 3 et 7 codent pour des histidines. Aussi, les codons 15 et 18 codent pour des cystéines. C est compatible avec un doigt de zinc de structure C2H2. D. Les doigts de Zinc sont généralement de type C2C2, c est-à-dire que deux cystéines vont lier le zinc avec deux autres histidines. H2H2 n existe pas. Il faut minimum deux cystéines pour que il y est une structure en doigt de zinc. E. Ils sont généralement deux par monomère, domaine C, etc QCM 20 : AD Avertissement : Le professeur Langin ne posera probablement pas de QCM avec un Southern Blot au concours de Rangueil. S il s entend avec le professeur Levade peut être mais ce serait étonnant Cependant, anticiper les résultats d expériences en item est une chose que Professeur Langin demande régulièrement à Purpan et certaines questions des TD de Rangueil sont dans ce style. Il est donc probable que vous tombiez sur ce genre de question au concours. A. VRAI : En effet, car BamHI va couper le cdna de la patiente à risque au milieu, et ne coupera pas celui de la patiente atteinte du cancer. Donc pour la piste I, on va avoir une bande de 20kb. Pour la piste II (patiente à risque), on va avoir l enzyme qui coupe. Donc, on va avoir deux bandes de 10kb. (Toujours regarder où sont les sondes en Southern Blot!!!). B. BamHI ne coupe pas le cdna de la patiente atteinte du cancer, mais ce dernier se fait couper 1kb par EcoRI On aura donc une bande de 19kb et une bande de 1kb. La patiente à risque se fait couper par EcoRI et BamHI. Avec la sonde, on remarquera une bande à 9kb et 1kb. Le Southern Blot juste aurait été : 83 / 291
84 C. Les deux coupent les deux cdna. Mais la partie de 1kb n est pas marqués par la sonde! Donc on va avoir : D. VRAI : BamHI ne coupant pas le cdna de la patiente cancéreuse, on va avoir une bande de 18kb. E. Les deux parties de 1kb ne sont pas marqués par la sonde!!!! Donc on ne les repérera pas sur le Southern Blot. BamHI ne peut toujours pas couper le cdna de la patiente cancéreuse. La piste I donnera donc une bande de 18kb et la piste II une de 9kb. QCM 21 : AD A. VRAI : Les différentes bandes retrouvées sans enzyme montrent des allèles différents pour le gène. B. Sans enzyme de restriction, une seule bande peut nous faire envisager un homme mais aussi une femme homozygote ou bien encore une femme avec le syndrome de Turner. Donc cela ne nous permet pas de conclure. De plus, si l on regarde après ajout de Hpall, on retrouve toujours la bande à la même hauteur, donc le gène a été inactivé. Or un homme ne peut pas avoir un chromosome X inactivé. C. Cela démontre la présence d allèles différents. 84 / 291
85 E. Lorsqu un gène est inactivé, puisque Hpall est sensible à la méthylation, il n est pas clivé et est donc visible sur l électrophorèse. Ainsi, si le plus petit fragment est l allèle paternel, c est une inactivation préférentielle du chromosome paternel. QCM 22 : BC A. Non on ne peut parler de contamination que pour l expérimentateur 4, celui du 2 correspond à des amplifications parasites. D. Potentiellement à une trop forte température donc une trop forte stringence (exigence). E. Pour l'améliorer il faut baisser la température pour favoriser l hybridation des amorces. QCM 23 : E A. L amorce ne doit pas être dans un intron pour mettre en évidence des transcrit (RTPCR) car un transcrit est épissé. B. Le northern blot n a rien à voir avec les amorces, elle a besoin de sonde ADN. C. On amplifiera pas le transcrit 2 dans ce cas car il ne possède pas l'exon 1. D. NorthernARN / Southern ADN. QCM 24 : BCE A. Une ribosonde ne peut être composée que de RNA. D. Ils ne seront pas révélés car c est une sonde qui s hybride seulement avec l exon 4 et donc révèle le transcrit 3. QCM 25 : TOUT FAUX A. Vous auriez alors eu des fragments de 700, 500 et 400pb. B. Il se peut que le muscle synthétise le transcrit 2 par exemple mais qui n est pas vu ici car les amorces ne s hybrideront pas. C. Car on ne sait pas si en utilisant d autres amorces on n'aurait pas eu d'autres fragments. Il faudrait donc procéder à une autre expérience avec d autres amorces pour l affirmer. D. Il se peut que l expérimentateur, par étourderie, n aie pas inséré les amorces. Émettez toujours un doute sur les conditions d expérimentation sauf si elles sont décrites dans l énoncé comme irréprochable. E. En utilisant une amorce qui ne s'hybride qu'avec cet exon on obtiendrait qu'une seule bande ce 100pb. QCM 26 : BD A. La délétion de l exon 2 pourrait expliquer les résultats obtenus chez le sujet 2 puisque la sonde U ne pourrait pas s hybrider et donc marquer l ARN cependant une délétion de l exon 1 et 3 est aussi possible. C est donc l affirmation qui rend ici cet item faux (attention piège récurrent). B. VRAI : On émet ici une hypothèse, sans exon 3 les amorces ne peuvent pas s hybri der on n obtient donc aucune bande au northern blot. C. On ne voit aucune bande au niveau du gène ménage, les résultats du sujet 3 on était faussés par une erreur de manipulation. D. VRAI : Une trop forte stringence peut empêcher les sondes de s hybrider et donc rendre les résultats invisibles. E. Puisque l énoncé spécifie que le gène G est spécifiquement exprimés dans des cellules musculaires. QCM 27 : CE A. Puisque dans ce cas là on n aurait aucune bande. 85 / 291
86 B. Bien que la première partie de l item soit vrai, la RNAse H clive les hybride ARN/ADN or on étudie ici les ARN simple brin, il s agit donc de la RNAse A. C. VRAI : Car le gène G est bien transcrit mais en moindre quantité. D. Le northern blot permet une analyse qualitative et semi-quantitative (pour Mr. Levade). E. VRAI : Car l on remarque bien une différence d épaisseur de bande. QCM en Vrac : QCM 1 : BDE A. Ils se font par liaisons hydrogènes. C. Avec la guanine! QCM 2 : AE B. Car c est l internucléosomal. C. Les 2 sont fait que de DNA. D. Le génome des lymphocytes subissent des modifs par ex, et les érythrocytes sont des cellules sans DNA. QCM 3 : BCE A. Les protéines mitochondriales viennent de l'adn mitochondrial et de l'adn nucléaire, leur transmission est mendélienne pour le génome nucléaire et maternelle pour le génome mitochondrial. D. Il est souvent circulaire mais peut être linéaire (page 80) QCM 4 : CDE A. Erreurs de l ordre de 10^-4. B. Le proof-reading c est une fonction exonucléase 3-5 (que les deux DNA polymé rase I et III possèdent). QCM 5 : BE A. C est le cas des rétroposons. Les rétrotransposons sont autonomes car ils codent pour leur reverse-transcriptase. C. Les transposons peuvent se déplacer avec ou sans duplication, mais ils ne sont jamais libres. D. C est le cas des bactéries qui sont des procaryotes. On ne trouve pas de plasmides chez les eucaryotes. QCM 6 : AE B. Cette définition correspond au bromure d éthidium. C. ATTENTION : les UV sont des altérations PHYSIQUE. D. La coupure est simple brin. On coupe seulement le brin contenant le dimère de thymine. QCM 7 : BDE A. Ils sont répliqués par la DNA polymérase DNA dépendante qui a une fonction proof reading ce qui limite les mutations (à l inverse des virus à RNA car la RNA polymérase DNA dépendante n'a pas de proof reading). 86 / 291
87 C. Les rétrovirus endogènes ont perdu leur capacité endogène et se trouvent dans le génome humain. QCM 8 : AD C. C est une TRANSVERSION! E. C'est une simple substitution donc le cadre de lecture n'est pas affecté. QCM 9 : ABE C. Le 5ème codon devient CGA, qui code toujours pour une arginine! D. Non, pas de codon stop dans la nouvelle séquence. E. VRAI : Leucine et Sérine remplacent Thréonine et Valine, et la Lysine n'est plus.. :'( QCM 10 : B A. C est un analogue de la thymine. C. L hydroxylamine est un agent mutagène qui augmente la fréquence des misapariements. c est l acide nalidixique qui bloque la gyrase. D. C est la mitomycine C. Attention l actinomycine D est un inhibiteur de la transcription. E. La sous unité 60S est celle des eucaryotes. La cycloheximide ne bloque pas la traduction des bactéries (procaryote) donc elle ne peut pas être utilisée comme antibiotique car un antibiotique détruit ou bloque la croissance des bactéries. QCM 11 : attention ici les réponse fausses deviennent vraies A. FAUX (donc VRAI), la polymérase humaine ne fonctionne d ailleurs pas aux températures utilisées, on utilise la Taq polymérase B. VRAI, (donc FAUX) l étape de DÉNATURATION des brins requiert une température élevée C. VRAI, (donc FAUX) sur les 2 brins antiparallèles (1 amorce par brin) D. VRAI, (donc FAUX) Elles agissent sur de l ADN bicaténaire E. VRAI, (donc FAUX) on ne connaît pas la séquence donc on ne peut pas savoir quelle enzyme utiliser QCM 12 : CE A. Il s agit d un contrôle positif B. Il mesure environ 1100 pb C. VRAI, La plaque montre des amplifications parasites dues à une hybridation des amorces peu spécifique D. Ce sont des amplifications parasites E. VRAI, la PCR nichée permet une plus grande spécificité dans l amplification QCM 13 : ACE B. On voit que l un des deux brins est coupé. Il est donc hétérozygote pour la muta tion. C. VRAI : Même si l individu M2 est hétérozygote pour la mutation, la maladie est autosomale récessive. M2 et M3 n ont pas la Morfalmanie. D. TaqI et PacI ne coupent pas la même séquence palindromique E. VRAI : Normalement c est l inverse mais ici comme le plus gros morceau est en bas, c est bien une migration du bas vers le haut du gel. QCM 14 : CE A. 400pb 87 / 291
88 B. Les deux amorces sont dans le même sens, on ne peut donc pas faire de PCR en utilisant seulement ces deux amorces. D. La mutation étant présente dans l intron 1 est probablement à l origine de l excision de l exon 2 lors de l épissage. Ils ne seront pas amplifiés donc impossible de les sé quencer. E. VRAI : Elle affecte la taille de l ARNm QCM 15 : CD Normal : 5 GG / CGTAGC / CGTTACA 3 (brin non matrice / séquencé) 3 CC / GCATCG / GCAATGT 5 (brin matrice) Patient : 5 GG / CGTAGG / CGTTACA 3 (brin non matrice / séquencé) 3 CC / GCATCC / GCAATGT 5 (brin matrice) A. 5 GGCGTAGCCGTTACA 3 B. Celle qui est donné est la séquence du brin matrice E. Le site de restriction Mtp I est aboli QCM 16 : ACD B. C est une maladie récessive : la présence d un allèle muté ne permet pas à la maladie de s exprimer. Le patient R est donc sauvé de la terrible maladie Purpan ouf! C. VRAI : Un peu vicieux, il fallait aller chercher les réponses dans les données : Déjà, on sait que la taille est strictement identique entre les allèles des Purpanais et ceux des personnes saines. Donc si mutation il y a, c est forcément un changement de base. Ensuite, on remarque que TaqI réagit avec la séquence, mais pas ClaI. Or TaqI reconnaît 5 TCGA 3, et ClaI 5 ATCGAT 3. La mutation se joue forcément sur l une des deux bases en gras et soulignées. Or, si c est la thymine qui est changée, sur le brin complémentaire, ce sera forcément une adénine. E. Deux isoschizomères sont capables de reconnaître exactement le même palindrome et de le couper de la même manière. Ils peuvent différer par leur sensibilité ou non à la méthylation. Ici, le palindrome n est pas tout à fait le même, et c est cette propriété qu on utilise dans le cadre de cet exercice. QCM 17 : DE A. Les résultats s expliquent par l excision de l exon 2 auquel était reliée la sonde A. C. La bande indiquerait une taille d environ 2200 pb. Le gène a la même structure chez l individu sain et chez les individus malades. Cela signifie qu aucune délétion n a 88 / 291
89 lieu dans l ADN mais qu elle survient plus tard, probablement lors du splicing dans le cas de l individu atteint de gauloitite (épissage de l exon 2). E. VRAI : En effet, lors d une anomalie de splicing, il se peut que l anomalie ne soit pas située au niveau des exons, mais des introns, entre autre. Une anomalie de splicing n implique pas une anomalie de la séquence exonique! QCM 18 : BD A. Elles ne coupent pas la même séquence. C. Non la mère a un chromosome méthylé donc si on remplaçait Noel (sensible à la méthylation) par Joyx on aurait tous les brins qui seraient coupés. E. Ce sont des bouts cohésifs. QCM 19 : ACD B. Une seule bande après digestion par l enzyme de restriction : c est un garçon ou un Turner. E. L enfant 3 a deux chromosomes dont un correspond à celui de la mère mais l autre ne correspond pas aux chromosomes du père, il ne peut donc pas être son enfant. QCM 20 : DE A. Pas des deux mais par contre de l individu 3 oui. B. Non les bandes correspondent à des allèles différents du gène. C. Car il n y aucune bandes en commun pour ses deux individus donc l hérédité ne serait pas respecté. QCM 21 : C A. Pas un homme mais une femme car l homme ne possède seulement que un chromosome X. B. L inactivation s est faite préférentiellement sur le plus grand fragment. En effet lorsqu on digère par Rang, qui est sensible à la méthylation, elle coupe lorsque le chromosome n est pas méthylé. Ici on voit la bande la plus grande donc elle n est pas coupée par l enzyme (il y a eu méthylation). A l inverse du plus petit fragment que l on ne voit plus, qui a donc été digéré par Rang. C. VRAI : L inactivation s est bien faite sur les deux chromosomes qui laisse donc les bandes des deux visibles avec l amplification. D. Inactivation veut dire méthylation, le plus petit fragment est coupé par l enzyme c est donc le fragment maternel (le plus gros fragment) qui est inactivé. E. Attention on ne peut pas en être sur car il existe le syndrome de turner45,x0. L individu 1 pourrait alors être une femme avec le syndrome de Turner. L item aurait été vrai en disant: l individu 1 peut être un homme. QCM 22 : ACE B. La structure proposée correspond à la guanine alors que la structure de la cytosine est la suivante: 89 / 291
90 D. ATTENTION! C est la S-Adénosyl-Methionine qui devient S-Adénosyl-Homocystéine après la méthylation de la guanine E. VRAI : L AUG initiateur est dans le premier exon et le codon STOP dans le dernier donc tous les exons du gène sont codants. QCM 23 : BC A. Il faut compter le nombre de bases à partir du codon initiateur (position 175) jusqu au codon stop (1060) et diviser par 3 pour obtenir le nombre d acides aminés : ( )/ 3 = 294 Acides aminés B. VRAI : Il faut multiplier le nombre d acides aminés (294) par la masse moléculaire d un acide aminé (110 Da) ce qui est égal à Da. D. Chez les eucaryotes c est la méthionine et chez les procaryotes c est la formyl-méthionine. E. Le peptide signal est composé de 15 à 30aa hydrophobes. QCM 24 : ABE A. VRAI: Voici les étapes de la préparation du cdna: 1. La reverse transcriptase synthétise le cdna en partant d une amorce oligo-dt (5 3 ) qui s'hybride avec la queue poly-a (3') de l'arnm On obtient un hybride ADN/ ARN. 2. On détruit le brin d ARN avec de la soude ou une RNase H On obtient un ARN monobrin. 3. Ajout d une queue poly-c (en 3 de l ADN) par une terminale transférase. 4. Ajout d'une amorce oligo-dg qui s hybride avec la queue poly-c. 5. Ajout de l ADN polymérase qui va alors synthétiser le brin complémentaire. B. VRAI: Les codons des premiers acides aminés (MDQYEKV) sont bien présents dans l'amorce 1 5'-ACCGAGCACCATGGATCAGTACGAGAAAGTTGAGAAGA-3' C. ATTENTION!!! L'amorce 2 est en 3'-5'!! Si elle avait été en 5'-3', l'item aurait été vrai! D. Pour trouver la séquence non-sens il faut faire le complémentaire de: 5'- GATATTGGCGTCATGCCGTAG -3' (derniers acides aminés: KDIGVMP) qui est donc 3'- CTATAACCGCAGTACGGCATC-5' E. VRAI : C est l étape de la transcription inverse avec formation d un hybride ARNADN (l ARN sera ensuite dégradé par une RNAse). NB: Dans ces schémas, il faut toujours faire attention aux OH représentés. Sur un brin d ARN il doit y avoir des U et 2 traits sur le nucléotide pour les OH en 2 et 3 des riboses alors que sur l ADN il ne doit pas y avoir de trait en 2 car il n y a pas d OH. De plus il faut bien faire attention à l orientation des liaisons (du 3 du nucléotide au 5 du nucléotide suivant) avec une orientation générale de 5 en / 291
91 QCM 25 : Correction ABDE Séquence de départ: 5 TAC AAA GCC GAG AGC TGT CCC TTC ACG AGG TGC GAA GGG CCG ATC AGA CTG TAC CGA TTG TGT GAG AAG AGC CCG CAA TGT TCG GTT 3 Séquence de l item D: 5 TAC AAA GCC GAG AGC TGT CCC TTC ACG AGG TGC GAA GGG CCG ATC AAT GTC CAT TAC CGA TTG GAG AAG AGC CAC CCG CAA TCG GTT 3 B. VRAI : En regardant, on trouve 4 codons pour des cystéines dans le même cadre de lecture. C. Ils sont chargés positivement pour permettre des interactions électrostatiques avec l ADN. D. VRAI : Les deux premières Cys sont là et les deux dernières sont remplacées par 2 His, ce qui permet la formation du doigt de zinc. E. VRAI : Les doigts de zinc sont retrouvés dans la structure des récepteurs nucléaires. QCM 26 : AE B. La soude est utilisée pour dégrader l ARN C. Attention, la transférase terminale utilise des dctp afin de synthétiser une queue poly-c D. La synthèse du brin complémentaire nécessite bien l ADN polymérase I mais surtout une amorce d oligo-dg pour s hybrider avec la queue poly-c QCM 27 : CDE A. Il s agit du brin non matrice du DNA. B. Il s agit du brin matrice du DNA. E. VRAI : Le 4ème codon (de l ARNm) 5 CCG 3 s apparie avec l anticodon 3 GGC 5 (de l ARNt) codant pour une Pro. QCM 28 : E A. Ceci est le rôle du gène lac y qui code pour une perméase, le gène lac z code pour la Béta galactosidase qui permet de transformer le lactose. B. La cap n'intervient qu'en absence de glucose pour amplifier la transcription de l opéron. C. Le gène lac i se situe en dehors de l opéron, il code pour le répresseur. D. Le répresseur se fixe sur l opérateur. QCM 29 : B A. Ma tige boucle est en 3 de l ARNm. C. C est en présence de fer intra cellulaire. D. ATTENTION il s agit de l ARNm du récepteur à la transferrine. E. Elle diminue. QCM 30 : BE A. La forme mature mesure 51aa. L ARNm code pour une protéine de 110aa mais la protéine finale n en contient que 51. C. Ce sont les carboxy peptidases, le reste est vrai. D. Le peptide C n a pas d activité hormonale. Le reste est vrai. 91 / 291
92 UE1 Biomol Sujet Type 1 ( 30 QCM 1h ) : Relu par M.Ausseil et M. Levade On donne les pk d ionisation suivants: α carboxylique 2,1 β carboxylique 3,9 γ carboxylique 4,1 α aminé 9,3 imidazole 6,1 ε aminé 10,5 guanidinium 12,5 QCM 1: A propos des Acides Aminés A. La sérotonine est issue de l hydroxylation et la décarboxylation consécutive du tryptophane. B. Le classement par acidité croissante des AA suivants est correcte : Arg<Lys<His<Met<Glu<Asp C. Les AA naturels sont tous Lévogyres et de configuration S. D. La Triiodothyronine est l hormone thyroïdienne la plus abondante dans l organisme. E. La Sélénocystéine entre dans la composition de la glutathion peroxydase, enzyme antioxydante. QCM 2 : A propos des Acides Aminés A. La thréonine, le tryptophane, l histidine et la phénylalanine sont des AA essentiels pour l adulte. B. La dopamine, issue de la décarboxylation de la L-DOPA, est un médiateur du Système Nerveux Périphérique. C. Cystéine, sélénocystéine et Méthionine possèdent un atome de Souffre dans leur structure. D. Le GABA est issue de la décarboxylation de la Glutamine. E. L insuline, hormone constituée de 2 peptides liés à un pont disulfure est une hormone hyperglycémiante. QCM 3 : A propos des acides aminés suivants : Pro, His, Arg, Leu, Cys, Trp A. Ils sont tous colorés en bleu par la ninhydrine. B. L'un d'entre eux est le précurseur de la dopamine. C. L'un d'entre eux présente un maximum d'absorbance entre 260 et 280 nm. D. Deux d'entre eux sont des acides aminés essentiels. E. L'un d'entre eux est le précurseur d'un peptide stocké dans le muscle squelettique. QCM 4 : A propos des peptides : Lors de l hydrolyse partielle d une protéine, on isole un peptide JCVD de 770 Da qui donne après hydrolyse acide les acides aminés suivants : Met, Tyr, Glu, Cys x2, Lys, Pro 92 / 291
93 Après traitement à la trypsine ou à la chymotrypsine de JCVD on obtient un seul peptide de 770 Da. Si on fait la même chose en traitant préalablement JCVD avec du Betamercaptoéthanol on obtient un peptide A et un peptide B. Le traitement du peptide B par une aminopeptidase libère un résidu Glu et celui du peptide A un résidu Met. Après action de la ninhydrine, le peptide B se colore partiellement en jaune alors que le peptide A reste entièrement bleu. A. La séquence Met-Pro-Cys-Lys-Glu-Tyr-Cys est compatible avec l énoncé. B. La séquence Met-Cys-Lys-Glu-Pro-Cys-Tyr est compatible avec l énoncé. C. La séquence Met-Cys-Pro-Cys-Lys-Glu-Tyr est compatible avec l énoncé. D. Pour un ph=6, ce peptide compte deux charges positives. E. Un des acides aminés de ce peptide est un précurseur des hormones thyroïdiennes. En cas de surproduction de celles-ci, on peut avoir des problèmes osseux, une prise de poids ou encore un retard mental QCM 5 : on considère les acides aminés suivants : arginine, histidine, valine, glycine, glutamate On donne les pka suivants : α carboxylique 2,1 β carboxylique 3,9 γ carboxylique 4,1 α aminé 9,3 imidazole 6,1 ε aminé 10,5 guanidinium 12,5 A. Lors d une électrophorèse réalisée à ph 7, deux de ces acides aminés migrent vers la cathode. B. Lors d une chromatographie échangeuse de cations, l arginine est éluée en premier C.Lors d une chromatographie de partage, la valine est l acide aminé qui migre le plus loin D. Suite à une carboxylation, un de ces acides aminés donne un médiateur de l allergie On considère le peptide Arg His Val Gly Glu E. A ph 3, le bilan des charges de ce peptide serait de 2+ QCM 6 : A propos des Immunoglobulines : A. Les IgG reconnaissent des anticorps au niveau de leur extrémité Nterminale. B. Elles sont composées, en partie, de 2 chaînes légères κ et λ de 25 kda. C. Des ponts disulfures inter-chaînes délimitent des domaines fonctionnels d environ 110AA. D. En utilisant une protéase telle la papaïne, on obtient 3 fragments de 50 kda chacun. E. Les IgE sont impliquées dans la reconnaissance des allergènes. QCM 7 : A propos de la conformation des protéines : A. La Peptidyl Proline cis-trans Isomérase (PPI) est une protéine chaperonne protégeant du misfolding. B. Les protéines chaperonnes sont impliquées dans la maintenance du protéome, notamment par l assemblage des complexes macromoléculaires. 93 / 291
94 C. Le système UPS utilise de nombreuses protéines chaperonnes qui fonctionnent en coordination avec la ligase ubiquitine E2. D. Les maladies génétiques ou neurodégénératives consécutives à un repliement défectueux sont des pathologies séquentielles. E. Les modifications des protéines par clivage ou élimination d acides aminés sont toujours post-traductionnelles. QCM 8 : Soit le peptide : Met-Ser-Arg-Try-Thr-Ala-Cys-Lys-Asp A. Ce peptide fait 990 kda. B. Un des AA possède une conformation en R. C. Deux AA sont des aromatiques et absorbent dans le domaine des UV. D. Un des AA donne pour dérivé la Mélatonine, impliquée dans le déclenchement du sommeil. E. Ce peptide peut correspondre à un fragment de transcription initial d une protéine. QCM 9 : on étudie une protéine X. Son poids moléculaire après élution par chromatographie gel filtration est de 72 kda. Après différentes expériences, on obtient les résultats suivants A. La protéine X est constituée de 2 sous unités identiques B. Tous les ponts disulfures sont révélés par action du βme C. Le SDS page dénature toutes les protéines D. la bande de 36 kda peut correspondre à 4 chaînes de 8 kda et 2 chaînes de 20 kda reliées par des ponts disulfures Après études de la protéine X en condition non dénaturante, on nous remarque qu elle possède une structure fibreuse riche en hélice alpha et qu elle a un caractère apolaire E. la protéine X peut être de la kératine alpha QCM 10 : Concernant la structure des protéines : A. Il existe uniquement deux types de domaines thermodynamiques stables. B. Les kératines sont riches en hélices alpha et acides-aminés polaires. 94 / 291
95 C. Les protéines fibreuses, riches en liaisons covalentes jouent principalement un rôle structural. D. Le béta-mercaptoéthanol entraîne une réduction irréversible des ponts disulfures. E. L épidermolyse bulleuse congénitale est une pathologie issue d anomalies au niveau de certains types de kératines. QCM 11 : A propos des généralités sur les acides gras : A. Les acides gras à très longue chaîne sont dégradés par les peroxysomes. B. L'acide phytanique est un acide gras hydroxylé synthétisé par les cellules humaines. C. Les AIS (anti-inflammatoires stéroïdiens) inhibent la cyclo-oxygénase. D. Les leucotriènes possèdent 3 doubles liaisons conjuguées en cis. E. L'acide arachidonique C20:4 (5,8,11,14) appartient à la série ω6. QCM 12 : A propos de la 1-hexadécényl-2-acyl-sn-glycéro-3-phosphoéthanolamine : A. C'est un alkylphospholipide. B. C'est un alkénylphospholipide. C. C'est un plasmalogène qui contient une liaison vinyléther. D. L'action de la méthanolyse alcaline douce rompt la liaison éther. E. Il s'agit d'un lipide formé dans les peroxysomes. QCM 13 : A propos des sphingolipides : A. Il sont tous constitués d'une molécule de céramide, qui est un second messager proapoptotique. B. Ces lipides sont sensibles à la méthanolyse alcaline douce. C. Les gangliosides renferment de l'acide sialique (NANA) et peuvent se retrouver en partie dans la phase supérieure de la méthode d'extraction de Folch. D. Les glycosphingolipides contiennent dans leur structure un phosphate. E. La sphingomyélinase coupe entre une céramide et un phosphate, sur une sphingomyéline. QCM 14 et 15 : Vous possédez un mélange de plusieurs lipides dont vous cherchez à caractériser la nature. Vous incubez ce mélange en présence de choline[α3h] (extrait 1) et en présence d iode radioactif (extrait 2) pendant plusieurs heures puis vous extrayez les lipides radiomarqués. Vous traitez ensuite chacun des extraits par une enzyme X et obtenez deux nouveaux extraits. Vous analysez tous ces extraits lipidiques en chromatographie sur couche mince de silice avec un mélange de solvants adaptés. Les résultats obtenus sont les suivants. 95 / 291
96 QCM 14 : D après vos observations, vous pouvez dire que : A. Le lipide L2 est probablement résistant à la méthanolyse alcaline douce. B. Le lipide L3 est probablement une lysolécithine. C. L enzyme X est nécessairement une PLA2. D. Les lipides L1 et L2 sont des lipides membranaires majoritairement présents sur la couche intracellulaire. E. Le lipide L3 soumis à l action d une PLA1 donnerait un produit plus polaire révélé par la choline-[3h]. QCM 15 : D après vos observations, vous pouvez dire que : A. Après action d une PLD sur le lipide L1, le lipide n est plus révélé par la choline-[3h]. B. Le lipide L3 est plus apolaire que le lipide L1. C. La tâche L5 contient probablement un mélange d acides gras et de lysophospholipides issus de la dégradation du diacylglycérophospholipide L4. D. Placé dans l eau seul, à une concentration suffisante, le lipide L3 forme probablement des micelles. E. L action d une sphingomyélinase sur le lipide L2 libérerait un lipide migrant à peu près au niveau de L4, révélé par l iode radioactif. QCM 16 : Concernant les Triacylglycérols : A. Leur accumulation peut se faire sous forme de HDL dans le sang s il y a déficit de la Lipoprotéine lipase. B. L absence de l ApoCII sur les chylomicrons n engendre aucun effet. C. Leur accumulation dans l intestin peut engendrer une stéatorrhée. D. Ils sont prépondérants dans les HDL. E. La CETP permet le transfert de TAG contre des esters de cholestérol. QCM 17 : A propos des lipoprotéines A. Elles sont principalement formées au niveau du foie et du rein. 96 / 291
97 B. Un taux anormalement élevé de chylomicrons se caractérisera par une augmentation des lipoprotéines de surface en ultracentrifugation de flottation chez le sujet à jeun. C. Les HDL sont internalisées en bloc dans le foie après reconnaissance par les récepteurs SR-B1. D. Elles sont associées de façon covalente à une apolipoprotéine. E. Les IDL peuvent être reconnues par le récepteur ApoB/E hépatique. QCM 18 : Concernant les chylomicrons A. Ce sont les lipoprotéines les plus grandes et les plus denses. B. Ils vont interagir avec les membranes cellulaires sur lesquelles sont présentes des lipoprotéines lipases qui hydrolysent les TG d origine alimentaire. C. C est l ApoCll associé aux chylomicrons qui va activer la lipoprotéine lipase tissulaire et sera par la suite restitué aux HDL. D. Ils vont libérer des AG et du cholestérol dans le foie après interaction entre l ApoE présent à leur surface et le récepteur LRP des cellules hépatiques. E. En plus des TG, ils transportent des cholestéryl-esters. QCM 19 : Vous analysez la liaison des LDL natives à 4 C provenant de deux patients (A et B) ; à partir de cette expérience, vous pouvez conclure que : A. Les LDL du patient B sont liés selon un processus récepteur-dépendant B. Le patient B pourrait être atteint d hypercholestérolémie familiale C. Le patient A possède plus de récepteurs apob/e que le patient B D. Le patient A pourrait être atteint d hypercholestérolémie familiale E. Si lors d une seconde expérience étudiant l internalisation des LDL, la courbe du patient A devient identique à celle du patient B montrée ci-dessus, le problème du patient A est donc un problème de liaison des LDL à leurs récepteurs. QCM 20 : À propos des pathologies du métabolisme des lipoprotéines. A. Un défaut d expression de la LCAT entraîne une accumulation de lipoparticules discoïdales. B. Un défaut d expression de l ACAT entraîne une accumulation de lipoparticules discoïdales. 97 / 291
98 C. Un patient atteint de la maladie de Tangier présente un défaut dans le transport reverse du cholestérol. D. Un patient atteint de la maladie de Wolman présente un synthèse endogène de cholestérol supérieure à celle d un patient sain. E. La maladie de Tangier concerne seulement le métabolisme des LDL. QCM 21 : Parmi les formules suivantes, indiquez les réponses exactes. A. Vi = Vmin x [S] / Km + [S]. B. Vi = Km + [S] / Vmax x [S]. C. Km = [E] x [S] / [ES]. D. Km = [ES] / [E] + [P]. E. Km = [ES] / [E] x [S]. QCM 22 : Concernant les inhibiteurs réversibles compétitifs, indiquez les réponses exactes. A. L inhibiteur se lie de façon non covalente à un site différent du site actif de l enzyme. B. Ne modifie pas la Vmax. C. Ne modifie pas le Km. D. L ajout d un inhibiteur compétitif décale la courbe Vi = f([s]) vers la droite. E. L inhibiteur présente souvent une analogie de structure avec le substrat. QCM 23 : Considérons la molécule ci-dessous, il s agit : A. du α-l-glucose. B. du β-d-galactose. C. du α-l-mannose. D. du α-d-glucose. E. du D-mannose. QCM 24 : Concernant cette molécule. A. Il s agit du lactose. B. Cette molécule possède un pouvoir sucrant de référence. C. Ces 2 oses sont de type D. D. Ces oses sont liés par une liaison αd 1à2 βd. E. Le second ose possède un cycle furanose. QCM 25 : Concernant la vitamine C : A. Elle joue un rôle dans l absorption intestinale du calcium. B. Il est possible d en faire un surdosage C. Elle a un rôle dans la formation des acides biliaires. D. Sa carence peut entraîner des hémorragies des muqueuses. E. Elle a un caractère acide et réducteur. 98 / 291
99 QCM 26 : Propriétés des oses A. Le D-mannose, épimère en C4 du glucose, permet de lutter contre les infections urinaires basses B. Le D-xylose est un aldopentose qui peut être utilisé comme test de malabsorption intestinale C. L oxydation des aldohexoses en C1 donne des acides uroniques qui entrent dans la composition des glycosaminoglycanes D. La réduction du mannose donne le mannitol métabolisable chez l homme E. De nombreux oses phosphorylés jouent un rôle clé dans le métabolisme QCM 27 : A propos du glycogène A. Il est constitué de chaînes linéaires de glucose reliées en alpha 1-> 4 avec des ramifications en alpha 1-> 6 environ toutes les 30 molécules de glucoses B. La concentration en glycogène est plus importante dans le foie que dans le muscle C. La glycogénogenèse débute toujours par la formation d une protéine «amorce» la glycogénine D. La glycogénogenèse est consommatrice d énergie E. La glycogénogenèse fait intervenir la glycogène phosphorylase QCM 28 : À propos du cycle de Krebs: A. Le pyruvate se transforme en acétyl-coa grâce à une réaction d oxydation réversible. B. Le succinate est transformé en fumarate au cours d une réaction qui génère du NADH,H+. C. L ADP et la phosphatase activent la pyruvate décarboxylase. D. L ATP et le NADH,H+ inhibent la formation d acétyl-coa. E. La condensation de l Acétyl-CoA avec l oxaloacétate produit du citrate et de l ATP. QCM 29 : À propos du métabolisme glucidique : A. La réaction de d hexokinase est spécifique et de faible affinité. B. Le phosphoénolpyruvate donne du pyruvate grâce à la pyruvate phosphatase. C. La phosphohéxose décarboxylase transforme le glucose 6P en fructose 6P. D. Le foie exprime la glucokinase de forte affinité pour le glucose. E. 1 molécule de glucose produit 2 molécules de pyruvate. QCM 30 : A propos du métabolisme du pyruvate et de la β oxydation, indiquez le caractère vrai ou faux des affirmations suivantes : A. Le pyruvate pénètre à travers la membrane interne mitochondriale associé à un ion H+ à l aide d un transporteur symport en aérobiose. B. La réaction permettant d obtenir de l Acétyl Coa à partir de pyruvate est une réaction irréversible ayant lieu dans la matrice mitochondriale. C. La pyruvate déshydrogénase catalyse la réaction permettant d obtenir de l oxaloacétate à partir de pyruvate. 99 / 291
100 D. La β oxydation est un cycle de quatre réactions ayant lieu dans le cytosol aboutissant à un Acétyl coa qui migrera vers la matrice mitochondriale pour rentrer dans le cycle de Krebs. E. Lors de la β Oxydation, la réaction permettant d obtenir un Acétyl Coa ainsi qu un Acyl Coa (n-2) est catalysée par une Thiolase. Sujet Type 2 ( 28 QCM 1h ) : Relu Par M.Ausseil et M. Levade On donne les pk d ionisation suivants: α carboxylique 2,1 β carboxylique 3,9 γ carboxylique 4,1 α aminé 9,3 imidazole 6,1 ε aminé 10,5 guanidinium 12,5 QCM 1 : A propos des AA suivants : Pro/Glu/Tyr/Met/Gly A. Lors du rajout de Ninhydrine, une coloration jaune peut être aperçue B. Tous ces AA ont un ou plusieurs carbones asymétriques C. Un de ces AA est impliqué dans la formation de créatine D. Un de ces AA est un précurseur de l acide aminobutyrique E. Un de ces AA joue un rôle dans la dépression QCM 2 : Soit les peptide 1 : Val-Ile-Glu-Asn-Cys et peptide 2 : Asp-Ala-Asn-Cys-Ser A. Le phi du peptide 1 est voisin de 3. B. Le phi du peptide 1 est voisin de 2,6. C. Les deux peptides possèdent un site de N-glycosylation. D. Ces deux peptides peuvent se lier par un pont disulfure. E. Le peptide 2 contient deux AA qui sont des sites de phosphorylation par des protéines kinases. QCM 3 : A propos des hormones thyroïdiennes, A. La T4 est plus active que la T3 B. Elles sont le résultat de la condensation de deux tyrosines iodées C. L enzyme responsable de la transformation de la T3 en T4 est la 5 -désiodase D. En physiologie, elles permettent de stimuler l utilisation de glucose E. En cas d hyperthyroïdie, on observe une baisse de la fréquence cardiaque QCM 4 et 5 : Soit le peptide A de 990 Da dont la composition en acides aminés, obtenue en combinant les techniques d hydrolyse, est la suivante : Val, Cys, Glu, Phe, Thr, Met, Pro, Arg L action du DNFB sur le peptide A permet d identifier un DNF-dérivé Met. Mis en contact avec une carboxypeptidase on libère de la Thréonine. Sous l action de la trypsine, puis du β-mercaptoéthanol on obtient trois peptides a, b et c, respec / 291
101 tivement de 440 Da, 220 Da et 330 Da. Sur ces peptides on fait agir le DNFB libérant DNF-Met, DNF-Cys, DNF-Pro On voit apparaître une coloration jaune sur le peptide c après action de ninhydrine et il est sensible à la chymotrypsine. Après action du phénylisothiocynate sur le peptide a, on libère les dérivés phénylthiohydantoïdes (PTH) suivants, par ordre décroissant d abondance : PTHMet, PTH-Glu, PTH-Val QCM 4 : A. Le peptide A absorbe dans l UV B. Le peptide A est Glu-Arg-Thr-Cys-Pro-Phe-Val-Met-Cys C. Le peptide A est Met-Glu-Cys-Arg-Cys-Arg-Pro-Phe-Thr D. Le peptide (a) est Met-Glu-Cys-Val E. Le peptide (c) est Pro-Phe-Thr QCM 5 : A. La chymotrypsine sur le peptide A va libérer 2 peptides B. Le peptide présente un pont disulfure C. La ninhydrine révèle la présence de Proline dans le peptide D. Le peptide possède une structure tertiaire E. La synthèse chimique d un peptide n est pas possible en milieu anhydre QCM 6 : A propos de l étude des protéines : On considère 3 protéines ayant les caractéristiques suivantes : - P1 : poids moléculaire 20 kda // pi = 6,5 - P2 : poids moléculaire 43 kda // pi = 7,0 - P3 : poids moléculaire 36 kda // pi = 7,4 Par ailleurs, après avoir réalisé un séquençage, on sait que la protéine P1 contient la séquence en acides-aminés suivantes : Met - Thr - Val - Ile - Cys Gly. A. L'électrophorèse bidimensionnelle est une technique permettant de séparer des protéines selon la masse et le pi. B. Les 3 protéines citées pourront être séparées par électrophorèse bidimensionnelle. C. Sur une chromatographie échangeuse de cations réalisée à ph = 3, toutes les protéines seront éluées. D. En utilisant la technique de gel-filtration, l ordre d élution des protéines sera le suivant : P1, P3, P2. E. La protéine P1 contient un site d action pour les Tyrosines kinases. QCM 7: A propos des modifications post-traductionnelles : A. Les PKA (Tyrosines Kinases) agissent sur des GMP cyclique. B. Les protéines phosphatase permettent la création d une liaison entre un groupement phosphore issu de l ATP et un atome d oxygène situé sur une protéine. 101 / 291
102 C. Un groupement lipidique de type palmitoyle peut-être greffé sur un résidu cystéine in terne grâce à une liaison thioester initiée par la protéine GPCR. D. La dégradation des protéines peut être partielle (ubiquitinylation) ou bien totale (zymogène). E. Les Serines/thréonine Kinases sont les plus nombreuses. QCM 8 : A propos de la myoglobine et de l hémoglobine : A. L hème est composé d un noyau tétrapyrole et d un ion de fer ferrique (Fe2+). B. A basse p02, la myoglobine a une meilleure affinité pour l oxygène que l hémoglobine. C. Le CO2 se fixe sur l hème par liaison covalente et entre en compétition avec l O2 pour la fixation. D. L oxyhémoglobine comporte 6 liaisons de coordination avec l O2 dont la dernière qui facilite sa fixation en diminuant les répulsions électrostatiques. E. Quand on augmente la pco2 (ce qui revient à une diminution du ph) on déplace la courbe vers la droite et on augmente la différence de pression entre les systèmes artériels et veineux facilitant ainsi la respiration. QCM 9 : On suspecte chez un patient un déficit de la biosynthèse des alkénylphospholipides. Pour mettre en évidence ce déficit avec des cellules en culture de ce patient, quelle(s) stratégie(s) peut-on mettre en œuvre pour évaluer spécifiquement ce groupe de lipides? A. Quantifier les lipides cellulaires marqués après incubation à la choline. B. Quantifier les lipides cellulaires révélés après exposition à l'iode. C. Quantifier les lipides cellulaires après incubation avec de l'octodécanol radioactif. D. Quantifier les lipides cellulaires résistants à la méthanolyse alcaline douce. E. Quantifier les lipides cellulaires après incubation avec de l'hexadécanal radioactif. QCM 10 : A. Le lipide A est composé d une phosphocholine et se trouve sur la partie externe de la membrane B. L acide arachidonique se trouve en sn2 car les acides gras insaturés s y trouvent en majorité C. Les lipides visibles lors de l exp 1 ne contienne plus de choline et sont tous identiques D. On peut conclure que dans la membrane plasmique les lipides A ont tous le même type de liaison pour l acide gras en position 2 E. Il est possible d avoir parmi les lipides A, un 1-arachidonoyl, 2-oléyl-glycérophosphocholine 102 / 291
103 QCM 11 : à propos de cette molécule : A. Elle fait partie de la famille des eicosanoïdes B. Elle dérive de vitamines liposolubles et exerce un rôle anti-oxydant majeur pour le corps C. Elle dérive de l acide arachidique D. La molécule ci-dessus fait partie du groupe 2 des prostanoïdes E. C est une lipoxine formée grâce à l intervention d une lipoxygénase QCM 12 : Concernant les HDL : A. Si un patient est porteur de la maladie de Tangier, les HDL présenteront un aspect globulaire. B. La LCAT permet l estérification du cholestérol. C. Un taux plasmatique de HDL anormalement bas peut être dû à un défaut en ApoA1. D. La CETP est une protéine qui effectue le transfert des esters de cholestérol des HDL vers les VLDL. E. Le récepteur ApoB/E permet l internalisation des HDL au niveau hépatique. QCM 13 : Concernant l hypercholestérolémie familiale. A. Cette maladie résulte de mutations des gènes des récepteurs Scavengers. B. Dans cette maladie les LDL sont capables de passer la barrière endothéliale et sont altérées dans la média par des cellules inflammatoires comme des monocytes qui vont donc les phagocyter, leur valant le nom de cellules spumeuses. C. Un sujet atteint par cette maladie présentera un profil de courbe de liaison aspécifique des LDL oxydés avec les macrophages et spécifique saturable dans des fibroblastes comparés à un individu sain. D. La présence de «foam cells» dans la média entraîne la formation de plaques d athérome à l origine d accidents cardiovasculaires caractéristiques de cette maladie. E. A 37 C les cellules de toutes les personnes atteintes de cette maladie peuvent internaliser les LDL. QCM 14 : Un homme atteint de la maladie de Tangier se présente pour des examens biologiques. Avant même d avoir analysé les résultats, vous pouvez vous attendre à : A. La protéine ABCA1 ne présente aucune mutation. B. La protéine LCAT ne présente aucune mutation. 103 / 291
104 C. Un taux plasmatique de HDL globulaire élevé D. Un taux plasmatique de HDL discoïdales élevé E. Ce sont les HDL discoïdales qui sont associées à l ApoCll. QCM 15 : Vous analysez la liaison de HDL radiomarquées sur les hépatocytes d un témoin et d un patient à 4 C puis à 36 C et vous obtenez les résultats sui vants. A. Le patient possède sûrement un défaut d expression des récepteurs scavengers. B. La liaison des HDL radiomarquées sur les hépatocytes est un phénomène récepteur-dépendant. C. Le résultat observé dans l expérience à 4 C chez le patient serait le même si on incubait les HDL en présence d une grande quantité de LDL froides. D. La liaison des HDL à la surface des hépatocytes se fait via le récepteur apob/100. E. Concernant la liaison des HDL sur les hépatocytes du témoin, le même Bmax serait obtenu avec un excès de HDL froides. QCM 16 : A propos des lipoprotéines: A. Les chylomicrons sont normalement présents dans le plasma en période post-prandiale et contiennent l ApoB48. B. Les VLDL ont une densité supérieure à celle des chylomicrons. C. L activité de la lipoprotéine lipase est stimulée par l ApoCII présente chez les chylomicrons et les VLDL circulantes. D. Sur une électrophorèse sur acétate de cellulose, les chylomicrons se retrouvent au niveau du dépôt et les VLDL en pré β. E. La maladie de Wolman se traduit par un déficit en lipase acide lysosomale. QCM 17 : L activité enzymatique totale d un extrait tissulaire est de unités d enzyme et son activité spécifique est de 1720 unités (d activité spécifique). L extrait contient : A. 12,21 mg de protéines B. 122,1 mg de protéines C. 0, mg de protéines D. 0,1221 g de protéines E. 1, g de protéines 104 / 291
105 QCM 18 : Concernant les coenzymes : A. Ils retrouvent leur état initial après réaction. B. Les coenzymes sont des cofacteurs indispensables à l action catalytique de toutes les enzymes. C. Elles sont souvent hétérocycliques et liposolubles. D. La vitamine B3 peut aussi être appelée coenzyme pyridinique. E. Le coenzyme A intervient dans des réactions du métabolisme intermédiaire en se liant à des petites molécules acides grâce à sa fonction thiol. QCM 19 : Au sujet des Oses A. Le cycle pyrane possède 5 sommets. B. Le D-xylose est nommé «D» parce qu il est dextrogyre. C. Le dihydroxyacétone ne possède pas de carbone asymétrique. D. Le passage du D-fructose au D- mannitol est effectué par une réduction. E. Un hexose est obligatoirement un aldose. QCM 20 : Concernant la molécule suivante A. Il s agit du D-Galactose. B. Il entre dans la structure du lactose. C. C est le L-fructose. D. Il s agit d un cétohexose. E. Il se lie au glucose en α 1-4. QCM 21 : Concernant des oses et de leurs dérivés : A. La vitamine C est un anti-oxydant. B. La réduction en C2 du L-fucose donne du L-galactose. C. Le fucose peut être retrouvé dans les glycoconjugués. D. Les besoins en acide ascorbique chez la femme enceinte sont diminués. E. Les glycoprotéines ont souvent une vie plus longue après désialylation (suppression d un NANA sur leur glycane). QCM 22 : Concernant les osides : A. Le glycogène est un hétéroside. B. Le lactose est sensible à une β-galactosidase. C. Tous les protéoglycanes possèdent des groupements sulfates. D. Dans les GAG, on trouve de très longues chaînes osidiques linéaires. E. La cellulose est constituée de chaînes de D-glucose unies en α 1-> / 291
106 QCM 23 : Cet ose A. Est du D-gluculose ou D-mannulose B. Possède 4 carbones asymétriques C. Est de série D donc dextrogyre D. Sa réduction en C2 donne un édulcorant métabolisé au niveau hépatique E. Lorsqu il est cyclisé sous forme bêta et associé à l alpha-d-glucopyranose il donne le sucre de table QCM 24 : À propos du métabolisme : A. Le foie peut synthétiser du glucose à partir d acide aminés glucoformateurs. B. Au cours du jeûne prolongé, le muscle peut réaliser la néoglucogenèse. C. Le cerveau peut utiliser les corps cétoniques produits par le foie au cours du jeûne prolongé. D. En post-prandial, l élévation de glucagon favorise la glycogénogenèse E. Le cycle des Cori est un exemple de coopération tissulaire entre le muscle (qui produit l acide lactique lors de la glycolyse anaérobie) et le foie (qui oxyde l acide lactique en pyruvate). QCM 25 : A propos du cycle de Krebs A. Il comporte 4 réactions irréversibles dont la première réaction mettant en jeu la citrate synthase notamment inhibée par le succinyl-coa. B. Du GTP est produit au cours de la réaction de formation du fumarate à partir du succinate. C. La formation de α-cétoglutarate à partir de l isocitrate est une réaction de décarboxyla tion oxydative réversible catalysée par isocitrate déshydrogénase. D. L hydratation du fumarate donne la malate qui est le substrat de la malate décarboxylase. E. Le cycle de Krebs se produit dans la matrice mitochondriale en présence de cofacteurs et d enzymes dont l action est régulée par la quantité de substrats. QCM 26 : La glycolyse A. La Phospho Fructo Kinase est une enzyme régulée de manière allostérique conduisant à la formation d ATP et à la phosphorylation du Fructose 6 phosphate. B. La phosphorylation du glucose en G6P est catalysée par une glucokinase, fortement présente dans le foie et le pancréas, très spécifique et de forte affinité. C. En anaérobie, le pyruvate subit une oxydation le transformant en lactate. D. Le transport du pyruvate à travers la membrane mitochondriale se fait grâce à un gradient de proton vers la matrice établit par la chaîne respiratoire. E. L AcétylCoA est formée à partir d une décarboxylation oxydative du pyruvate dans la matrice. 106 / 291
107 QCM 27 : Vous incubez de l acide palmitique dont tous les carbones sont marqués par du 14C, avec des cellules vivantes provenant d un individu sain ou d une patiente ayant un déficit en Thiolase. A. Les cellules de la patiente peuvent produire de la palmitoyl-carnitine 14C. B. Chez l individu sain, 8 molécules d Acétyl CoA peuvent être produites à partir d un acide palmitique. C. La β oxydation comporte 4 réactions, toutes sont réalisables chez la patiente. D. Chez l individu sain, chaque cycle de β-oxydation d un AG génère un Acétyl CoA, deux NADH,H+ et un FADH2. E. La carnitine palmitoyl transférase I est une enzyme mitochondriale impliquée dans le transport des acides gras du cytosol vers la mitochondrie. QCM 28 : à propos du métabolisme glucidique A. Les transporteurs GLUT 2 ont une forte affinité pour le glucose. B. La glucogénèse est un métabolisme anaérobique. C. L action de phospho-fructo-kinase est irréversible. D. La glycolyse comprend 10 étapes. E. La glycolyse a lieu dans le cytoplasme de la cellule. QCM en Vrac ( 29 QCM ) AA, peptides et protéines On donne les pk d ionisation suivants: α carboxylique 2,1 β carboxylique 3,9 γ carboxylique 4,1 α aminé 9,3 imidazole 6,1 ε aminé 10,5 guanidinium 12,5 QCM 1: Concernant L Histidine : A. Il ne s agit pas d un acide aminé essentiel. B. Son phi est environ égal à 3. C. Il s agit d un précurseur dans la formation de l histamine après carboxylation, molécule à l origine des allergies. D. Cet acide aminé contient un groupement guanidinium. E. Elle fait partie des acides aminés polaires. QCM 2 : Concernant les dérivés d Acides Aminés : A. L ornithine est un acide aminé basique qui dérive de l arginine, obtenu par l élimination de deux atomes de carbone. B. La citrulline se forme dans l appareil de Golgi exclusivement. C. La dopamine, issue de la décarboxylation de la L-DOPA est utilisée dans le traitement de la maladie de Parkinson. D. Les hormones thyroïdiennes agissent via des récepteurs nucléaires. 107 / 291
108 E. La créatinine est obtenue après cyclisation de la créatine via une liaison N-ester phosphorique. QCM 3 et 4 : On considère les acides aminés suivants : Met, Pro, Val, Trp, Asn, Glu ainsi que le peptide suivant Met-Pro-Val-Trp-Asn. QCM 3 : A. Lors d une révélation à la ninhydrine, l ensemble de ces acides aminés seront colorés en bleu. B. Le phi de Met est voisin de 6. C. Le peptide a un maximum d absorbance dans l UV entre 260 et 280 nm. D. Lors d une électrophorèse réalisée à ph = 7, un seul des acides aminés migre vers l anode. E. Lors d une chromatographie de partage sur un support polaire et un solvant de migration moins polaire, Glu migre plus loin que Met. QCM 4 A. Le peptide comporte un site de N-glycosylation. B. La masse du peptide est voisine de 550 Da. C. Il contient au moins 1 acide aminé aromatique. D. Un des acides aminés est le codon initiateur de la traduction procaryote. E. Ce peptide peut s associer à son semblable par le biais de pont disulfure. QCM 5 : A propos des peptides A. La liaison peptidique se fait toujours avec le carbone α de l'acide aminé. B. Le glutathion est très efficace contre les peroxydes H2O qu'il réduit en deux molécules inoffensives d'h202. C. L'endorphine, agissant sur des récepteurs opiacés, est composée d'une séquence TyrGly-Gly-Phe en N-Terminal. D. Le glucagon est un peptide de la famille des sécrétines qui comporte 29 AA. Il a une activité hypoglycémiante. E. La pénicilline est un peptide anti-bactérien. QCM 6 : Concernant les dérivés des acides aminés : A. L acide ४-aminobutyrique est un neuromédiateur au niveau du SNC. B. La fluoxétine joue le rôle d'antidépresseur en inhibant la recapture de la sérotonine. C. Les hormones T3 et T4 stimulent la thermogenèse et agissent au niveau des récepteurs nucléaires D. La créatinine est stockée à 95% dans les muscles striés squelettiques. E. On obtient de l ornithine après condensation de la citrulline avec la carbamyl phosphate. 108 / 291
109 QCM 7 : On rappelle les pk d ionisation de groupements acides aminés : α-aminé : 9,4 ; α-carboxylique : 2,1 ; β-carboxylique : 3,9 ; γ-carboxylique : 4,1 ; ε-aminé : 10,5 ; imidazole : 6 ; guanidinium : 12,5 ; thiol : 8,2. Concernant le mélange des AA suivants : Ala, Leu, Glu, Lys, Asp A. Lors d une chromatographie d échange de cations, sachant que le dépôt du mélange est réalisé à ph acide, l ordre d élution des acides aminés en fonction d un gradient de concentration croissant de ph est le suivant : Lys-Leu-Ala-Glu-Asp. B. Un de ses acides aminés donne le Dopa par hydroxylation. C. Deux de ces acides aminés sont essentiels. D. Aucun de ces acides aminés n absorbent la lumière à 280nm. E. Le phi de Asp est proche de 3. QCM 8 : Par rapport aux hormones thyroïdiennes A. Ces hormones sont produites à partir d iode et de Tryptophane. B. La forme majoritairement produite est la T4 mais la forme active est la T3. C. Elles diminuent le métabolisme basal. D. La conversion de T4 vers T3 se fait sous l effet de la thyroxine 5 - désiodase. E. Elles stimulent la thermogenèse. QCM 9 :Un peptide «pep» est soumis à une hydrolyse complète mettant en évidence les acides aminés suivant : I, C, E, M, R, F, A. Nb : I=isoleucine, C= cystéine, E= glutamate, M= méthionine, R= arginine, F= phénylalanine, A= alanine Les cinétiques de réaction du phenylthiocyanate (PITC) sur ce peptide libèrent des dérivés phénythiodantoines de M, A, C par ordre décroissant. Par électrophorèse sur gel de polyacrylamide avec ou sans pré traitement par le beta-mercaptoéthanol, le peptide «pep» donne une seule bande de masse moléculaire 880 Da. Le peptide «pep» est insensible à l action de la chymotrypsine avec ou sans pré traitement par le beta-mercaptoéthanol. Sans pré traitement par le βmercaptoéthanol et après action de la trypsine le peptide donne une seule bande de masse moléculaire 880 Da. Après traitement par le β-mercaptoéthanol et action de la trypsine on obtient un peptide I de masse moléculaire 550 et un peptide II de masse moléculaire 330. Le peptide I a un Phi de 5,7 et le peptide II de 3,1. A. Le peptide comporte un disulfure inter chaîne B. L action du bromure de cyanogène sur ce peptide aboutirait à la formation de deux peptides de 110 Da et 770 Da C. L action d une carboxypetidase sur le peptide libère un acide aminé capable d absorber à 280 nm D. La séquence MECIRCAF est compatible avec le peptide «pep» E. La séquence MACIRFEC est compatible avec le peptide «pep» 109 / 291
110 QCM 10 : A propos des dérivés des acides aminés A. Arg peut est scindée en urée et en citrulline B. Les hormones thyroïdiennes stimulent la consommation d O2, la thermogenèse et la lipolyse du tissu adipeux C. La formation de dopamine se fait premièrement par hydroxylation de la tyrosine puis carboxylation de la Dopa D. La formation de la créatine fait intervenir le S-adénosyl-homométhionine E. Une liaison amide interne est retrouvée dans la créatine phosphate QCM 11 : A propos de la kératine A. La kératine est une protéine fibreuse qui ne possède pas de structure quaternaire B. La kératine est une protéine riche en glycine et abondante au niveau de la peau, des tendons et des os C. Un dysfonctionnement du gène codant la kératine peut donner lieu à l épidermolyse bulleuse congénitale ou bien la maladie des os de verre (ou ostéologie imparfaite) D. L épidermolyse hyperkératosique est une maladie transmise selon un mode autosomique récessif et qui sera à l origine de la fragilité de cohésion de la peau ainsi que des muqueuses E. Tous les ponts disulfures de la kératine alpha seraient coupés et révélés par une migration sur SDS page en comparant deux pistes, une avec β-mercaptoéthanol et une sans βmercaptoéthanol QCM 12 : Concernant le peptide RANGUEIL : Un laboratoire toulousain a découvert un peptide de 1540 Da baptisé RANGUEIL apparemment responsable d une large résistance à l alcool. Après analyse, RANGUEIL, contiendrait les acides aminés : Arg, Cys, Ile, Tyr, Ala, Leu, Asp. En présence de trypsine sans β-mercaptoéthanol, on met en évidence un peptide de 330 Da, pep I, et un peptide de 880 Da, pep II. Cependant, en présence de trypsine et de β-mercaptoéthanol, on identifie par ailleurs un peptide de 440 Da et un peptide de 330 Da. De plus l acide aminé Asp est mis en évidence suite à l action du chlorure de danoyl sur pep I. L action de la chymotrypsine en absence de β-mercaptoéthanol permet d identifier un peptide de 1540 Da. Enfin, l action du dinitrofluorobenzène sur RANGUEIL provoque l apparition d un dérivé DNP-Ala. A. Pep I contient un pont entre deux cystéines. B. Pep II ne contient pas d acide aminé aromatique. C. Pep I possède un Phi proche de 9.7. D. RANGUEIL est coloré en vert par la ninhydrine. E. La séquence Ala Leu Cys peut être retrouvée dans RANGUEIL. QCM 13 : Concernant le peptide MAJOR : Des chercheurs ont identifiés un peptide de 880 Da baptisé MAJOR dont ils souhaitent connaître l organisation. Après analyse, MAJOR, contiendrait les acides 110 / 291
111 aminés : Lys, Cys, Met, Pro, Glu, Leu, Arg. Après action d une amino peptidase on identifie l'aa Met. En présence de trypsine sans β-mercaptoéthanol, on met en évidence un peptide de 880 Da. Cependant, en présence de trypsine et de βmercaptoéthanol, on identifie par ailleurs un peptide de 550 Da, pep A et un peptide de 330 Da, pep B. De plus une carboxypeptidase met en évidence l'aa Arg. Enfin, le Phi de pep B de 6.7. A. MAJOR peut correspondre à la partie N terminale d une protéine. B. MAJOR est coloré en bleu par la ninhydrine. C. La séquence Cys Glu Arg correspond à pep B. D. Le β-mercaptoéthanol oxyde les ponts entre deux cystéines. E. MAJOR, contient en majorité des acides aminés essentiels. QCM 14 : concernant les structures de peptides et protéines A. Les hélices alpha sont des structures primaires. B. Les hélices alpha sont notamment retrouvées dans des protéines globulaires comme les kératines C. Les structures secondaires sont stabilisées par des liaisons covalentes. D. Les feuillets bêta ont une allure de zig zag. E. Une protéine ne peut remplir sa fonction seulement au stade de structure quaternaire. QCM 15 : concernant l hémoglobine et la myoglobine A. L hémoglobine est insensible à l action du SDS. B. A l état d oxyhémoglobine l atome de fer central est situé dans le plan de l hème. C. L hème contient un atome de fer à l état ferrique. D. La myoglobine possède une meilleure affinité pour l oxygène de l hémoglobine. E. Le CO2 se fixe préférentiellement en C-term des chaines de globines. Enzymologie : QCM 16 : On cherche le Km d une enzyme de type Michaelienne. Sa vitesse maximale est de 96 µmol/l/min, sa vitesse initiale de réaction est de 24 µmol/l/ min et sa concentration en substrat de 50 µmol/l : A. 150 µmol/l B. 15 µmol/l C. 250 µmol/l D. 50 µmol/l E. 68 µmol/ QCM 17 : Concernant la transition allostérique : A. C est un mécanisme de type coopératif. B. La structure quaternaire ne joue pas de rôle dans la transition allostérique. C. La représentation graphique est une courbe sigmoïde. D. Ces enzymes ne s adaptent pas à de faibles variations de substrat. 111 / 291
112 E. Les effecteurs allostériques se fixent sur les sites allostériques et modifient la conformation du site, modulant l affinité de l enzyme pour le substrat. QCM 18 : Indiquez les réponses exactes. A. Pour de très faibles Km, l affinité de l enzyme pour le substrat est faible. B. Pour doser une enzyme, il faut que le substrat soit en excès par rapport à celle-ci. C. Le constante de Michaelis représente la concentration pour laquelle l enzyme E est arrivée à demi-saturation. D. L activité spécifique est le nombre d unité d enzyme contenue dans 1mg de protéine. E. Une coenzyme est formée par une holoenzyme et une apoenzyme. QCM 19 : On étudie l activité enzymatique de l enzyme E en présence du substrat et de différentes molécules (A et B). Indiquez les réponses exactes. A. La molécule A est un inhibiteur compétitif. B. La molécule B est un inhibiteur compétitif. C. Le Km de E + S + molécule B est supérieur au Km de E+S. D. La Vmax de E + S + molécule A est identique à celle de E+S. E. La pente de la droite selon la représentation de Lineweaver et Burk vaut Km/Vmax. QCM 20 : Soit une enzyme Michaelienne dont le Km est de mol/l, en présence d une concentration en substrat de mol/l, la vitesse initiale de réaction est de : A. 5 x Vmax B. 50 x Vmax C. 0,005 x Vmax D. 4 x Vmax 112 / 291
113 Lipoprotéines (relu par Mr Levade) QCM 21 : L hypercholestérolémie familiale : A. Peut être causée par des mutations du récepteur ApoB/E. B. Peut être causée par des mutations spécifiques de l ApoB48. C. Peut être due à un défaut d internalisation spécifique des VLDL. D. S accompagne d une baisse de l activité de la HMG-CoA réductase pour produire moins de cholestérol. E. Se traduit par un dysfonctionnement de la protéine ABCA1. QCM 22 : A propos des lipoprotéines : A. La captation des lipoprotéines par les cellules concerne toutes les classes de lipoprotéines. B. Les lipoprotéines circulantes dans le plasma sont enveloppées par une monocouche de molécules lipidiques de monoacylglycérols ainsi que du cholestérol. C. Un défaut de l ApoCll présente sur les chylomicrons peut entraîner une hypertriglycéridémie caractérisée par un sérum lactescent. D. La TG lipase hépatique hydrolyse les AG en TG. E. Le CE libéré dans le foie lors de l interaction des récepteurs SR-B1 avec les HDL représente la voie d élimination du cholestérol. QCM 23: On réalise une Électrophorèse de lipoprotéines sur acétate de cellulose : A. Les HDL migrent plus loin que le VLDL. B. Les VLDL migrent en «bêta» va migrer plus loin que le LDL qui lui migre en «pré-bêta». C. Les chylomicrons vont rester au niveau du dépôt en «alpha». D. Les HDL sont les lipoprotéines qui migrent le plus loin en raison de leur petite taille. E. Les chylomicrons sont les lipoprotéines qui migrent le moins loin (restent au niveau du dépôt) en raison de leur forte densité. QCM 24 : Chez des souris le gène codant pour ABCA1 a été invalidé, que pourriez-vous affirmer? A. La concentration plasmatique en HDL surchargé en esters de cholestérol est anormalement haute B. La concentration plasmatique en lipoprotéines aplaties est anormalement élevée C. L enzyme LCAT fonctionne de manière intensive D. ABCA1 est une protéine d influx du cholestérol dans les cellules E. Il y a une grande quantité de cholestérol dans les membranes des cellules périphériques QCM 25 : On cherche à comprendre l impact de 2 mutations différentes chez deux patients atteints d hypercholestérolémie familiale : on incube des cellules d un sujet sain (normal) et des patients 1 et 2 en présence de LDL radiomarquées. Les résultats obtenus sont représentés ci-dessous : 113 / 291
114 A. Les LDL ne migrent pas en électrophorèse sur acétate de cellulose. B. Ces courbes sont une linéarisation de la liaison spécifique des LDL aux cellules selon Scatchard. C. La mutation du patient 1 ne diminue pas l affinité des récepteurs pour les LDL. D. Le patient 2 est atteint d une mutation étant à l origine d une diminution du nombre de récepteurs à la surface des cellules. E. Les patients peuvent présenter des plaques d athérome au niveau de leurs vaisseaux sanguins QCM 26 : A propos des lipoprotéines : A. Un patient atteint d un déficit en ACAT accumule des lipoprotéines discoïdales dans le sang, riches en cholestérol. B. Les triglycérides des chylomicrons et des VLDL sont substrats d une lipoprotéine lipase au niveau du tissu musculaire strié. C. Un déficit de la lipase acide lysosomale entraîne une accumulation de cholestérol estérifié dans les endolysosomes du tissu hépatique. D. Chez un patient qui présente un sérum lactescent, l analyse des lipides plasmatiques révèle une accumulation de lipoprotéines α. E. Les HDL donnent de l ApoCII aux VLDL, protéine essentielle à l activation de la lipoprotéine lipase des tissus périphériques. GLUCIDES et MÉTABOLISME QCM 27 : À propos des osides : A. Le saccharose correspond à une association de α-d-fructoses et de β-d-glucoses. B. L amidon est composé d amylopectine à 80% et d amylose à 20%, deux structures correspondant à un enchaînement de glucoses. C. La transglucosylase est une amorce permettant le début de la synthèse de glycogène. D. Le NANA est composé d acide pyruvique et de D-glucosamine. E. Le lactose est réducteur. QCM 28 : A propos des protéoglycanes A. Le volume des chaines osidiques ramifiées est supérieur à la partie protéique B. Tous les GAGs sont liés à une protéine de manière covalente C. L agrécane est un agrégat de protéoglycanes volumineux spécifique du cartilage qui favorise la rétention d eau 114 / 291
115 D. L acide hyaluronique est riche en charges négatives portées par des groupements sulfates E. Le syndécane, présent dans tous les tissus, favorise l adhésion des cellules du tissu conjonctif à la membrane extracellulaire QCM 29 : Glycation, protéines glyquées A. La glycation se traduit par l ajout d un sucre sur une protéine sans l intervention d une enzyme B. Une valeur élevée de l hémoglobine glyquée signe un déséquilibre glycémique dans les 6 à 8 jours précédant le dosage C. Le dosage des fructosamines est recommandé en cas de diabète gestationnel, insuffisance rénale ou encore d hémorragie D. L inflammation favorise la réaction de Maillard aboutissant à la formation de produits de glycations qui deviennent irréversibles (AGE) E. Ces AGEs entraînent une pathogénie uniquement chez le patient diabétique car il possède un nombre plus important de protéines glyquées que la moyenne Correction : Sujet Type 1 : QCM 1: ABE C. La cystéine est un AA Lévogyre de configuration R. D. C est la tétraiodotyronine (T4) qui est la plus abondante, la Triiodotyronine (T3) est la forme la plus active. QCM 2 : AC B. La dopamine est un médiateur du SNC. D. Décarboxylation du glutamate. E. L insuline est une hormone hypoglycemiante. QCM 3 : CE A. La proline est colorée en jaune par la ninhydrine. B. La tyrosine est l'acide aminé précurseur de la dopamine. C. VRAI. C'est le cas du tryptophane (Trp). D. Il y a 3 acides aminés essentiels dans cette sélection (His, Leu, Trp) E. VRAI. Arg et Gly sont les précurseurs du guanidoacétate qui donne la créatine après Nméthylation, et la crétine est stockée à 95% dans les muscles squelettiques QCM 4: B A. L acide aminé aromatique est forcément en N-terminal car pas de réaction à la chymotrypsine. Et la proline est forcément dans le peptide B car elle est la seule à se colorer en jaune. 115 / 291
116 C. Sans β-mercaptoéthanol pas de réaction avec la trypsine donc celle-ci est forcément situé au milieu du pont disulfure et non pas en dehors comme ici. D. A ce ph seuls LYS et GLU sont ionisés avec respectivement une charge positive et une charge négative. Tous les autres acides aminés sont des zwitterions. E. C est une HYPOthyroidie qui cause un retard mental. QCM 5: ACE A. VRAI : à ph7, Arg et His sont chargés + et les 3 autres sont chargés -. Ainsi, seul Arg et His migrent vers la cathode B. C est le plus acide donc le glutamate C. VRAI : Les acides aminés les plus apolaires migrent le plus loin D. C est une décarboxylation de l histidine qui donne l histamine et non une carboxylation E. VRAI : à ph 3, le COOH de la fonction alpha carboxylique est devenu COO- (chargé -), le COOH de la fonction gamma carboxylique n est toujours pas ionisé (non chargé), et toutes les fonctions amines sont ionisées (3+) ce qui fait un bilan de 2+. QCM 6: ADE B. Il y a bien 2 chaînes légères mais c est soit κ soit λ, pas les deux en même temps! C. Ce sont des domaines INTRA-chaîne! D. VRAI : 2 Fab et 1 Fc QCM 7: AB C. Elles fonctionnent avec la ligase ubiquitine E3. D. Il s agit de pathologies CONFORMATIONNELLES. E. Elles peuvent également être co-traductionnelles. QCM 8 : BC A. 990 Da B. VRAI : La Cystéine C. VRAI : Un seul = Tryptophane D. Le Tryptophane E. Traduction! QCM 9: CDE A. 2 sous unités de même PM (36 kda) oui mais en revanche, on a aucune information sur la composition en acides aminés B. les ponts disulfures intra caténaires ne sont pas révélés D. VRAI : = 36 X2 QCM 10: CE A. Il existe 3 types de domaines thermodynamiques stables : Alpha purs, alpha-beta, Beta purs. 116 / 291
117 B. Attention, les kératines sont bien riches en hélices alpha, mais elles contiennent des AA APOLAIRES en majorité D. Réduction RÉVERSIBLE! QCM 11 : AE B. L'acide phytanique ne possède pas de fonction OH et n est pas synthétisé par l Homme. C. Les AIS inhibent la PLA 2 et les AINS inhibent la cyclo-oxygénase. D. En trans QCM 12 : BCE A. C'est un alkénylphospholipide. D. Les liaisons éthers sont résistantes à la méthanolyse alcaline douce. QCM 13 : ACE B. Les sphingolipides sont résistants à la méthanolyse alcaline douce car ils ne possèdent pas de liaisons esters. C. VRAI : Certains gangliosides peuvent se retrouver dans la phase supérieure. D. Pas de phosphate, mais des oses ou dérivés oses. QCM 14. AB A. VRAI : On voit qu il contient de la choline et un acide gras insaturé mais qu il n est pas dégradé par l enzyme X (qui s avère être une PLA2). L2 est la sphingomyéline (SM) qui est résistante à la méthanolyse alcaline douce. B. VRAI : L3 est le produit de dégradation de L1 par la PLA2. En conjuguant nos observation à la choline triciée et à l iode radioactif, on voit que l action de l enzyme X sur le lipide L1 libère à la fois un produit très polaire (lysopc) et un produit très apolaire (AG insaturé). C. Avec la révélation par l iode radioactif, on révèle les insaturations (doubles liaisons) et on voit apparaître la tâche L5 contenant des lipides plus polaires que les DAG mais plus apolaires que les PC. Ce sont les acides gras du DAG et de la PC, ayant été coupés par 117 / 291
118 l enzyme X. L enzyme X peut donc être une PLA2 ou une PLA1 car il peut y avoir des AG mono-insaturés en sn1. Attention au terme nécessairement qui revient souvent dans les QCM d annales. D. L1 est la phosphatidylcholine (PC) et L2 est la sphingomyéline (SM) qui sont majoritairement extracellulaires. E. On ne peut pas faire agir une phospholipase sur un lysophospholipide (piège fréquent!), seules les lysophospholipases peuvent agir sur des lysophospholipides. QCM 15. ADE A. VRAI : On coupe la tête choline donc la partie lipidique n est plus du tout révélée. B. Il est plus polaire C. Les MAG (monoacylglycérophospholipides ou lysophospholipides) issus de la dégradation du lipide L4 (DAG) ne sont pas révélés par l iode radioactif car ils ne contiennent plus d AG insaturés sur lequel peut se fixer l iode radioactif (il a été coupé par l action de la PLA2). Il s agit uniquement d un mélange d AG issus de la dégradation de la PC et du DAG par la PLA2. E. VRAI : L action d une sphingomyélinase sur L2 aurait libéré une tête phosphocholine et un céramide migrant à peu près même niveau qu un DAG. Il faut retenir que la sphingomyélinase agit plus ou moins comme une PLC mais uniquement sur une sphingomyéline! QCM 16 : CE A. Se fait sous forme de chylomicrons. B. Nécessaire pour une libération des AG vers les tissus périphériques. C. VRAI : Il s agit d une diarrhée graisseuse de Triacylglycérols. D. Ils sont prépondérants dans les chylomicrons QCM 17 : BE A. Oui pour le foie, non pour le rein. C. Attention piège : Ce sont bien les HDL qui sont reconnus par les récepteurs SRB1 mais ils ne sont pas internalisés par ces derniers, il y a simplement transport du CE. D. Non covalente E. VRAI: En effet, les IDL tout comme les LDL possèdent une ApoB100 reconnaissable par le récepteur ApoB/E. QCM 18 : BCDE A. Ce sont les plus grandes mais les MOINS denses. QCM 19 : BD A. Non, selon un processus récepteur-indépendant C. Les courbes ne nous précisent en aucun cas le nombre de récepteurs D. VRAI : Même si la courbe du patient A semble normale, nous n avons pas de précisions sur l internalisation des LDL 118 / 291
119 E. Le problème du patient A semble être un problème d internalisation et non de liaison des LDL QCM 20. ACD B. Un défaut de l ABCA1 ou de la LCAT. E. Elle concerne le métabolisme des HDL. QCM 21 : C A. Vi = Vmax x [S]/Km+[S] B. Voir ci-dessus. QCM 22 : BDE A. l inhibiteur se lie sur le site actif à la place du substrat. C. pour atteindre Vmax/2, on a besoin de plus grandes concentrations en substrat donc le Km apparent augmente. QCM 23 : E QCM 24 : BCDE A. c est le saccharose. QCM 25 : CDE A. X Fer B. Impossible D. VRAI :une carence entraîne la scorbut! QCM 26 : BE A. Le D-mannose est l épimère en C2 du glucose C. C est l oxydation en C6 qui donne un acide uronique, le reste de la phrase est vrai D. La réduction du mannose donne bien du mannitol mais ce dernier n est pas métabolisable chez l homme QCM 27 : BCD A. Les ramifications sont toutes les molécules de glucose (le glycogène a une structure hélicoïdale plus dense que l amidon) E. La glycogénogenèse fait intervenir une glycogène synthétase QCM 28 : CD A. Irréversible B. FADH2 E. Du citrate et du CoA-SH QCM 29: E A. De faible affinité et non spécifique 119 / 291
120 B. Pyruvate kinase C. C est la réaction de phosphohéxose isomérase D. Faible affinité QCM 30 : ABE C. C est la pyruvate carboxylase qui catalyse cette réaction. D. La β oxydation a lieu dans la matrice mitochondriale. Sujet Type 2 : QCM 1 : ACD A. VRAI : En effet la proline est colorée en jaune, par la ninhydrine B. La glycine n a pas de carbone asymétrique C. VRAI : La glycine est impliquée dans la formation de la créatine D. VRAI : L acide glutamique est son précurseur E. Le tryptophane joue un rôle dans la dépression mais la tyrosine elle non QCM 2 : ACD A. VRAI : La forme zwitterion se trouve entre le pk des deux fonctions acides phi= (2,1+4,2)/2= voisin de 3 B. Voir A attention Asn n est pas l Aspartate E. Un seul = Ser QCM 3 : BD A. C est l inverse C. C est l inverse E. L hyperthyroïdie augmente la fréquence des battements cardiaques QCM 4 et 5 : La taille du peptide A indiqué qu il est composé de 9 AA or dans la liste donnée il n y a que 8AA, cela implique qu un des AA va se répéter dans le peptide. L action du DNFB nous donne le premier AA qui est donc une Met L action de la carboxypeptidase nous donne le dernier AA qui est donc une Thr La trypsine coupe après les AA basique, dans notre liste il s agit de l Arg (on peut penser que c est l AA qui se répète car il y a deux coupures) On note l utilisation du β-mercaptoéthanol Grâce aux DNFB on a le premier AA de chaque peptide obtenu La coloration jaune sur le peptide (c) confirme la présence de la Proline et sa sensibilité à la chymotrypsine indique la présence d un AA aromatique, la Phe dans notre liste Le PTH nous donne les trois premiers AA du peptide (a), on constate que c est la Cys qui est l AA répété 120 / 291
121 Cependant d où vient la coupure entre le (a) et (b)? C est la dernière phrase qui va nous faire comprendre qu il s agit d un pont entre les deux cystéines, c est un pont disulfure qui est coupé par le β-mercaptoéthanol. Il ne manque donc que la Valine à la fin du peptide (a) QCM 4 : ADE QCM 5 : BCD A. Un peptide et un AA E. La synthèse chimique d un peptide n est POSSIBLE QU en milieu anhydre QCM 6: AB C. La colonne étant chargée négativement, à ph = 3 tous les protéines seront retenues car elles seront majoritairement chargées positivement du fait de leur phi qui est supérieur au ph de la colonne. D. En gel-filtration, ce sont les protéines ayant le PM le plus élevé qui sont éluées en pre mier. Le bon ordre est : P2 - P3 - P1. E. La protéine P1 contient un site d action des Sérine/Thréonine Kinase. QCM 7: CE A. Premièrement, les PKA sont des Sérines/Thréonines Kinases, de plus ces, dernières agissent sur les AMP cycliques. B. Il s agit de protéine kinase. Le reste de l item est correct. D. Attention, il faut échanger les termes partielle et totale pour rendre l item correct. QCM 8: BDE A. Attention c est un ion FERREUX et non ferrique (Fe3+) C. Le CO2 se fixe sur la chaîne de globine. C est le CO qui se fixe sur l hème. QCM 9 : E A. Cela marquerait tous les lipides contenant de la choline, donc ce n'est pas spécifique des alkényl-phospholipides. B. Encore une fois non spécifique car l'iode marque tous les acides gras insaturés. C. Cela permettrait d'identifier les alkylphospholipides par leur fonction alcool. D. Non spécifique : mettrait aussi en évidence les alkylphospholipides et le sphingolipides. E. VRAI : cela détecte la fonction aldéhyde des alkénylphospholipides. QCM 10 : ACE B. Il se trouve en sn1 car il est visible seul lors de la PLA1 D. Ils ont au moins deux types de liaison car certaines sont insensible à la PLA2 QCM 11 : AD A. VRAI : on compte 20 carbones 121 / 291
122 B. Ici, on essaye de nous faire confondre avec la vitamine E, alors que c est une prostaglandine! C: Attention acide arachidonique!!! (C20:4 W6) D. VRAI : C est la prostaglandine E2 (2 = 2 doubles liaisons) E. C est une prostaglandine avec intervention de la COX. QCM 12 : BCD A. Avec cette maladie, aucune molécule de cholestérol n intègre les HDL, elles restent donc discoïdales. E. Pour les HDL, il s agit du Récepteur SR-B1 (Scavenger) QCM 13 : BD A. Ce sont les récepteurs aux LDL et non les SR. C. C est l inverse. E. Certaines variantes de la maladie entraînent l absence d expression des récepteurs aux LDL et donc ne peuvent pas du tout les lier et les internaliser QCM 14 : BD A. L origine de la maladie de Tangier est une mutation au niveau des protéines ABCA1. C. Le taux de HDL globulaire sera très faible E. Ce sont les HDL globulaires QCM 15 : BC A. La liaison étudiée à 4 C est normale, c est au niveau de l internalisation qu il y a un problème. C. VRAI : L ajout d une grande quantité de LDL froides ne déplacerait pas la liaison des HDL marquées car elle se lient à des récepteurs différents. D. C est le SR-BI qui lie les HDL quand elles reviennent au foie, apob/100 est le récepteur des LDL. E. La présence d une grande quantité de HDL froides déplacera la liaison aux récepteurs chez le témoin, on obtiendra un Bmax nettement inférieur. QCM 16 : ABCDE QCM 17 : BD A. ATTENTION : la formule est à savoir! Activité Spécifique = Activité enzymatique/mg de protéines /1720 = 122,1 mg de protéines (pour aller plus vite, il faut multiplier les propositions par le nombre d unités d activité spécifique). QCM 18 : ADE B. les coenzymes sont des cofacteurs indispensables à CERTAINES enzymes. C. elles sont hétérocycliques et hydrosolubles. 122 / 291
123 QCM 19 : CD A. 6 sommets. B. Aucun rapport, «D» signifie que la dernière fonction alcool est vers la droite. E. Il peut aussi s agir d un cétose. QCM 20: AB C. Voir A. D. Il s agit d un aldohexose. E. Il s y lie en β 1-4. QCM 21 : AC B. La réduction en C2 donne du Ribose. D. Au contraire, ils sont augmentés. E. C est l inverse, elles sont dégradées après désialylation. QCM 22 : BD A. C est un holoside. C. Pas l acide hyaluronique. E. Unies en β 1 -> 4 QCM 23 : ADE A. VRAI : ce sont les autres noms du fructose B. Il en possède 3 C. On ne peut pas déterminer de la série d un ose de quel côté il dévie la lumière QCM 24 : ACE B. Le muscle ne sait pas faire la néoglucogenèse. D. Le glucagon n est pas libéré en post prandial mais lors du jeun prolongé. QCM 25 : AE A. VRAI : les 4 réactions irréversibles du cycle de Krebs sont : 1,3,4,8. B. au cours de la transformation de succinyl-coa en succinate. C. cette réaction est IRréversible. D. la Malate est le substrat de la Malate déshydrogénase QCM 26 : DE A. À la formation d ADP! B. De faible affinité. C. C est une réduction. QCM 27 : ABE B. VRAI : L individu sain possède la Thiolase. L Acétyl CoA possède 2 carbones. Le nombre d Acétyl CoA produit est égal : nb de carbone de l acide gras / 2 = 16/2 = / 291
124 C. La patiente possède un déficit en Thiolase, la dernière réaction n est donc pas réali sable, la cellule n ira pas jusqu à la production d Acétyl CoA. D. 1 seul NADH,H+ E. VRAI : La CTP I est située une enzyme cytosolique. QCM 28 : BCDE A. Faible QCM en Vrac : AA, PEPTIDES ET PROTÉINES QCM 1 : E A. L histidine est bien un acide aminé essentiel (nouveauté de cette année!) B. Son phi est environ égal à 7. Néanmoins, l acide aspartique ainsi que l acide glutamique ont, eux, un phi voisin de 3. C. Décarboxylation D. L histidine est porteuse d un groupement imidazole. C est l Arginine qui porte le groupement guanidinium. QCM 2 : CDE A. Il s agit de l élimination de 2 atomes d azote! B. Dans la mitochondrie exclusivement. QCM 3 : BCD A. Nouveauté de cette année! La révélation à la ninhydrine permet de colorer les acides aminés en bleu, sauf pour la proline et l hydroxyproline qui seront colorés en jaune. B. VRAI : En effet, ce maximum d absorbance est lié à la présence du Trp qui est un acide aminé aromatique. E. La méthionine est un AA très hydrophobe contrairement à l acide glutamique qui possède des fonctions carboxyliques lui conférant une certaine hydrophilie. De fait, la méthionine migrera plus loin que l acide glutamique. QCM 4 : ABC D. Il s agit de la traduction EUCARYOTE, et non procaryote! E. Bien qu elle contienne un atome de soufre, la méthionine ne peut pas être engagée dans des ponts disulfures ; c est uniquement la cystéine qui le peut. QCM 5 : C A. Pour le glutathion, la liaison se fait sur le carbone du radical. B. L'item est juste mais le peroxyde se note H2O2 et il est réduit en deux molécules d'h2o. D. Activité hyperglycémiante, c'est l'insuline qui est hypoglycémiante. 124 / 291
125 E. C'est un anti-fongique. QCM 6 : ABC D. C est la créatine qui est stockée, la créatinine est la forme d élimination E. C est l inverse, on obtient de la citrulline après condensation de l ornithine QCM 7 : CDE A. C est l inverse. En chromatographie d échange de cations, plus le phi de l AA est élevé et plus il sera élué tardivement. Les molécules chargées + restent fixées sur la colonne, donc lors du passage du mélange, les molécules chargées - sont directement éluées. B. C est la Tyrosine (Tyr). C. VRAI : Ce sont Leu et Lys. E. VRAI : pour l Asp, pk1 =2,1, pk2 = 3,9 et pk3 = 9.3. Asp étant acide, la forme zwitterion se trouve entre le pk1 et le pk2, donc on a phi =(2,1+3.9)/2 = 3. QCM 8 : BE QCM 9 : C La bonne séquence de «pep» est MACIRCEF A. Intra chaîne B. Pas deux peptides mais un peptide et un AA (on appelle peptide une molécule ayant des liaisons peptidiques et comportant moins de 50 AA), en effet le premier acide aminé est une méthionine et le bromure de cyanogène coupe après les méthionines C. VRAI : la carboxypeptidase permet de déterminer l AA C-terminal et dans ce cas la phénylalanine est bien un AA aromatique donc il absorbe a 280nm D. Car on sait que le peptide II a un Phi acide cela veut donc dire qu il a forcément un AA acide et c est le cas du glutamate qui le seul AA acide de la séquence E. Car la phénylalanine doit se trouver à la fin car sinon l action de la chymotrypsine aurait été efficace et aurait donné un peptide de 660 et un peptide de 220 en coupant après la phénylalanine. QCM 10 : B A. Arg est scindée en urée et Ornithine B. VRAI : La première partie de la phrase est juste mais c est une décarboxylation de la Dopa C. Attention : il s agit du S-adénosyl-homocystéine D. Cette liaison amide interne se trouve dans la créatinine QCM 11 : TOUT FAUX A. Elle en possède une B. C est le collagène dont on parle C. La maladie des o de verre ou ostéogenèse imparfaite est liée au collagène et non la kératine 125 / 291
126 D. On donne la description de l épidermolyse bulleuse congénitale E. Seul les ponts SS INTERCATENAIRES seraient révélés QCM 12. BE 1) La trypsine coupe après une Arg. En calculant on déduit que le peptide a été coupé en 3 parties dont 2 de 330 Da (pep I) 2) Le β-mercaptoéthanol réduits les ponts cystiques : en sa présence on conserve les 2 peptides de 330 (ils ne contiennent pas de pont) mais on obtient deux peptides de 440 Da donc pep II contient un pont. 3) Le chlorure de danoyl permet d identifier l'aa Nterm de pep I 4) La chymotrypsine n ayant pas d effet sur RANGUEIL on en déduit la présence de Tyr en Cterm 5) Dinitrofluorobenzène permet de mettre en évidence l'aa Nterm de RANGUEIL. A. C est le cas de pep I. B. VRAI : C est pep I qui contient un AA aromatique. C. Pas besoin de calcul car in contient 2 AA neutres et 1 acide ( Asp ) donc son Phi est proche de 3. D. En bleu car il n y a pas de proline. E. VRAI : C est l une des possibilités. QCM 13. AC B. en vert à cause de la proline. C. VRAI : Déduit grâce au Phi. D. il réduit. E. 3 AA essentiels sur 8 AA au total, ce n est pas la majorité. QCM 14. D A. Secondaires. B. Les kératines sont fibrillaires. C. Seules les structures tertiaires sont stabilisées par liaisons covalentes. Les structures secondaires sont stabilisées par des liaisons faibles. E. Toutes les protéines n ont pas de structure quaternaire. De plus classiquement c est la structure tertiaire qui permet d obtenir une protéine active, cependant il existe des protéines actives au stade secondaire ou primaire QCM 15. BD A. Elle est tétramérique donc le SDS sépare ses sous unités. C. Ferreux E. N-term. 126 / 291
127 Enzymo QCM 16 : A A. Vrai : Km = (Vmax x [S] / Vi) - [S] = (96 x 50 / 24) - 50 = 150 µmol/l/min QCM 17 : ACE B. La liaison d un substrat sur un site d actif d une sous-unité favorise la liaison avec les autres sites actifs des autres sous-unités de l enzyme. D. Elles s adaptent à de faibles variations de substrat. QCM 18 : BCD A. Pour de très faibles Km, l affinité de l enzyme pour le substrat est forte. E. Holoenzyme = Apoenzyme + Coenzyme. QCM 19 : ADE B., C est un inhibiteur non compétitif. En effet, la Vmax est diminuée et le Km reste inchangé (l affinité de l enzyme pour le substrat reste la même). C. Il suffit de regarder dans l axe des abscisses, le point d intersection de la courbe avec l axe est identique pour la courbe [E] + [S] et ma courbe [E] + [S] + Molécule B et correspond à -1/KM. La molécule B étant un inhibiteur non compétitif, son Km est inchangé, on peut le voir sur la représentation de Lineweaver et Burk (les droites se coupent sur l axe des abscisses). QCM 20 : E A. Vi = Vmax x [S] / Km + [S] soit Vi= Vmax x / = 2/4 x Vmax = 0,5 Vmax. Lipoprotéines (relu par Mr Levade) QCM 21 : A B. Rien à voir car c est l ApoB100 qui va interagir avec le récepteur ApoB/E pour l internalisation des LDL. C. Défaut d internalisation des LDL D. Non, c est un cercle vicieux qui fait que le cholestérol plasmatique stocké dans les LDL ne pouvant être internalisé, les cellules hépatiques n ont pas un pool de cholestérol libre important ce qui va augmenter l activité de l HMG CoA réductase et par conséquent la production de cholestérol membranaire hépatique. E. Rien à voir, ce sont les caractéristiques de la maladie de Tangier. QCM 22 : ACE B. Non, plutôt des phospholipides D. Elle hydrolyse les TG en AG. 127 / 291
128 QCM 23 : AD B. Le VLDL va effectivement migrer plus loin que le LDL mais il est au niveau «pré-bêta» alors que le LDL est au niveau «bêta» C. Les chylomicrons restent effectivement au niveau du dépôt mais ce n est pas en alpha. E. C est en raison de sa grande taille que le chylomicron reste au niveau du dépôt, celui-ci a une petite et non une forte densité. Ce sont les HDL qui ont une petite taille et une densité importante. Attention à ne pas confondre taille et densité. QCM 24 : BE A. La concentration en HDL chargés en CE est basse car les HDL natifs ne sont pas chargés en cholestérol et donc la LCAT ne peut pas fonctionner correctement C. En effet, la LCAT fonctionne très peu car les HDL ne sont pas chargés en cholestérol D. ABCA1 est une protéine d efflux du cholestérol QCM 25 : BCE A. Le premier dépôt correspond à celui des chylomicrons B. VRAI : Attention liaison SPÉCIFIQUE! C. VRAI : La pente de la courbe pour le sujet normal et le patient 1 est la même (courbes parallèles) D. Le nombre de récepteurs reste le même! Les courbes du sujet normal et du patient 2 coupent l axe des abscisses en un même point (Bmax). QCM 26 : BCE A. Ceci provient d un déficit en LCAT qui une enzyme vasculaire, l ACAT est intracellulaire. D. Lipoprotéines restant au dépôt = chylomicrons les α correspondent aux HDL GLUCIDES et MÉTABOLISME QCM 27 : BE A. α-d-glucoses et β-d-fructoses C. C est la glycogénine D. D-mannosamine QCM 28 : CE A.Le volume des chaines osidiques linéaires est supérieur à la partie protéique B. Pas tous : l acide hyaluronique ne l est pas D. L acide hyaluronique ne possède pas de groupements sulfates QCM 29 : AD B. Attention ce n est pas 6 à 8 jours mais 6 à 8 semaines 128 / 291
129 C. Justement on ne peut pas le faire en cas d insuffisance rénale car c est un dosage qui repose notamment sur la concentration de l albumine or lors d une insuffisance rénale on constate une fuite de l albumine qui modifie la concentration de cette protéine dans le sang. Sinon dans les deux autres situations on préfère effectivement ce type de dosage à celui de l hémoglobine glyquée E. Le diabétique a effectivement plus d HbA1C mais la pathogénie des AGEs touche n importe quelle personne car les personnes non diabétiques subissent également dans leur organisme des réactions de glycations UE2 Sujet Type 1 (40 QCM 1h30) : Biocell : Relu et corrigé par Mme. Nogueira, M. Pages et M. Clavel BDR / BDD : relu par les professeurs N.Gatimel, L.Bujan, J.Moreau, E.Trémollieres, et R.Léandri QCM 1: À propos de la membrane plasmique (MP) A. Dans un milieu hypertonique, les globules rouges augmentent de volume et deviennent sphériques. B. Les MP des cellules humaines sont constituées de lipides et de protéines dont le rapport massique protéines/lipides est voisin de 1. C. Les molécules de lipides sont visibles après cryofracture. D. Les lipides membranaires sont de petites molécules avec un poids moléculaire compris entre 300 et 3000 Da. E. Il y a 5 molécules de lipides pour une molécule de protéine. QCM 2: À propos de la régulation du ph dans les cellules A. Les co-transporteurs antiports Na+/H+ sont plus efficaces pour lutter contre l acidification du cytosol que les échangeurs NaHCO3/HCl. B. L antiport Cl-/HCO3- permet de lutter contre l alcalinisation du cytosol. C. Une augmentation du ph > 7,2 active l échangeur Cl-/HCO3-. D. L échangeur Na+/H+ entre en jeu lorsque l abaissement du ph est important. E. Le risque d alcalinisation du cytosol est moins élevé que ceux d acidification. QCM 3: À propos des microtubules (MT) A. La tubuline est une protéine globulaire hétérotrimérique abondante dans le cytoplasme de toutes les cellules nucléées. B. Les dynéines sont composées de 2 chaines lourdes ATPasique et d une dizaine de chaines légères. C. La tubuline est une molécule asymétrique polarisée. D. In vitro, les molécules de tubuline, en présence d ATP et de Mg2+, s assemblent en court protofilament. E. Les MAPs (Microtubules associated proteins) sont des protéines stabilisantes possédant 2 domaines dont un se lie aux MT. QCM 4: À propos du noyau A. La membrane nucléaire externe est tapissée d'une structure fibreuses : la lamina nucléaire. B. En ME, après coloration au tétroxyde d'osmium, le noyau apparaît coloré de manière hétérogène. 129 / 291
130 C. L'hétérochromatine correspond aux zones denses situées en périphérie. D. L'euchromatine correspond aux zones denses situées en périphérie. E. L'enveloppe nucléaire fait partie du système endomembranaire. QCM 5: À propos du cytosol A. Seul l ARNt complémentaire se fixe au premier essai au codon du site A. B. L ARNm mature forme une boucle rapprochant les extrémités 5 et 3, nécessaire à l ini tiation de la traduction. C. Après l exportation de l ARNm du noyau dans le cytosol, des facteurs d initiation viennent se fixer, au niveau de sa séquence non codante 3 UTR. D. Dans le code génétique, plusieurs codons ne codent pas un même acide aminé. E. Les deux sous-unités du ribosome sont accolées lorsqu elles sont associées à un ARNm. QCM 6: À propos du cycle cellulaire et de la sénescence réplicative A. Les changements tels que l induction de p16 et l inhibition de p53 contribuent à la sénescence. B. Dans les cellules sénescentes, les niveaux de p16 et p21 sont élevés, le cycle est ainsi bloqué en G1. C. La sénescence réplicative correspond à l arrêt définitif du cycle cellulaire. D. Tous les types cellulaires issus de tissus humains adultes peuvent réaliser in vitro au plus 100 divisions. E. Les cellules souches adultes et les cellules de la lignée germinale expriment une télomérase, enzyme qui compense le raccourcissement des télomères. QCM 7: À propos de la différenciation et de la régénération tissulaire A. POU2FA et POU2F3 participent au contrôle des stades tardifs qui précèdent la cornification B. Les épidermes palmaires et plantaires expriment le gène de la cytokératine 9 et ré priment les gènes des cytokératines 1,2 et 10. C. La prolifération des proérythroblastes est sensible à l action de l érythropoïétine, sécrétée par certaines cellules de la moelle. D. Les lymphocytes B sont capables de se diviser contrairement aux autres cellules sanguines E. La plupart des clones du lymphocyte B vont suivre un programme de différenciation terminale qui les transforme en plasmocytes sécréteurs d anticorps. QCM 8: À propos de la mitochondrie A. Les protéines provenant du noyau ne doivent pas être dénaturées pour pouvoir être transloquées dans la mitochondrie. B. L ADN mitochondrial est double brin, circulaire et subit un épissage. C. Les mitochondries se déplacent le long des microtubules, dans les deux sens, par l in termédiaire de protéines motrices de la famille des kinésines et des dynéines. D. L observation des mitochondries au sein de cellules vivantes montrent qu elles sont en mouvements. E. Le complexe I de la chaîne respiratoire est appelé la NADH oxydase. QCM 9: À propos de la superfamille des intégrines A. Les intégrines peuvent être SAM ou CAM mais sont toujours calcium-dépendantes (ou magnésium-dépendantes). B. Les intégrines sont des hétérodimères formées de deux chaînes associées de façon co- 130 / 291
131 valente. C. Le type de chaîne β permet de déterminer différents groupes d'intégrines. D. Le segment COOH terminal des intégrines se lie toujours au cytosquelette d'actine. E. Les intégrines SAM sont magnésium-dépendantes alors que les intégrines CAM sont calcium-dépendantes. QCM 10: À propos de la translocation co-traductionnelle A. Le translocon est maintenu à l'état fermé par la BiP (Binding Protein) qui joue le rôle d'un «bouchon». B. La traduction de toutes les protéines débute sur des ribosomes cytosoliques. C. Un peptide signal est constitué d'une partie centrale le plus souvent hydrophobe, entourée des deux côtés par quelques acides aminés hydrophiles. D. Le peptide signal clivable est le seul peptide signal d'une protéine à destinée sécrétoire. E. Le diamètre interne du translocon ne permet pas le stockage de plus de deux domaines transmembranaires d'une protéine singlepass, l'un dans le canal proprement dit, l'autre dans son ouverture latérale. QCM 11: À propos de l immunocyto(histo)chimie A. Pour étudier la colocalisation de deux antigènes on peut utiliser 2 billes d or de taille différentes ou 2 fluorochromes différents tel que la rhodamine et le rouge Texas. B. On ne peut pas utiliser le système avidine/biotine pour la visualisation d une séquence nucléotidique. C. Un résultat négatif ne signifie pas forcément que l antigène recherché est absent ; c est ce qu on appelle un «faux négatif». D. Les réactions croisées sont plus importantes avec les antisérums puisqu ils contiennent une plus grande variété d anticorps. E. Si un anticorps monoclonal produit une réaction croisée, il n existe pas de méthode pour s en affranchir. QCM 12: À propos des techniques d observation en biologie cellulaire A. La GFP est une protéine de petite taille qui permet la visualisation en fluorescence de protéines dites chimères dans des cellules vivantes. B. La GFP permet la visualisation d un manteau d actine sous membranaire lors de la phagocytose en microscopie confocale. C. Il est possible d obtenir différents variants de différentes longueurs d onde par mutagénèse à partir du gène codant pour la GFP. D. La technique du FRAP (Fluorescence recovery after photobleaching) permet par exemple d avoir une visualisation dynamique d une molécule du RE vers le Golgi. E. Pour appliquer la technique du FRAP, on utilise de préférence le microscope confocal. QCM 13 : A propos du tissu épithélial. A. L épithélium de l'oesophage est de type malpighien kératinisé. B. Les microfilaments d'actine de l'axe d'une microvillosité sont reliés entre eux par des ponts protéiques de fimbrine et de villine. C. Les villosités de l'épithélium intestinal portent le nom de bordure en brosse. D. Les microfilaments d'actine sont ancrés à la membrane plasmique de la microvillosité par des protéines d'actine I et de calmoduline. E. Le glycocalyx n'est pas observable en microscopie optique. QCM 14: A propos du tissu épithélial. A. Le cil proprement dit est agencé par 9 triplets de microtubules B. Toutes les cellules constitutives de l épithélium intestinal sont porteuses d un plateau strié au niveau du pôle apical. C. Les cadhérines des hémi-desmosomes du pôle basal des cellules épithéliales s ancrent à la lame basale. 131 / 291
132 D. Les glandes mixtes ou amphicrines sont à la fois muqueuses et séreuses. E. Les glandes sudoripares sont des glandes tubulaires contournées. QCM 15: A propos du tissu musculaire strié squelettique. A. Une molécule de myosine possède au niveau de sa tête un site de liaison avec l actine ainsi qu un site ATPase. B. La desmine, en passant au niveau des stries Z des myofibrilles, permet l ancrage de ces dernières entre elles ainsi qu au sarcolemme. C. Le muscle peut utiliser 3 voies principales pour produire l énergie nécessaire à sa contraction. D. Au sein d un même muscle, on peut avoir un mélange de fibres de type 2a et 2b, mais les fibres de type 1 ne se mélangent jamais avec les 2a et les 2b. E. La myopathie de Duchenne est une pathologie musculaire provenant d une anomalie de la dystrophine. QCM 16: A propos du tissu musculaire strié squelettique. A. Afin de différencier les différents types de fibres, on peut par exemple utiliser le PAS car il met en évidence le glycogène des cellules. B. Il existe deux types de cellules intra-fusales visibles en coupe longitudinale : les cellules à sac nucléaire ainsi que les cellules à chaîne nucléaire. C. Les fibres gamma permettent une innervation sensitive du fuseau neuromusculaire et des fibres intra-fusales. D. La fixation d acétylcholine sur les récepteurs membranaires du rhabdomyocyte permet l ouverture de canaux ioniques et ainsi la contraction grâce à la recapture du calcium dans le réticulum sarcoplasmique. E. Les cellules satellites présentes entre la lame basale et les rhabdomyocytes sont des cellules quiescentes, se multipliant si besoin pour remplacer les rhabdomyocytes qui ne sont plus fonctionnels. QCM 17 : A propos du tissu nerveux. A. Dans les synapses chimiques, l influx nerveux entraîne au niveau de l élément présynaptique l ouverture de canaux calciques. B. La protéine MAP Tau est une protéine associée aux microtubules dans les axones. Elle stabilise les microtubules en empêchant leur dépolymérisation lorsqu elle est phosphorylée. C. Les toxines et les virus peuvent parvenir au corps cellulaire par le transport rétrograde allant de l'extrémité - à l extrémité + des microtubules de l axone. D. Les astrocytes fibreux sont retrouvés dans la substance blanche, ils contiennent des filaments intermédiaires de GFAP (protéine acide gliofibrillaire) et peu de prolongements. E. Le transport rétrograde permet d amener au soma des neurotrophines (NGF) indispensables au bon fonctionnement du neurone. QCM 18 : A propos du tissu nerveux. A. Les jonctions étanches de l endothélium cérébrale sont mises en place précocement au 3ème mois de vie intra-utérine. B. La greffe de tissu cérébrale au niveau de l'intestin entraîne pour les capillaires intestinaux colonisant le tissu cérébral l acquisition de jonctions étanches. C. Le transport antérograde lent est le transport majoritaire quantitativement et il est plus lent que le transport rétrograde. 132 / 291
133 D. La ligne dense mineur est formée de l accolement des feuillets internes de la membrane de la cellule de Schwann. E. La fente inter-synaptique chimique est un espace intercellulaire de 20 à 30 nm dépourvue de basale. QCM 19 : A propos du tissu nerveux. A. L épinèvre est un tissu conjonctif lâche qui entoure un faisceau de fibres nerveuses. B. Les épendymocytes sont des cellules cylindriques disposant d une basale et bordant les cavités du système nerveux central. C. La vitesse de conduction de l influx nerveux dans les fibres amyéliniques est strictement proportionnelle au diamètre de la fibre. D. La protéine PLP n est retrouvée que dans la myéline du SN central alors que la protéine P0 n est retrouvé que dans la myéline du SN périphérique. E. Dans le SN périphérique, la fibre nerveuse a un rôle trophique sur la gaine de myéline et sur les organes effecteurs. QCM 20 : A propos du tissu musculaire myocardique. A. 3 types de cellules participent à la contraction du coeur : les cardiomyocytes contractiles, les cellules myoendocrines ainsi que les cellules cardionectrices. B. On retrouve principalement les cellules myoendocrines au niveau de l atrium gauche. C. Les cellules cardionectrices sont des cellules contenant très peu de myofibrilles et sont à l origine de l impulsion cardiaque. D. On ne retrouve pas dans les cardiomyocytes contractiles de citerne terminale, mais des petits pédicules apposés au niveau des tubules T, ce qui permet une transmission rapide de l influx nerveux. E. Au niveau des portions verticales des traits scalariformes, on observe des gap jonctions (facilitant le passage de l influx nerveux) alors qu au niveau de la portion horizontale, on voit des macula et zonula adherens. QCM 21 : A propos du tissu sanguin. A. Les érythrocytes ont une demie-vie d environ 120 jours. B. La numération formule sanguine est obtenue à la suite d un frottis cellulaire qui ne nécessite pas de fixation chimique. C. Une anémie hémolytique néonatale est due à une incompatibilité foeto-maternelle ; où le foetus est de rhésus positif alors que la mère est rhésus négatif par exemple. D. La maladie de Minkowski-Chauffard est une sphérocytose héréditaire où les hématies perdent leur forme biconcave. E. L adhésion des plaquettes est permise par le facteur Von Willebrand lors de l hémostase secondaire. QCM 22 : A propos du tissu sanguin. A. Dans les granulations primaires des polynucléaires neutrophiles, on retrouve des hydrolases acides, du lysozyme, de la myéloperoxydase et des protéines basiques ou cationiques. B. Au cours de sa formation, la taille du PNN diminue, le nombre de nucléole diminue, la chromatine se condense, les granulations primaires diminuent et les secondaires augmentent. C. Les granulation spécifiques des polynucléaires basophiles sont constituées d histamine, d héparine et de facteur chimiotactique. 133 / 291
134 D. Les monocytes restent plusieurs mois dans les tissus où ils deviendront des histiocytes ou des macrophages. Ils deviendront notamment des microgliocytes lors de leur passage dans le SNC. E. Sur un frottis sanguin, la lignée granuleuse représente 50 à 70%. QCM 23 : A propos du tissu sanguin. Votre belle mère se présente à votre cabinet et se plaint (encore ) d être fatiguée, essoufflée et avec une température égale à 38 C. À la fin de votre examen clinique, vous demandez une numération formule sanguine, les résultats obtenus sont les suivants : Hématocrite = 40 %, Taux d hémoglobine = 13 g/dl de sang, Volume globulaire moyen = 85 fl, Concentration Corpusculaire Moyenne en Hémoglobine = 34%, Taux de Leucocytes = 9 G/ L dont Polynucléaires neutrophiles = 7, Polynucléaires basophiles = 0,2 G/L, Polynucléaires éosinophiles = 0,2 G/L, lymphocytes = 0,5 G/L, taux de plaquettes = 500 G/L.A. A. On peut affirmer qu il y a une anémie. B. Le taux de polynucléaires basophiles est supérieur à la normale. C. On peut constater une lymphopénie. D. La taux de polynucléaires neutrophiles nous fait suspecter une infection bactérienne grave. E. Au vu du nombre de thrombocytes on a un risque d hémorragie. QCM 24 : A propos des tissus conjonctifs. A. En MO, la fibrille d une fibre réticulée présente une striation transversale périodique de 67 nm de long et 10 à 300 nm de diamètre. B. La vitamine D est un facteur nécessaire à la synthèse du collagène. C. L acide hyaluronique ne possède pas de groupement sulfate et est formé d'une même unité monosaccharidique. D. Les adipocytes univacuolaires jouent un rôle dans le métabolisme des lipoprotéines et du cholestérol. E. Les cellules mobiles naissent dans la moelle hématopoïétique, passent dans le sang pour ensuite rejoindre le tissu conjonctif. QCM 25 : A propos des tissus conjonctifs. A. Le cartilage hyalin se retrouve, entre autres au niveau de la trachée, des bronches et de l épiglotte. B. Le cartilage hyalin composé de collagène de type II, est le cartilage majoritaire de l organisme. C. Les fibres de collagènes sont individualisables avec les méthodes usuelles de MO. D. La chondrocalcinose est une pathologie du tissu cartilagineux, due à une anomalie de synthèse des glycosaminoglycanes. E. Le périchondre borde le cartilage articulaire. QCM 26 : A propos de l os. A. En activité, les ostéoblastes présentent des jonctions communicantes sur les côtés et des digitations cytoplasmiques au pôle basale. B. L ostéoporose est due à un problème de minéralisation. C. Après 50 ans, la chute d E2 est responsable d une perte osseuse supérieure chez la femme par rapport à l homme. D. Dans le cartilage hypertrophique on remarque une dilatation des ostéoplastes au dépend de la matrice. 134 / 291
135 E. Pendant la vie intra-utérine, des bourgeons conjonctivo-vasculaires pénètrent au centre de l épiphyse mais l ossification enchondrale épiphysaire ne débute qu à la naissance. QCM 27 : Concernant l'appareil urinaire embryonnaire A. Le rein dérive de l entoblaste. B. Le pronéphros est éphémère, il apparaît en fin de troisième semaine et disparaît en fin de quatrième semaine. C. L extrémité médiane des tubules mésonéphrotiques s invagine en cupule qui vient au contact du glomérule. D. Le métanéphros est constitué seulement du blastème métanéphrogène. E. L agénésie rénale unilatérale présente des syndromes malformatifs : syndrome de Potter. QCM 28 : A propos de la délimitation de l embryon A. Avant l inflexion, le septum transversum se trouve en avant de la membrane pharyngienne. B. Le cœlome interne est bordé par la splanchnopleure (ectoblaste) et la somatopleure (entoblaste) embryonnaires. C. Les vaisseaux et les nerfs de l intestin primitif cheminent dans le mésentère dorsal. D. La délimitation se traduit par une plicature du disque embryonnaire en ventral. E. Le tube cardiaque est en avant de la membrane pharyngienne après l inflexion céphalique. QCM 29 : A propos des généralités embryonnaire A. Pendant la phase fœtale, l ébauche des différents organes apparaît tout comme les battements cardiaques (à la 4ème-5ème semaine). B. Avant la 3ème semaine, c est la loi du tout ou rien, si des anomalies importantes du développement apparaissent, l embryon mourra. C. Lors de la 1ère semaine, les cellules se segmentent, passant du stade blastocyste à morula puis à blastomères. D. Le foetus prend le plus de poids lors des 2 derniers mois. E. Lors de la croissance du foetus, au début du 3ème mois sa tête mesure ½ de la longueur vertex coccyx, au début du 5ème mois elle fait ⅓ vertex coccyx. QCM 30 : Embryologie A. Le tissu syncytial est constitué d une masse de noyaux et de cytoplasme car les cellules se multiplient sans s individualiser (sans cytodiérèse) lors de l infiltration. B. C est l œstrogène qui est responsable de l apparition de pinopodes au pôle apical des cellules endométriales. C. Lors de la phase d adhésion, la transduction du signal se fait au niveau de la cellule qui porte la cadhérine, par conséquent la réponse des cellules endométriales se traduit par une augmentation de la polarité cellulaire. D. Le mésoblaste extra-embryonnaire va se creuser de lacunes appelées cavités cœlomiques au 12ème jour qui conflueront pour donner le cœlome extra-embryonnaire. E. La somatopleure extra-embryonnaire résulte du mésoblaste accolé contre la vésicule tandis que la splanchnopleure provient du mésoblaste accolé contre la cavité amniotique. QCM 31 : Embryologie A. La partie la plus crâniale migratrice du mésoblaste va constituer le mésoblaste latéral. B. Au 14ème-15ème jour, le prolongement céphalique s est étendu, cela correspond au dé- 135 / 291
136 but de la formation du tube neural avec une ébauche de la gouttière médullaire. C. Lors de la formation du disque tridermique, le mouvement d ingression se met en place ; cela correspond à une augmentation des E-cadhérines au niveau des jonctions adhérentes. D. Des méthodes contraceptives peuvent entraîner des défauts d implantation et de nidation. E. La sphère choriale se constitue du mésoblaste pariétal, du syncytiotrophoblaste et du cytotrophoblaste. QCM 32 : Embryologie A. La recherche sur les cellules souches embryonnaires ne doit pas obligatoirement s inscrire dans une finalité médicale mais le projet doit être pertinent. B. Les colonies de cellules à l état indifférencié présentent des bordures non nettes contrairement à l état différencié. C. Les cellules totipotentes peuvent conduire au développement complet de l individu. D. Au niveau du territoire intra-embryonnaire, les premiers vaisseaux apparaissent sous la forme d amas cellulaires angio-formateurs au niveau de l extrémité caudale. E. Une villosité secondaire placentaire est composée de mésoblaste extra-embryonnaire (axe conjonctif), d une couronne de cellules cytotrophoblastiques et de vaisseaux sanguins fonctionnels. QCM 33. A propos de la méiose et de l ovogenèse A. La thèque interne possède une aromatase impliquée dans les phénomènes hormonaux B. Les anomalies de structure sont liées à des anomalies de recombinaison génétique en 1 ère division de méiose. C. La la zone pellucide de l ovocyte apparait dès le stade follicule primaire. D. La maturation ovocytaire permet la synthèse des granules corticaux à partir de vési cules issues de la membrane plasmique ovocytaire E. Une anomalie de recombinaison conduit toujours à une perte ou à un gain de matériel génétique QCM 34. A propos du spermatozoïde, de la spermatogenèse et sa régulation et du sperme A. Au niveau du col du spermatozoïde, entre la plaque basale et le capitulum on a des microfilaments qui les relient. B. Le marqueur pour les sécrétions de la vésicule séminale est la carnitine. C. La spermatogonie II va être le siège de la deuxième mitose de la méiose ; la mitose équationnelle. D. La 5 alpha reductase transforme la testostérone en 5 dehydro-testostérone, un androgène plus actif. E. Si la température extérieure baisse, le corps de l homme va s adapter et on va remarquer une rétraction du scrotum afin de diminuer la surface d échange et la perte calorique. QCM 35. A propos de la fécondation A.L ovocyte qui était bloqué en Prophase 1 va pouvoir reprendre la méiose jusqu à l expulsion du deuxième globule polaire B. Le degré d hydratation des mailles de la glaire cervicale est contrôlé par la progestérone permettant, autour de l ovulation, une forte hydratation et donc de grandes mailles pour que les spermatozoïdes puissent passer. 136 / 291
137 C. Les spermatozoïdes n ayant pas effectué la réaction acrosomique au niveau du cumulus oophorus peuvent traverser ultérieurement la zone pellucide D. La fixation secondaire fait intervenir ZP2 et SPAM1 au niveau de la membrane acrosomique interne, elle est spécifique de l espèce et rend impossible la fécondation inter-espèce E. Un spermatozoïde capacité introduit dans l espace péri-vitellin et ayant un acrosome encore intact ne pourrait pas être fécondant. QCM 36. Epidémiologie, PMA et perturbateurs endocriniens A.Les causes d infertilité sont en majorité mixtes dans 38% des cas B.La fertilité correspond à la probabilité de concevoir par cycle. C.La valeur seuil d'exposition au bisphénol A, appelée HBM-I est de 0,1 g/l pour les en fants. D.La capacitation et la sélection des spermatozoïdes se font en parallèle suivant 2 tech niques : la migration ascendante et le gradient de centrifugation. E.Les embryons obtenus en fécondation in vitro après 24h seront placés dans un milieu de culture riche en glucose. QCM 37. A propos des hormones thyroïdiennes A. L iode nécessaire à la synthèse des hormones thyroïdiennes est synthétisé dans le foie avant d être transporté dans la glande thyroïde. B. Les cellules folliculaires sont les cellules thyroïdiennes spécialisées dans la synthèse des hormones thyroïdiennes. C. La desoxydase permet de fixer les atomes d iode sur les résidus tyrosils la thyroglobuline. D. Les hormones thyroïdiennes circulent principalement libres dans le sang. E. La T4 est composée de 2 molécules de di-iodo-tyrosine. QCM 38 : A propos de la différenciation sexuelle A.WT1 est impliqué précocement dans la morphogenèse gonadique et hépatique. B. La testostérone permet la différenciation des organes génitaux internes, et la dihydrotestostérone est nécessaire pour la différenciation des organes génitaux externes. C. Les individus présentant un pseudo-hermaphrodisme ont une gonade anormale mais une production gonadique normale. D.Le rôle exclusif de SRY est indispensable. E.Chez la fille, l'ham permet la différenciation des canaux de Müller pour donner les structures du tractus génital interne de la fille : trompes, utérus et les 2/3 supérieur du vagin. QCM 39. A propos de la puberté A. Au moment de la puberté, il y a une diminution du tonus GABAergique. B. L adrénarche a lieu avant la puberté et correspond à une synthèse périphérique de testostérone. C. Le GABA possède un mode d action direct et indirect sur le gonadostat. D. Le GnRH est un tripeptide 137 / 291
138 E. Une puberté précoce vraie se caractérise par une activation de l axe hypothalamo-hypophysaire et une production de stéroïdes sexuels par les surrénales. QCM 40. A propos du placenta A.La pression osmotique du sang fœtal est supérieure à celle de la mère. B.La transferrine et les IgG passent la barrière placentaire C.La progestérone placentaire prend le relais de la progestérone du corps jaune gravidique à la fin du 3ème mois. D.Le placenta est implanté sur toute la cavité utérine. E.Les vitamines liposolubles (A,D,E,K) peuvent passer la barrière placentaire. Sujet Type 2 (40 QCMs 1h30) : QCM 1 : À propos de la membrane plasmique (MP) A. Dans un milieu hypertonique, les globules rouges augmentent de volume et deviennent sphériques. B. Les MP des cellules humaines sont constituées de lipides et de protéines dont le rapport massique protéines/lipides est voisin de 1. C. Les molécules de lipides sont visibles après cryofracture. D. Les lipides membranaires sont de petites molécules avec un poids moléculaire compris entre 300 et 3000 Da. E. Il y a 5 molécules de lipides pour une molécule de protéine. QCM 2 : À propos de la régulation du ph dans les cellules A. Les co-transporteurs antiports Na+/H+ sont plus efficaces pour lutter contre l acidification du cytosol que les échangeurs NaHCO3/HCl. B. L antiport Cl-/HCO3- permet de lutter contre l alcalinisation du cytosol. C. Une augmentation du ph > 7,2 active l échangeur Cl-/HCO3-. D. L échangeur Na+/H+ entre en jeu lorsque l abaissement du ph est important. E. Le risque d alcalinisation du cytosol est moins élevé que ceux d acidification. QCM 3 : À propos des microtubules (MT) A. La tubuline est une protéine globulaire hétérotrimérique abondante dans le cytoplasme de toutes les cellules nucléées. B. Les dynéines sont composées de 2 chaines lourdes ATPasique et d une dizaine de chaines légères. C. La tubuline est une molécule asymétrique polarisée. D. In vitro, les molécules de tubuline, en présence d ATP et de Mg2+, s assemblent en court protofilament. E. Les MAPs (Microtubules associated proteins) sont des protéines stabilisantes possédant 2 domaines dont un se lie aux MT. QCM 4: À propos du noyau A. La membrane nucléaire externe est tapissée d'une structure fibreuses : la lamina nucléaire. B. En ME, après coloration au tétroxyde d'osmium, le noyau apparaît coloré de manière hétérogène. C. L'hétérochromatine correspond aux zones denses situées en périphérie. D. L'euchromatine correspond aux zones denses situées en périphérie. E. L'enveloppe nucléaire fait partie du système endomembranaire. QCM 5: À propos du cytosol A. Seul l ARNt complémentaire se fixe au premier essai au codon du site A. 138 / 291
139 B. L ARNm mature forme une boucle rapprochant les extrémités 5 et 3, nécessaire à l ini tiation de la traduction. C. Après l exportation de l ARNm du noyau dans le cytosol, des facteurs d initiation viennent se fixer, au niveau de sa séquence non codante 3 UTR. D. Dans le code génétique, plusieurs codons ne codent pas un même acide aminé. E. Les deux sous-unités du ribosome sont accolées lorsqu elles sont associées à un ARNm. QCM 6: À propos du cycle cellulaire et de la sénescence réplicative A. Les changements tels que l induction de p16 et l inhibition de p53 contribuent à la sénescence. B. Dans les cellules sénescentes, les niveaux de p16 et p21 sont élevés, le cycle est ainsi bloqué en G1. C. La sénescence réplicative correspond à l arrêt définitif du cycle cellulaire. D. Tous les types cellulaires issus de tissus humains adultes peuvent réaliser in vitro au plus 100 divisions. E. Les cellules souches adultes et les cellules de la lignée germinale expriment une télomérase, enzyme qui compense le raccourcissement des télomères. QCM 7: À propos de la différenciation et de la régénération tissulaire A. POU2FA et POU2F3 participent au contrôle des stades tardifs qui précèdent la cornification B. Les épidermes palmaires et plantaires expriment le gène de la cytokératine 9 et ré priment les gènes des cytokératines 1,2 et 10. C. La prolifération des proérythroblastes est sensible à l action de l érythropoïétine, sécrétée par certaines cellules de la moelle. D. Les lymphocytes B sont capables de se diviser contrairement aux autres cellules sanguines E. La plupart des clones du lymphocyte B vont suivre un programme de différenciation terminale qui les transforme en plasmocytes sécréteurs d anticorps. QCM 8: À propos de la mitochondrie A. Les protéines provenant du noyau ne doivent pas être dénaturées pour pouvoir être transloquées dans la mitochondrie. B. L ADN mitochondrial est double brin, circulaire et subit un épissage. C. Les mitochondries se déplacent le long des microtubules, dans les deux sens, par l in termédiaire de protéines motrices de la famille des kinésines et des dynéines. D. L observation des mitochondries au sein de cellules vivantes montrent qu elles sont en mouvements. E. Le complexe I de la chaîne respiratoire est appelé la NADH oxydase. QCM 9: À propos de la superfamille des intégrines A. Les intégrines peuvent être SAM ou CAM mais sont toujours calcium-dépendantes (ou magnésium-dépendantes). B. Les intégrines sont des hétérodimères formées de deux chaînes associées de façon covalente. C. Le type de chaîne β permet de déterminer différents groupes d'intégrines. D. Le segment COOH terminal des intégrines se lie toujours au cytosquelette d'actine. E. Les intégrines SAM sont magnésium-dépendantes alors que les intégrines CAM sont calcium-dépendantes. QCM 10 : À propos de la translocation co-traductionnelle A. Le translocon est maintenu à l'état fermé par la BiP (Binding Protein) qui joue le rôle d'un «bouchon». B. La traduction de toutes les protéines débute sur des ribosomes cytosoliques. C. Un peptide signal est constitué d'une partie centrale le plus souvent hydrophobe, entourée des deux côtés par quelques acides aminés hydrophiles. 139 / 291
140 D. Le peptide signal clivable est le seul peptide signal d'une protéine à destinée sécrétoire. E. Le diamètre interne du translocon ne permet pas le stockage de plus de deux domaines transmembranaires d'une protéine singlepass, l'un dans le canal proprement dit, l'autre dans son ouverture latérale. QCM 11 : À propos de l immuno(histo)chimie A. Pour étudier la colocalisation de deux antigènes on peut utiliser 2 billes d or de taille différentes ou 2 fluorochromes différents tel que la rhodamine et le rouge Texas. B. On ne peut pas utiliser le système avidine/biotine pour la visualisation d une séquence nucléotidique. C. Un résultat négatif ne signifie pas forcément que l antigène recherché est absent ; c est ce qu on appelle un «faux négatif». D. Les réactions croisées sont plus importantes avec les antisérums puisqu ils contiennent une plus grande variété d anticorps. E. Si un anticorps monoclonal produit une réaction croisée, il n existe pas de méthode pour s en affranchir. QCM 12 : À propos des techniques d observation en biologie cellulaire A. La GFP est une protéine de petite taille qui permet la visualisation en fluorescence de protéines dites chimères dans des cellules vivantes. B. La GFP permet la visualisation d un manteau d actine sous membranaire lors de la phagocytose en microscopie confocale. C. Il est possible d obtenir différents variants de différentes longueurs d onde par mutagénèse à partir du gène codant pour la GFP. D. La technique du FRAP (Fluorescence recovery after photobleaching) permet par exemple d avoir une visualisation dynamique d une molécule du RE vers le Golgi. E. Pour appliquer la technique du FRAP, on utilise de préférence le microscope confocal. QCM 13 : À propos du tissu glandulaire A. La tumeur bénigne qui dérive d un épithélium glandulaire est appelé un papillome. B. Le parotide est une glande exocrine, acineuse, composée, mérocrine et muqueuse. C. Un mucus acide est basophile et apparaît métachromatique au PAS. D. Au niveau des glandes mammaires, les cellules sécrétrices rejettent les produits lipidiques selon un mode de sécrétion apocrine. E. Les glandes de Brünner sont un bon exemple de glandes exocrines tubuleuses simples. QCM 14 : À propos du tissu épithélial A. Le mésothélium correspond à la séreuse tapissant la plèvre, le péricarde et le péritoine. B. La fibronectine est une glycoprotéine spécifique des basales. C. Les jonctions étanches ou Zonula occludens se trouvent uniquement au pôle apical des cellules épithéliales. D. Le collagène de type IV est spécifique des basales. E. Un épithélium de type cubique simple est retrouvé au niveau des bronchioles terminales. QCM 15 : Au sujet du tissu cartilagineux A. Le tissu cartilagineux n est pas vascularisé mais bien innervé. B. Le cartilage fibreux se retrouve au niveau des disques intervertébraux, des ménisques et de la symphyse pubienne. C. La substance fondamentale du cartilage est notamment composé de 70 à 80% d eau, de glycoprotéine comme la chondronectine ainsi que de protéoglycanes comme les aggrécans. D. Des agrégats regroupant des centaines d aggrécans associés de façon covalente à l acide hyaluronique, forment d énorme polymères chargés négativement. E. Le périchondre est un tissu conjonctif dense non orienté qui héberge dans sa partie externe des cellules progénitrices. 140 / 291
141 QCM 16 : Au sujet du tissu osseux A. Les ostéocytes ont un aspect cubique lorsqu ils sont en activité. B. Le tissu osseux primaire peut être retrouvé chez l adulte en situation pathologique. C. La ligne cémentante d un système de Havers complet correspond à la ligne d érosion par les ostéoclastes. D. Au cours de l ossification enchondrale, les chondrocytes hypertrophiques vont sécréter de la phosphatase alcaline permettant d assurer la minéralisation de la matrice. E. L ossification primaire débute à partir du 2ème mois de vie intra-utérine. QCM 17 : À propos du tissu musculaire strié squelettique A. La nébuline retrouvée sur toute la longueur du sarcomère permet de résister à un étirement excessif de celui-ci. B. Les fibres blanches rapides glycolytiques ou fibres de type de IIb, ont une contraction et une fatigabilité élevées. C. L unité contractile du muscle, le sarcomère est constitué d une bande A entre deux stries Z, et d une bande I. D. Une mutation du gène de la dystrophine porté sur le chromosome X, peut être responsable de la myopathie de Duchenne, pathologie à l origine d une dégénérescence des cellules musculaires striées squelettiques. E. L unité motrice correspond à l ensemble des fibres musculaires extra-fusales, innervées par le même motoneurone alpha. QCM 18 : Au sujet du tissu musculaire lisse A. Le léiomyome est une tumeur bénigne dérivée des cellules musculaires lisses. B. Les corps denses des léiomyocytes sont composés principalement par de l alpha-actinine et sont l équivalent fonctionnel des tubules T au niveau des rhabdomyocytes. C. Les myofialements constituants les myofibrilles permettent une contraction lente, durable et soutenu de la cellule musculaire lisse. D. La transmission du potentiel d action se fait à travers une jonction neuro-musculaire de la même façon que pour les rhabdomyocytes. E. Au cours de sa contraction, le léiomyocyte va prendre une forme globulaire d autant plus que son noyau à la capacité de s enrouler sur lui même. QCM 19 : À propos du tissu musculaire A. La tropomyosine est une protéine filamenteuse, qui en l absence de Ca++, va masquer les sites de liaison de l actine pour les têtes de myosine. B. Les cellules myoendocrines sont essentiellement localisées au niveau de l atrium droit, lorsqu elles sont anormalement étirées, elle libère le facteur natriurétique atrial, permettant de retenir de l eau et du Na+ au niveau du rein, et donc d augmenter la pression sanguine artérielle. C. La cavité péricardique se situe entre le feuillet viscéral et le feuillet pariétal du péricarde séreux. D. Les cellules satellites du coeur permettent un renouvellement des cardiomyocytes contractiles, après une lésion par exemple. E. Les cellules cardionectrices au niveau du noeud sinusal sont plus petites que les cardiomyocytes contractiles. QCM 20 : Au sujet du tissu conjonctif A. Parmi la composante cellulaire du tissu conjonctif proprement dit, on retrouve des cellules résidentes comme les adipocytes, les fibroblastes ou les macrophages. B. Dans le syndrome d Alport, on observe une fragmentation des basales au niveau des glomérules du rein, dû à une anomalie du collagène I. C. Le collagène de type II est essentiellement retrouvé dans le cartilage. D. Le collagène de type III, constituant les fibres réticulées, surtout retrouvé dans le foie, les organes lymphoïdes et hématopoïétique, donne une souplesse au tissu, permettant une mobilité cellulaire importante. 141 / 291
142 E. Les fibres élastiques se retrouvent dans la matrice extra-cellulaire d'organes qui subissent d importantes variations de volume. QCM 21 : À propos du tissu nerveux A. Le transport mitochondrial est à la fois antérograde pour renouveler les mitochondries et rétrograde pour ramener les mitochondries altérées sous la forme de corps plurivésiculaires. B. La persistance de cytoplasme au niveau des incisures de Schmidt-Lanterman forme une voie de passage pour renouveler des constituants membranaires.. C. Une hypophosphorylation de la protéine tau, est à l origine de maladies dégénératives neurofibrillaires ( maladie d Alzheimer ). D. La myélinisation s achève avant la naissance. E. Les synapses de type axo-axoniques sont les plus nombreuses. QCM 22 : À propos du tissu nerveux A. Les corps de Nissl et l appareil de Golgi sont présent à la fois dans le péricaryon, mais également dans les dendrites des neurones. B. La coloration au violet de Crésyl permet de mettre en évidence des granulations basophiles dans le cytoplasme des neurones appelées : corps de Nissl. C. La maladie d Alzheimer est entre autre caractérisée par l accumulation de protéines tau hyperphosphorylées. D. Les fibres nerveuses du système nerveux central possèdent une gaine de Schwann. E. Les cellules épendymo-choroïdiennes possèdent des jonctions étanches. QCM 23 : Au sujet du tissu nerveux A. L expérience de Grafstein, consistant à marquer des protéines pour suivre leur progression dans l axone, met en évidence un transport antérograde rapide, et un autre lent. B. Le péricaryon des neurones possède un cytosquelette très développé ; on retrouve des microtubules, des microfilaments et des filaments intermédiaires de desmine. C. Le liquide cérébro-spinal est continuellement renouveler au niveau du plexus choroïde. D. La myéline joue un rôle d isolant électrique qui permet d accélérer la propagation de l influx nerveux le long des axones. E. La protéine MAP-2 se retrouve dans les microtubules des dendrites et de ceux de l axone QCM 24 : À propos du tissu sanguin La numération formule sanguine (NFS) pratiquée chez une femme de 42 ans montre : Taux d hémoglobine = 9 g/dl, Globule rouge = 3,7 T/L,Hématocrite = 35 % Volume globulaire moyen = 85 fl Concentration corpusculaire moyenne en hémoglobine = 30 % Leucocytes = 11 G/L de sang ; PNN = 7 G/L, PNE = 1,5 G/L, Plaquettes = 100 G/L A. Une anémie microcytaire hypochrome B. Une anémie microcytaire normochrome C. Une neutropénie D. Une hyperéosinophilie témoin d une potentielle infection parasitaire E. Une thrombopénie l exposant à un risque hémorragique QCM 25 : Le sang A. le taux d hémoglobine physiologique chez la femme est de 15 +/- 2 g/dl B. les érythroblastes acidophiles vont se diviser pour donner 16 réticulocytes qui sont des cellules anucléées. C. la vitamine B12 et l acide folique interviennent dans la synthèse d hémoglobine. D. l'érythropoïétine est une hormone glycoprotéique rénale, favorisant la synthèse de nouveaux érythrocytes. E. une hyperleucocytose se caractérise par un taux de leucocytes supérieur à 10G/L. 142 / 291
143 QCM 26 : Au sujet du tissu sanguin A. les lymphocytes natural killer (NK) représentant 10% de la population lymphocytaire et interviennent dans la réponse immunitaire à médiation humorale. B. les monocytes représentent 6% des globules blancs (0,4 à 0,8 G/L). C. la maturation médullaire des monocytes dure environ 3 jours. D. la plasmine dégrade la fibrine en PDF (produit de dégradation de la fibrine). E. les plaquettes proviennent de la fragmentation du cytoplasme du mégacaryocyte granuleux. QCM 27 : Embryologie A.La sphère choriale comprend le syncytiotrophoblaste, le cytotrophoblaste et le mésoblaste extra-embryonnaire. B. Les premiers signes cliniques de grossesse apparaissent au cours de la deuxième semaine du développement. C. La ligne primitive régresse jusqu à disparaître complètement, en effet, si elle persiste sous forme de reliquat, elle cause une tumeur appelée tératome. D. La cavité amniotique se forme au huitième jour. E. La première prolifération des cellules hypoblastiques a lieu au 12e jour. QCM 28 : À propos du placenta A. La villosité primaire qui apparaît au 12ème jour se caractérise par la présence de cellules de Langhans (cellules syncytiotrophoblastique entourée par du cytotrophoblaste).. B. La villosité secondaire est une villosité fonctionnelle car elle permet l échange entre le sang maternelle et fœtal via l apparition des microvillosités. C. Au 3ème mois, les villosités situées en regard de la caduque placentaire vont disparaître et seules situées en regard de la caduque ovulaire vont persister. D. La circulation utéro-lacunaire débute à partir du 12 ème jour. E. Le placenta prævia et les grossesses extra-utérines correspondent à des implantations ectopiques de l œuf. QCM 29 : Au sujet des dérivés de l intestin primitif A.On peut observer en région sus ombilicale, lors de la délimitation de l embryon (de haut en bas) : l ébauche pancréatique, le duodénum et l ébauche hépatique. B. L intestin moyen situé en regard du canal vitellin, est vascularisé par l artère mésentérique supérieure. C. Lors de l inflexion caudale, un cul de sac va se former au niveau de l intestin et sera à l origine de la partie antérieure de l intestin et du cloaque. D. La branche crâniale de l anse intestinale primitive va s allonger et décrire des sinuosités. Elle donnera presque tout l intestin grêle. E. Les dérivés de l intestin moyen sont : le duodénum (moitié inférieure), l intestin grêle, le caecum, l appendice, et une partie du côlon ascendant. QCM 30 : Neurulation et phase somitique A.Le début de la neurulation se caractérise par l apparition de la plaque neurale correspondant au neurectoblaste. B. Les cellules du sclérotome migrant autour de la chorde dorsale sont à l origine de l arc postérieur de la vertèbre. C. La sécrétion de BMP2 et BMP4 par l hypoblaste induit une apoptose des cellules de la masse cellulaire interne (MCI) au contact de la lame basale. D. Une dysfonction des cils, peut être à l origine d un situs inversus. E. Le myélencéphale est à l origine du métencéphale. QCM 31 : Embryologie A.Chez les jumeaux monozygotes, il est possible que le développement se fasse dans une cavité mono-amniotique après un clivage au stade de disque embryonnaire (fin de deuxième semaine). 143 / 291
144 B. Il existe un risque d arrêt circulatoire dans le cordon ombilical des jumeaux dizygotes qui ont eu une implantation proche. C. Un territoire mésoblastique,appelée le septum transversum, sera à l origine du diaphragme. D. Le diverticule de Meckel est un résidu du canal vitellin. E. Le cordon ombilical contient 2 artères ombilicales et 1 veine. QCM 32 : Au sujet du développement uro-génital A. Le métanéphros est formé par contact entre le blastème métanéphrogène et le bourgeon urétéral. B. Le bourgeon urétéral donne naissance au système sécréteur du rein définitif. C. Le mésonéphros est à l'origine de 40 paires des tubules mésonéphrotiques. D. Une agénésie rénale unilatérale se traduit par une insuffisance de production de liquide amniotique. E. Le rein foetal permet le renouvellement du liquide amniotique. QCM 33 : À propos de la méiose, quelles sont les propositions exactes A. Au stade du leptotène, les chromatides sœurs accolées sur l axe protéique grâce à des cohésines et forment ainsi le chromomère, donnant un aspect en grains de chapelet. B. Au stade diplotène, la décondensation partielle de la chromatine permet la transcription et ainsi l'accumulation de transcrits nécessaire à la fécondation et au développement du zygote. C. Lors de la métaphase de la mitose réductionnelle, les kinétochores formés au niveau d'un centromère d un même chromosome se dirige vers des pôles opposés du fuseau mitotique. D. Au stade diacinèse de la mitose réductionnelle, la chromatine se recondense et les chromatides sœurs ne sont plus reliés que par les chiasmas. E. Le syndrome de Turner (45X) se caractérise par un phénotype féminin, une petite taille et une insuffisance ovarienne. QCM 34 : À propos de la maturation ovocytaire, quelles sont les propositions exactes A. La maturation ovocytaire s achève par une cytodiérèse symétrique et l expulsion d un globule polaire à 23 chromosomes à 2 chromatides dans l espace péri-vitellin. B. Les ARNm de l oncogène c-mos sont traduits permettant ainsi le blocage de l ovocyte II en métaphase II. C. Elle s accompagne d une intense synthèse d ARNm et de ribosome qui permettront, si il y a fécondation, la survie de l'embryon jusqu'à la nidation. D. La rupture des ponts inter-cytoplasmiques et des gap jonctions de la corona radiata permet une indépendance métabolique de l ovocyte qui aura une durée de vie limitée (24H). E. L acquisition des récepteurs inositol triphosphate IP3 permettront l activation ovocytaire au cours de la fécondation. QCM 35 : À propos du sperme, quelles sont les propositions exactes A. Le sperme est constitué des sécrétions de l épididyme à 5% des vésicules séminales à 60-70%, de la prostate à 25-30%. B. Le ph est plutôt basique pour les sécrétions issues de la prostate. C. Lors de la phase pré-éjaculatoire les sécrétions émises proviennent des glandes accessoires ; lors de la phase d émission elles ont une origine épididymaire et prostatique puis viennent des deux vésicules séminales. D. Lors d une éjaculation rétrograde dans la vessie le sphincter strié s ouvre avant le sphincter lisse. E. Le spermogramme donne une concentration en spermatozoïdes à 15 millions par ml, une mobilité totale à 40%, un ph à 6,2, et la proportion de spermatozoïdes ayant une morphologie normale à 4%. QCM 36 : À propos de la fécondation, quelles sont les propositions exactes 144 / 291
145 A. Le passage des spermatozoïdes est possible pendant la phase ovulatoire, au cours de laquelle la taille des mailles de la glaire cervicale est maximale, la taille des mailles est régulée par les œstrogènes. B. La globospermie est une stérilité masculine du a l'absence de flagelle indispensable à l acheminement sur le lieu de fécondation. C. Les spermatozoïdes n'ayant pas effectué leur réaction acrosomique pourront grâce à leurs récepteurs ZP1 effectuer la fixation primaire, à la zone pellucide. D. Grace au récepteur ZP2 et à la protéine SPAM-1 (sperm adhesion molecul 1) de la membrane acrosomique interne, le spermatozoïde réalise la fixation secondaire et accède à l'espace péri-vitellin. E. L'activation ovocytaire est provoquée par la libération du Ca2+ contenu dans le reticulum endoplasmique suite à l action de la phospholipase C zêta importé par le spermatozoïde. QCM 37 : À propos de la coopération fœto-maternelle, quelles sont les propositions exactes A. Au cours du premier trimestre, il va y avoir une augmentation de la sécrétion de la TSH hypophysaire chez la mère ce qui va stimuler la glande thyroïde pour augmenter la sécrétion de T4. B. Le placenta sécrète beaucoup de monodéiodinase de type 3 qui désactive les hormones thyroïdiennes. C. Au début de la grossesse, la TSH maternelle passe la barrière placentaire afin de compenser le manque de maturité du fœtus. D. Il y a un pic important de la TSH 30min après l accouchement. E. La réverset3 a un rôle pendant vie post-natale (lors de très gros stress ou de carence nutritionnelle extrême), permettant de réserver le peu de dépenses énergétiques au niveau du cœur et du cerveau. QCM 38 : À propos de la différenciation sexuelle, quelles sont les propositions exactes A. Le gène WnT4 (1p35) contribue au déterminisme ovarien en inhibant la différenciation testiculaire et en réprimant la stéroïdogénèse. B. Un pseudo hermaphrodisme masculin se caractérise par une translocation du gène SRY sur le gonosome X aboutissant à un phénotype masculin avec ambiguïté sexuelle. C. Le gène SRY (chr. Yp11,3) code pour un facteur de transcription protéinique de 204 acides aminés, il est indispensable et exclusif au développement testiculaire. D. Le gène du récepteur aux androgènes code pour une protéine de 110 kda et est situé sur le chromosome X (Xq11-q12). E. Les expressions des gènes FOX L2 et SOX9 sont mutuellement exclusives. QCM 39 : À propos de la mise en place des OGE féminins, quelles sont les propositions exactes A. Dans un embryon (46XX), à la 6ème semaine la gonade est accolée aux canaux de Wolff et de Müller. B. A la 12ème semaine, les cordons de Valentin-Pflüger se fragmentent pour donner les follicules primordiaux qui comprennent chacun un ovocyte I. C. Les canaux de Wolff et les tubules paramésonéphrotiques vont régresser à la 10/12ème semaine à l'exception de quelques vestiges embryonnaires (epoophore et parapher). D. Le vagin a une double origine : 1/3 d origine Müllerienne et 2/3 d origine entoblastique issus de la plaque vaginale. E. Le syndrome de Rokitansky est caractérisé par une aplasie Müllérienne incomplète bilatérale et touche 1 fille sur QCM 40 : À propos de l'épigenèse, quelles sont les propositions exactes A. On estime que le génome humain est composé de ilôts CpG. B. La DNMT 1 (ADN méthyl transférase) est dite «de maintenance», elle est notamment impliquée dans la division cellulaire. 145 / 291
146 C. L'acétylation confère un état répressif de la chromatine. D. Au cours du développement, on assiste globalement a une diminution progressive de la méthylation de l'adn afin de cibler le phénotype cellulaire. E. Après la gamétogenèse, les spermatozoïdes et les ovocytes présentent un haut niveau de méthylation. QCM en vrac Biocell (20 QCM) : QCM 1 (MP): À propos du contrôle de la fluidité de la membrane plasmique A. Il y a très rarement de «flip-flop» dans une cellule. B. Une molécule de PL peut faire le tour de la cellule plusieurs fois par minute. C. Dans un PL, il y a souvent un acide gras saturé et l autre insaturé. D. Les «flip-flop» des lipides conduisent à parler de «mosaïque fluide». E. Il y a 4 mouvements de lipides : rotation, extension, diffusion latérale et «flip-flop» QCM 2 (Communication cellulaire): À propos des récepteurs à activité enzymatique A. Ils possèdent tous un seul domaine transmembranaire et possèdent une activité enzymatique au niveau de leur extrémité cytoplasmique. B. La fixation du ligand permet leur dimérisation nécessaire à l activation du récepteur. C. Le domaine kinase extra cellulaire phosphoryle des tyrosines créant ainsi des sites d ancrage pour des molécules ayant un domaine SH2 D. Le glucagon se fixe sur un récepteur à activité sérine/thréonine kinases au niveau des cellule hépatiques permettant la dégradation du glycogène en glucose. E. La protéine G monomérique Ras active la voie des MAP kinase après avoir échangé son ADP contre un ATP. QCM 3 (Communication cellulaire): À propos de la communication cellulaire A. Les molécules signal sont toujours de nature lipidique. B. Le domaine de liaison à l ADN est masqué par un complexe inhibiteur qui change de conformation lors de la fixation du ligand permettant la fixation du récepteur sur l ADN C. Les récepteurs des signaux hydrosolubles agissent comme des facteurs de transcription. D. Les hormones thyroïdiennes agissent sur un récepteur membranaire et activent la voie des MAP kinase. E. La communication endocrine est plus lente et diffus que la communication neuronale et fait l objet de rétrocontrôle positif ou négatif permettant une régulation fine du système endocrinien. QCM 4 (Cytosquelette): À propos des microtubules A. Le centrosome, organite membranaire se situe près du noyau B. La MAP-4 est inactivée par phosphorylation au début de la mitose C. L hydrolyse du GTP modifie la conformation de la sous unité alpha favorisant la dépolymérisation du MT D. L agrégation intracellulaire des protéine Tau hypophosphorylées, dans les neurones, caractérise certaines maladies neurodégénérative. E. Les chaînes lourdes des kinésines et dynéines sont responsable de leur activité ATPasique QCM 5 (Cytosquelette): À propos des microfilaments A. L alpha actinine forme des faisceaux d actine très denses contrairement à la fimbrine B. L ensemble des myosines se déplacent vers le pôle + des MF 146 / 291
147 C. Les myosines présentent 2 chaînes lourdes et un nombre variable de chaînes légères. D. La tropomoduline s associe latéralement aux MF pour les protéger de la cofiline. E. Activé par Rac, Arp2/3 peut induire l émission de lamellipode QCM 6 (Cytosquelette): À propos des filaments intermédiaires A. Les FI sont regroupés en 4 familles : les cytokératines, la vimentine et protéines apparentées, les neurofilaments et les lamines. B. Les cytokératines sont spécifiques uniquement des annexes épidermiques. C. On retrouve de nombreux FI aux niveau des fibres de tension présentes dans les épithéliums simples. D. La vimentine est principalement retrouvée dans les cellules musculaires. E. La périphérine est spécifiquement exprimée dans les neurones. QCM 7 (Mitochondrie): À propos de la mitochondrie A. Le FADH2 va délivrer ses électrons au niveau du complexe I. B. La respiration cellulaire se fait en une dizaine d étapes biochimiques. C. Les triglycérides sont tout d abord transformés en acyl-coa dans la matrice de la mito chondrie. D. La mitochondrie est notamment impliquée dans la synthèse de l hème. E. Les 2 NADH formés au cours de la glycolyse seront réoxydés dans le cytosol lors de la formation de pyruvate à partir du lactate. QCM 8 (Mitochondrie): À propos de la mitochondrie A. La membrane externe contient les protéines des complexes TOM et SAM. B. L ATP synthase peut fonctionner à l envers lorsque le gradient de protons est absent. C. Les mitochondries sont associées au réseau de filaments intermédiaires. D. L ADN mitochondrial a une réplication asynchrone à celle de l ADN nucléaire et subit une transmission mendélienne. E. Le lipide principal de la membrane interne, le cardiolipide, est formé de 4 chaînes d acides gras au lieu de 2 classiquement, et permet l imperméabilité aux ions. QCM 9 (Cycle cellulaire): Cycle cellulaire et cancer A. Lorsque l on inactive la télomérase, les cellules tumorales acquièrent leur immortalité. B. Dans seulement 30% des tumeurs humaines, la transcription de la télomérase est réactivée. C. Les activateurs du cycle comme la cycline D, sont fréquemment surexprimés dans les tumeurs malignes. D. Les systèmes de contrôle du cycle pour la transition G1/S sont le siège de mutations dans les cellules tumorales. E. La perte des points de contrôle ou l activation anormale d acteurs favorisant la progression du cycle va être primordiale seulement pour le développement des cancers bronchiques. QCM 10 (Division cellulaire): À propos de la division cellulaire A. Les cellules souches neuronales se multiplient sans cesse pour assurer le turn-over cellulaire B. La cohésine est responsable de la cohésion des chromatides sœurs en phase S C. La quantité d ADN suite à la phase S est égale à 4n = 46 chromatides D. La thymidine tritiée est un composé fluorescent qui se lie de manière saturable à l ADN et permettant l étude du cycle cellulaire d une cellule. E. La phase M de chaque cellule est suivie d une cytodiérèse. 147 / 291
148 QCM 11 : (Division cellulaire) : A propos de la télophase et de la cytodiérèse : A. La disparition du MPF pendant l anaphase grâce à la dégradation de Cdk1 par l APC permet la déphosphorylation des protéines phosphorylées et l enclenchement des évènements tardifs de la mitose. B. Les MT kinétochoriens persistent dans la partie centrale et donnent les MT interzonaux. C. La cytodiérèse commence à l anaphase. D. Le sillon de clivage lors de la cytodiérèse se forme sur le grand axe du fuseau mitotique, permettant de couper à égale distance des deux groupes de chromatides sœurs. E. Le sillon de clivage résulte de la formation d un anneau contractile composé de filaments d actine et de myosine II. QCM 12 : À propos du cytosol : A. Le protéasome est composé de deux complexes protéasiques et d un module régulateur. B. Certains peptides vont être transloqués au travers de la membrane du réticulum endoplasmique puis incorporés dans des complexes moléculaires d histocompatibilité de classe I pour être présentés à des cellules immunitaires spécialisées. C. L alpha-synucléine mal repliée peut être impliquée dans la maladie d Alzheimer. D. Les corps de Lewy sont caractéristiques de la dégénérescence neuronale. E. La PrP est normalement située sur la surface externe de la membrane plasmique, fixée par un GPI. QCM 13 : À propos du cytosol : A. Chez l homme, on ne trouve que 48 ARNt montrant 48 anti-codons différents. B. Le mécanisme de l appariement de bases flottant permet à différents anti-codons de s apparier à un même codon spécifiant un même AA. C. Le cadre de lecture va être définit par le codon d initiation AUG. D. La traduction de certaines molécules d ARNm peut être bloquée par des protéines qui agissent comme des répresseurs spécifiques en se fixant sur l AUG initiateur. E. Les molécules se lient à des domaines spécifiques, le plus souvent hydrophobes. QCM 14 : (Système endomembranaire) A propos des modifications post traductionnelles : A. La mise en place de ponts disulfure fait intervenir deux atomes de soufre portés par deux cystéines, formant ainsi une liaison covalente très résistante. B. Les protéines à ancre GPI sont attachées par des lipides au versant extracellulaire de la membrane plasmique. C. Lors du contrôle de la qualité des protéines du réticulum endoplasmique, les modifications apportées par des glycosydases et par la glycosyl transférase (UGGT) vont permettre la reconnaissance de la protéine par des intégrines comme la calnexine. D. Environ 60% des protéines néo-synthétisées dans le réticulum endoplasmique possèdent une anomalie et sont donc éliminées. E. Les protéines intraluminales anormales ne sont pas ubiquitinilées par des ubiquitines-ligases pour être éliminées, contrairement aux protéines trans-membranaires anormales. QCM 15 : (Système endomembranaire) A propos de l'endocytose et voie lysosomale : 148 / 291
149 A. Les endosomes précoces périphériques (EPP) présents dans le cytosol sous-membranaire permettent la formation de vésicules dites de retour qui ont un rôle dans le recyclage de la membrane plasmique. B. La voie d'endocytose est exclusivement constituée de vésicules formées à partir de manteau de clathrine. C. Une fois dans les EPP, les molécules endocytées sont ensuite prises en charge par de grandes vésicules de transport qui vont aller fusionner avec les endosomes tardifs péri-nucléaires (ETP). D. Les ETP fusionnent avec des vésicules prélysosomales qui apportent des ATPases à protons (H+) membranaires qui vont alcaliniser progressivement le contenu des ETP. E. Lorsque le ph à l'intérieur des ETP est au voisinage de 7 (par activité des ATPases à protons), ceux-ci deviennent alors des lysosomes. QCM 16 : (Adhérence) A propos des cadhérines desmosomales : A. La desmoplakine est importée dans le Golgi pour être glycosylée. B. La formation d'un desmosome est initiée par un rapprochement calcium-dépendant des membranes grâce à des cadhérines classiques. C. Le phénomène de nucléation est induit par un contact hétérophilique desmogléine/desmoplakine qui permet l'attachement des desmocollines. D. La nucléation est un phénomène rapide et irréversible qui permet l'augmentation de la demi-vie des molécules constitutives. E. La stabilisation du desmosome peut être assurée de façon réversible par d'autres composants comme la desmoyokine. QCM 17 : (Adhérence) A propos de la superfamille des sélectines : A. Les sélectines sont des SAM calcium-dépendantes. B. L'extrémité portant le domaine de reconnaissance des sélectines permet également la liaison avec le calcium. C. Il est rare que les lectines activent des tyrosines kinases ou des protéines G hétérotrimériques. D. Il existe trois types de sélectines : E-sélectine (pour l'endothélium), P-sélectine (pour les plaquettes) et L-sélectine (pour les lymphocytes). E. Les sélectines reconnaissent des motifs glucidiques particuliers : les lectines. QCM 18 : (Différenciation cellulaire) A propos de la régénération et différenciation terminales : A. La régénération des kératinocytes des épithélium malpighien cornifiés et non cornifiés a lieu uniquement à partir des cellules de l assise basale. B. L'épithélium non cornifié de la cornée exprime un programme de différenciation différents : expression des gènes des cytokératines 4 et 13 en supra basal. C. Toutes les cellules sanguines dérive d une même cellules souche multipotente. D. Tout comme pour l épiderme, la différenciation terminale érythrocytaire est exprimé dans une seule et même cellules. E.Les hématies matures ont une durée de vie de 12 jours. QCM 19 : (Technique) Concernant les techniques d analyse en biologie cellulaire : A. Les techniques de microscopie confocales et biphotonique permettent de visualiser des molécules fluorescentes, anticorps marqués et GFP comme la microscopie à fluorescence classique 149 / 291
150 B. Le principe du microscope confocal est l utilisation d un diaphragme placé dans un plan confocal conjugué à celui de l objectif éliminant la plupart des photons émis en dehors du point focal. C. Le microscope confocal permet l observation directe de plans définis d un échantillon épais avec une grande profondeur. Un ordinateur permet ensuite de reconstruire une image tridimensionnelle à partir des différentes images. D. Le diaphragme induit des pertes considérables de l intensité de fluorescence détéctée. E. La fluorescence parasite est une source de bruit importante en microscopie confocale. QCM 20 (Techniques) Concernant la microscopie biphotonique : A. Deux photons confinés dans un très petit volume peuvent interagir simultanément avec la même molécule fluorescente. Ce phénomène est à la base de la microscopie biphotonique B. Les photons excitateurs utilisés en microscopie biphotonique sont de plus faible longueur d onde que ceux utilisés en microscopie confocale C. L énergie reçue étant la somme des énergies des deux photons excitateurs, les longueurs d onde d excitation et d émission sont bien séparées puisque la longueur d onde d excitation est quasiment le double de la longueur d émission D. Que ce soit en microscopie confocale ou biphotonique, il est impossible d observer le vivant à cause de la dégradation des échantillons par les photons E. Une des principales différences avec la microscopie confocale est l absence de diaphragme en microscopie biphotonique QCM en vrac Histo / Embryo (50 QCM): QCM 1 : A propos des généralités embryologique A. Lors de la 3ème semaine de grossesse, on observe le phénomène de gastrulation. B. Les premiers battements cardiaques s observent au cours du 2ème mois. C. La phase embryonnaire se déroule sur 1 mois. D. Le lanugo est un produit de sécrétion des glandes sébacées qui recouvre tout le corps du fœtus. E. Le fœtus est viable à partir du 8ème mois. QCM 2 : A propos de la 2ème semaine A. C est au cours de cette semaine que le disque embryonnaire se forme. B. Lors du 7ème jour de grossesse, le trophoblaste se différencie en 2 couches. C. Lors de l accolement, des pinopodes vont remplacer les microvillosités initialement présentes. D. Le myomètre résorbe de façon active le fluide utérin pour obtenir une cavité utérine étroite. E. Un défaut d expression des intégrines est à l origine de 2/3 des stérilités féminines inexpliquées. QCM 3 : A propos de la 3ème semaine A. On observe les premiers signes biologiques de grossesse. B. On observe une latéralisation des organes selon un axe bilatéral. C. Le syndrome de Kartagener est aussi appelé syndrome du cil immobile. D. La ligne primitive persiste jusqu à la naissance. E. Le disque embryonnaire se développe particulièrement en direction caudale. QCM 4 : A propos de la 1ère semaine A. Le 6ème jour correspond au début de l implantation nidation du blastocyste. 150 / 291
151 B. Les grossesses tubaires sont les plus fréquentes grossesses extra-utérines. C. Le taux d hormones oestro-progestatives est identique à un cycle normal. D. On peut observer des signes cliniques de grossesse. E. Les cellules du blastocyste en périphérie appelées trophoblaste sont à l origine du placenta. QCM 5 : Neurulation A. A l extrémité crâniale du tube neural on retrouve les renflements cardiaques. B. Avec la fermeture du tube neural, apparaissent 3 vésicules cérébrales primitives : le prosencéphale, le mésencéphale et le rhombencéphale. C. A la 5ème semaine, du fait de l inflexion ventrale, les 3 vésicules se subdivisent en 5 vésicules cérébrales. D. Le diencéphale est la vésicule cérébrale qui va subir le développement le plus important. E. Le myélencéphale est en regard du 3ème ventricule. QCM 6 : Phase somitique A. Les somites se divisent en 2 parties : le sclérotome et le dermomyotome. B. Les somites dérivent du mésoblaste para-axial. C. On dénombre 22 à 24 paires de somites à la fin de la 5ème semaine. D. Certaines cellules du sclérotome vont migrer en direction du tube neural pour former les corps vertébraux, d autres vont migrer vers la chorde dorsale pour former les arcs postérieurs vertébraux. E. Chaque vertèbre est formée par la contribution de 4 sclérotomes adjacents. QCM 7 : Placenta à terme A. Après le 4ème mois, les villosités évoluent et permettent un amincissement de la barrière placentaire. B. Si on réalise une coupure du cordon ombilical à proximité du fœtus, on pourra observer des vestiges de la vésicule vitelline primaire et de l allantoïde. C. La délivrance désigne l expulsion du fœtus du corps de sa mère. D. Si la délivrance n est pas complète cela peut entraîner une hémorragie de la délivrance. E. Le cordon ombilical est constitué de deux veines ombilicales et d une artère ombilicale. QCM 8 : Grossesses gémellaires A. Les jumeaux dizygotes correspondent à 70% des grossesses gémellaires. B. Dans la majorité des cas, les jumeaux monozygotes résultent d un clivage tardif au stade de disque embryonnaire. C. Des jumeaux monozygotes ont le même patrimoine génétique. D. Des jumeaux dizygotes proviennent d une double ovulation, d une double fécondation et d une double implantation. E. Des jumeaux monozygotes qui proviennent d un clivage de la masse cellulaire interne sont monoamniotiques. QCM 9 : Concernant l appareil urinaire chez l embryon A. Deux systèmes rénaux vont se succéder dans le temps. B. Le pronéphros apparaît avant le métanéphros. C. Le rein définitif est le métanéphros. D. Les différents types de rein persisteront. E. Il dérive en grande majorité d un portion de mésoblaste : le mésoblaste intermédiaire. 151 / 291
152 QCM 10 : Concernant le pronéphros A. Il s agit du rein définitif. B. Il apparaît en fin de 4ème semaine. C. Ce rein est fonctionnel. D. Il est segmenté avec sept paires de néphrotomes. E. Il produit de l urine. QCM 11 : Les tubules mésonéphrotiques A. Les tubules mésonéphrotiques se forment par condensation mésenchymateuse qui se creuse d une lumière pour former une vésicule qui va s allonger. B. Possèdent une extrémité médiane et une extrémité latérale. C. Leur rôle est de filtrer le plasma sanguin qui sera éliminé vers le canal de Wolff. D. L extrémité latérale de ce tubule s invagine en cupule qui vient coiffer un peloton vasculaire issu d une branche de l aorte appelé le glomérule. E. L extrémité latérale s ouvre dans un canal mésonéphrotique, de Wolff : canal collecteur d urine. QCM 12 : Le métanéphros A. Le bourgeon urétéral donnera le système sécréteur. B. Le blastème métanéphrogène donnera les voies excrétrices. C. L uretère se poursuit par le bassinet, les calices et les tubes collecteurs d urine. D. La capsule de Bowman n est pas au contact d une glomérule sanguin. E. Le blastème possède capsule de Bowman, tubule contourné proximal, tubule contourné distal et anse d Henlé. QCM 13 : Généralités sur le rein A. Le métanéphros devient fonctionnel à la dixième semaine et remplace le mésonéphros. B. La perméabilisation permet la communication entre lumière du tube contourné distal et lumière du tube collecteur. C. L extrophie est l incorporation de la paroi des canaux de Wolff à la face postérieure du sinus uro-génital. D. Le trigone vésical est d origine mésoblastique. E. Initialement en position crâniale, les reins vont migrer afin de finir au niveau lombaire, on voit l uretère s allonger. QCM 14 : L appareil génital A. L épithélium cœlomique forme des cordons sexuels primitifs qui vont héberger les cellules germinales. B. Stade différencié à la sixième semaine, l embryon possède soit les canaux de Wolff soit les canaux de Müller. C. Les canaux de Müller sont en arrière des canaux de Wolff. D. L extrémité caudale des canaux de Müller vient s aboucher à la face postérieure du sinus uro-génital. E. Chez les filles, les canaux de Wolff disparaissent et les canaux de Müller donnent l utérus à l extrémité fusionnée, les trompes et tout le vagin. QCM 15 : L appareil génital A. L appareil génital est différencié jusqu à la septième semaine puis indifférencié après la septième semaine. B. Les gonades se développent sur la face antéro-interne du métanéphros. C. Sur les gonades, une crête génitale se forme par prolifération de l épithélium cœlomique. 152 / 291
153 D. Les cellules germinales primordiales vont migrer de la sixième à la huitième semaine entre les cellules entoblastiques qui bordent la vésicule vitelline et l allantoïde. E. Les cordons sexuels primitifs permettent d héberger les cellules germinales. QCM 16 : Les cellules souches embryonnaires A. Nécessite des embryons préalablement conçus in vitro dans le cadre d une AMP congelée. B. Ne nécessite pas de consentement écrit du couple. C. L utilisation des cellules souches doit être autorisée par l agence de biomédecine. D. Lors d une recherche, les embryons peuvent être transférés à des fins de gestation. E. La recherche ne doit pas obligatoirement s inscrire dans une finalité médicale mais le projet doit être pertinent. QCM 17 : Culture des cellules A. La culture des cellules nécessite seulement un milieu de culture. B. Il existe différents supports pour la culture : fibroblaste, matrice de synthèse, protéine de la basale. C. On prend les cellules dans le blastocyste en pré-implantatoire et on isole les cellules de la masse cellulaire interne. D. Après ensemencement les colonies diminuent puis on les dissocie. E. La prolifération est, en théorie, illimitée, permettant une culture prolongée. QCM 18 : Les cellules souches embryonnaires A. La culture des cellules ne permet pas de comprendre les mécanismes moléculaires lors du développement embryonnaire. B. Une différenciation est possible afin d obtenir des cellules hépatiques, pancréatiques, cardiaques, neuronales C. Après injection chez un individu, toutes les cellules vont persister. D. Un individu peut développer des tératomes avec des cellules différenciées. E. La transfection de gènes permet la reprogrammation forcée vers le statut embryonnaire pour les cellules ips. QCM 19 : Les différents types de cellules souches A. Les cellules souches totipotentes sont les plus différenciées. B. Les cellules souches pluripotentes sont issues de la masse cellulaire interne dans un embryon précoce de 5-6 jours au stade pré-implantatoire. C. Les cellules souches multipotentes donnent tous les types cellulaires. D. Les cellules souches déterminées ou progéniteurs donnent naissance à un seul type cellulaire. E. Les cellules souches hématopoïétiques sont des cellules souches déterminées. QCM 20 : A propos du tissu épithélial : A. L épithélium intestinal se régénère à partir de cellules souches indifférenciées contrairement à l'épiderme dont la régénération dépend de la division de cellules différenciées fonctionnelles. B. L épithélium hépatique se régénère plus rapidement que l'épithélium intestinal. C. Les adénocarcinomes sont des tumeurs bénignes développées à partir d'un épithélium glandulaire. D. La présence de filaments intermédiaires de cytokératines dans une tumeur permet de démontrer l'origine épithéliale des cellules tumorales. E. Les épithéliums qui tapissent les cavités séreuses et le système vasculaire sont de type pavimenteux simples. QCM 21 : Concernant le tissu épithélial : 153 / 291
154 A. Les cils sont constitués de deux parties : le cil proprement dit et le cinétosome. B. La paroi du cil proprement dit est formée par 9 triplets de microtubules. C. Dans le cil proprement dit, le microtubule A des doublets périphériques est relié au manchon central par des fibres protéiques rayonnantes. D. Des ponts de nexine solidarisent les doublets de microtubules dans le cinétosome. E. Toutes les cellules constitutives de l'épithélium intestinal sont porteuses d'un plateau strié au niveau du pôle apical. QCM 22 : Concernant les généralités sur le tissu conjonctif A. Le tissu conjonctif possède une matrice extracellulaire dure et élastique. B. Tous les tissus conjonctifs sont vascularisés et innervés. C. En MO, la fibrille d'une fibre réticulée présente une striation transversale périodique de 67 nm de long et 10 à 300 nm de diamètre. D. Il est possible de mettre en évidence les fibres collagènes et les fibres réticulées avec l'hémalun-éosine qui les colore en rose. E. Le fibroblaste est la cellule qui synthétise les fibrilles de collagène. QCM 23 : Concernant le tissu épithélial : A. Au niveau des zonula adherens, des protéines transmembranaires telles que les caténines sont reliées à des éléments du cytosquelette qui sont des microfilaments d'actine. B. La plakoglobine et la desmoplakine sont des cadhérines caractéristiques de la plaque desmosomale. C. Les jonctions étanches sont détruites par la toxine du choléra. D. L utilisation de chélateur de calcium tel que l'edta conduit à la destruction des jonctions étanches. E. Le pemphigus est une maladie auto-immune se caractérisant par la fabrication d'autoanticorps anti-desmocollines ce qui provoque la formation de bulles épidermiques. QCM 24 : A propos du tissu épithélial : A. Les jonctions communicantes ou gap jonctions ont une distribution maculaire comme les macula adherens. B. Les jonctions gap sont formées de très nombreux canaux, les connexons, dont la paroi est délimitée par 6 sous-unités protéiques de connexine réparties autour d'un canal central. C. En cas de lésion du tissu épithélial, le calcium extracellulaire pénètre dans la cellule lésée entraînant un réarrangement moléculaire au niveau des connexons ce qui supprime toute communication entre les cellules saines. D. Les cadhérines des hémi-desmosomes du pôle basal des cellules épithéliales s'ancrent à la lamine de la lame basale. E. En microscopie électronique, la membrane basale apparaît constituée de 2 structures différentes : la lame basale et la lamina reticularis. QCM 25 : A propos des techniques histologiques : A. La fixation a pour objectif de dénaturer les cellules de façon à optimiser leur observation B. La fixation doit être réalisée immédiatement après le prélèvement. C. Inclusion a pour but de durcir les prélèvements par passage dans un bain de paraffine. D. Le microtome permet de faire des coupes de bloc de paraffine d'environ 10mm. E. Le déparaffinage est une étape préalable à la coloration. QCM 26 : A propos des techniques histologiques : A. L'éosine est un colorant acide. B. Les mélanges fixateurs utilisés en MO sont inutilisables en ME. C. Le pouvoir séparateur du microscope électronique est d'environ 0,2 μm.m. D. La biopsie est une technique de prélèvement de cellules isolées. E. Lors de la coloration, la réhydratation des coupes se fait grâce à des bains d'alcool de température croissante. 154 / 291
155 QCM 27 : Concernant les différentes variétés de tissu conjonctif : A. Le tissu conjonctif lâche remplit 3 grandes fonctions : mécanique, métabolique et de défense. B. Le périoste est un tissu conjonctif dense à prédominance de fibres orientées. C. Le stroma cornéen, tissu vascularisé, possède des fibres orientées selon un modèle bitendu. D. Le tissu réticulaire, tissu à prédominance de fibres réticulées se trouve au niveau de la paroi des grosses artères. E. Le tissu élastique constitue le ligament jaune. QCM 28 : À propos du tissu sanguin A. Lors de l hématopoïèse il a production de plus de polynucléairs neutrophiles que d érythrocytes. B. Le groupe sanguin AB est le moins fréquent dans la population générale humaine. C. Plasma est synonyme de sérum. D. Le sang recueilli dans un tube sec forme un caillot, cette formation est irréversible. E. Un taux d hémoglobine supérieur à la normale est un signe d anémie. QCM 29 : À propos des hématies A. Elles ont une forme de disque biconcave dépourvu de noyau mais contenant un grand nombre d organites. B. La maladie de Minkowski-Chauffard est une sphérocytose héréditaire rendant les hématies sphériques. C. Le rôle de l hémoglobine est de transporter les gaz du sang, on parle alors d hémoglobine et de carboxyhémoglobine. D. Les érythroblastes basophiles ont leur noyau qui commence à se condenser mais plus de nucléole. E. Les érythroblastes acidophiles ont une chromatine mottée, c est un signe de division nucléaire. QCM 30 : À propos des thrombocytes A. L adhésion des plaquettes est permise par le facteur Von Willebrand lors de l hématose secondaire. B. La plasmine permet la dégradation du fibrinogène en fibrine. C. Leurs noyaux sont polyploïdes et polylobés car il y a eu réplication de l ADN sans division. D. Les plaquettes sont les prolongements cytoplasmiques des mégacaryocytes thrombocytogènes. E. Leurs durée de vie dans la circulation sanguine est de 10 jours. QCM 31 : À propos du tissu sanguin A. Un globule rouge a pour dimension 1,5 x 7,5 nm. B. La membrane plasmique des globules rouges est composée de tétramère d ankirine. C. La méthémoglobine réductase est une enzyme qui lutte contre la formation du fer ferreux. D. Les hématies luttent en permanence contre l hyperhydratation grâce aux pompes Na+/ K+ (dont leur énergie leur est apporté par la glycolyse aérobie). E. La poïkilocytose est une anomalie de forme. QCM 32 : À propos du tissu sanguin 155 / 291
156 Votre belle mère se présente à votre cabinet et se plaint (encore ) d être fatiguée, essoufflée et avec une température égale à 38 C. À la fin de votre examen clinique (yes bientôt la fin!!), vous demandez une numération formule sanguine, les résultats obtenus sont les suivants : Hématocrite = 40 %, Taux d hémoglobine = 13 g/dl de sang, Volume globulaire moyen = 85 fl, Concentration Corpusculaire Moyenne en Hémoglobine = 34%, Taux de Leucocytes = 9 G/L dont Polynucléaires neutrophiles = 7, Polynucléaires basophiles = 0,2 G/L, Polynucléaires éosinophiles = 0,2 G/L, lymphocytes = 0,5 G/L, taux de plaquettes = 500 G/L. A. On peut affirmer qu il y a une anémie. B. Le taux de polynucléaires basophiles est supérieur à la normale. C. On peut constater une lymphopénie. D. La taux de polynucléaires neutrophiles nous fait suspecter une infection bactérienne grave. E. Au vu du nombre de thrombocytes on a un risque d hémorragie. QCM 33 : à propos des leucocytes A. Il y a 7±3 T/L (ou mm3) de globules blancs. B. Les granulocytes sont aussi appelés lymphocytes. C. La diapédèse est le mécanisme de passage du compartiment sanguin vers le compartiment tissulaire. D. Une hyperleucocytose est un nombre de GB > 7 G/L. E. Une lymphopénie est un nombre de GB < 4 G/L. QCM 34 : à propos des polynucléaires neutrophiles A. la défense spécifique des PNN est permise grâce à leur diapédèse, à leur mobilité active, au chimiotactisme et à la phagocytose. B. Les PNN sécrètent un facteur de chimiotactisme qui est plus concentré au niveau des inoculums bactériens. C. La voie d explosion métabolique et de destruction de la bactérie dépendante de l oxygène utilise des radicaux de l oxygène et des dérivés halogénés pour former des substances toxiques et bactéricides. D. Après la phagocytose de la bactérie, le PNN utilise les protéines basiques pour compenser les dégâts causés par celle-ci pour se "reconstituer" et reprendre son rôle de défense. E. Les pyocytes retrouvés au niveau de l'inoculum sont les débris de la bactérie précédemment détruite par phagocytose. QCM 35 : à propos des polynucléaires basophiles A. Ils représentent 0 à 0,1% des globules blanc et aussi 0 à 0,1 G/L. B. Ils font la même taille que les PNN et leur granulation spécifique fait 1 à 3 µm de diamètre. C. Les granulations spécifiques sont constituées d histamine, d héparine, et de facteur chimiotactique. D. Leur rôle principal est celui des manifestations allergiques immédiates impliquant les IgG qui se fixent au récepteur des PNB qui a pour conséquence une dégranulation. E. Le myéloblaste engagé dans la lignée des PNN peut s engager, si besoin, dans la lignée des PNB. QCM 36 : à propos des polynucléaires éosinophiles A. Tout comme le PNN, le PNE a un noyau plurilobé avec 3 lobes. B. Les granulations secondaires du PNE font 0,5 à 0,8 µm, elles sont composées d une formation cristalloïde au sein d une matrice plus claire et granuleuse et moins dense. C. Le PNE joue une rôle majeur dans le phénomène d hypersensibilité immédiate/retardée et un rôle secondaire anti-parasiticide. D. Le PNE sont retrouvés surtout dans les organes en contact avec l extérieur. 156 / 291
157 E. On retrouve dans la formation cristalloïde le MBP et la myéloperoxydase. QCM 37 : à propos des lymphocytes A. Il existe 2 types de lymphocytes: les petits et les grands, qui ont en commun un noyau arrondi régulier et une chromatine mottée. Ils représentent 30% des GB, soit 1 à 4 G/L. B. Les petits lymphocytes ont des granulations azurophiles tandis que les grands n en n ont pas. C. Le marqueur des lymphocytes B est le marqueur CD3. D. Des plasmocytes retrouvés dans le sang sont le signe de pathologies. E. Les pro lymphocytes ne sont pas immunocompétents et rejoignent les organes lymphoïdes centraux, au niveau du thymus pour les lymphocytes T et au niveau de la moelle osseuse hématopoïétique pour les Lymphocytes B. QCM 38 : à propos des monocytes A. Ce sont les plus grosses cellules observables sur un frottis sanguin, avec une diamètre de 20 micromètres. B. Ce sont des phagocytes mononuclées, ayant un rôle dans la défense non spécifique et aussi spécifique en jouant le rôle de cellules présentatrices d antigènes aux lymphocytes T. C. Le noyau des Promonocytes est réniforme. D. Le progéniteur commun avec les PNN est le GMCSF. E. Les monocytes restent plusieurs mois dans les tissus où ils deviendront des histiocytes ou des macrophages. Les monocytes du SNC seront appelés microglies. QCM 39 : A propos du sang Un étudiant en médecine se présente à votre consultation pour une fatigue importante (asthénie), un essoufflement (dyspnée) et une fièvre (après une semaine non-stop à prendre des mètres chez Tonton). Vous demandez une numération-formule-sanguine qui montre Hématocrite: 44 %, Taux d hémoglobine: 12 g/dl de sang, Volume globulaire moyen = 78 fl, Concentration Corpusculaire Moyenne en Hémoglobine = 34%, Taux de Leucocytes : 14 G/L dont Polynucléaires neutrophiles : 10 G/L, Polynucléaires éosinophiles : 0,6 G/L, lymphocytes : 3 G/L, taux de plaquettes : 100 G/L A. Il existe une anémie puisque l hématocrite est abaissé. B. Il s agit peut être d une anémie normocytaire normochrome. C. On retrouve une leucopénie. D. Il existe une polynucléose neutrophile pouvant témoigner d une infection bactérienne. E. Il y a une hyperéosinophilie puisque le taux de PNN est supérieur à la limite, témoignant d une infection parasitaire ou d une manifestation allergique. QCM 40 : A propos du muscle strié squelettique A. Les rhabdomyocytes possèdent une membrane plasmique appelée sarcoplasme doublée par une lame basale. B. Ils sont multinucléés et leurs noyaux sont refoulés sous la membrane plasmique. C. Au MO, on observe les champs de Cohnheim en coupe transversale de cellules musculaires striées squelettique. D. Colorées par le PAS, les fibres rouges oxydatives lentes paraissent plus foncées que les fibres blanches. E. Dans les cellules à sac nucléaire, l innervation sensitives se fait par des fibres gamma. QCM 41 : A propos du muscle strié squelettique A. Au milieu de la bande A, on observe une zone plus claire au centre appelée la bande H centrée par la strie M. 157 / 291
158 B. Le sarcomère, unité contractile de la myofibrille, est constitué d une bande anisotrope et de deux demi bandes isotropes. C. En coupe longitudinale, on observe au niveau de la bande claire un agencement hexagonale de myofilaments fins. D. Le myofilament épais présent dans la bande H possède une surface irrégulière. E. La strie M représente un renforcement caractérisé par des ponts de nature protéiques. QCM 42 : À propos du tissu nerveux A. Les neurones de Golgi de type 1 ont un axone court. B. Les motoneurones alpha sont des neurones multipolaires ayant un corps cellulaire étoilé. C. L endonèvre est un tissu conjonctif lâche situé entre les fibres nerveuses au sein d un faisceau. D. Les neurones d association sont des neurones bipolaires. E. Le noyau moteur de la 5ème paire de nerf crânien est un neurone bipolaire. QCM 43 : À propos des transports axonaux A. Les ribosomes sont transportés le long des microtubules du pôle - vers le pôle +. B. Le transport antérograde permet un transport du corps cellulaire vers la distalité. C. Le transport antérograde rapide permet le transport d enzymes du métabolisme intermédiaire. D. La dynéine ATPasique MAP1C intervient dans le transport rétrograde. E. Les incisures de Schmidt-Lantermann correspondent à une persistance de cytoplasme de cellule de Schwann entre les feuillets internes de la gaine de myéline. QCM 44 : À propos du tissu nerveux A. Les synapses chimiques sont plus nombreuses que les synapses électriques. B. Les neurofilaments sont répartis dans tous les compartiments du neurone (soma, axone et dendrite). C. Les synapses électriques sont très présentes lors du développement du système nerveux central. D. La majorité des synapses sont axo-somatique c est à dire entre la partie terminale de l axone et le soma du neurone. E. Les synapses chimiques permettent une transmission très rapide de l influx nerveux dans les deux sens. QCM 45 : À propos du tissu nerveux A. Le liquide céphalo-rachidien a dans des conditions normales un aspect trouble, et contient peu de cellules. B. La production de liquide céphalo-rachidien est d environ 40 ml/h. C. Le liquide céphalo-rachidien a un rôle mécanique d amortisseur mais aussi un rôle métabolique de distribution des substances neuro-actives et un rôle d émonctoire. D. Lors d une méningite bactérienne, le nombre de lymphocytes augmente fortement dans le liquide céphalo-rachidien. E. Une anomalie de la circulation du liquide céphalo-rachidien peut amener à une hyperpression et à une hydrocéphalie chez l enfant. QCM 46 : à propos de la délimitation de l embryon A. La principale force responsable de la délimitation est une croissance homogène de l embryon. 158 / 291
159 B. L embryon s enroule autour de la vésicule vitelline secondaire. C. La délimitation commence à la troisième semaine. D. Les territoires de l extrémité caudale basculent à 180 autour de la membrane pharyngienne. E. Le canal vitellin est formé par l incorporation du toit de la vésicule vitelline primaire. QCM 47 : généralités sur l intestin primitif A. Il se forme au cours de la délimitation de l embryon. B. Il est composé d entoblaste et de mésoblaste. C. L intestin antérieur va de la membrane cloacale jusqu à l ouverture du canal vitellin. D.L intestin antérieur est vascularisé par l artère coeliaque. E. Les dérivés de l intestin primitif font partie de l appareil respiratoire et digestif. QCM 48 : à propos de l intestin antérieur A. Il est vascularisé par l artère coeliaque. B. Il donnera uniquement des éléments de l arbre respiratoire et le foie. C. Le foie provient de la prolifération de cellules ectoblastiques de la face ventrale du duodénum. D. L ébauche hépatique est caractérisé par sa croissance lente. E. Le foie représente 10% du poid du foetus à la 9ème semaine. QCM 49 : à propos de l intestin moyen A. Il est vascularisé par l artère mésentérique inférieure. B. Il est en regard du canal vitellin qui relie l intestin primitif à la VVI. C. Il donnera tout le duodénum, l intestin grêle et seulement une partie du côlon. D. Son développement est marqué par la formation d une anse intestinale en forme de U dont le sommet est le canal vitellin. E. Le développement de l intestin moyen se fait dans le cordon ombilical. QCM 50 : à propos de l intestin postérieur A. Il est vascularisé par l artère mésentérique supérieure. B. Le cul de sac de l intestin postérieur est le cloaque. C. Le cloisonnement du cloaque se fait grâce à l intervention de 2 territoires entoblastiques. D. Les dérivés de l intestin postérieur sont le ⅓ distal du côlon transverse, le côlon descendant, le côlon sigmoïde, le rectum, les ⅔ supérieurs du canal anal, la vessie et les uretères. E. Le cloisonnement du cloaque se fait à la fin de la 6ème semaine. QCM en Vrac BDR / BDD (40 QCM) : QCM 1 A propos de la méiose A. En prophase, au stade leptotène on peut voir les chromatides sœurs reliées entre elles par un axe de cohésine. B. Au stade zygotène se produisent les crossing over. C. C est au stade diacinèse que se produit la dissociation du complexe synaptonémal et la décondensation partielle de la chromatine. D. Dans le sperme les anomalies de structure sont plus importantes que l'aneuploïdie. 159 / 291
160 E. Les anomalies de sperme sont plus courantes que les anomalies concernant les ovocytes. QCM 2 A propos de la méiose A. Le syndrome de Klinefelter : 45 X est responsable d'une petite taille chez les femmes atteintes. B. La non séparation des chromosomes homologues lors de l anaphase 1 donne soit des gamètes trisomiques soit monosomiques C. Une anomalie de recombinaison conduit à une perte ou un gain de matériel génétique D. Dans la reproduction asexuée, la ségrégation aléatoire participe au brassage génétique E. Il n y a pas de phase S entre les deux mitoses de la méiose QCM 3 Concernant l ovogenèse A.L atrésie des follicules primordiaux, phénomène exclusivement prénatal, permet de réduire significativement le nombre de follicules B.L ovogenèse phénomène continu en pré-natal jusqu à la ménopause permet la production de gamètes femelles C.Les cellules de la thèque interne communiquent avec l ovocyte par le biais de ponts intracytoplasmiques D. La vésicule germinative ou noyau de l'ovocyte I prend un aspect dictyé en MO E. L'antrum apparaît en même temps que la zone pellucide au stade follicule secondaire. QCM 4 A propos de l'ovogenèse : A. A la 8ème semaine de vie intra-utérine, les gonocytes se différencient en ovocytes I qui restent bloqués au stade diplotène de la prophase 1. B. Le temps entre l'activation du follicule primordial et son éventuelle ovulation est de 3-4 mois. C. Le follicule mature pré-ovulatoire de mm contient un ovocyte de µm. D. Les ponts cytoplasmiques de la corona radiata traversent la zone pellucide pour fournir à l'ovocyte de l'ampc et OMI qui bloquent sa croissance. E. La granulosa possède de très nombreux récepteurs à la FSH et possède une aromatase qui transforme les androgènes issus de la thèque interne en estrogènes. QCM 5 A propos de la maturation ovocytaire : A. Elle représente le passage de l ovocyte II à l ovule B. Il y a expulsion d un premier globule polaire C. Il y a une diminution de la synthèse des ARNm et une augmentation de la synthèse protéique D. Le blocage en métaphase II de l'ovocyte II est permis par le facteur c-mos ovocytaire. E. La maturation est déclenchée par le pic de LH préovulatoire, l'activation du glutathion, et la rupture des connections entre l'ovocyte et la corona radiata. QCM 6 A propos de la spermatogenèse 160 / 291
161 A. Une destruction des spermatogonies AP peut être responsable d une stérilité définitive B. La spermatide va subir une division lui permettant de subir des modifications telles que la mise en place de l acrosome ou des modifications nucléaires entre autres C. Les cellules de Sertoli ont des propriétés leur permettant de participer à la barrière hémato testiculaire afin de protéger les cellules haploïdes D. La phase de méiose impliquant les spermatogonies précède la phase de division E. Durant la phase de spermiogenèse, les modifications nucléaires permettent la mise en place d une nouvelle conformation de la chromatine en beignet aplati, ayant pour objectif de protéger le patrimoine génétique QCM 7 A propos de la spermatogenèse et de sa régulation A. La spermatogenèse se déroule dans les tubes séminifères, séparés par le compartiment interstitiel. B. A partir du stade spermatogonie AD on peut observer des ponts inter-cytoplasmiques qui relient les cellules entre elles C. La mitose équationnelle subie par le spermatocyte II lors de la phase de méiose permet d obtenir la spermatide à n chromosome et n ADN D. Les hormones glycoprotéiques LH et FSH, sécrétées au niveau hypothalamique, possèdent une chaîne alpha commune et une chaîne bêta différente E. L inhibine sécrétée par les cellules de Sertoli exerce un rétrocontrôle négatif sur la sécrétion de FSH QCM 8 Au sujet du spermatozoïde : A. Le flagelle possède une pièce intermédiaire composé entre autre d une structure axonémale classique 9 MT + 2. B. Le spermatozoïde est une cellule peu active métaboliquement C. Grâce au basculement du plan de courbure à 180, le spermatozoïde avance de manière progressive et sinusoïdale D. L acrosome, présent sur les 2/3 tiers antérieurs de la tête, contient un sac d enzymes comme de l'acrosine nécessaire à la traversée de la zone pellucide. E. Les colonnes segmentées seront prolongées par les fibres denses au niveau du flagelle QCM 9 A propos du sperme et du spermatozoïde : A. Le sperme est constitué de cellules et de plasma séminal provenant de différentes glandes B. La pièce principale de 45 nm possède une gaine fibreuse qui remplace la gaine mitochondriale C. A propos du sperme normal, la grande majorité des spermatozoïdes possède une morphologie normale D. Le col du spermatozoïde est constitué de colonnes segmentées et du centriole proximal lui même constitué de neuf triplets de microtubules avec une paire de microtubules centraux E. Les anomalies de bras de dynéines sont visibles en microscopie optique QCM 10 A propos du sperme normal : A. Son ph est particulièrement acide. B.Son volume est de 1,5 L. C. La mobilité totale est de 32%. 161 / 291
162 D. La mobilité progressive est de 32%. E. La concentration en spermatozoïde est de 15 x 106 / ml. QCM 11 A propos de la fécondation : A. La fixation primaire fait intervenir la β 1,4 galactosyl transférase (récepteur présent sur le spermatozoïde) et une partie lipidique de ZP3 (ligand présent sur l'ovocyte). B. Une activation ovocytaire est possible sans l intervention de la PLC zéta spermatique. C. La réaction acrosomique permet la libération d enzymes comme la β-n acétylglucosaminidase responsable de la cassure de la partie glucidique; l acrosine qui va casser la partie protéique des glycoprotéines de la zone pellucide et enfin de la hyaluronidase. D. La réaction acrosomique se produit grâce à l'entrée de calcium dans la cellule suite à l'inhibition de la pompe calcium. E. Les inducteurs de la réaction acrosomique sont l œstrogène au niveau du cumulus oophorus et la liaison des protéines ZP aux spermatozoïdes en tant que 2ème inducteur. QCM 12 A propos de la première mitose embryonnaire : A. Chaque pronoyau va faire sa réplication d ADN indépendamment : elles vont se faire de manière asynchrone, d'abord dans le pronucleus mâle. B. Au moment de la réplication, les pronoyaux sont au centre du zygote ce qui aidera à leur réunion C.Concernant la première mitose, il n'y a qu'un seul fuseau de division au niveau duquel se mélangent chromosomes paternels et maternels : c'est la syngamie. D. Le premier fuseau de division métaphasique provient seulement du centriole proximal du spermatozoïde E. Elle a lieu à peu près 5 à 6 heures après l entrée du spermatozoïde QCM 13 A propos de la traversée du tractus génital féminin par les spermatozoïdes : A. Sur les spermatozoïdes déposés au fond du vagin, environ 1 million de spermatozoïdes vont se retrouver dans la cavité utérine. B. Les spermatozoïdes migrent vers l ovocyte dans les trompes par un chimiotactisme exercé par l œstrogène C. Le PH vaginal passe de 7,2 à 5 en moins de 10 secondes lorsque les spermatozoïdes sont déposés dans le vagin D. La réaction acrosomique nécessite des membranes instables, obtenues grâce à la capacitation. E. La glaire cervicale a 3 rôles principaux : c est tout d abord un filtre permettant la sélection des spermatozoïdes, c est aussi un réservoir protégeant le spermatozoïde de l acidité vaginale pendant 48 heures, et elle permet la capacitation. QCM 14 Concernant la fécondation : A. Le spermatozoïde fusionné avec l'ovocyte va subir une décondensation de sa chromatine par l intermédiaire du remplacement des histones par des protamines B. En moins d une heure après son entrée, l enveloppe nucléaire va être dégradée et remplacée par une nouvelle, plus poreuse et riche en lamines C.Le flagelle, les mitochondries et la pièce intermédiaire vont être incorporés dans l'ovocyte avant d être complètement dégradés D. La triploïdie peut être dû à une non expulsion du deuxième globule polaire 162 / 291
163 E. Un zygote gynogénote présente une hyperplasie placentaire entraînant rapidement un arrêt de développement QCM 15 Concernant la première semaine de développement, indiquez le(s) item(s) vrai(s) : A. L éclosion du blastocyste expansé a lieu (dans une situation optimale) dans la cavité utérine et lors du 9ème jour suivant la fécondation. B. Le génome embryonnaire se met en place entre les stades 4 et 8 cellules. C. Les cellules embryonnaires subissent environ une mitose par 24 heures. D. Les sécrétions tubaires ne sont pas sous la dépendance des hormones hypophysaires (LH et FSH) E. Le clonage thérapeutique repose sur la culture d une lignée de cellules souches embryonnaires pluripotentes issues du trophectoderme. QCM 16 A propos de la première semaine de développement : A. La 2e division donne 8 cellules de taille égale. B. La compaction commence au stade 8 cellules. C. L'appel d'eau à l'intérieur de l'embryon, permis par les jonctions serrées et le fonctionnement des pompes Na+/K+, est à l'origine de la formation du blastocèle. D. L'expansion du blastocyste a normalement lieu au 5e jour dans les trompes. E. Avant le stade 8 cellules, la source d'énergie privilégiée de l'embryon est le pyruvate. QCM 17 Épidémiologie sur la fertilité et perturbateurs endocriniens : A. Chez l'homme, concernant les risques d'infertilité, il y a une corrélation positive entre l'âge et la numération, la morphologie et la mobilité spermatique.. B. 35 % des femmes en âge de procréer consomment du tabac. C. La période pendant laquelle un rapport sexuel est fécondant, dite période de fertilité, est entre le 8ème et 15ème jour d'un cycle normal. D. Seuls les mécanismes génétiques et épigénétiques sont des moyens d'action des perturbateurs endocriniens. E. Pour le mécanisme d'action génétique des perturbateurs endocriniens, on a les récepteurs membranaires aux oestrogènes et aux androgènes. QCM 18 Epidémiologie et perturbateurs endocriniens : A.L'obésité touche, en France, la moitié des adultes. B. Concernant l'imprégnation en France au bisphénol A (BPA), il est détecté chez 100% des personnes étudiées. C. La corrélation entre la concentration en bisphénol A dans l'organisme et l'achat de viande pré-emballée concerne les enfants mais pas les adultes. D. Le bisphénol A entraîne des perturbations du système reproductif féminin, comme l'apparition d'un hypogonadisme hypogonadotrope. E. L'inhalation de l'air intérieur représente environ 10 % de l'exposition au bisphénol A. QCM 19 Assistance Médicale à la Procréation : A. Si on a environ spermatozoïdes inséminables, on se dirigera vers une FIV avec ICSI. B. L'Insémination artificielle intra-utérine permet de court-circuiter la glaire. 163 / 291
164 C. En migration ascendante, pour obtenir des spermatozoïdes, on réalise dans l'ordre : migration, centrifugation puis élimination du surnageant. D. La FIV (Fécondation In Vitro) est indiqué d'emblée. E. Dans les étapes de la FIV, il est nécessaire d'avoir une stimulation ovarienne par progestérone. QCM 20 A propos des PMA : A. Le DPI ne peut être réalisé que pour des couples qui présentent une maladie génétique grave. B. Concernant le don de sperme, l'accord du conjoint n'est plus obligatoire depuis C. Le don de sperme n'est pas autorisé au delà de l'âge de 38 ans. D. Un couple dans l'attente d'un don d'ovocyte, peut recevoir un don d'embryon à la place. E. On compte 540 donneuses d'ovocytes par an, ce qui suffit à répondre aux demandes de dons. QCM 21 A propos de la puberté : A. En situation d anorexie, la leptine est basse et on a une stimulation de neurones à POMC. B. Les leptines sont nécessaires à l apparition de la puberté. C. En situation normale ( poids et % de tissu adipeux normaux), la leptine est élevée donc on a une stimulation de neurones à NPY. D. Une mutation des kiss peptides entraîne un hypogonadisme. E. L environnement et la leptine ont une influence sur les neurones synthétisant les kiss peptide. QCM 22 A propos de la puberté : A. On parle de puberté vraie lorsque le rapport LH/FSH > 1 B. On parle de puberté précoce chez une fille si les caractères sexuels secondaires se développent avant 8 ans chez la fille et avant 9 ans chez un garçon. C. Une puberté précoce vraie se caractérise par une activation de l axe hypothalamo-hypophysaire et une production de stéroïdes sexuels par les surrénales. D. Une pseudo-puberté se caractérise par un niveau élevé de stéroïdes sexuels et un taux bas de LH/FSH. E. Lors d un hypogonadisme hypergonadotrope, il n y pas de stéroïdes et le taux de LH/ FSH est important. QCM 23 A propos de la puberté : A. La GnRH, un décapeptide, est une hormone sécrétée par l'hypophyse et qui stimule la sécrétion de FSH et de LH. B. La FSH et la LH stimulent la sécrétion des protéines sexuelles œstradiol et testostérone. C. Les neurones à GnRH sont issus de la placode olfactive. D. Le syndrome de Kallmann-Morsier, lié à une mutation du gène KAL 1, peut associer une anosmie et un hypogonadisme avec défaut de production de GnRH. 164 / 291
165 E.Lors de la vie foetale, de la mini puberté, et de l'adrénarche, les neurones à GnRH sont actifs. QCM 24 A propos des hormones thyroïdiennes : A. Le système nerveux central peut se développer grâce à l action directe de l hormone thyroïdienne T4. B. La sécrétion des hormones thyroïdiennes est sous dépendance des cellules thyréotropes de l antéhypophyse. C. TTF-2, en plus d'être impliqué dans l'embryogenèse de la glande thyroïde, est aussi un gène important dans l'embryogenèse de la glande hypophyse. D. Les hormones thyroïdiennes actives résultent de la combinaison d'une monoiodotyrosine et d'une diiodotyrosine : en résulte une triiodotyrosine (T3). E. La 5 mono-déiodinase permet de transformer la T3 en T4 QCM 25 A propos des hormones thyroïdiennes : A. La consommation de sel est heureusement proscrite chez la femme enceinte. B. La thyroïde est stimulée à la naissance par un pic de TSH hypophysaire survenant dans les 30 minutes après l accouchement, afin de permettre la thermogenèse. C. La différenciation du SNC nécessite les hormones thyroïdiennes tout comme celle du tissu osseux. D. Chez l adulte, la reverse T3 peut se réactiver dans certaines conditions, comme l anorexie. E. En cas d hypothyroïdie fœtale, le nouveau-né est de taille plus petite que la moyenne. QCM 26 A propos de la différenciation sexuelle : A. A la 5e semaine de vie embryonnaire, la gonade est bipotente. B. Pendant la vie foetale, l'ovaire et le testicule produisent des hormones permettant leur différenciation. C. L'acquisition du phénotype féminin est un phénomène actif. D. La différenciation testiculaire repose sur une base monogamique avec un rôle prépondérant du chromosome Y. E. Un individu 46XY a forcément un phénotype masculin QCM 27 A propos de la différenciation sexuelle : A. Le gène DAX1 présent sur le bras court du chromosome X, est un gène d'inhibition du développement testiculaire et est inhibé par SRY. B.Les expressions de FOXL2 et SOX9 sont mutuellement exclusives. C. Les canaux de Wolff et de Müller sont à l'origine du tractus génital interne qui va se différencier de manière différentielle chez le garçon ou chez la fille selon qu'il y ait présence ou non d'hormone mâle. D. La différenciation des canaux de Wolff a lieu entre la 8eme et la 10-12e semaine et va permettre de former la tête de l'épididyme, les vésicules séminales et la canal déférent. E. Chez la fille, l'ham permet la différenciation des canaux de Müller pour donner les structures du tractus génital interne de la fille : trompes, utérus et les 2/3 supérieur du vagin. QCM 28 Concernant l épigénétique, indiquez le(s) item(s) correct(s) : 165 / 291
166 A. L empreinte parentale s efface lors de la migration des cellules germinales primordiales dans la gonade indifférenciée. B. La re-programmation de l empreinte parentale se fait à la fin de la migration, lors de la gamétogenèse, grâce à des cycles de méthylation. C. La reprogrammation épigénétique des gamètes masculins a lieu après la naissance. D. Notre mode de vie ne permet pas de modifier les marques épigénétiques dont l ensemble constitue l épigénome. E. Une mutation épigénétique peut avoir une transmission trans-générationnelle par exposition paternelle au bisphénol A, si la mutation est présente au sein de la 2 ème génération. QCM 29 A propos de l'épigénétique : A. L'épigénétique nous explique comment on peut obtenir plusieurs phénotypes à partir d'un même génotype. B. Il existe deux types «d'étiquettes génétiques». C. Plus un gène est méthylé, plus il sera transcrit. D. La DNMT1 est capable de méthyler tous les types d'adn. E. Les modifications des histones ont lieu à leur extrémité N terminale. QCM 30 A propos du placenta : A. La sphère choriale est constituée, de l extérieur vers l intérieur, du mésenchyme extra-embryonnaire, du cytotrophoblaste et du syncytiotrophoblaste. B. Au bout de la 2 ème semaine de développement, on aperçoit les villosités primaires et secondaires. C. Les lacunes correspondent à du plasma maternel. D. Il existe 3 types de villosités tertiaires. E. Les villosités crampons correspondent à des villosités secondaires. QCM 31 A propos du placenta : A. Chaque villosité est composée d une artériole paracentrale, de deux veinules centrales et d un réseau capillaire dans le mésenchyme. B. La couche de syncytiotrophoblaste s amincit au cours de la grossesse. C. Les villosités placentaires sont situées dans les pseudos-cotylédons à partir de la fin du 4ème mois. D. La régression du cytotrophoblaste a lieu au 3ème mois. E. Le cytotrophoblaste contient des cellules de Langhans. QCM 32 A propos de la formation des membres : A. Dans l'axe antéro-postérieur (ou crânio-caudal) si on enlève la ZAP, on observe une duplication en miroir de la partie distale avec des doigts surnuméraires. B. La protéine SHH est un facteur de transcription codé par la ZAP qui essentiel pour l'acquisition de la différenciation. C. Hoxd-13 est exprimé dans la partie proximale du membre en développement. D. Wnt7a inhibe l'expression du facteur de transcription En1. E. S'il y a une absence de En1 alors on aura un membre biventral QCM 33 A propos de la mise en place du cartilage de croissance : 166 / 291
167 A. L'IHH sécrété par les chondrocytes hypertrophiques agit directement sur la prolifération des chondrocytes prolifératifs et agit par l'intermédiaire du PTHrp sécrété par le périchondre. B. BMP stimule la croissance cartilagineuse en augmentant la production d'ihh et en augmentant la différenciation des chondrocytes de la zone du cartilage hypertrophique. C. La régulation des cartilages de croissance est une régulation autoparacrine. D. L'achondroplasie est liée à la mutation du gène PTHrp. E. La chondroplasie de Jansen a pour conséquence un nanisme dysharmonieux et une hypertrophie des pièces osseuses. QCM 34 A propos du développement du tissu osseux : A. FGFR3 est un inhibiteur de la prolifération et de la différenciation des chondrocytes prolifératifs. B. La chondrodysplasie métaphysaire de Jansen est une mutation du gène codant pour les facteur PTH. C. Les BMP contribuent à la différenciation des cellules de la zone de réserve en chondrocytes prolifératifs. D. Sur la sécrétion d IHH, FGF a un effet négatif alors que BMP stimulent la production d IHH par les chondrocytes hypertrophiques. E. L achondroplasie est secondaire à une mutation activatrice de l isoforme 3 du récepteur des FGF. QCM 35 A propos du développement du tissu osseux en post-natal : A. Pendant la puberté, il existe une accélération de la vitesse de croissance et pic de croissance longitudinal. B. L arrêt de la croissance pendant la période post pubertaire est dû à la diminution des stéroïdes sexuels. C. La période pré-pubertaire (croissance longitudinal) est sous la dépendance du système GH/ IGFs. D. La GH est une hormone qui circule majoritairement sous forme liée. E. La GH est sécrétée de manière pulsatile et cyclique suivant un cycle nycthéméral. QCM 36 A propos du développement du tissu osseux en post-natal: A. La GRH stimule la sécrétion de GH par les cellules somatotropes. B. La GH a une action indirecte via IGF II pour stimuler la prolifération des chondrocytes du cartilage. C. La GH agit directement sur la croissance de nombreux tissus comme le tissu osseux. D. Un déficit en GH ou une anomalie lié à IGF1 est à l origine d un nanisme dysharmonieux. E. En fin de puberté, les fortes doses de stéroïdes sexuels entraînent une soudures des cartilages osseux et un arrêt de la phase de croissance. QCM 37 A propos du développement du tissu osseux en post-natal: A. L expression du dimorphisme sexuel du squelette à la puberté est liée au rôle majeur des androgènes pour les deux sexes. B. Chez les filles, le pic de masse osseuse précède le pic de croissance staturale. 167 / 291
168 C. Le pic de croissance chez les garçons est plus tardif que chez les filles mais d amplitude inférieur. D. Les hormones thyroïdiennes, pendant la période foetale, influent sur la croissance longitudinale du foetus. E. En période post natal, les hormones thyroïdiennes interviennent dans la régulation de la croissance staturale en régulant l activité de l hormone GH. QCM 38 Concernant la différenciation de l'appareil génital féminin : A. La fusion des cornes sera à l'origine du fond de l'utérus. B. La résorption des septa utérins sera à l'origine de l hymen C. Les 2/3 supérieurs du vagin proviennent du sinus urogénital. D. Un étirement de la partie inférieure du sinus urogénital participera à la formation de l'urètre. E. Les canaux de Wolff régresseront complètement vers la 10ème semaine. QCM 39 Concernant la mise en place de l'appareil génital féminin : A. Les replis génitaux et les bourrelets génitaux donneront respectivement les petites et les grandes lèvres, faisant parties des organes génitaux internes. B. L'appareil génital est non fonctionnel à la naissance. C. Le ligament inguinal donnera le futur ligament lombo-ovarien. D. A la 10ème semaine, la fente uro-génitale se ferme partiellement en laissant deux orifices : l'orifice vaginal (en avant) et le méat urétral (en arrière). E. On observe à la 9ème semaine une protubérance qui évoluera en clitoris dans les semaines suivantes. QCM 40 Concernant les malformations de l'appareil génital féminin : A.Le Syndrome de Rokitanski est dû à une aplasie mullérienne complète. B.Dans le Syndrome de Rokitanski les femmes ont des trompes et une fonction ovarienne normales. C.L'utérus bicorne unicervical est dû à une aplasie des canaux de Müller. D.L'utérus cloisonné total présente une cloison qui s'étend du fond de l'utérus au col. E.L'absence de résorption de la cloison médiane séparant les canaux de Müller conduit à un utérus cloisonné inopérable. Correction : Sujet Type 1 : QCM 1: BD A. C est dans un milieu hypotonique. C. Les lipides sont des petites molécules non visibles après cryofracture. E. Il y a 50 molécules de lipide pour 1 molécule de protéine. QCM 2: BCDE A : C est l inverse QCM 3: BCE 168 / 291
169 A. La tubuline est hétérodimérique D. Présence de GTP et non d ATP!! QCM 4: BCE A. C'est la membrane nucléaire interne qui est tapissée de la lamina nucléaire. D. L'euchromatine correspond à des zones claires. QCM 5: BE A. Il ne se fixe pas obligatoirement du premier coup, le ribosome assure la bonne complémentarité entre le codon et l anti codon puis déplace l ARNt vers le site P. C. Ils viennent se fixer au niveau de la séquence codante 5 UTR. D. On dit que le code génétique est dégénéré car au contraire, les codons sont en surnombre et plusieurs correspondent au même acide aminé, par exemple CUC = leucine et UUA = leucine aussi. QCM 6: BCE A. Induction de p16 et activation de p53 D. La plupart des types cellulaires issus de tissus humains adultes le peuvent mais pas tous QCM 7: DE A. Il agissent dans les stades précoces de la différentiation, c est GATA3, GRHL3, KLF4 et PRDM1 qui participent au contrôle des stades tardifs. B. ils ne répriment pas les 1,2 et 10, ils les expriment également. C. L érythropoïétine est sécrétée par les cellules rénales. QCM 8: CD A. Si, elles doivent être dénaturées. B. L ADN mitochondrial ne subit pas d épissage car l ADN n est jamais épissé, les ARN transcrit depuis cet ADN ne comportent pas d introns et ne sont pas épissés. E. Il est appelé la NADH déshydrogénase QCM 9: AC B. Les deux chaînes sont associées de façon non covalente. D. Il peut également se lier aux filaments intermédiaires E. Les SAM et les CAM sont calcium-dépendantes (ou magnésium-dépendantes, ce n'est pas précisé). QCM 10: AD B. Il existe quelques rares protéines qui sont codées par le génome mitochondrial. C. La partie centrale est toujours hydrophobe. E. Attention c'est le cas pour les protéines multipass ; les protéines singlepass n'ont qu'un seul domaine transmembranaire. QCM 11: CDE A. La rhodamine et le rouge Texas sont tous les deux des fluorochromes rouges donc ne sont pas différents. B. Si, on peut! QCM 12: ABCD E. On préfère le microscope biphotonique qui limite le blanchiment au point focal. QCM 13 : BE 169 / 291
170 A. Il est de type malpighien non kératinisé. Seul l'épithélium de l'épiderme est malpighien kératinisé. C. Ce sont les villosités de l'épithélium des tubes contournés du rein qui portent ce nom. Les villosités de l'épithélium intestinal portent le nom de plateau strié. D. Ce sont des protéines de myosine I et de calmoduline. E. Il est visible uniquement en microscopie électronique. QCM 14 : E A. 9 doublets de microtubules. C'est le cinétosome qui est constituée de 9 triplets de microtubules. B. L'épithélium intestinal est constitué de deux catégories de cellules : des entérocytes porteurs d'un plateau strié et des cellules à mucus dépourvues de plateau strié. C. Ce sont des intégrines. D. Ces glandes sont à la fois endocrine et exocrine. QCM 15 : ABCE D. Les trois variétés de fibres sont présentent dans un même muscle. QCM 16 : ABE C. Innervation motrice. D. La libération de calcium QCM 17 : ADE B. MAP Tau stabilise les MT lorsqu elle n est pas phosphorylée. C. Transport rétrograde de (+) en distal vers (-) le pérycaryon. QCM 18 : ABCE D. Accolement des feuillets externes. QCM 19 : DE A. C est le périnèvre (TC dense) qui entoure un faisceau de fibres nerveuses ; l épinèvre regroupe plusieurs faisceaux. B. C est le seul épithélium sans basale!!! C. C est proportionnel à la racine carré du diamètre pour les fibres amyéliniques. QCM 20 : ACD B. Atrium droit. E. Les GAP jonctions sont disposée au niveau de la portion horizontale. QCM 21 : BCD A. Durée de vie et non demie-vie. E. Hémostase primaire. QCM 22 : ABCD E. C est sur frottis médullaire. QCM 23 : BC A. La belle mère est une femme, son taux d hémoglobine normal se situe entre 12 et 16 g/ dl D. Pas de neutropénie (<2G/L) donc pas de témoin d une infection bactérienne grave. E. On a un excès de plaquettes donc un risque de thrombose. 170 / 291
171 QCM 24 : E A. En ME, pas en MO. B. Vitamine C!! C. C est une unité disaccharidique. D. Ceci est le rôle des fibroblastes. QCM 25 : B A. L épiglotte est composée de cartilage élastique. C. Elles ne sont pas individualisables. D. C est la description de l arthrose. E. Non, le cartilage articulaire n est pas bordé par du périchondre. QCM 26 : ACE B. L ostéoporose est due à une raréfaction des trames osseuses et des travées d os spongieux, pas à un problème de minéralisation comme dans l ostéomalacie ou le rachitisme. D. On est dans du cartilage donc ce sont des chondroplastes qui se dilatent. QCM 27 : BC A. Le rein dérive du mésoblaste intermédiaire. D. Il est constitué du blastème métanéphrogène et du bourgeon urétéral. Pas de développement si absence d une des deux composés car effets inducteurs réciproques. E. L agénésie rénale unilatérale ne présente pas de syndromes malformatifs. Le syndrome de Potter est retrouvé dans l agénésie rénale bilatérale. QCM 28 : ACD B. Splanchnopleure = entoblaste et somatopleure = ectoblaste. E. Le tube cardiaque est en ventrale de la membrane pharyngienne après l inflexion céphalique. QCM 29 : BD A. C est pendant la phase EMBRYONNAIRE. C. Blastomères puis morula et enfin blastocyste. E. Au 5ème mois elle mesure ⅓ de la longueur vertex TALON. QCM 30 : AD B. C est la progestérone. C. Tout d abord il s agit des INTÉGRINES et non des cadhérines et ensuite il se produit une perte de polarité. E. C est l inverse : le mésoblaste collé à la cavité amniotique donne la somatopleure et celui collé à la vésicule donne la splanchnopleure. QCM 31 : E A. Elle va constituer le mésoblaste para-axial ou somitique. B. Il s agit du 19ème-20ème jour. C. L ingression est une PERTE de l expression des E-cadhérines pour permettre aux cellules de se déplacement plus facilement ainsi qu une transition épithélio-mésenchymateuse plus efficace. D. Ce sont les méthodes contragestives (pilule du lendemain, DIU, stérilet). 171 / 291
172 QCM 32 : C A. La recherche s inscrit dans une finalité médicale. B. Bordures nettes à l état indifférencié et non nettes à l état différencié. D. Ils apparaissent au niveau de l extrémité céphalique en avant et latéralement à la membrane pharyngienne. E. Pas de vaisseaux sanguins fonctionnels à ce stade. QCM 33 : B A. La granulosa et non la thèque interne C. Stade II D. Il s agit de vésicules issues de l appareil de Golgi E. Il peut également y avoir des translocations équilibrées auquel cas on aurait ni gain ni perte de matériel QCM 34: AE B. C'est le fructose. C. Le spermatocyte II D. Transforme la testostérone en 5 dihydro-testostérone. QCM 35 : CE A.. L ovocyte était bloqué en M2 B. Le degré d hydratation des mailles est contrôlé par le taux d œstrogènes D. Attention, c est la fixation primaire qui est spécifique de l espèce par l intermédiaire de la partie glucidique de ZP3 E. VRAI : Le spermatozoïde fécondant placé dans l espace péri-vitellin doit avoir fait sa réaction acrosomique pour mettre à jour le ligand Izumo-I présent sur la cape post acrosomique, afin de lier le récepteur ovocytaire Juno. QCM 36 : AD B. C'est la définition de la fécondabilité. La fertilité d'un couple correspond à sa capacité à obtenir une grossesse. C. Le seuil pour les enfants est de 0,1 mg/l. Attention aux unités même en UE2! E. Les zygotes après 24h sont placés dans un milieu riche en pyruvate et PAUVRE en glu cose (l embryon utilise préférentiellement du pyruvate comme source d énergie avant le stade 8 cellules) QCM 37 : BE A. L iode n est pas synthétisé mais absorbé par le tube digestif via l alimentation. C. C est la peroxydase D. 99% liées dont ¾ aux TBG QCM 38 : B A. Il est impliqué dans la morphogenèse gonadique et rénale! C. C'est l'inverse. Ils ont une production gonadique anormale mais une gonade normale, ce qui entraîne des anomalies de tractus génital : interne et externe. 172 / 291
173 D. Il a un rôle indispensable mais non exclusif (ce n est pas le seul facteur pour la différenciation)!!!!!!! E. L'HAM est une hormone sécrétée par le testicule, qui entraîne une régression des canaux de Müller. Chez la fille, il n'y a donc pas de sécrétion d'ham ce qui autorise une différenciation des canaux de Müller. QCM 39 : AC B. Attention, ce n est justement pas de la testostérone qui est sécrété mais du DHA, et non pas par les testicules mais par les surrénales. C. Vrai. Direct et négatif sur les neurones à GnRH, et indirect et négatif sur les neurones à glutamate qui stimuleraient sinon les neurones à GnRH D. Décapeptide!! (Tombe souvent) E. Ces deux éléments distinguent justement puberté précoce vraie (activation de l axe hypothalamo-hypophysaire) et pseudo-puberté précoce (production de stéroïdes sexuels par les gonades et les surrénaliennes). QCM 40 : ABC D. Il est discoïde ce qui signifie qu il n est pas implanté sur toute la cavité utérine. E. Non elles ne peuvent pas Sujet Type 2 : QCM 1: BD A. C est dans un milieu hypotonique. C. Les lipides sont des petites molécules non visibles après cryofracture. E. Il y a 50 molécules de lipide pour 1 molécule de protéine. QCM 2: BCDE A. C est l inverse QCM 3: BCE A. La tubuline est hétérodimérique D. Présence de GTP et non d ATP!! QCM 4: BCE A. C'est la membrane nucléaire interne qui est tapissée de la lamina nucléaire. D. L'euchromatine correspond à des zones claires. QCM 5: BE A. Il ne se fixe pas obligatoirement du premier coup, le ribosome assure la bonne complémentarité entre le codon et l anti codon puis déplace l ARNt vers le site P. C. Ils viennent se fixer au niveau de la séquence codante 5 UTR. D. On dit que le code génétique est dégénéré car au contraire, les codons sont en surnombre et plusieurs correspondent au même acide aminé, par exemple CUC = leucine et UUA = leucine aussi. QCM 6: BCE 173 / 291
174 A. Induction de p16 et activation de p53 D. La plupart des types cellulaires issus de tissus humains adultes le peuvent mais pas tous QCM 7: DE A. Il agissent dans les stades précoces de la différentiation, c est GATA3, GRHL3, KLF4 et PRDM1 qui participent au contrôle des stades tardifs. B. Ils ne répriment pas les 1,2 et 10, ils les expriment également. C. L érythropoïétine est sécrétée par les cellules rénales. QCM 8: CD A. Si, elles doivent être dénaturées. B. L ADN mitochondrial ne subit pas d épissage car l ADN n est jamais épissé, les ARN transcrit depuis cet ADN ne comportent pas d introns et ne sont pas épissés. E. Il est appelé la NADH déshydrogénase QCM 9: AC B. Les deux chaînes sont associées de façon non covalente. D. Il peut également se lier aux filaments intermédiaires E. Les SAM et les CAM sont calcium-dépendantes (ou magnésium-dépendantes, ce n'est pas précisé). QCM 10: AD B. Il existe quelques rares protéines qui sont codées par le génome mitochondrial. C. La partie centrale est toujours hydrophobe. E. Attention c'est le cas pour les protéines multipass ; les protéines singlepass n'ont qu'un seul domaine transmembranaire. QCM 11: CDE A. La rhodamine et le rouge Texas sont tous les deux des fluorochromes rouges donc ne sont pas différents. B. Si, on peut! QCM 12: ABCD E. On préfère le microscope biphotonique qui limite le blanchiment au point focal. QCM 13 : CD A À partir d'un épithélium de revêtement. B. Séreuse. E. Ramifiées. QCM 14 : DE A. La plèvre, le péricarde et le péritoine sont les 3 séreuses du corps humain tapissées d un épithélium ; le mésothélium. B. La fibronectine compose la basale, mais c est la laminine qui est spécifique des basales. C. On en retrouve aussi au pôle basal des cellules de Sertoli. QCM 15 : BC A. NI vascularisé, NI innervé. D. Liés de façon NON covalente. QCM 16 : BCDE 174 / 291
175 A. Ce sont les ostéoblastes. QCM 17 : BDE A. Il s agit de la titine. C.Le sarcomère est constitué de 2 hémi-bandes I et d une bande A entre deux stries Z. QCM 18 : AE B. C est l équivalent fonctionnel des stries Z. C. Il n y a PAS de myofibrilles dans les cellules musculaires lisses. D. La transmission des potentiels d action se fait via des synapses en passant, et la dépolarisation se transmet entre les léiomyocytes grâce aux GAP jonctions. QCM 19 : ACE B. Permettant d éliminer de l eau et du Na+, afin de diminuer la pression sanguine artérielle. D. Aucune régénération n est possible au niveau du coeur, car il n y a pas de cellules satellites, toute lésion est définitive. QCM 20 : CDE A. Les macrophages sont des cellules mobiles. B. Il s agit du collagène IV. QCM 21 : AB C. HYPERphosphorylation. D. La myélinisation s achève dans les premières années de vie. E. Les plus rares. QCM 22 : BCE A. L appareil de Golgi est juxta-nucléaire, il ne se trouve qu au niveau du péricaryon. D. Les fibres nerveuses du système nerveux périphérique. QCM 23 : ACD B. Pas de filaments intermédiaires de desmine (présents dans les cellules musculaires), mais des neurofilaments. E. Pas dans l axone. QCM 24 : DE A. Pas microcytaire car le VGM est normal ( compris entre 80 et 100 f/l ), mais on a bien une anémie ( hémoglobine<12 g/dl ) et une hypochromie ( CCMH<32 % ). B. Non, hypochrome. C. Taux de PNN normal. QCM 25 : DE A. C est celui de l homme ici. B. Les érythroblastes acidophiles ne se divisent pas. C. C est le fer qui intervient dans la synthèse de l hémoglobine, la vitamine B12 et l acide folique permettent la synthèse de l ADN. QCM 26 : BCD 175 / 291
176 A. Ce sont les lymphocytes B qui interviennent dans la réponse immunitaire à médiation humorale. E. Mégacaryocyte thrombocytogène. QCM 27 : ACD B. À partir de la 3ème semaine. E. On parle de la deuxième prolifération, la première à lieu au 8ème-9ème jour. QCM 28 : DE A. C est l inverse; cellules cytotrophoblastiques ( cellules de Langhans ), entourées de syncytiotrophoblaste. B. Seules les tertiaires sont fonctionnelles. C. Ce sont les villosités en regard de la caduque ovulaire qui vont disparaître, celles en regard de la caduque placentaire vont persister. QCM 29 : ABD C. Partie postérieure. E. Tout le côlon ascendant et les ⅔ proximaux du côlon transverse. QCM 30 : AD B. Corps vertébral. C. Non, justement, on a une apoptose des cellules qui ne sont pas en contact de la basale. E. Le myélencéphale et le métencéphale sont dérivés du rhombencéphale. QCM 31 : ACDE A. VRAI : Rare mais possible. B. Les jumeaux dizygotes sont toujours bi-amniotique. QCM 32 : ACE B. C est le blastème métanéphrogène qui permet la formation du système sécréteur du rein définitif. D. Agénésie bilatérale. QCM 33 : ABE C. Ils se dirigent vers le même pôle du fuseau. D. Ce sont les chromosomes homologues qui sont reliés par les chiasmas, les chromatides sœurs sont maintenus par les centromères. QCM 34 : BDE A. Il s agit d une cytodiérèse ASYMÉTRIQUE. C. Cela s effectue lors de la croissance ovocytaire. Pendant la maturation, il y a un arrêt de la synthèse d ARNm. QCM 35 : AC B. Il est acide à 6-7 pour la prostate et basique à 7,5-8 pour les vésicules séminales. D. C est le sphincter lisse qui s ouvre avant le strié dans l éjaculation rétrograde. E. Le ph est neutre à 7,2, le reste est vrai. QCM 36 : ADE B. La globospermie est du à une absence d'acrosome. C. C'est grâce aux récepteurs ZP3 et ZP4 176 / 291
177 QCM 37 : BDE A. Il y a une augmente de la sécrétion de T4 par l intermédiaire de la stimulation de l HCG, produite en grande quantité par le placenta au cours du premier trimestre, qui va mimer sur les récepteurs de la TSH Thyroïdienne maternelle l action de la TSH Hypophysaire (fausse hormone, grâce à sa chaîne Alpha qui est commune à tous les peptides hypophysaires). C. LA TSH NE PASSE PAS! Donc si le foetus possède un défaut hypophysaire il y aura des problèmes. Par contre, la TRH passe mais puisque l hypophyse n est pas mature au départ, ça ne sert à rien. D. VRAI : En effet, l hypophyse marche à fond pour stimuler la synthèse des HT par la GT de l enfant se réchauffe et devienne autonome dans la production de ses hormones Thyroïdiennes. QCM 38 : ADE B. Ce sont les caractéristiques d un hermaphrodisme vrai. Un pseudo hermaphrodisme est caractérisé par une anomalie de la différenciation du tractus génital interne / externe mais les gonades sont normales! (À la différence de l hermaphrodisme vrai : ovotestis). C. Le gène SRY est indispensable mais NON exclusif, il existe entre autre les gènes SOX9 et DRMT1. QCM 39 : AE B. Il se fragmentent aux cours de la 16ème semaine. C. Uniquement régressions des tubules mésonéphrotiques (canal de Wolff). D. 2/3 d'origine Müllérienne (supérieur) et 1/3 d'origine entoblastique (inférieur). QCM 40 : ABE C. C'est un état PERMISSIF. D. C'est une augmentation! QCM en Vrac Biocell : QCM 1: BC A. Un «flip-flop» a environ lieu 1 fois/mois/molécule mais il y a beaucoup de molécules dans une cellule, donc beaucoup de «flip-flop» dans une cellule. B. VRAI : PL = Fast and Furious D. C est le phénomène de diffusion latérale qui conduit à parler de mosaïque fluide. E. Rotation, flexion, flip-flop, diffusion latérale QCM 2: AB C. L activité kinase se trouve en intracellulaire D. Le glucagon se fixe sur un récepteur associé à une protéine G. E. La protéine G Ras est activée après avoir échangé son GDP contre un GTP QCM 3: BE A. Elles peuvent aussi être nature protéique ou radicalaire. C. Ce sont les récepteurs des signaux liposoluble qui agissent comme des facteurs de transcription D. Elles se fixent sur un récepteur intracellulaire et agissent directement au niveau des éléments de réponse de l ADN QCM 4: BE A. Le cytosol est un organite non membranaire! 177 / 291
178 C. Elle modifie la conformation de la sous unité bêta D. Tau hyperphosphorylée QCM 5: CE A. C est l inverse, la fimbrine forme des faisceaux très denses. B. La majorité mais pas toutes! D. C est la tropomyosine et non la tropomoduline qui elle cache l extrémité (-) QCM 6: AE B. Des annexes épidermiques et des épithéliums! C. C est les microfilaments que l on retrouve ici. D. C est la desmine dans les cellules musculaires, la vimentine se retrouve dans les cellules mésodermiques. QCM 7: D A. Au niveau du complexe II de la chaîne respiratoire. B. Elle se fait en une trentaine d étapes. C. C est dans la membrane externe. E. C est l inverse c est la formation du lactate à partir du pyruvate QCM 8: ABE C. Elles sont associées au réseau de microtubules. D. Il y a bien une réplication asynchrone mais il subit une transmission maternelle. QCM 9: CD A. Lorsque l on inactive la télomérase les cellules tumorales perdent leur immortalité, c est-à-dire leur capacité à se diviser indéfiniment. B. Dans 90% des cancers E. Pour le développement de tous les cancers en général QCM 10: B A. Les neurone sont des cellules hyper spécialisées qui n ont pas de cellules souches. C. 46 chromosomes et donc 92 chromatides après la réplication. D. Il s agit de l iodure de propidium, la thymidine tritiée est un agent radioactif. E. Pas forcément : cas des cellules plurinuclées. QCM 11 : CE A. dégradation de la cycline B B. les MT kinétochoriens disparaissent, c est les MT hémipolaires qui donnent les MT interzonaux. D. Perpendiculairement au grand axe du fuseau mitotique. QCM 12 : BDE A. Il est composé de 2 modules régulateurs et d 1 complexe protéasique. C. Impliquée dans la maladie de Parkinson. QCM 13 : ACE B. C est un même anti-codon qui va s apparier à des codons différents. D. C est en se fixant en 5 UTR. QCM 14 : ABE 178 / 291
179 C. Attention, cela permet la reconnaissance de la protéine par des lectines (sélectines) qui sont des protéines ayant une affinité particulière pour certains sucres. Les intégrines font parties d'une autre famille de molécules d'adhérence. D. On pense que cela représente 30% des protéines néo-synthétisées. E. VRAI : Les protéines intraluminales anormales sont extraites par le protéasome de manière ATP dépendante, par sa partie 19S qui se lie directement au translocon. QCM 15 : AC B. Il existe aussi des vésicules nues ou des vésicules à cavéoline. D. Les ATPases à protons vont acidifier le contenu des ETP, tout comme les hydrolases acides. E. Il faut que le ph soit au voisinage de 5 (c'est à dire un ph acide) pour que cela deviennent des lysosomes. QCM 16 : B A. La desmoplakine n'est PAS glycosylée, elle reste donc dans le cytoplasme. C. Le contact hétérophilique se fait entre desmogléine et DESMOCOLLINE et permet donc l'attachement des DESMOPLAKINES. D. Ce phénomène est RÉVERSIBLE. Le reste de phrase est juste. E. Cette stabilisation est IRRÉVERSIBLE. QCM 17 : BD A. Les sélectines sont des CAM calcium-dépendantes. C. Au contraire! De NOMBREUSES lectines activent des tyrosines kinases ou des protéines G. E. Les sélectines reconnaissent bien des motifs glucidiques mais ces derniers ne sont pas des lectines. Les lectines sont d'autres molécules qui reconnaissent également ces motifs glucidiques. QCM 18 : AC B. 3 et 12 D. Le programme érythrocytaire est exprimé a travers de nombreuses générations cellulaires E. 120 jours QCM 19 : ABDE C. La pénétration dans des échantillons est faible et limitée QCM 20 : ACE B. Les photons excitateurs utilisés en microscopie biphotonique sont de plus grande longueur d onde D. On peut observer le vivant en microscopie confocale ou biphotonique QCM en Vrac Histo Embryo : QCM 1 : A B. Ils s observent à partir de la 4ème semaine. C. Elle se déroule sur 2 mois. D. Cette définition correspond au vernix caseosa. Le lanugo est quant à lui un fin duvet qui recouvre le corps du fœtus apparaissant fin 3ème mois - début 4ème mois. 179 / 291
180 E. Il est viable à partir du 6ème mois. QCM 2 : ABCE D. On parle ici de l endomètre. QCM 3 : B A. Les premiers signes biologiques apparaissent à la 2ème semaine. Les premiers signes cliniques apparaissent à la 3ème semaine. C. Syndrome de Kartagener = cil immobile + situs inversus. D. Elle disparaît. Si elle persiste on parle de tératomes. E. Il se développe particulièrement en direction crâniale. QCM 4 : ABCE D. On n observe pas de signes cliniques de grossesse (ni de signes biologiques). QCM 5 : AC B. le prosencéphale, le mésencéphale et le rhombencéphale. D. C est le télencéphale qui subit le développement le plus important car il donne naissance à tous les hémisphères cérébraux (cortex). E. En regard du 4ème ventricule. QCM 6 : BE A. Une somite se compose de 3 parties : le sclérotome, le dermo-myotome et le myocèle au centre. C. 42 à 44 paires de somites à la fin de la 5ème semaine. D. Au niveau du tube neural = formation des arcs postérieurs vertébraux ; au niveau de la chorde dorsale = formation des corps vertébraux. QCM 7 : AD B. Vésicule vitelline secondaire et allantoïde. C. La délivrance = décollement du placenta et des caduques utérines après l accouchement. A ne pas confondre avec l accouchement = sortir l enfant du corps de sa mère. E. Deux artères ombilicales et une veine ombilicale. QCM 8 : ACD B. Le clivage au stade de disque embryonnaire est très rare! E. Ils sont diamniotiques. En effet la cavité-amniotique se forme après le clivage. QCM 9 : CE A. Trois systèmes rénaux vont se succéder. D. Seul le métanéphros va persister. QCM 10 : D A. Le rein définitif est le métanéphros. B. Il disparaît en fin de 4ème semaine mais apparaît en fin de 3ème semaine. C. Rein vestigial, non fonctionnel. E. Il ne produit pas d urine car non fonctionnel. QCM 11 : ABCE D. C est l extrémité médiale. QCM 12 : CE 180 / 291
181 A. Le bourgeon urétéral donnera les voies excrétrices B. Le blastème donnera le système sécréteur. D. La capsule de Bowman est au contact d un glomérule. QCM 13 : ABCD E. Les reins sont initialement en position caudale. QCM 14 : A B. Stade indifférencié à la 6eme semaine, l embryon possède 2 paires de canaux : canaux de Wolff et canaux de Müller. C. Les canaux de Müller sont en avant des canaux de Wolff. D. L extrémité caudale des canaux de Müller vient s accoler contre la face postérieure de SUG. E. Les canaux de Müller donnent l utérus, les trompes et la partie supérieure du vagin. QCM 15 : CE A. C est l inverse, indifférencié jusqu à la 7eme semaine puis différencié après la 7eme semaine. B. Sur la face antéro-interne du mésonéphros. D. Les cellules vont migrer de la 4eme à la 6eme semaine. QCM 16 : AC B. Nécessite le consentement écrit du couple clairement informé, avec un délai de 3 mois. D. Les embryons ne peuvent pas être transférés à des fins de gestation si une recherche a été conduite. E. La recherche s inscrit dans une finalité médicale. QCM 17 : BCE A. La culture des cellules nécessite un milieu de culture et un support. D. Après ensemencement, les colonies grossissent. QCM 18 : BE A. La culture des cellules permet de comprendre les mécanismes moléculaires lors du développement embryonnaire. C. Seule une petite quantité persiste. D. Les tératomes sont provoqués par la multiplication illimitée d une cellule indifférenciée. QCM 19 : BD A. Les cellules souches totipotentes sont les plus indifférenciées. C. Les cellules souches multipotentes donnent naissance à un nombre limité de types cellulaires. E. Les cellules souches hématopoïétiques sont des cellules souches multipotentes. QCM 20 : DE A. L'épiderme se régénère à partir de cellules souches indifférenciées. C'est la régénération de l'épithélium hépatique qui dépend de la division de cellules différenciées. B. L'épithélium intestinal est soumis à une usure importante et se régénère en 2 à 5 jours tandis que l'épithélium hépatique en 6 mois-un an. C. Les adénocarcinomes sont des tumeurs malignes mais sont bien développées à partir d'un épithélium glandulaire. Ce sont les adénomes qui sont des tumeurs bénignes. QCM 21 : C A. Le cil proprement dit est la partie externe et le cinétosome (ou corpuscule) basale est la partie intra-cytoplasmique. 181 / 291
182 B. 9 doublets de microtubules. C'est la paroi du cinétosome qui est constituée de 9 triplets de microtubules. D. Les doublets de microtubules sont présents dans le cil proprement dit. Ce sont les triplets de microtubules qui sont retrouvés dans le cinétosome. E. L'épithélium intestinal est constitué de deux catégories de cellules : des entérocytes porteurs d'un plateau strié et des cellules à mucus dépourvues de plateau strié. QCM 22 : E A. Il possède une matrice semi fluide, c'est pour le tissu cartilagineux qu'elle est dure et élastique. B. Tous sauf le stroma cornéen qui n'est pas vascularisé. C. On observe cette striation en ME, le reste est juste. D. Seule les fibres collagènes sont colorées avec l'hémalun-éosine. QCM 23 : CD A. Les caténines, vinculine, alpha actinine sont des protéines de liaison intracellulaires. B. Ce ne sont pas des cadhérines, les cadhérines sont des protéines transmembranaires. E. Anticorps anti-desmogléine. QCM 24 : ABCE D. Ce ne sont pas des cadhérines comme les desmosomes mais des intégrines! QCM 25 : BCE A. La fixation a bout but de conserver les structures cellulaires dans l'état le plus proche de celui présenté à l'état vivant. D. Les coupes ont une épaisseur d'environ 10μm.m. QCM 26 : AB C. 0,2 nm. D. La biopsie permet de prélever un matériel tissulaire. Les frottis prélèvent des cellules isolées. E. Les bains d'alcool sont de concentrations décroissantes. QCM 27 : AE B. Les fibres sont non orienté. C. Attention le stroma n'est PAS vascularisé!!!!! D. Il se trouve au niveau des organes hématopoïétiques et lymphoïdes. QCM 28 : BD A. C est l inverse (50 milliards de PN < 200 milliards de GR). C. Le plasma reste riche en fibrinogène alors que le sérum n en contient pas (car transformé en fibrine). D. Car le caillot est constitué de cellules sanguines enfermées dans une cage de fibrine. E. Anémie = Hb inférieure. QCM 29 : BD A. Peu d organites. C. Carbaminohémoglobine (CO2) et non carboxyhémoglobine (CO). E. Ils sont incapables de se diviser alors ils vont expulser leur noyau (GR anucléé). QCM 30 : CDE A. C est lors de l hémostase (et NON hématose) primaire (l hémostase secondaire équivaut à la coagulation). B. Il permet la dégradation de la fibrine en produits de dégradation de la fibrine. 182 / 291
183 QCM 31 : E A. Micromètre µm. B. Tétramères de spectrine reliés à la membrane par des protéines d ankirine. C. Contre la formation du fer ferrique (Fe 3+). D. Anaérobie car les GR n ont pas de mitochondries!! QCM 32 : CB A. La belle mère étant une femme son taux d hémoglobine est normal 14±2 (on aurait été avec le beau père on aurait pu parler d anémie Hb =15±2, or malheureusement ce n est pas le cas). D. Ici le taux est normal, pas de neutropénie (<2G/L) donc pas de témoin d une infection bactérienne grave. E. On a un excès de plaquettes donc on aura une occlusion : thrombose. QCM 33 : C A. C est des G/L les T/L c est pour les globules rouges. B. Ils sont aussi appelés polynucléaires. D. C est >10 G/L. E. LEUCOPÉNIE pas lymphopénie (pour lymphocytes). QCM 34 : C A. La défense est ASPÉCIFIQUE, le reste est vrai. B. C est les bactéries qui sécrètent ce facteur de chimiotactisme. D. Le PNN meurt après la phagocytose, il ne survit pas plus d une heure. E. Les pyocytes sont des amas de PNN altérés et non de bactéries. QCM 35 : AC B. 0,3 à 1 µm. Le reste est vrai (taille 12µm). D. Impliquant les IgE pas les IgG (anticorps acquis). E. Le moindre engagement dans une lignée est irréversible. QCM 36 : BD A. 2 lobes! C. C est l inverse. E. Dans la formation cristalloïde on retrouve que la MBP, c est dans la matrice qu on trouve l ECP, la peroxydase éosinophile (et pas la myéloperoxydase) des cytokines et l histaminase. QCM 37 : ADE B. C est l inverse! C. Ce sont les marqueurs CD19 et 2. QCM 38 : ABE C. Ovoïde, c est celui du monocytes qui est réniforme. D. Le GMCSF est le facteur de croissance commun entre les deux lignées, ce n est pas un progéniteur. QCM 39 : D A. Le taux d hématocrite est pas abaissé (homme: 48±6%), mai surtout l anémie se détecte via le taux d hémoglobine. B. Anémie microcytaire (VGM <80 fl) normochrome. C. Il y a une hyperleucocytose (> 10 G/L). E. Le taux de PNE pas de PNN. 183 / 291
184 QCM 40 : BC A. Sarcolemme et non sarcoplasme. D. L inverse car le PAS colore le glycogène (majoritaire dans les fibres blanches). E. Ce sont les fibres motrices qui sont appelées fibres gamma. QCM 41 : ABE C. Coupe transversale. D. Aspect régulier au niveau de la bande H, irrégulier sur le reste de la bande A. QCM 42 : BCD A. Les neurones de Golgi de type 1 ont un axone long. Les neurones de Golgi de type 2 ont un axone court. E. C est un neurone unipolaire. QCM 43 : BDE A. C est l inverse donc de + vers -. C. C est le transport antérograde lent qui permet le transport d enzymes du métabolisme intermédiaire, le transport antérograde rapide permet le transport d enzymes nécessaires à l assemblage de neuromédiateurs. QCM 44 : ABC D. 90% des synapses sont axo-dendritiques. E. Les synapses électriques permettent une transmission très rapide de l influx nerveux dans les deux sens, alors que la synapse chimique effectue une transmission plus lente et à sens unique de l élément pré-synaptique à l élément post-synaptique. QCM 45 : CE A. En condition normale le LCR n est pas trouble mais a un aspect «eau de roche» transparent, le reste est vrai. B. Production de LCR de 20 ml/h. D. Méningite bactérienne = augmentation des PNN ; méningite virale = augmentation des lymphocytes. QCM 46 : B A. Croissance différentielle. C. 4ème semaine. D. Extrémité crâniale. E. Vésicule vitelline secondaire. QCM 47 : ABDE B. Le mésoblaste donne les autres constituants (TC, vaisseaux, muscles ). C. De la membrane pharyngienne jusqu à l ouverture du canal vitellin. QCM 48 : AE B.Il donnera : cavité buccale; larynx; pharynx; trachée; bronches; poumons; oesophage; estomac. C. ½ supérieure du duodénum; foie + vésicule biliaire; pancréas. cellules entoblastiques. 184 / 291
185 D. Sa croissance est rapide en raison de l hématopoïèse hépatique qui débute à la 6ème semaine. QCM 49 : DE A. L artère mésentérique supérieure. B. En regard de la vésicule vitelline secondaire. C. ½ inférieure du duodénum. QCM 50 : BDE A. L artère mésentérique inférieure. C. 2 territoires mésenchymateux : le septum uro-rectal ou éperon périnéal et le mésenchyme des plis de Rathke. QCM en Vrac BDR / BDD : QCM 1 : AD B. C est au stade pachytène C. Non c est au stade diplotène D. VRAI : 7% d'anomalies structurelles contre 3% d'aneuploïdies (=anomalie de nombre). E. Les anomalies concernant les ovocytes sont de 28,4% alors qu elles représentent 10% pour le sperme QCM 2 : E A. Il s agit du syndrome de Turner B. Cela donne des gamètes disomiques ou nullosomiques. Ce sont les embryons (= après une fécondation avec un autre gamète normal) qui seront dits «trisomiques» ou «monosomiques». L'astuce en plus : ne pas hésiter à se faire des petits schémas pour visualiser les anomalies de ségrégation ;) C. L anomalie peut être dite équilibrée et l ensemble du matériel génétique est conservé D. Non le brassage génétique est très faible dans la reproduction asexuée et il vient uni quement des mutations QCM 3 : D A. Il existe des phénomènes d atrésie (y compris de follicules primordiaux) jusqu à la ménopause. B. Phénomène discontinu C. Uniquement corona radiata = couche de cellules de la granulosa la plus proche de l'ovocyte. E. Antrum = follicule tertiaire et Zone pellucide = follicule secondaire 185 / 291
186 QCM 4 : CE A. Les gonocytes se différencient en ovogonies. B. Ce temps est de 4-5 mois! C'est la croissance basale (le follicule primordial est déjà activé = sorti du pool) qui dure 3-4 mois. D. AMPc et OMI bloquent la méiose en prophase I, mais ne bloquent pas la croissance. QCM 5 : BD A. Non c est le passage de l ovocyte I à l ovocyte II C. Non il s agit d un arrêt de la synthèse d'arnm et d une diminution de la synthèse protéique E. Non Par l'activation du MPF. Le glutathion sert à casser les pont disulfures des protamines du spermatozoïde lors de la fusion avec l'ovocyte II. QCM 6 : CE A.Ce sont les spermatogonies AD B. La spermatide ne subit plus de division, il est concerné par la phase de différenciation : la spermiogenèse. D. La méiose implique les spermatocytes, de plus elle suit la phase de division des spermatogonies. QCM 7 : ACE B. C est à partir du stade spermatogonie AP D. LH et FSH sont sécrétées au niveau hypophysaire de manière pulsatile QCM 8 : ACE B. Le spermatozoïde est très actif métaboliquement D. Contient de la pro-acrosine QCM 9 : A B. Attention c est 45 µm (micro) et non nano C. Seulement 4 % D. Il n y a pas de microtubules centraux (différent de la structure axonémale classique qui comporte 9 doublets de microtubules + une paire centrale) E. Non visible en MO contrairement aux structures péri-axonémale QCM 10 : DE A. Son ph est environ égal à 7,2. B.1,5 ml C.La mobilité totale est de 40% QCM 11 : C A. Une partie glucidique de ZP3 est concernée, il s agit plus particulièrement d une chaîne oligosaccharidique de type β-n acétylglucosamine B. VRAI : c est ce qu on appelle l activation ovocytaire spontanée, elle a lieu en absence de fécondation, mais ne conduit pas à un individu viable 186 / 291
187 D. L'inhibition de la pompe calcique permet l'entrée de calcium pour la capacitation! Concernant la réaction acrosomique, elle se fait par entrée de calcium grâce à l'ouverture des canaux calciques E. C est la progestérone qui est un inducteur de la réaction acrosomique QCM 12 : AD B. Au moment de la réplication les pronoyaux sont en position sous corticale = en périphérie, et ils vont par la suite migrer progressivement au centre du zygote C. C'est la caryogamie ou amphimixie. La syngamie correspond à l'obtention d'un noyau unique par fusion des membranes des noyaux. E. A peu près 25 à 30 heures après l entrée du spermatozoïde QCM 13 : ADE B. Chimiotactisme exercé par la progestérone C. C est l inverse puisque le PH vaginal est acide et va être rendu basique par le liquide séminal QCM 14 : BCD A. C est un remplacement des protamines par les histones E. C est le cas d un zygote androgénote (2 pronuclei mâles) ; un gynogénote (2 pronuclei femelles) présente au contraire une hypoplasie placentaire QCM 15 : BD A. L éclosion se fait lors du 6ème jour C. Elles subissent environ 1 mitose toutes les heures. D. VRAI : Les sécrétions tubaires sont sous la dépendance des hormones ovariennes E. Il repose sur la culture de cellules issues pluripotentes de la masse cellulaire interne QCM 16 : CE A.La 2ème division donne 4 cellules égales, et la 3e donne 8 cellules asynchrones. B. Elle commence au stade cellules avec l'apparition des jonctions intercellulaires. D. Elle a bien lieu au 5e jour mais dans la cavité utérine! Sinon on aura une grossesse extra-utérine tubaire. QCM 17 : tout faux A.Corrélation NÉGATIVE. NB : Cette corrélation négative concerne dans l'ordre : - La numération - La morphologie - La mobilité OR, la mobilité étant ce qu'il y a de plus important, ce n'est pas trop grave, «la nature fait bien les choses». C'est pourquoi le risque d'infertilité chez les hommes n'est multiplié par 2 qu'après 45 ans. 187 / 291
188 B. 30% des femmes et 35% des hommes, mais il commence à y avoir une inversion de cette tendance. C. Dite période de FÉCONDABILITÉ, le reste est vrai. D. Existe aussi des mécanismes non géniques : récepteurs membranaires et signaux intracellulaires par exemple. E. Récepteurs NUCLÉAIRES! QCM 18 : BCE A. La moitié des adultes sont en surpoids, mais 17% sont touchés par l'obésité. C. VRAI : Pour les adultes il y a une tendance entre la concentration en BPA et l'utilisation de certains produits ménagers/domestiques. D. L'apparition d'un hypogonadisme hypogonadotrope concerne le système reproductif masculin et non féminin. QCM 19 : AB A. VRAI : car inférieur à 1 million. C. Centrifugation, élimination surnageant (+ ajout de milieu neuf), puis migration. D. En cas d'obstruction tubaire ou encore d'échecs d'iiu (Insémination Intra Utérine), à condition d'avoir des anomalies PEU marquées du sperme. E. par FSH. QCM 20 : A B. L'accord du conjoint est toujours nécessaire si la personne faisant un don de gamètes est en couple. C. Le don de sperme est possible jusqu'à 45 ans, le don d'ovocytes est possible jusqu'à 38 ans. D. Recevoir un don d'embryon n'est possible que s'il y a indication à la fois de sperme et d'ovocytes, ou risque de transmission d'une maladie très grave. E. Les demandes d'ovocytes sont de 1400 par an, ce qui est bien supérieur aux 540 dons annuels. QCM 21 : BDE A. Neurones à NPY C. Neurones à POMC RAPPEL DE COURS : 1) Poids et % de tissu adipeux normaux? Leptine élevée? Neurone à POMC = active GnRH 2) Anorexie et exercice physique intense? Leptine basse? Neurones à NPY = inhibe GnRH Leptines nécessaires à puberté, c est pourquoi les anorexiques n ont pas de puberté (ou peu). Si l anorexie survient à l adolescence, on observe une disparition des règles. 188 / 291
189 QCM 22 : ABDE C. Ces deux éléments distinguent justement puberté précoce vraie (activation de l axe hypothalamo-hypophysaire) et pseudo-puberté précoce (production de stéroïdes sexuels par les gonades et les surrénaliennes). RAPPELS DE COURS : Hypogonadisme hypergonadotrope : Origine gonadique Taux important de FSH/LH et pas de stéroïdes Hypogonadisme hypogonadotrope : Origine hypothalamique ou hypophysaire Taux bas de FSH/LH Taux bas de stéroïdes QCM 23 : CD A. GNRH hypothalamique et FSH/LH hypophysaire B. Ce sont des stéroïdes sexuels D. VRAI : Les troubles de l'érection sont un symptôme de l'hypogonadisme. E. Les neurones à GnRH sont actifs durant la vie foetale et la mini-puberté, puis ne seront réactivés progressivement que lors de la puberté, pas l'adrénarche! QCM 24 : B A. T4 est une forme de stockage des hormones thyroïdiennes. La forme réellement active des hormones thyroïdiennes est la T3. C. TTF-1 D. Triiodotyronine! E. C'est l'inverse! QCM 25 : BCD A. Sinon risque de carence iodée et d hypothyroïdie néo-natale E. En cas d hypothyroïdie, le nouveau-né a une taille normale. Cependant, les os ont des défauts de maturation. Car les hormones thyroïdiennes n'ont aucune action sur la croissance en longueur. QCM 26 : A A. VRAI : Jusqu'à la 7ème semaine la gonade est totalement indifférenciée, elle est dite pluripotente ou bipotente cad qu elle peut se différencier en testicule ou ovaire. B. C'est UNIQUEMENT le testicule. C. Passif (même si des facteurs entrent en jeu comme DAX 1) D. Multigénique. E. Mutations délétères de SRY = absence de différenciation testiculaire, on aura une réversion sexuelle = femme 46 XY. QCM 27 : BCD 189 / 291
190 A. DAX1 est présent sur le bras LONG (oui elle peut demander ça). Le reste est vrai. E. L'HAM est une hormone sécrétée par le testicule, qui entraîne une régression des canaux de Müller. Chez la fille, il n'y a donc pas de sécrétion d'ham ce qui autorise une différenciation des canaux de Müller. QCM 28 : ABE C. C est avant la naissance pour les garçons et après pour les filles D. C est tout le contraire comme le prouve le cas des vrais jumeaux. E. VRAI : Et de 3ème génération pour une exposition maternelle. QCM 29 : ABE B. VRAI : celles directement apposées sur l'adn (méthylations) et celles qui concernent les histones. C.La méthylation limite la transcription. D. Elle ne peut méthyler qu'un ADN dont un des deux brins est déjà méthylé (hémi-méthylé). E. VRAI : C'est ici qu'on trouve les acides aminés basiques des histones (K, R et S). QCM 30: BC A. Intérieur vers extérieur D. 2 : les villosités crampons et les villosités libres E. Villosités tertiaires QCM 31 : BCE A. 2 artérioles paracentrales + 1 veinule centrale + réseau capillaire dans le mésenchyme.!! Attention cet item tombe souvent. D. 4 ème mois. RAPPELS de cours 2ème semaine de développement : villosités primaires et secondaire 3ème semaine de développement : villosités tertiaires crampons + libres QCM 32 : B A. Si on enlève la ZAP il n'y a pas de polarisation, le membre est totalement indifférencié sur l'axe antéro-postérieur. C. Dans la partie distale D. Le facteur de transcription est Wnt7a et il est inhibé par En1 E. Le membre sera bidorsal, il est biventral s'il a une anomalie de Wnt7a. QCM 33 : ABCE D. Une mutation du gène du PTHrp est responsable de la chondroplasie métaphysaire de Jansen. QCM 34 :ACDE B. Mutation du RÉCEPTEUR du PTH QCM 35 : ACE B. Augmentation des stéroïdes sexuels 190 / 291
191 D. Sous forme libre QCM 36 :AE B. IGF I C. Attention la GH a une action directe uniquement pour le tissus osseux sinon elle aura une action indirecte via IGF1 pour les autres tissus. D. ATTENTION!!!! un nanisme DYSharmonieux est dû à une mutation activatrice de FGF3. Ceci serait à l origine d un nanisme harmonieux. QCM 37 : E A. Est liée au rôle majeur des OESTROGÈNES B. C est l inverse. Le pic de croissance stature précède le pic de masse osseuse. C. D amplitude supérieure D. Les hormones thyroïdiennes n ont pas d influence sur la croissance longitudinale du fœtus. QCM 38 : AD B. La résorption sera à l'origine du corps et de l'isthme utérin. C. Les 2/3 supérieurs du vagin proviennent du tubercule de Müller. E. Ils ne régressent pas complètement puisqu'ils laissent trois reliquats. QCM 39 : BE A. Il s'agit des organes génitaux externes. C. Il donnera le futur ligament utéro-ovarien. D. L'orifice vaginal est postérieur, le méat urétral est en avant. QCM 20 : BD A. L'aplasie est incomplète. C. Il est dû à une atrésie de ces canaux. E. Ce défaut peut justement être opéré. UE3 Annexe disponible après les QCM en Vrac Sujet Type 1 (30 QCM 1H30) Le noyau atomique QCM 1 : La viscosité a pour définition en unités SI : kg.m^-1.s^-1 A. Sa dimension est L.M^-1.T^-1. B. Sa dimension est L^-1.M.T^-1. C. La viscosité peut s exprimer comme une Pression sur un temps. D. La viscosité peut s exprimer comme une énergie sur un débit (volume sur un temps). E. Son unité pourrait être le Pa.s (Pascal x seconde). 191 / 291
192 QCM 2 : A propos de la formalisation de la mécanique quantique : A. Le premier principe d incertitude d Heisenberg explique la manifestation simultanée de l aspect corpusculaire et ondulatoire des photons. B. Les inéquations d Heisenberg ont été élaborées sous forme différentielle. C. Si l on connaît avec précision la position d une particule, elle s exprimera sous un aspect ondulatoire. D. Si l incertitude sur la quantité de mouvement d une particule est grande, elle s exprimera sous un aspect ondulatoire. E. La résolution de l équation de Schrödinger dans un volume donné et dans un temps t permet de retrouver la fonction d onde ΨC.(x,y,z,t) associée à la particule étudiée. Enoncé commun aux QCM 3 et 4 : Le Na(22 ;11) se désintègre en Ne(22 ;10) avec une période de 2,65 ans. On observe dans le spectre énergétique l émission d un photon gamma monoénergétique à 1274,6 kev. Il n y a pas d autres raies gamma. La désintégration passe obligatoirement par un état métastable du 1022 Ne. On néglige l énergie de liaison des électrons. On donne : ln2 = 0.7 ; NA = 6.10^23 mol^-1 et 2,65 ans s M (Na(22 ;11) ) = 20487,7836 MeV/c^2 et M (Ne(22 ;10) ) = 20484,9891 MeV/c² QCM 3 : Le spectre énergétique de cette désintégration pourra comporter : A. Un spectre continu d électrons d énergie maximale 1519,9 kev. B. Un spectre continu de positons d énergie maximale 497,9 kev. C. Un spectre monoénergétique de neutrinos d énergie 1519,9 kev. D. Un spectre continu d antineutrinos d énergie maximale 497,9 kev. E. Un spectre monoénergétique d électrons d énergie 1519,9 kev. QCM 4 : A. L activité de 44 g de Na(22 ;11) est de 10^15 Bq. B. L activité de 22 g de Na(22 ;11) est de 18,5 μm.ci. C. L activité du Na(22 ;11) est réduite d un facteur 16 après 10,6 ans. D. La masse initiale de Na(22 ;11) est réduite de moitié après 2,65 ans. E. Il faudra attendre plus de 30 ans avant qu un objet contaminé avec du Na(22 ;11) ne soit plus radioactif. QCM 5 : Suite à une conversion interne : A. L atome est ionisé. B. Le noyau est excité. C. On peut observer l émission d un électron Auger. D. On peut observer l émission de l électron de conversion. E. On peut observer l émission d un rayonnement gamma. Rayonnements ionisants : Interactions avec la matière QCM 6 : Lorsqu un faisceau de photons ionisants pénètre un milieu matériel : A. Ils sont tous absorbés. B. Les photons sont absorbés selon une loi exponentielle. C. Les photons interagissent avec des électrons uniquement. D. Ils déposent une dose dans le milieu. 192 / 291
193 E. Des photons à TEL élevé déposeront plus d énergie que des photons à TEL faible. QCM 7 : A propos des applications médicales des RI A. Le 99mTc est particulièrement utilisé dans le cadre d une TEP. B. L hadronthérapie est la seule utilisation du cyclotron. C. A la sortie d un tube RX, les photons seront utilisés à des fins thérapeutiques. D. A la sortie d un accélérateur linéaire, les photons seront utilisés à des fins thérapeutiques. E. Lors d une TEP, la source de radioactivité est de type «radiopharmaceutique». QCM 8 : Le pouvoir d arrêt par collision : A. Est égal à 5 MeV/cm pour des électrons de 0.5 MeV parcourant 1mm dans l eau. B. Est homogène à une énergie sur une distance. C. Est plus important que Sr. D. Concerne les particules alpha. E. Est proportionnel au Z du milieu. QCM 9 : A propos des grandeurs en dosimétrie : A. A énergie égale, le KERMA d un électron sera plus grand que celui d un photon. B. Dans une radiographie sur des tissus mous, la dose absorbée de la région de «buildup» est inférieure au KERMA. C. D = H pour les électrons. D. Les grandeurs de radioprotection sont données en dose efficace. E. wt représente la radiosensibilité tissulaire. QCM 10 : Concernant les détecteurs : A. Une gamma caméra utilise un cristal scintillant. B. Un compteur Geiger-Muller fonctionne en tout ou rien. C. Dans compteur proportionnel, la hauteur d impulsion augmente avec la tension appliquée. D. Un détecteur radio-photo-luminescent fonctionne grâce à la création de trous positifs. E. Un détecteur à scintillation est un appareil particulièrement sensible comparé aux autres détecteurs actuels. Rayonnements ionisants : Interactions avec la matière vivante QCM 11 : Les facteurs augmentant le risque de cancer après une exposition aux RI sont : A. La consommation d alcool et de tabac. B. L âge avancé lors de l irradiation. C. La mort des cellules irradiées. D. Le nombre d examens par IRM. E. Le déficit des systèmes de réparation tissulaires. QCM 12 : A propos des effets déterministes. A. Ils sont toujours tardifs. B. Ils apparaissent au-delà de certains seuils. C. Ils peuvent entraîner des séquelles qui conduiront à des effets tardifs. D. Ils apparaissent seulement si la cellule meurt. E. Leur gravité est proportionnelle à la dose reçue. 193 / 291
194 QCM 13 : A propos des effets stochastiques. A. Ils sont toujours tardifs. B. Ils apparaissent au-delà de certains seuils. C. Ils peuvent entraîner des séquelles qui conduiront à des effets tardifs. D. Ils apparaissent seulement si la cellule meurt. E. Leur gravité est proportionnelle à la dose reçue. QCM 14 : Soit une lignée cellulaire L1 à laquelle on ajoute un produit P dans le milieu de culture afin de créer une lignée L2. Ces deux lignées sont soumises à des irradiations à dose croissante. A. Le paramètre β décrit les lésions létales d emblée. B. Si β = 0, toutes les lésions sublétales sont réparées. C. Si β = 0, il n y a pas d épaulement de la courbe. D. Si la courbe L1 présente un épaulement et que la courbe L2 n en présente pas, le pro duit P a sûrement altéré les capacités de réparation cellulaires. E. Si DL50 (L1) > DL50 (L2), alors le produit P présente probablement des groupements thiol. QCM 15 : A propos de la radiothérapie interne vectorisée : A. Le patient est radioactif. B. Les sources sont scellées. C. Le traitement est systémique. D. On peut utiliser des émetteurs alpha pour traiter la tumeur. E. Il est obligatoire de localiser la tumeur avant l injection du radiopharmaceutique. Optique QCM 16 : A. James Cook ( ), explorateur britannique, disposait d une longue-vue lorsqu il aborda l ile d Hawaii. B. Les photons X ont une fréquence supérieure aux UV. C. Pour une source orthotrope, la luminance est indépendante de la direction D. Une étoile peut être considérée comme une source isotrope. E. Un LASER peut être considéré comme une source isotrope. QCM 17 : A. Un oxymètre de pouls peut mesurer le taux d oxyhémoglobine même en absence de pouls. B. L absorptivité molaire d une solution est inversement proportionnelle à sa concentration. C. L absorbance décroit si la transmittance augmente. D. La technique du «LASER» est basée sur une inversion de population laquelle est générée par un pompage optique. E. Les «LASER» peuvent avoir des effets délétères graves sur la rétine. QCM 18 : Problème de polarimétrie : Le D-Glucose (dextrogyre) a un pouvoir rotatoire d environ 0,5 à une concentration de 1 kg.m^-3 sur une épaisseur de 1m. Autrement dit, son pouvoir rotatoire est de 0,5 m^2.kg^-1. Une glycémie normale tourne autour de 1 kg.m^-3. Le taux de glucose dans les urines est normalement nul. Ce dernier peut devenir équivalent à la glycémie si celle-ci est élevée. Pour simplifier, on suppose que le glucose est la seule molécule chirale présente dans l urine. A. Une concentration de glucose nulle dans les urines donnerait à ces dernières un pouvoir rotatoire nul. 194 / 291
195 B. Une rotation à droite de 0.2 de la lumière polarisée sur une épaisseur de 20 cm montrerait une glycémie de 2kg.m^3. C. Une rotation à droite de 0.2 de la lumière polarisée sur une épaisseur de 10 cm mon trerait une glycémie de 1kg.m^3. D. Une rotation à gauche de 0.2 de la lumière polarisée sur une épaisseur de 20 cm mon trerait une glycémie de - 2kg.m^3. E. On s attend à ne jamais trouver de rotation à gauche de la lumière polarisée. QCM 19 : Un conte de Noël -chapitre 1 : Problème de vieillesse : Le père Noël souhaite voir sa liste de cadeaux à offrir aux enfants sages, nette ment sans accommoder. Pour cela, il fait appel à Jorgen, son plus ingénieux lutin pour lui confectionner des lunettes. Le père Noël dit que le point le plus lointain qu il puisse voir nettement se trouve à 1 m devant lui, et que le point le plus proche qu il puisse voir nettement se trouve à un demi mètre devant lui. Il souhaiterait pouvoir lire sa liste à 25 cm de ses yeux. On considère que la vergence des lunettes s ajoute directement à celle de l œil. A. Le père Noël est myope. B. Le père Noël est presbyte. C. Jorgen doit confectionner des lunettes convergentes de +2D. D. Jorgen doit confectionner des luettes divergentes de +3D. E. Il est recommandé au père Noël de conduire son traineau en portant ces lunettes. QCM 20 : Les points A et A sont-ils conjugués? Les très basses fréquences du domaine électromagnétique (Utiliser la table de constantes et valeurs en fin de sujet) QCM 21 : A 4,7 teslas l énergie de transition entre les états est apportée aux protons par une onde RF de 200 MHz. A. L onde RF de mise en résonance du proton à 4,7T a une longueur d onde de 1,5 m. B. L onde RF de mise en résonance du sodium 23 à 4,7T a une longueur d onde de 3 m. C. L onde RF de mise en résonance du sodium 23 à 4,7T a une fréquence de 50 MHz. D. L onde RF de mise en résonance du sodium 23 à 1T a une fréquence de 17,25 MHz. E. L onde RF de mise en résonance du fluor à 1T a une longueur d onde de 7,5 m. 195 / 291
196 QCM 22 : Dans un aimant de 3 teslas, une expérience de RMN met en jeu un sys tème contenant des noyaux de fluor 19 et des protons. A. Une onde RF de fréquence 127,5 MHz met en résonance une partie du système. B. Une onde RF de fréquence 200 MHz met en résonance une partie du système. C. Une onde RF de fréquence 120 MHz met en résonance une partie du système. D. Une onde RF de fréquence 247,5 MHz met en résonance la totalité du système. E. L association d ondes Rf de fréquences 127,5 MHz et 120 MHz met en résonnance la totalité du système. QCM 23 : A 1 tesla un angle de bascule de 90 de l aimantation résultante des protons est produit par une impulsion de radiofréquence de 6.10^-4 teslas appliquée pendant 10 microsecondes. A. A la fréquence de 42,5 MHz. B. A la fréquence de 40 MHz. C. Cette onde RF produit un angle de bascule de 45 si elle est appliquée pendant 5 ms à la fréquence 42,5 MHz. D. Elle produit un angle de bascule de 180 si elle est appliquée pendant 20 microsecondes à la fréquence 40 MHz. E. Elle produit un angle de bascule de 180 si elle est doublée d intensité et appliquée pendant 10 microsecondes à la fréquence 42,5 MHz. QCM 24 : 300 ms après une impulsion RF de 90 les aimantations transversale et longitudinale valent respectivement 14% et 63% de l aimantation résultante d équilibre. A. T1 = 150 ms B. T2 = 150 ms C. T1 = 300 ms D. Mo Mz = 0.37 Mo E. L écart entre Mo et Mz a décru de 63%. QCM 25 : Sur une séquence pondérée en T2, le liquide cérébro-spinal est blanc. A. Son T2 est long. B. Son T1 est court. C. Son T2 est court. D. Il sera blanc sur une séquence pondérée en T1. E. Il sera noir sur une séquence pondérée en T1. Eléments de physique de la matière QCM 26 : Un conte de Noël chapitre 2 : Maxwell-Boltzmann et les enfants sages : Maintenant doté de ses lunettes, le père Noël peut inspecter sa liste. Les enfants sont notés du plus sage au moins sage par les notes A, B, C et D (A correspondant aux plus sages et D correspondant aux moins sages). On considère que les enfants ont autant de chances de se retrouver dans n importe quelle catégorie de note. A. Les enfants notés A correspondent à un macro-état. B. Les enfants répartis dans les proportions suivantes A(15%) B(40%) C(35%) D (10%) représentent un micro-état. C. Les enfants répartis dans les proportions suivantes A(15%) B(40%) C(35%) D (10%) représentent un macro-état. D. Le micro-état le plus probable est A(25%) B(25%) C(25%) D (25%). E. Le macro-état le plus probable est A(25%) B(25%) C(25%) D (25%). 196 / 291
197 QCM 27 : Un conte de Noël chapitre 3 : Maxwell-Boltzmann et la grue du pôle nord : Le père Noël se dirige maintenant vers sa ribambelle de lutins. Certains d entre eux actionnent la grue du pôle nord (marque déposée) censée soulever et déplacer la hotte du sol vers l arrière du traîneau. On considère que cette grue est dotée d une fibre élastique formée de mailles courtes ou longues entre le haut de la grue et le crochet qui accroche la hotte. Tout d abord, le sac est au sol, et la longueur de la fibre élastique au repos est égale à la distance sac haut de la grue. On accroche la fibre au sac. Ensuite, la grue soulève le sac appendu grâce à la fibre pour l emmener vers le traineau. A. Avant de soulever la hotte, la fibre élastique possède des mailles courtes et longues en proportions égales. B. Avec l augmentation du nombre d enfants sur Terre, donc une augmentation du nombre de cadeaux (ce qui alourdit la hotte) on s attend à ce que la longueur de la fibre élastique soulevant la hotte s allonge d années en années. C. Afin d y remédier, le père Noël pourrait augmenter la température de l atelier. D. Afin d y remédier, le père Noël pourrait diminuer la température de l atelier. E. On pourrait en théorie soulever la hotte rien qu en en chauffant la fibre élastique. QCM 28 : Un conte de Noël chapitre 4 : Le renne amphibie : Les rennes du père Noël appartiennent à une espèce rare de mammifères qui respirent aussi bien dans l air que dans l eau (ça vous choque plus que le fait qu ils volent!?). Lorsqu ils ne travaillent pas, ils aiment se baigner dans les eaux à 1 C du pôle nord et à nager aux alentours de 10 m de profondeur. On considère pour tout l exercice que les rennes restent dans ces conditions suffisamment longtemps pour que ses gaz de sang soient à l équilibre. On considère qu un renne possède 6L de sang dans le corps. On donne : composition de l air alvéolaire du renne : 80% de N2, 15% de O2 et 5% de CO2. Coefficients de solubilité à 1 C : 2,4% pour le N2, 5% pour le O2 et 170% pour le CO2. A. La pression partielle en diazote à 10 m de profondeur est de 1,6 atm. B. A 10 m de profondeur, il y a plus de CO2 dissous dans le sang que de N2. C. A 10 m de profondeur, il y a 90 ml d O2 dissous dans le sang des rennes. D. A 10 m de profondeur, il y a 1020 ml de CO2 dissous dans le sang des rennes. E. Il vaudrait mieux pour les rennes de se baigner dans des eaux tropicales, ils auraient plus de dioxygène dissous. QCM 29 : Un conte de Noël chapitre 5 : qui dégaze! : (Suite de l exercice précédent.) Les rennes doivent maintenant sortir des eaux pour se préparer au décollage. A. Si les rennes attendent à la surface que leurs gaz de sang soient à l équilibre, ils auront dégazé 1020 ml de CO2. B. Les rennes vont dégazer jusqu à ce que leur pression partielle en différents gaz soit égale à la pression en vapeur saturante de chaque gaz. C. En volant en altitude quelques heures après être sortis des eaux, ils s exposent à un risque d embolie gazeuse. D. Voler à des altitudes moins grandes réduit le risque d embolie gazeuse. E. Voler dans des courants froids réduit le risque d embolie gazeuse. QCM 30 : Un conte de Noël chapitre 6 : Tonnerre s est fait mal à la patte : Tonnerre, l un des rennes s est fait mal à la patte. Il lui faut d urgence un bandage car le départ est imminent et ne peut être retardé. Jorgen est une nouvelle fois mobilisé pour calculer le nombre d épaisseurs de bandage qu il faudra appliquer à la patte du renne. 197 / 291
198 On considère de manière générale que plus le nombre d épaisseurs de bandage augmente, meilleur est le maintien de l articulation. Toutefois, une pression supérieure à 8100 Pa bloquerait la circulation sanguine, ce qu on veut éviter. Une épaisseur de bandage développe une tension de 30 N/m. La zone à bandager est constituée de la jambe du cervidé (qui peut être considérée comme un cylindre de 1 cm de rayon) suivi de son mollet (qui lui peut être considéré comme une sphère de 1,5 cm de rayon). A. On peut mettre sur la jambe au maximum 2 couches de bandage. B. On peut mettre sur la jambe au maximum 3 couches de bandage. C. On peut mettre sur le mollet au maximum 4 couches de bandage. D. On peut mettre sur le mollet au maximum 2 couches de bandage. E. Enrouler une mousse autour de la patte du renne qui augmenterait ainsi son diamètre permettrait de mettre plus de couches de bandage. Un conte de Noël chapitre 7 final : Une douce nuit étoilée : Ainsi tous les préparatifs finis Et les rennes pleins d énergie Le traineau décolla dans les cieux Sous les acclamations des lutins heureux Bientôt tant d yeux s écarquilleront Et des sourires aux lèvres se dessineront Sur des millions de petits et grands enfants Pour qui la beauté de Noël ignore le temps Car le soir du 24 a en cela de magique Qu il efface pour tous la moindre problématique Et rassemble de partout et d ailleurs Autour d un infini bonheur Ce vent chaleureux de gaieté Atteint même des plus occupés Qui le temps d une soirée Délaissent leurs cours préférés. Car le temps d un bon repas Qui se préoccupe d UE 3 Entre amis, en famille Toute épreuve parait bien futile. Sujet Type 2 (30 QCM 1H30) QCM 1 : Selon le modèle de la goutte liquide et en supposant les noyaux sphériques : A. Le volume du noyau est inversement proportionnel au nombre de nucléons. B. Le volume du noyau est proportionnel au cube du rayon C. L énergie de liaison est proportionnelle à la masse du noyau D. Les nucléons proches de la surface externe du noyau sont moins liés que les nucléons situés en profondeur E. L énergie électrostatique résulte de la force de cohésion nucléaire QCM 2 : A. Les bosons vecteurs ont une fonction d onde symétrique 198 / 291
199 B. Les bosons vecteurs ont une masse nulle C. Le médiateur de l interaction forte a un spin entier D. Le nombre de bosons par état quantique peut être multiple E. Les bosons qui véhiculent l interaction nucléaire faible sont des particules de masse très faible QCM 3 : La masse d un atome de sodium 22 (Z=11) est 21,99138 u. A. L atome possède 11 électrons B. La masse du noyau de sodium 22 est 21,98535 u C. La masse des constituants à l état libre serait de 22, u D. L énergie de liaison totale du noyau de sodium 22 est 176,98 MeV E. Son énergie de liaison par nucléon est 16,08 MeV QCM 4 : Dans le pays de notre cher père Noël il existe des boules de décoration fabriquées en Tc 99m. On cherche à mesurer l activité d un fragment de 36 ng d une de ces boules 12 heures après sa production. On note : Ln2 = 0,7, Na = 6,02 10^23 mol^-1, et la période du Tc est de 6h A. Environ 1750 MBq B. Environ 7000 MBq C. Environ 3500 MBq D. Environ 47 mci E. Quasiment nulle après 12 heures QCM 5 : A. L activité d une source radioactive est inversement proportionnelle à la période de décroissance radioactive B. Les radionucléides à vie courte se désintègrent rapidement C. L équilibre séculaire est obtenu lorsque la période du père est très courte devant celle du fils D. En médecine nucléaire un exemple pratique de l équilibre séculaire est le cas du molybdène et du Tc 99m E. En médecine nucléaire un exemple pratique de l équilibre séculaire est le cas du père Tc 99m et du fils molybdène QCM 6 : Un lutin un peu original utilise un écran en branches de sapin correspondant à quatre fois la couche demi atténuation d un faisceau de photons, cet écran : A. Laisse passer un photon sur quatre B. Laisse passer un photon sur 250 C. Laisse passer un photon sur 16 D. Absorbe au moins 50% du faisceau E. Diminue l énergie radiante en jouant sur l énergie des photons QCM 7 : Le père Noël est tombé de son traîneau, pour réaliser un diagnostique de son état on pourra utiliser : A. Un rayonnement électromagnétique d une énergie de 10^-7 ev 199 / 291
200 B. Un rayonnement électromagnétique d une longueur d onde proche du MHz C. Un rayonnement ionisant d énergie 100 kev D. Un faisceau de photons X d énergie 7eV E. Toute la gamme d énergie des photons X ou gamma QCM 8 : Au sujet du TLE A. Cette grandeur caractérise l interaction de Rayonnements indirectement ionisants avec la matière B. Si le TLE est grand d énergie cédée est grande sur une petite distance C. Dans l eau on a : DLI= 32 TLE D. Pour des particules directement ionisantes, on ne parle pas de TLE E. Le TLE est proportionnel à la nocivité de la particule QCM 9 : Afin de satisfaire le souhait d un jeune paces souhaitant posséder un tube à RX utilisable en radiologie. Les lutins cherchent donc le mode de fonctionnement de ce dernier : A. La tension et la charge n ont pas de réel impact sur le fonctionnement du tube B. A tension constante, l augmentation de la charge entraine une augmentation de l énergie de chaque photons C. A charge constante, l augmentation de la tension entraine une augmentation de l énergie moyenne D. A charge constante, l augmentation de la tension entraine une diminution de l énergie du faisceau RX E. A charge constante, l augmentation de la tension entraine une augmentation de l énergie de chaque photon QCM 10 : Le barn, unité de la section efficace correspond à : A. 10^-24 cm^2 B. 10^-24 cm^-2 C. 10^24 cm^2 D. 10^24 cm^-2 E. N a pas de correspondance QCM 11 : Les lutins en post réveillon decident de se servir des shots de badoit ayant au préalable été irradiés. Concernant la RADIOLYSE DE L EAU: A. Elle est uniquement provoquée par des rayonnements électromagnétiques B. Les rendements radiolytiques dépendent de la densité de radicaux libres formés dans la trace d ionisation C. La molécule d H2O2 est produite lors de l étape chimique de la radiolyse de l eau D. Lors de l étape physique la production de radicaux libres est homogène le long de la trajectoire des photons E. La présence d O2 dans le milieu réduit la diffusion des espèces radicalaires primaires QCM 12 : Après avoir livré des jouets aux enfants vivant à Tchernobyl (la magie de Noël...), le père noël risque de subir des effets stochastiques, ces derniers: A. Sont dus à des nécroses cellulaires B. Sont dus à des mutations létales C. Sont dus à des mutations sub-létales non ou mal réparées D. Peuvent trouver leurs origines dans des mutations germinales E. Sont dus à l apoptose 200 / 291
201 QCM 13: Suite à une erreur de manipulation dans le QCM 7 le père Noël à prit pas mal de Gy... on regarde ses COURBES DE SURVIE CELLULAIRE en fonction du cycle cellulaire, on peut dire que la phase la plus radio-résistante est : A. G0 B. G1 C. G2 D. M E. S QCM 14: Pour se renseigner quant aux chances de survie de leur Boss les lutins tentent de chercher les organisations françaises de RADIOPROTECTION, pour les aider vous leur dites qu il y a : A. L UNSCEAR B. L ASN C. L AIEA D. L IRSN E. L ISO QCM 15: Tiré d affaire après 150 ans de survie sans avoir été atteint d un cancer ( et oui il est immortel ) le père noel est rassuré mais il est devenu un poil parano et tente de se renseigner sur l IRRADIATION NATURELLE, en tant que petits experts de radio protection vous lui apprenez que: A. Elle varie selon la nature des sols et de l altitude B. Elle est liée à la fois à une irradiation externe et à une irradiation interne C. Un bain de soleil peut créer des lésions moléculaires D. On peut trouver du radon dans l air de nos maisons mais aussi dans l eau E. Par rapport à une irradiation naturelle, l irradiation médicale est source négligeable d irradiation des populations QCM 16 : D après le cours A. Lors de ses livraisons au 12ème siècle, le père Noël disposait d une longue vue pour repérer les cheminées à pénétrer. B. L indice de réfraction dans le vide est égal à 1. C. Les photons infrarouges ont une énergie plus grande, une fréquence plus grande et une longueur d onde plus courte que les photons rouges. D. Un milieu matériel homogène est toujours isotrope E. La longueur d onde la plus intensément perçue par l œil humain dans des conditions d éclairage nocturne est à 555nm QCM 17: A. Le lumen est l une des sept unités de base du système international B. L unité de flux énergétique est le Joule C. La distance focale s exprime en mètres, et est toujours positive D. La vergence s exprime en mètres E. La transmittance sur une échelle logarithmique peut s exprimer en décibels QCM 18: Afin de composer de délicieux petits cocktails, les lutins ont la brillante idée de réaliser des expériences de spectrométrie dans des conditions expérimentales qui permettent de ne pas se préoccuper de la densité optique du solvant ou du récipient, ils veut doser une solution S contenant trois solutés A, B et C ( S ne contenant que ces trois solutés). Les mesures, dans les mêmes conditions expérimentales, des densités optiques des solutions étalons de A, B et C de la solution à doser S, à 222 nm, 333nm, 555 nm et 666nm, sont données comme suit : A, 1 mmol.l-1 B, 1 mmol.l-1 C, 1 mmol.l-1 Solution S à doser 201 / 291
202 D.O. à 666 nm D.O. à 555 nm D.O. à 333 nm D.O. à 222 nm 0, ,2 A. La concentration de A est de 1 mmol.l-1 B. La concentration de B est de 1 mmol.l-1 C. La concentration de C est de 1 mmol.l-1 D. Il faut au minimum faire des mesures à trois fréquences distinctes pour doser trois solutés distincts E. Il n aurait pas été possible de doser A, B et C avec seulement trois longueurs d ondes QCM 19: A propos des défauts visuels : un sujet a un punctum remotum à 1 m en avant de l œil et un punctum proximum à 20 cm en avant de l œil A. Ce sujet est hypermétrope B. Ce sujet est presbyte C. Ce sujet peut avoir un œil trop long avec une vergence normale D. Ce sujet peut avoir un œil de taille normale avec une vergence trop forte E. Ce défaut visuel peut être corrigé par une lentille divergente QCM 20: Parmi les trajets suivants des rayons de rennes photoniques au travers de lentilles de Noël lesquels vous semblent corrects: Le lutin médecin vous propose maintenant 5 QCM de RMN. QCM 21: 10 ms après une impulsion RF de 90 l aimantation transversale du sodium 23 est de 0,14 M0 et celle des protons de 0,82 M0 ; l aimantation longitudinale du sodium 23 est de 0,37 M0 et celle des protons est de 0,05 M0 A. T2 du sodium = 50 ms B. T2 du proton = 50 ms C. T2 du sodium = 5 ms 202 / 291
203 D. T1 du proton = 200 ms E. On ne peut pas calculer ni T1, ni T2 QCM 22: A 7 tesla les noyaux d hydrogène et de sodium 23 seront mis en résonance en même temps par une émission de radiofréquence de : A. 78,9 MHz B. 298,1 MHz C. 377 MHz car 298,1 + 78,9 = 377 D. 78,9 et 298,1 MHz E. 78,9 et 377 MHz QCM 23: A 9,4 tesla les noyaux d une molécule contenant des atomes de carbone et d hydrogène pourront être mis en résonnance par une émission radiofréquence de : A. 100 MHz B. 200 MHz C. 400 MHz D. 500 MHz E. 400 MHz MHz QCM 24: La différence d énergie entre les états parallèles et antiparallèles de noyaux d hydrogène et de carbone 13 sont : A. Est identique quand ils sont placés dans un champ magnétique de 2,35 T B. Est identique quand les noyaux d hydrogène sont placés dans un champ magnétique de 2,35 T et les carbone 13 dans un champ magnétique de 9,4 T C. Est de ev pour le noyau hydrogène dans un champ magnétique de 2,35 T D. Est de ev pour le carbone 13 dans un champ magnétique de 2,35 T E. Est de J pour le carbone 13 dans un champ magnétique de 9,4 T QCM 25: Un angle d impulsion π/4 peut être obtenu à 1T : A. Pour le 1H, par l application pendant 29 microsecondes d un champ magnétique de 104 T tournant à 42,58 MHz B. Pour le 1H, par l application pendant 58 microsecondes d un champ magnétique de T tournant à 42,58 MHz C. Pour le 19F, par l application pendant 29 microsecondes d un champ magnétique de 104 T tournant à 40,08 MHz D. Pour le 19F, par l application pendant 31 microsecondes d un champ magnétique de 104 T tournant à 40,08 MHz E. Pour le 31P, par l application pendant 72 microsecondes d un champ magnétique de 104 T tournant à 17,25 MHz QCM 26 : SUR LA LOI DE LAPLACE : A. Plus une boule de Noël est petite, plus sa pression interne est forte par rapport à l envi ronnement. B. L eau savonneuse a une tension superficielle supérieure à celle de l eau pure. C. L eau salée a une tension superficielle supérieure à celle de l eau pure. D. La pression à l intérieur d une alvéole pulmonaire est plus faible que dans les tissus environnants. E. Lorsque l on fait un bandage à tension constante et à nombre de couches constant, les portions du membre ayant un plus grand rayon de courbure sont comprimées. QCM 27 : Le neveu détraqué du père noël n a malheureusement pas reçu de cadeau, il cherche à se venger de son oncle grâce aux lois de la pression osmo tique. Il sait que la membrane des hématies est perméable à l urée mais pas au chlorure de sodium. A. S il lui injecte par voie veineuse une solution hypotonique, il y a risque d hémolyse pour les hématies de papa Noël 203 / 291
204 B. S il lui on injecte par voie veineuse une solution hypertonique, il y a risque d hémolyse pour les hématies de papa Noël C. Pour une solution contenant du chlorure de de sodium et de l urée, seule la fraction molaire NaCl compte pour déterminer si la solution est isotonique ou non D. L injection d une solution isotonique peut provoquer la plasmolyse des hématies E. L eau pure est hypertonique QCM 28 : Pour préparer son coup, le neveu détraqué du père noël s exerce à l aide d une cuve à deux compartiments A et B séparés par une membrane rigide semi-perméable laissant passer l eau mais pas le sel (Na+/Cl-). Au départ, on a de l eau pure de chaque coté de la membrane et on se trouve à l équilibre A. La pression est la même dans les deux compartiments B. S il ajoute du sel dans l un des compartiments, son niveau va monter C. S il ajoute du sel dans les deux compartiments, l eau va migrer du compartiment où il y a la plus grande concentration de sel vers le compartiment où il y a la plus faible concentration de sel D. S il ajoute du sel dans les deux compartiments, les niveaux ne seront identiques que si les concentrations en sel sont identiques E. Pour de faibles concentrations de sel, la pression osmotique est proportionnelle à la différence des concentrations QCM 29 : Le neveu détraqué du père Noël a renoncé à assassiner son oncle mais est devenu physiologiste... quel beau parcours... Non en vrai il veut toujours le buter mais cette fois en lui causant un AVC. Il veut déterminer quelle est la tension de la paroi d un vaisseau sanguin soumis uniquement à une pression Δp de 3500 Pa. On étudie d abord le cas d un capillaire cylindrique de rayon r=5μm.m. A. Le cylindre possède deux rayons de courbure non nuls il faut utiliser la formule ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.p = ƴ(1/r1 + 1/R2) B. Pour le capillaire, la valeur de 1/r est de 2.10^5 m^-1 C. La tension de la paroi du capillaire est de 1,75.10^-5 Nm D. La tension de la paroi du capillaire est de 1,75.10^-5 Nm^-1 E. La tension de la paroi du capillaire est de 1,75.10^-2 Nm^-1 QCM 30 : Le père Noël ayant découvert le complot de son neveu ne lui en veut pas ( adorable...) cependant il demande au lutin médecin de réaliser de l imagerie RMN pour comprendre ce qui cloche dans la tête de son neveu. Pour cela il place une population des spins dans un champ magnétique. Il a donc des spins parallèles de plus basse énergie et antiparallèles de plus haute énergie. On néglige l influence des spins les uns sur les autres. A. La proportion des spins parallèles est supérieure à 50 % à l équilibre. Elle croit avec le champ magnétique. B. Si on chauffe le milieu, la population de spin parallèle diminue. C. Si on inverse le champ magnétique de façon instantanée, on observera une inversion de population. D. Si on inverse le champ magnétique de façon instantanée, il y aura émission de photons monoénergétiques, avec des émissions stimulées numériquement supérieures aux absorptions. E. Si l on refroidit le milieu, la proportion de spins parallèles diminue. QCM en Vrac (36 QCM) Noyau atomique : QCM 1 : Selon le modèle de la goutte liquide. A. Le volume du noyau est proportionnelle au nombre de nucléons. 204 / 291
205 B. Ce modèle est compatible avec la théorie des états discrets d énergie du noyau, les niveaux d énergie du noyau sont discontinus. C. Ce modèle permet d expliquer la radioactivité Beta et la fission spontanée D. L énergie d asymétrie est responsable d une diminution de l énergie de liaison d autant plus importante que le noyau est lourd. E. Le nombre de protons doit être supérieur au nombre de neutrons afin que la cohésion nucléaire compense la force électrostatique. QCM 2 : A propos des particules fondamentales. A. Les fermions sont dits grégaires car ils ne respectent pas le principe d exclusion de Pauli. B. Les quarks sont classés selon les couleurs primaires et les antiquarks selon les couleurs complémentaires C. Les particules composites ne sont pas soumises à l interaction forte D. Les bosons intermédiaires sont des particules de masse nulle qui véhiculent nucléaire faible entre les leptons et les quarks lors de phénomènes de désintégration Beta du noyau. E. Le quark u a une charge de + 2/3 de la charge élémentaire. QCM 3 Soit une onde électromagnétique ayant une longueur d onde de 4,6 nm. La constante de planck h = 6, J.s A. La quantité de mouvement est égale à 30.10^-42 kg.m/s. B. La quantité de mouvement est égale à 1,44.10^-15 kg.m/s. C. L énergie de cette onde est égale à 4,3.10^-17J. D. L énergie de cette onde est égale à 4,3.10^-17eV. E. L énergie de cette onde est égale à 266,6 ev. QCM 4 : A propos de la radioactivité : A. La période T d un radionucléide est définie comme étant le temps au bout duquel le nombre de noyaux restants est 𝑁/4. B. L activité exprimée en curie correspond au nombre de désintégrations par seconde. C. L activité de 10g d Iode I (de période environ égale à 13h) vaut environ 7,3.10^14 𝐵𝑞 (on donne ln 2 ~ 0,7). D. Si le noyau descendant est lui-même radioactif, dans le cas ou T 1< T 2, le noyau père se désintègre plus vite que le noyau fils et après un temps t suffisamment long, son activité devient indépendante de celle du noyau fils. E. Usuellement, on considère que l élément n est plus radioactif après une durée de 10T. QCM 5 : A propos de la radioactivité α : A. La radioactivité α, produite par l interaction forte, concerne les noyaux lourds. B. La particule émise, correspondant à un noyau d Hélium 𝐻𝑒, possède un spectre énergétique de raies d énergie comprise entre 4 MeV et 9 MeV. C. D après la loi de Geiger et Nuttal, les émetteurs α de périodes d activité les plus courtes sont ceux qui émettent les particules d énergie les plus élevées. D. La particule α émise est lourde et très ionisante et présente donc un trajet rectiligne très court dans la matière, pouvant en pratique être arrêté par une feuille de papier. E. La radioactivité α est en concurrence avec le mécanisme de fission nucléaire pour les noyaux très lourds, de numéro de masse 𝐴 > 100. QCM 6 : A propos de l isomérisme nucléaire : 205 / 291
206 A. L isomérisme nucléaire concerne le retour à l état fondamental d un noyau dans un état d énergie «excité» par l émission d un photon γ. B. Cette émission γ est un phénomène radioactif lié à l interaction électromagnétique. C. Lors de la conversion interne, mécanisme en compétition avec l isomérisme nucléaire, le retour à l état fondamental peut se produire par un transfert direct de l énergie excédentaire vers un électron du cortège électronique, le plus souvent d une couche profonde, qui se retrouve éjecté si celle-ci est suffisante (notion de valeur seuil). D. La conversion interne s accompagne d une réorganisation du cortège électronique caractérisée par l émission secondaire de rayons X ou d électrons Auger en provenance de la couche périphérique. E. La probabilité du mécanisme de conversion interne diminue rapidement avec le numéro atomique. QCM 7 : A propos de la radioactivité β- : A. La radioactivité β- est une réaction isobarique B. La radioactivité β- s accompagne de l émission d un neutrino pour assurer la conservation de l énergie. C. Du fait de la répartition non-nécessairement équitable d énergie cinétique entre l électron β- et le lepton émis, le spectre énergétique est un spectre continu. D. Le spectre énergétique est décalé vers la gauche du fait de l effet coulombien. E. L énergie disponible lors de la désintégration β- s exprime, à l échelle atomique, sous la forme 𝑄= 𝑚(𝐴,𝑍).𝑐 𝑚(𝐴,𝑍 + 1).𝑐 𝑚.𝑐 2. QCM 8 : A propos de la radioactivité β+ : A. La radioactivité β+ est liée à l instabilité des noyaux excédentaires en neutrons. B. La radioactivité β+ est une réaction à seuil. C. Le positron a un libre parcours important dans la matière. D. Puisque certains noyaux ne peuvent pas s affranchir du seuil de 1022 kev, ceux-ci se désintégreront selon un mécanisme radioactif de capture électronique. E. Suite au mécanisme de capture électronique, l atome se retrouve dans un état excité et la réorganisation de son cortège électronique s accompagne de l émission de rayons X ou d électrons Auger. Effets biologiques des RI: QCM 9 A propos de la courbe de survie avec épaulement : A. L épaulement correspond à la capacité des cellules à réparer leurs lésions. B. A fortes doses il y a saturations des réparations des cellules et les morts induites par les rayons augmentent. C. La relation de proportionnalité entre dose et survie est linéaire. D. Plus une lignée est radiosensible plus cela se verra sur les courbes de survie cellulaires. E. Plus on diminue les capacités de réparation plus l épaulement disparaît. QCM 10 À propos des moments du cycle cellulaire, lesquelles sont les plus sensibles : A. Début de phase S B. Fin de phase S C. Phase G1 D. Phase G2 E. Phase M 206 / 291
207 QCM 11 A propos de la loi de De Broglie et Tribondeau, une cellule est d autant plus radiosensible si : A. Elle est jeune. B. Elle est peu différenciée. C. Elle est à forte activité de reproduction. Concernant la nature des rayonnements et de la distribution de la dose dans le temps: D. Un TEL élevé est plus nocif pour un individu à long terme qu un TEL faible. E. La diminution du débit de dose entraîne l augmentation de la survie cellulaire. QCM 12 : A propos des irradiations : A. On peut utiliser des rayons directement et indirectement ionisants en médecine. B. Les effets d une irradiation par des RDI sont tous immédiatement visibles. C. Une irradiation interne peut se faire par rayons particulaires. D. Une irradiation interne peut se faire par rayons. E. Les émetteurs ß- et ß+ sont des sources radioactives. QCM 13 : A propos des Rayons X : A. Ils présentent un effet Compton. B. Ils sont utilisables en imagerie. C. Ils ont un faible contraste eau/graisse. D. Ils tous ont un dépôt de dose élevé. E. Ils traversent les structures denses. RMN: QCM 14 : Concernant le proton : A. Il résonne à 128,4 MHz dans un champ magnétique de 3 Teslas. B. Sa vitesse angulaire est de 80,25.10^7 rad.s-1 dans un champ magnétique de 3 Teslas. C. Sa fréquence de Larmor est de 64,2 MHz dans un champ magnétique de 1,5 Tesla. D. Sa vitesse angulaire est de 40,13.10^5 rad.s-1 dans un champ magnétique de 1,5 Tesla. E. Il a la même fréquence de précession que le noyau de fluor 𝐹. QCM 15 : Concernant le noyau de fluor 𝟏𝟗𝑭 placé dans un champ magnétique de 2 Teslas : A. Il est mis en résonance par une onde électromagnétique de fréquence 81 MHz. B. Il est mis en résonance par une onde électromagnétique de longueur d onde 37 m. C. Sa vitesse angulaire est de 60,53.10^7 rad.s-1. D. La différence d énergie entre les états parallèle et antiparallèle est de 537, ev. E. La différence d énergie entre les états parallèle et antiparallèle est de 335, ev. QCM 16 : Un émetteur de radiofréquences couvrant la gamme de 100 à 200 MHz peut être utilisé pour mettre en résonance des protons à : A. 1 Tesla B. 1,5 Tesla C. 2 Teslas D. 2,5 Teslas E. 3 Teslas QCM 17 : Un angle d impulsion de π/2 peut être obtenu à 1,5 Tesla : A. Pour le proton 𝐻 par l application d un champ magnétique de de 10-4 T tournant à 42,58 MHz pendant 59 μm.s. B. Pour le proton 𝐻 par l application d un champ magnétique de 10-4 T tournant à 63,86 MHz pendant 59 μm.s. C. Pour le proton 𝐻 par l application d un champ magnétique de T tournant à 63,86 MHz pendant 29 μm.s. 207 / 291
208 D. Pour le phosphore 𝑃 par l application d un champ magnétique de 10-4 T tournant à 25,88 MHz pendant 145 μm.s. E. Pour le phosphore 𝑃 par l application d un champ magnétique de T tournant à 25,88 MHz pendant 145 μm.s. QCM 18 : Sur une image pondérée en T1, un tissu A est plus blanc qu un tissu B : A. T1 de A > T1 de B B. T1 de A < T1 de B C. T2 de A > T2 de B D. T2 de A < T2 de B E. Sur une image pondérée en T2, le tissu A apparaît plus noir que le tissu B. QCM 19 : Sur une image dont on ignore la pondération, la substance blanche apparait plus sombre que la substance grise : A. Il s agit probablement d une image pondérée en T1. B. Il s agit probablement d une image pondérée en T2. C. Le T1 de la substance grise est plus long que le T1 de la substance blanche. D. Le T2 de la substance blanche est plus court que le T2 de la substance grise. E. Sur cette image, les signaux de ces tissus sont moins intenses que le signal du liquide céphalorachidien. QCM 20 : À propos du générateur de RX A. En pratique, pour un examen du thorax, on va utiliser une tension accélératrice entre 80 et 100 kv. B. Le courant électrique envoyé sur la cathode, caractérisé par l intensité électrique I en ma, établit l énergie cinétique Ec donné aux électrons. C. À charge constante, l augmentation de la tension entraîne une augmentation du nombre de photons dans le faisceau de RX. D. Si le matériau constitutif de l anode est changé pour un à Z plus élevé, on augmente le nombre de photons produits mais l Ec ne sera pas modifiée. E. L énergie moyenne des RX produits correspond à : Emoy = Emax / 2 QCM 21 : À propos des rayonnements indirectement ionisants : A. La désexcitation du noyau du Tc 99m en son isomère nucléaire plus stable le Tc 99 s accompagne d une émission d un rayon gamma de 140 kev. B. Dans un cas de diffusion de Rayleigh, les photons diffusent sans transfert d énergie aux électrons libres impliqués. C. L interaction Compton est pratiquement indépendante de Z. D. La section efficace de l effet photoélectrique augmente d autant plus que l énergie du photon incident augmente. E. Lors d un effet Compton, si l angle de diffusion θ = π, alors l électron est rétrodiffusé et emporte le maximum d énergie. QCM 22 : À propos de l effet photo-électrique : A. Lors d un effet photo-électrique, le photo-électron est préférentiellement éjecté selon un angle π/2. B. Lors d un effet photo-électrique, le photon interagit le plus souvent avec des électrons de la couche K. C. Après l éjection du photo-électron s opère un réarrangement électronique avec émission de photons de fluorescence, dont le spectre continu est caractéristique de l atome ionisé. 208 / 291
209 D. Si un atome à Z peu élevé est ionisé, il y a une plus grande probabilité que son réarrangement électronique se fasse par émission d électron Auger plutôt que de photons de fluorescence. E. Le photo-électron est éjecté en récupérant toute l énergie apportée par le photon incident absorbé. QCM 23 : L effet de matérialisation peut être observé quand : A. une particule sans charge ni masse interagit avec un électron libre, au repos, avec un transfert d énergie réalisé. B. un photon incident diffuse sans modification de sa fréquence après la rencontre avec des électrons libres. C. une paire (e+ ; e-) est produite à la suite d une interaction élastique photon noyau. D. l absorption de l onde incidente permet l éjection d un proton ou d un neutron. E. une particule incidente non chargée non massique d énergie supérieure à 1,022MeV rencontre un matériau lourd. QCM 24 : À propos des rayonnements directement ionisants : A. Dans l accélérateur linéaire d électrons, la longueur de la section accélératrice conditionne l énergie des électrons de sortie. B. Les accélérateurs linéaires d électrons sont essentiellement utilisés en radiothérapie interne. C. De part son mécanisme de désintégration β-, et donc d émission de particules de hautes énergies, l iode 131 n est utilisé qu en thérapie. D. Dans les accélérateurs de particules comme le cyclotron, le champ magnétique va modifier l énergie de particules. E. Le cyclotron permet d obtenir des énergies de l ordre du MeV, le synchrotron va jusqu au GeV. QCM 25 : À propos des rayonnements directement ionisants : A. Plus le TLE est grand, plus la quantité d énergie cédée sur une petite distance est petite. B. DLI = TLE. w avec w énergie moyenne transférée pour chaque ionisation C. Le fluor 18, émetteur β-, est souvent couplé avec le FDG pour l examen TEP. D. La TEP est un examen d imagerie fonctionnelle au contraire de la radiographie ou du scanner. E. L énergie moyenne transférée pour chaque ionisation est plus élevée dans l air que dans l eau. QCM 26 : À propos des rayonnements directement ionisants : A. Les caméras TEP sont souvent couplées à un scanner. B. La caméra TEP détecte les 2 rayons γ émis après annihilation du positon (particule β+) produit par le radioisotope utilisé. C. Le synchrotron est constitué de 4 électro-aimants. D. À propos des interactions d électrons avec la matière, pour une excitation, il existe environ 3 ionisations. E. L électron perd surtout son énergie par de nombreux et faibles transferts. 209 / 291
210 QCM 27 : À propos des rayonnements directement ionisants : A. L effet Ramsauer est observé quand un électron interagit avec des électrons atomiques en fin de parcours. B. Le mécanisme principal d interaction pour les électrons est la collision de type élastique avec les électrons atomiques, provoquant excitation et ionisation. C. Lors d une interaction électron électron, l énergie transférée à l électron cible a pour valeur maximale T/2, avec T l énergie initiale incidente. D. La trajectoire des électrons ionisants est formée d une succession de trajets rectilignes entre 2 chocs. E. Le pouvoir d arrêt par collision s exprime comme le pouvoir d arrêt par freinage en MeV.μm.m-1. QCM 28 : À propos des rayonnements directement ionisants : A. La dose absorbée est l énergie moyenne absorbée par la matière au voisinage du point P, elle s exprime en Sv. B. La chambre d ionisation permet de mesurer le Kerma, soit l énergie moyenne transférée par des électrons à d autres particules chargées. C. La probabilité d effets stochastiques ne dépend que de la dose absorbée. D. Le facteur de pondération wr des particules alpha est égal à 2,5. E. La dose équivalente H = D x wr. QCM 29 : À propos des notions de dosimétrie et des détecteurs : A. La dose équivalente H est un indicateur des effets aléatoires. B. L exposition du patient à l issue d un examen est donnée en dose absorbée. C. Sur le compte rendu d acte d une scannographie, il faut indiquer le PDS (produit dose surface). D. Pour les spectromètres utilisant des phénomènes d ionisation, la largeur minimale possible de la distribution est déterminée par la statistique des phénomènes d ionisation, c est la notion de facteur de Fano. E. Les détecteurs à gaz sont utilisés pour les chambres à ionisation. QCM 30 : A. Une source orthotrope ne subit pas de changement de clarté ou de teinte même si le sujet se déplace par rapport à elle B. Une étoile, un néon, un LASER sont des sources orthotropes C. L émittance du soleil au zenith est lm D. La densité de flux énergétique totale émise par le corps noir est proportionnelle à sa température absolue T. E. Sachant que la vitesse de la lumière dans l eau est proche de 2,25.108m/s on en déduit que son indice de réfraction est proche de 1,3 QCM 31 : un sujet a un punctum remotum à 1m en avant de l œil et un punctum proximum à 20 cm en avant de l œil. A. Ce sujet est myope B. Ce sujet a un œil trop long, c est-à-dire qu il converge trop C. Ce défaut visuel peut être corrigé avec une lentille convergente 210 / 291
211 D. Pour que le sujet puisse voir loin sans s accommoder sa lentille doit avoir une vergence de 1D E. Ce sujet peut être presbyte QCM 32 : Un sujet hypermétrope veut utiliser des lentilles de contact pour corriger son défaut visuel. On estime que la vergence de la lentille de contact s ajoute directement à celle de l œil. Son plan conjugué à la rétine est à 50cm en arrière du centre optique de l œil. Son punctum proximum est situé à 50cm en avant du centre optique de l œil. A. Le punctum remotum est le point le plus loin que le sujet peut voir sans accommoder. B. Le sujet peut être presbyte C. La vergence de la lentille doit être de 2 dioptries D. Avec la lentille le punctum proximum corrigé passe à 25 cm E. Le pouvoir d accomodation est de 4 dioptries QCM 33 : Problème de spectroscopie : Dans des conditions expérimentales qui permettent de ne pas se préoccuper de la densité optique du solvant ou du récipient, on veut doser les constituants d une solution S contenant potentiellement deux solutés A et B. Les mesures des différentes solutions à 336 et 540 nm sont données comme suit : Soluté A, 10mmol.L- Soluté B, 10mmol.L1 1 DO à 336nm 0,2 0,5 DO à 540nm 1 0,3 A. La concentration de A dans S est de 2mmole/L Solution S à doser 0,65 2,15 B. La concentration de B dans S est de 5mmole/L C. Si dans S on fait précipiter le soluté B de sorte qu il n ait plus d action optique, la DO à 540nm devient égale à 2 D. Les données de l énoncé permettent d affirmer que A et B ne sont pas énantiomères E. Une solution à 20 mmole de A aurait une transmittance de 10% à 336nm. QCM 34 : Concernant les principes de thermodynamique A. Selon le modèle des gaz parfaits, les interactions entre molécules de gaz sont négligées. B. La pression d un gaz parfait est indirectement proportionnelle à sa température en C. C. La capacité calorifique à volume constant d une mole de gaz parfait diatomique vaut 5/2 nr. D. Dans un système à pression et température constante, l enthalpie libre vaut : G = H+TS. E. Le second principe est définie tel que : Un système fermé évolue vers les macro-états les plus probables, c est-à-dire ceux content le plus petit nombre de microétats accessibles. 211 / 291
212 QCM 35 : On veut maintenant déterminer quelle est la tension de la paroi d un vaisseau sanguin soumis uniquement à une pression ΔP = 5000 Pa. On étudie d abord le cas d un capillaire cylindrique de rayon r = 9 μm.m. A. La loi de Laplace pour ce capillaire sera : ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.p = gamma /r^2 B. La tension de la paroi du capillaire est de m.n 1 C. La tension de la paroi du capillaire est de ^-3 N/m D. La tension de la paroi du capillaire est de 4, N/m E. Si le diamètre du capillaire diminue, alors la tension de la paroi du capillaire augmentera. QCM 36 : On cherche à déterminer la pression dans la paroi d un vaisseau sanguin cylindrique dont la tension est de 2, N/m A. Pour un capillaire de diamètre 20 μm.m, la pression est de 1250 Pa. B. Pour un capillaire de rayon 10 μm.m, la pression est de 2500 Pa. C. Pour une artère de rayon 2,5 cm, la pression est de 1 Pa. D. Pour un vaisseau ayant subit une déformation sphérique (anévrisme sphérique) et de diamètre 40 μm.m, la pression est de 1500 Pa. E. Pour une veine de rayon 5 mm, la pression est de 5 Pa. 212 / 291
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214 Correction : Sujet Type 1 : QCM 1 : BDE A. C est L^-1.M.T^-1. Attention à ne pas associer le mètre (m) une unité de longueur (L) à la masse (M) d unité kg. C. Une pression sur un temps nous donnerait : (L^-1.M.T^-2)/(T) = L^-1.M.T^-3 D. VRAI : on aurait : (L^2.M.T^-2)/(L^3.T^-1) = L^-1.M.T^-1 E. VRAI : une pression fois un temps donnerait : (L^-1.M.T^-2)x(T) = L^-1.M.T^-1 QCM 2 : E A. Il exclut la manifestation simultanée de l aspect corpusculaire et ondulatoire des photons. B. Matricielle. C. Corpusculaire. D. Corpusculaire. QCM 3 : BC On voit que le Na(22 ;11) devient du Ne(22 ;10) donc un proton s est transformé en un neutron, il a donc eu soit une bêta plus, soit une capture électronique (CE). On voit ensuite qu il y a un état métastable obligatoire du Ne(22 ;10) d où part un photon gamma d énergie 1274,6 kev = 1,2746 MeV. L énergie de cet état métastable sera donc de : 20484, ,2746 = 20486,2637 MeV. On aura ainsi soit des bêta plus, soit des CE qui se retrouveront obligatoirement dans la gamme énergétique entre le Na(22 ;11) à 20487,7836 MeV et le Ne(22m ;10) à 20486,2637 MeV. On trouve donc par le calcul les valeurs de la CE et du bêta plus. N oubliez pas le seuil de 1022 kev pour ce dernier. La CE va se voir sur un spectre énergétique comme un spectre monoénergétique de neu trinos. C est en effet la seule particule à «s échapper», l électron étant capturé par le noyau. La bêta plus va se voir comme un spectre continu de positions et un spectre continu de neutrinos. En effet ces deux particules se répartiront l énergie maximale (497,9 kev) de manière aléatoire, formant deux spectres continus. QCM 4 : ACD A. A = (ln2.m.na)/(m.t) = (0,7 x 44 x 6.10^23)/(22 x 84.10^7) 214 / 291
215 A = (0,7 x 2 x 6.10^23)/( 84.10^7) on a simplifié 44 avec 22) A= (2 x 42.10^22)/( 84.10^7) car 0.7 x 6.10^23 = 4,2.10^23 = 42.10^22 A= (84.10^22)/(84.10^7) = 10^15 Bq B. La masse est divisée par deux, donc l activité le sera aussi, on aura donc : A = 0,5.10^15 Bq En convertissant on obtient : 13,5 μm.ci. C. Après 10,6 ans = 4 x 2,65 ans on aura une activité réduite d un facteur 2^4 = 16. D. Après 2.65 ans = 1 période on aura une masse réduite d un facteur 2^1 = 2 soit de moitié. E. Il faudra attendre 10 périodes pour que cet objet ne soit plus radioactif, soit 10 x 2.65 = 26.5 ans < 30 ans. QCM 5 : ACD A. VRAI : Suite au départ de l électron de conversion. B. Il vient de se désexciter. C. VRAI : Pour les noyaux légers. Attention de bien différencier l électron Auger et l électron de conversion. D. VRAI : Voir A. E. L émission de RX pour les noyaux lourds. QCM 6 : tout faux A. Certains sont absorbés, d autres passent sans interagir. B. Ils sont atténués. Le Dr Cassol insiste sur ce terme. C. Avec le noyau également (effet PP) D. Ce sont les électrons secondaires qui déposent la dose (principe des rayonnements indirectement ionisants). E. Les photons n ont pas de TEL. QCM 7 : DE A. Dans une TEMP B. 2 utilisations : l hadronthérapie et la production de radioisotopes bêta plus pour la TEP. C. Diagnostiques (imagerie) D. VRAI : On peut transformer le faisceau d électrons accéléré en RX de freinage d énergie de l ordre du MeV utilisables en thérapeutique. E. VRAI : C est une imagerie d émission. QCM 8 : ABC A. VRAI : Parcours (cm) = E(MeV) / Sc (MeV/cm) dans l eau. Sc = E / Parcours = 0.5 / 0.1 = 5 MeV/cm. D. Seulement les électrons. E. A la densité électronique du milieu, notion différente de Z. On peut en effet avoir des atomes très lourds mais très espacés entre eux, donc une faible densité électronique et en noyaux. QCM 9 : BCDE A. Les électrons n ont pas de KERMA. B. VRAI : Car beaucoup d électrons secondaires iront déposer leur dose à l extérieur du tissu irradié. QCM 10 : ABC D. C est le détecteur à semi-conducteur qui fait ça. 215 / 291
216 E. Il est très peu sensible comparé à un détecteur à gaz ou à semi-conducteur. QCM 11 : AE B. L avancée en âge est radioprotectrice. C. Si les cellules meurent, il y aura des effet déterministes précoces, la cellule ne survivant pas, il ne pourra pas y avoir d effet stochastique tardif type cancer. D. Les IRM n utilisent pas de RI! QCM 12 : BCE A. Ils peuvent être précoces ou tardifs (comme conséquence d une séquelle) D. Les effets déterministes tardifs apparaissent si la cellule survit. QCM 13 : A B. Par définition C. Ils sont tardifs! D. Il faut que la cellule survive pour qu ils apparaissent. E. Attention piège récurrent! QCM 14 : CD A. Il décrit les lésions sublétales. B. Cela veut dire que toutes les lésions sont létales d emblée E. Les groupements thiol sont radioprotecteurs. QCM 15 : ACD B. Non scellées E. Le vecteur ira directement sur la tumeur. QCM 16 : ABCD E. Il n émet que dans une unique direction. QCM 17 : BCDE A. Cela n a pas de sens. B. VRAI : ε = DO / (C.L) QCM 18 : ABE B. VRAI : On a une rotation de 0,5 pour une concentration de 1 kg/m^3 sur 1 m. En faisant un produit en croix on obtient une rotation de 0,1 pour une concentration de 1 kg/m^3 sur 20 cm. Donc une rotation de 0,2 donne une concentration de 2 kg/m^3 sur 20 cm. C. On aura donc une rotation de 0,1 pour une concentration de 2 kg/m^3 sur 10 cm. Donc une rotation de 0,2 donne une concentration de 4 kg/m^3 sur 10 cm. D. Une concentration négative ça n existe pas. E. VRAI : Car le D-Glucose dextrogyre est la seule molécule chirale présente dans l urine. QCM 19 : AB A. VRAI : Il a une vergence de l œil au repos de 61D (PR à 1m). B. VRAI : Son PP est à 50 cm, soit une vergence de l œil en accommodation maximale de 62D. Son pouvoir d accommodation est donc de 1D, donc pas dans les normes. 216 / 291
217 C. et D. Le but sera de porter le PR à 25cm. Donc de faire passer la vergence de 61D à 64D, soit une vergence des lunettes de +3D. C est une valeur positive, ce seront donc des lentilles convergentes. E. Surtout pas! Le père Noël ne verrait alors plus rien à l infini, ce qui n est vraiment pas pratique pour conduire un traineau. QCM 20 : CD QCM 21 : ACE A. VRAI : lambda = 300/200 = 1,5 m B. lambda = 300/50 = 6 m C. VRAI : à savoir par cœur. D. De 11 MHz à savoir par cœur. E. VRAI : lambda = 300/40 = 7,5 m. QCM 22 : ACE A 3 teslas, les protons résonneront à MHz, le fluor à 120 MHz, rien ne résonnera à 200 MHz ni à 247,5 MHz. QCM 23 : ACE B. Ce n est pas la bonne fréquence. C. VRAI : γb1t = π/n A 5 ms on a multiplié le côté droit de notre équation de 1/2. On devra donc multiplier le côté gauche par 1/2. Donc l angle sera de 90 x1/2 = 45. D. Ce n est pas la bonne fréquence. E. VRAI : On a ici multiplié notre équation par deux, on multiplie l angle par deux soit 180. QCM 24 : BCDE A. et C. Mz = 0.63Mo, donc t = T1 = 300 ms (valeur remarquable) 217 / 291
218 B. VRAI : Mx = 0.14Mo, donc t = 2T2 = 300 ms => T2 = 150 ms (valeur remarquable) D. VRAI : Mo Mz = Mo 0.63 Mo = 0.37 Mo E. VRAI : A l instant t = 0 : Mz = Mo.cos(90 ) = 0 Mo. Donc un écart de 1 A l instant t = 300 ms : Mz = 0.63Mo. Donc un écart de 0.37 Donc Mz est passé de 1 à 0.37, donc l écart a bien décru de 63%. QCM 25 : BCE QCM 26 : CE Le macro-état est ici ce qui est observable, c est-à-dire la proportion d enfants dans chaque catégorie de note. Ici Joseph Truc ou Marie Bidule peuvent être dans la catégorie A, B, C ou D, on n en sait rien, tout ce qui compte c est la proportion d enfants dans chaque catégorie. Un micro-état est une répartition de ces enfants où l on saura précisément où se trouve Joseph Truc, Marie Bidule, etc Il y a donc beaucoup de micro-états possibles par macroétat. A. Cela ne veut rien dire. B. Un macro-état. D. Le macro-état. QCM 27 : ABC A. VRAI : Par définition. C. VRAI : En augmentant la température, on augmente la disponibilité de l énergie, et donc la proportion en mailles courtes, ce qui raccourcit la fibre. D. Voir C E. Même en augmentant la température de telle sorte qu il y ait une infinité d énergie disponible, on reviendrait au cas de départ avec une proportion de mailles courtes égale à celle des mailles longues. QCM 28 : ABCD A. VRAI : A 10 m de profondeur, on a une pression totale de 2 atm. L air alvéolaire contient 80% de N2, soit une pression partielle de 80% x 2 = 1,6 atm. 218 / 291
219 B. VRAI : N2 dissous = P(partielle) x s = 2 x 80% x 2,4% = 38,4 ml/lsang CO2 dissous = P(partielle) x s = 2 x 5% x 170% = 170 ml/lsang C. VRAI : O2 total dissous = P(partielle) x s x V sanguin = 2 x 15% x 5% x 6 = 90 ml D. VRAI : CO2 total dissous = CO2 dissous x V sanguin = 170 x 6 = 1020 ml E. Faux, s est inversement proportionnel à la température. Il y a donc plus d O2 dissous dans les eaux polaires. QCM 29 : BCDE A. Ils passeront de 2 atm à 1 atm. Ils dégazeront donc de moitié, soit 510 ml seulement. B. VRAI : Par définition. C. VRAI : Car lorsque la pression ambiante diminue, elle risque de devenir inférieure à la pression en vapeur saturante et entrainer la formation de bulles. C est les risques du métier! D. VRAI : La pression ambiante est plus grande à des altitudes plus faibles. E. VRAI : La pression en vapeur saturante est proportionnelle à la température. QCM 30 : ADE Pour la jambe : ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.p = n γ/r où n est le nombre de couches. Donc ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.p = n 30/10^-2 = n x Donc n peut être au maximum égal à deux. => A vraie, B fausse. Pour le mollet : ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.p = 2n γ/r Donc ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.p = 2n 30/1,5.10^-2 = 2n x 2000 = n x Donc n peut être au maximum égal à deux. => C fausse, D vraie. E. VRAI : Si on augmente r, on diminue ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.p, donc on pourra alors augmenter n. Sujet Type 2 : QCM 1: BCD A. C est directement proportionnel B. Pas au cube QCM 2: ACD B. Pas W+/W- et Z0 D. VRAI : Oui ils ne respectent pas le principe d exclusion de Pauli E. non, W+, W- et Z0 ont une masse élevée QCM 3: ABD B. VRAI : on enlève à la masse donnée 11 fois la masse de l électron, soit : 21, (11 x ) = 21, C. La masse des constituants à l état libre est : 11(mn+mp) = 11(1, ,00866) = 11 x 2,01594 = 22,17534 u =/= 22, u D. VRAI : On cherche ici le B où B = masse des constituants - masse du noyau B = 22, ,98535 = 0,18999 u = 0,18999 x 931,5 = 176, soit 176,98MeV E. Ici elle demande le B/A on a B/A = énergie de liaison totale / nombre de nucléons B/A = 176,98 / 22 = 8,0445 soit 8,04 MeV. Attention à ne pas diviser uniquement par le nombre de protons. QCM 4: AD 219 / 291
220 Après avoir appliqué la formule de l activité ( attention aux unités) il faut diviser par 2 exposant le nombre de périodes. Ici on a deux périodes donc 2^2 = 4. On trouve donc 1750 MBq QI correspondent à 47 mci E. Il faudrait attendre 10 périodes soit 60 heures, de quoi passer le réveillon avec un sapin décoré. QCM 5: AB C. Non c est l inverse: la Demi-vie du père doit être très longue devant celle du fils D. Non la différence n est pas assez forte on aura juste un équilibre de régime E. Le père est le Molybdène QCM 6: CD Il y a quatre couches de demi atténuation donc le faisceau est divisé par 2^4 = 16 D. VRAI : Car seul 1/16ème du faisceau est conservé E. non: la diminution de l énergie du faisceau se fait en diminuant le nombre de photons et pas leur énergie QCM 7: AC A. VRAI : Avec de la RMN par exemple B. Attention à l unité C. VRAI : Assez bas pour du diagnostic D. non énergie trop basse pour être des RX E. Attention: vous risquez de griller le papa Noël QCM 8: B A. Directement ionisant C. C est l inverse D. Voir A E. Non une particule peut avoir des effets graves avec un TLE moins élevé qu une autre QCM 9: CE A. Si au contraire B. Non c est la variation de la tension qui fait varier l énergie de chaque photon D. Augmentation et non diminution QCM 10: A 1 barnb = 10^-24 cm^2 QCM 11: BC A. une particule massique peut induire de la radiolyse de l eau E. Pas du tout, qui plus est la présence d O2 pourra favoriser la formation de molécules comme l H2O2 QCM 12: CD A B et E. Les cellules restent en vie D. VRAI : Aie aie la fille du père Noël risque d en pâtir... QCM 13: E Il s agit en effet de la phase S ( COMME SAPIN!! LOL )tandis que G2 et M seront plutôt sensible 220 / 291
221 QCM 14: BD QCM 15: ACBD A. Moins de protection en altitude E. Et non malheureusement elle est tres importante et croit d année en année. QCM 16: B A. Il a disposé de ce type de technologies vers 1600 C. C est l inverse D. Un matériel peut être homogène sans être isotrope E. C est de jour QCM 17: E A. Attention de pas confondre avec le candela B. Le joule est l unité de l énergie C. Pas toujours positif: toutes les distances sont positives lorsqu'elles sont orientées dans le sens de la propagation de la lumière. Ainsi, les systèmes optiques divergents ont une focale négative, tandis que les systèmes optiques convergents ont une focale positive. D. En dioptries QCM 18: ABD A. VRAI : A l aide de la première ligne B. VRAI : A l aide de la deuxième ligne C. A l aide de la troisième ligne ( 1 + xc = 5 donc x=2) D. VRAI : sinon il n est pas possible de réaliser le calcul QCM 19: CDE A. Non myope B. On a un PA de 4D ( = 4D ) QCM 20: BCD QCM 21: BCD QCM 22: D QCM 23: ACE E. VRAI : Même si les 200 MHz ne servent à rien QCM 24: BC QCM 25: ADE QCM 26: AC B. Le savon diminue la tension superficielle E. La pression est inversement proportionnelle au rayon QCM 27: AC D. Rien ne se passe si la solution est isotonique E. Elle est hypotonique QCM 28: ABDE C. L eau se déplacera vers les plus fortes concentrations en sel QCM 29: BE 221 / 291
222 A. Le cylindre n a qu un rayon de courbure B. VRAI : 1/(5 x 10^-6 m)= 0,2 x 10^6 m^-1= 2 10^5 m^-1 C,D,E. Pour le calcul de la tension il ne faut pas oublier que premièrement l unité est en N.m^-1 Ensuite niveau calcul on a: T= p x r = 3500 x 5 x 10^-6 = 1,75 x 10^-2 QCM 30: ABC B. VRAI : Si on augmente la température le rapport augmente et tend vers 1 > les spins parallèles diminuent. D. Les émissions ne peuvent pas être supérieures aux absorptions. QCM en vrac : QCM 1 ACD B. Incompatible E. C est l inverse, le nombre de neutrons doit être supérieur. QCM 2 BE A. Les bosons sont grégaires et les fermions sont solitaires (ils respectent la règle de Pauli) D. Tout est vrai sauf qu ils ont une masse élevée (80-90GeV/c^2). QCM 3 CE A et B : p = 1,44.10^-15 kg.m/s QCM 4 : E A. La période est le temps au bout duquel le nombre initial de radionucléides est réduit de moitié. B. Le becquerel correspond au nombre de désintégration par seconde ; le curie quant à lui représente l activité d un gramme de Radium (on rappelle que 1 𝐶𝑖 = 37 𝐺𝐵𝑞). C. Attention, la masse de l échantillon s exprime en grammes dans le calcul de l activité! Ici on a donc A= 7,3.10^17𝐵𝑞. D. Dans le cas ou 𝑇1< 𝑇2, le noyau père se désintègre plus vite que le noyau fils et après un temps t suffisamment long, c est l activité du noyau fils qui devient indépendante de celle du noyau père. QCM 5 : TOUT VRAI B. VRAI : Du fait de la faible disponibilité de l énergie attribuée au recul du noyau fils (< 2%), on considère que la particule α emporte la quasi-totalité de l énergie : on retrouve donc un certain nombre de particules d énergie bien précise. QCM 6 : ACD B. Attention, on parle de «radioactivité γ» par abus de langage si l émission γ est différée : en réalité, il ne s agit ni d une transformation du noyau ni d un changement de sa structure à proprement parler. E. La probabilité du mécanisme de conversion interne augmente avec le numéro atomique. QCM 7 : ACD B. La radioactivité β- s accompagne de l émission d un antineutrino. D. Vrai : l électron β- émis est ralentit en traversant le cortège électronique de l atome du fait de la 222 / 291
223 force répulsive entre leur charge négative. ² ² ² E. A l échelle nucléaire,𝑄 =𝑀(𝐴,𝑍).𝑐 𝑀(𝐴,𝑍+1).𝑐 𝑚.𝑐 or on a 𝑀(𝐴,𝑍)=𝑚(𝐴,𝑍) 𝑍.𝑚 et 𝑀(𝐴,𝑍+1) = 𝑚(𝐴,𝑍+1) (𝑍 1).𝑚 ² ² ² ² d où 𝑄 =𝑚(𝐴,𝑍).𝑐 𝑍.𝑚.𝑐 (𝑚(𝐴,𝑍+1).𝑐 (𝑍+1).𝑚.𝑐 ) 𝑚.𝑐 ^2 ² donc 𝑄 =𝑚(𝐴,𝑍).𝑐 𝑚(𝐴,𝑍+1).𝑐 ² (CQFD) QCM 8 : BE A. La radioactivité β+ est liée à un excès de protons. B. VRAI : La radioactivité β+ n est possible que si la différence entre les masses des noyaux père et fils est supérieure à deux fois la masse de l électron : 𝑄 = 𝑚(𝐴, 𝑍). 𝑐 𝑚(𝐴, 𝑍 1). 𝑐 𝟐. 𝒎𝒆. 𝒄2. C. Le parcours libre du positron est très court du fait de la forte probabilité d interaction entre elle et les électrons de la matière (annihilation dans la matière). D. Attention, la capture électronique consiste en la captation par le noyau, selon un processus d interaction faible, d un électron du cortège électronique, préférentiellement des orbites proches du noyau. QCM 9: ABE C : faux curvilinéaire D : faux on ne lit pas la radiosensibilité sur les CSC. QCM 10 : DE QCM 11 : E Attention à BIEN LIRE les énoncés, c est la loi de BERGONIE et TRIBONDEAU!!!! QCM 12 : ACDE B. Non il y a des effets stochastiques QCM 13 : ABCE D concernent les rayons X de basses énergies QCM 14 : ABC D. Attention, sa vitesse angulaire est de 40,13.10^7 rad.s-1 dans un champ magnétique de 1,5 Tesla (attention à la puissance de 10). E. Non, deux noyaux différents ne résonnent jamais à la même fréquence. QCM 15 : AE B. Il est mis en résonnance par une onde électromagnétique de longueur d onde 3,7 m. C. Sa vitesse angulaire est de 50, rad.s-1. D. ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.e = 537, J (attention à l unité!). QCM 16 : DE A. A 1 Tesla, ν0 = 42,58 MHz B. A 1,5 Tesla, ν0 = 63,86 MHz C. A 2 Teslas, ν0 = 85,15 MHz D. VRAI : A 2,5 Teslas, ν0 = 106,43 MHz est bien comprise dans la gamme. E. VRAI : A 3 Teslas, ν0 = 127,72 MHz est bien comprise dans la gamme. QCM 17 : BCD A. Le proton n est pas mis en résonance puisque la fréquence de 42,58 MHz ne correspond pas à sa fréquence de précession dans un champ magnétique de 1,5 Tesla (ν0 = 63,86 MHz). BCD. VRAI : Vérifier l équation π/2 = γ.b1.t 223 / 291
224 E. 2.γ.B1.t = 6,29 π. QCM 18 : BDE A. Si le tissu A est plus blanc dans une image pondérée en T1 c est que son signal est plus intense et que sa relaxation sera plus rapide donc que son T1 est plus court. C. Globalement, un tissu caractérisé par un court T1 aura également un court T2 et viceversa. E. VRAI : Sur une image pondérée en T2, comme évoqué plus haut, le T2 du tissu A sera court donc sa relaxation sera plus rapide et son signal moins intense, il apparaitra donc plus sombre. QCM 19 : BCDE A. Dans une image pondérée en T1, la substance blanche est plus claire que la substance grise. QCM 20 : AD B. Il établit le nombre d électrons que l on peut arracher à la cathode. C est la différence de potentiel entre les électrodes qui va donner de l Ec aux électrons et leur permettre d accélérer une fois arrachés à la cathode. C. La différence de potentiel (ou tension) entre les électrodes donne de l Ec aux électrons et leur permet d accélérer une fois arrachés à la cathode. Une augmentation de tension entraîne une augmentation d énergie de chaque photon X, donc du faisceau de RX, et donc de l énergie moyenne. D. VRAI : Cela entraîne plus de potentielles ionisations avec le cortège des atomes de l anode et donc d émission de RX lors des réarrangements électroniques. E. Emoy = Emax / 3 QCM 21 : AC A. VRAI : Valeur à savoir avec le Pr Cassol B. Cette diffusion se produit sur des électrons liés de l atome. D. d autant plus que l énergie du photon incident diminue! E. Le transfert d énergie est bien maximal pour l électron, mais c est le photon qui est rétrodiffusé. QCM 22 : ABD C. Lors d une émission de photons de fluorescence, le spectre est un spectre de raies avec des énergies caractéristiques des transitions d une couche électronique à l autre. E. Il est éjecté avec cette énergie à laquelle on enlève l énergie utilisée pour rompre son lien avec l atome, soit l énergie de liaison B. En résumé : Ec = hνi B. (Ec énergie cinétique que l électron emporte et hνi l énergie initiale du photon incident). QCM 23 : CE A. définition de l effet Compton B. caractéristique de la diffusion de Thomson D. définition de la réaction photo-nucléaire QCM 24 : AE A. VRAI : Entre les tubes, une onde hyperfréquence permet d accélérer les électrons et donc d augmenter l Ec de ceux-ci. 224 / 291
225 B. Radiothérapie externe La radiothérapie interne se fait notamment par administration d un type de radionucléide associé à un vecteur pour cibler précisément une zone (ex : tumeur). C. L iode 131 émet également lors de sa désintégration des rayons γ, permettant aussi son utilisation en imagerie ou plus précisément en scintigraphie. D. Il va courber la trajectoire. Celui qui modifie l énergie est le champ électrique appliqué. QCM 25 : DE A. Plus la quantité d énergie est grande B. TLE = DLI. w C. Le fluor est émetteur β+ d où l utilisation en TEP. Le FDG permet de cibler les cellules cancéreuses en demande très importante de sucre, elle est la molécule vectrice qui amène le traceur (fluor) au niveau des tissus cancéreux. E. VRAI : weau = 32 ev, wair = 34 ev QCM 26 : ABCE A. VRAI : Permet de mieux visualiser les organes sur lesquels sont localisées les anomalies repérées par la scintigraphie. D. 1 ionisation, 3 excitations E. VRAI : Au contraire du photon QCM 27 : ACD A. VRAI : Surtout si Ec < 100 ev B. C est une collision de type inélastique. E. MeV.cm-1 ou kev.μm.m-1 QCM 28 : E A. Elle s exprime en Gray (Gy). B. Le Kerma est une mesure pour les rayonnements indirectement ionisants, les photons. C. Elle dépend également du type et de l énergie du rayonnement, ainsi que du tissu irradié. D. Il est égal à 20 pour alpha (2,5 à 20 pour les neutrons). QCM 29 : BDE A. C est la dose efficace E qui l est. C. PDS -> radiologie conventionnelle PDL -> scannographie (produit dose longueur) D. VRAI : Notion jamais tombée, mais on ne sait jamais car le Pr Cassol aime bien les petites surprises au concours (ref Bremsstrahlung). QCM 30 : AE B. Le LASER est une source non orthotrope, comme le faisceau d une lampe torche ou les surfaces irrisées, réflechisantes etoiles, neons, ampoule électrique sont des sources orthotropes car elles sont perçues de la même manière dans toutes les directions. C lux D. Proportionnelle à la puissance 4eme de la température absolue 225 / 291
226 QCM 31 : AB Le sujet a un PR à 1 m en avant de l oeil, donc la vergence du PR est de 61D Et un PP à 20 cm, donc la vergence du PP est de 65D Donc le sujet est myope, avec un pouvoir d'accommodation normal de 4D, donc non presbyte. C. Divergente D. -1D E. PA = 4 donc non QCM 32 : ACDE Le sujet a un PR à 50 cm en arrière de l oeil, donc la vergence du PR est de 58D Et un PP à 50 cm, donc la vergence du PP est de 62D Donc le sujet est hypermétrope, avec un pouvoir d'accommodation normal de 4D, donc non presbyte. B. PA = 4 C. VRAI : On cherche à faire passer le PR de 58D à 60D, on aura donc besoin de lentilles convergentes de +2D. D. VRAI : La vpp passera elle de 62D à 64D, donc à 25 cm. QCM 33 : BCDE Dans ce genre d exos, on pose une équation à deux inconnues : 0.2A + 0.5B = 0.65 A + 0.3B = 2,15 En résolvant en trouve : A = 2 et B = 0,5 Soit 2 x 10 mmol de A et 0,5 x 10 mmol de B : donc 20 mmol/l de A et 5 mmol/l de B. C. VRAI : A + 0,3B = 2,15 <=> 2 + 0,3 x 0,5 = 2,15 Si on enlève 0,3 x 0,5 il ne reste que le DO à 2. D. VRAI : Si A et B étaient énantiomères, ils auraient la même DO. E. VRAI : Tr = 10^-DO <=> Tr = 10^-1 = 0,1 = 10% QCM 34 : AC B. Elle est directement proportionnelle à sa température en K : PV = nrt D. Enthalpie libre : G = H TS. E. Ceux contenant le plus grand nombre de micro-états possible. QCM 35 : CD Nous sommes avec un vaisseau cylindrique, on utilise donc la formule de Laplace correspondante : ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.p = gamma / r. Ici on nous donne la pression et le rayon, donc γ = ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.p x R = 5.10^3 x 9.10^-6 = 45.10^-3 N/m B. Attention à l unité, on est en N/m E. Si l on diminue le diamètre du capillaire, la tension de la paroi sera diminuée elle aussi. QCM 36 : BCE 226 / 291
227 Nous sommes avec un vaisseau cylindrique, on utilise donc la formule de Laplace correspondante : ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.p = gamma /R et il faut faire attention aux unités à convertir. A. ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.p = 2,5 / 10 = 2500 Pa (attention à prendre le rayon et non le diamètre) D. L anévrisme entraîne une modification de la forme du vaisseau de cylindre à sphère, donc on prend la formule de Laplace : ΔS évolue négativement dans le sens direct de la réaction.p = 1250 Pa. UE4 Sujet Type 1 (15 QCM 1h) : 2 e 2 x 3 x 2 QCM 1 : Soit f la fonction définie par f (x)= 4 x 1 e 1 A. La fonction f s'annule en 2 points x= 1 et x=. 2 2 x +x 1 B. f ' (x)=( 4 x+ 1). e 2 C. La fonction est strictement monotone sur IR. D. La fonction f possède la même limite quand x tend vers plus ou moins l'infini. E. La fonction f admet des asymptotes. QCM 2 : Soit g(x ) la courbe en trait plein et h(x ) la courbe en pointillés. D après le graphe : A. g( x ) et h(x ) sont des fonctions polynômes de degré impair. B. g(x ) pourrait être la dérivée de h(x ). C. g(x ) pourrait être la fonction x 3+ x 4 5 x. D. La dérivée de h( x ) présente une asymptote horizontale. E. h( x ) est une fonction paire. y. cos ( y ). sin(x )+ x. sin( y ) : x. y. cos( y) sin(x ) tan( y) A. La fonction f peut également être définie par f (x, y )= +. x y B. La fonction f est définie sur (IR*)². δ f cos (x ). x sin(x ) =. C. δx x2 cos(x ). x sin(x ) y. tan 2 ( y ) tan ( y )+ y D. df = +. x2 y2 E. Le point A de coordonnées (0,0) est un point critique de la fonction f. QCM 3 : On étudie la fonction f, définie par f (x, y )= 227 / 291
228 QCM 4 : Dans un matériau radioactif, la proportion de noyaux subissant une désintégration radioactive est donnée par la fonction : N (t, λ)=n 0 e λ t Où N (t, λ) est le nombre de noyaux radioactifs à un temps t ; N 0 est le nombre initial (constant) de radionucléides ; λ (représentant la constante de décroissance radioactive) et t (représentant le temps) sont strictement positifs. Contrairement aux cours d UE3, la valeur de λ est soumise à des variations, sauf mention contraire dans les items suivants : A. La variation absolue de N(t) se note : Δ N N 0 e λt λ. Δ t N 0 t e λ t. Δ λ. B. L'incertitude relative sur N(t) est donnée par la somme des incertitudes absolues sur λ et t. C. Toute chose étant constante par ailleurs, une augmentation de l'incertitude absolue sur λ induit une augmentation de l'incertitude absolue sur le nombre de radionucléides N. D. Soit t supposé connu sans incertitudes, la variation absolue sur le nombre de noyaux radioactifs augmente quand le nombre de noyaux radioactifs initial augmente. E. Si λ est considérée sans incertitude, l'incertitude relative sur N(t) est proportionnelle au temps t. QCM 5 : On mesure l alcoolémie chez 10 D1 et 10 P2 après une soirée d'intégration. On effectue un prélèvement sur chaque individu, et chaque prélèvement est mesuré une seule fois. Après avoir récupéré les résultats, un P2 affirme : A. La variabilité totale entre chaque prélèvement est en partie due à la variabilité inter-individuelle. B. La variabilité totale entre chaque prélèvement peut s'expliquer par la variabilité analytique. C. La variabilité totale entre chaque prélèvement ne s'explique pas par la variabilité intraindividuelle puisque chaque prélèvement n'a été mesuré qu'une seule fois. D. On décide de mesurer plusieurs fois le même prélèvement d'un D1 pour être sûr des résultats. D après le test gold-standard, on sait que son alcoolémie réelle est de 1,3 g/l. On obtient lors de la première mesure 1 g/l, lors de la deuxième 1,3 g/l, et lors de la troisième 1,6 g/l. Il s'agit d'un manque d'exactitude. E. On décide de mesurer plusieurs fois le même prélèvement d'un P2 pour être également sûr des résultats. D après le test gold-standard, on sait que son alcoolémie réelle est de 2,5 g/l. On obtient lors de la première mesure 3,05 g/l, lors de la deuxième 3,10 g/l et lors de la troisième 3 g/l. On parle d'erreur aléatoire. QCM 6 : Soit X la variable aléatoire modélisant la masse totale (en kg) des cours en format papier à la fin d'une année de PACES. X suit une loi normale de moyenne 50 kg et d'écart-type 2 kg. Afin de faciliter les calculs, on approxime 1,96 par 2 : A. La variance est V = 4 kg. B. On peut étudier cette variable avec un test de l'écart réduit. C. Soit Y la variable centrée réduite de X, alors Y suit une loi normale de paramètres (0;1). D. On s attend à ce que 95% des valeurs soient comprises entre 46 et 54 kg. E. On s attend à ce que 95% des valeurs soient inférieures à 54 kg. QCM 7 : Sur un échantillon de 200 femmes de 30 ans, on estime que 41% ont déjà vécu au moins une grossesse. On note X la variable aléatoire déterminant le nombre de femmes ayant vécu au moins une grossesse. Dans cet échantillon : A. La loi de probabilité est une loi de Bernoulli de paramètres B(200 ; 0,41). 228 / 291
229 B. L'espérance de X est de 82. C. Plus le nombre de femmes interrogées est grand, moins l'estimation de la proportion de femmes ayant déjà vécu une grossesse dans la population générale est précise. D. Cette loi converge vers une loi de Poisson de paramètre λ = 82. E. Si 2 variables sont indépendantes, alors leur covariance est égale à 0. QCM 8 : On cherche à étudier le taux d hémoglobine des étudiants en PACES de Toulouse. Pour cela, on choisit de le mesurer sur un échantillon provenant des étudiants en PACES de la faculté de Maraîchers. La moyenne calculée sur les 100 étudiants de Maraîchers présents à la BU Sciences est de 12,3g/dL. L écart type est de 1. A. Les étudiants de Maraîchers présents à la BU Sciences sont la population source. B. On adopte une démarche de déduction C. La variance de l échantillon peut être estimée par s = ( x i 12,3)2 i =1 99 D. L intervalle de pari à 95% encadrant la moyenne du taux d hémoglobine au sein des étudiants en PACES de Toulouse est [12,1 ; 12,5]. E. À propos des estimations ponctuelles, l estimation T d un paramètre θ est dite convergente si la variance de T augmente quand la taille de l échantillon augmente. QCM 9 : Sur tous les étudiants de l Université Paul Sabatier, la probabilité d'être en PACES est de 0,2 et la probabilité d'aimer les maths est de 0,4. On note A l'événement être en PACES, et B l'événement aimer les maths. La probabilité d'aimer les maths sachant qu'on est en PACES est de 0,01 : A. La probabilité de ne pas aimer les maths sachant qu'on est en PACES est de 0,99. B. La probabilité d'aimer les maths et d'être en PACES est de 0,21. C. La probabilité d'être en PACES sachant qu'on aime les maths est 0,005. D. La probabilité d'être dans une autre filière et d'aimer les maths est de 0,398. E. Aimer les maths et être en PACES sont deux événements incompatibles. QCM 10 : Soit un échantillon de 200 personnes. On dispose d'un test diagnostique dit "gold-standard", permettant de déterminer avec certitude si la personne est atteinte d'une pathologie (notée M+) ou non (notée M-). On désire savoir si un nouveau test pour le diagnostic de cette maladie est performant, si ce nouveau test est positif on note T+, s'il est négatif on note T-. M+ M- Total T T Total A. Le signe de Koplik est un signe dit «pathognomonique» pour la maladie de la rougeole. Si ce signe est présent chez un individu, alors cet individu sera forcément atteint de la rougeole. B. La sensibilité est environ égale à 0,78. C. La VPN dans la population est égale à 0, / 291
230 Pour les items D et E, on considère que chez les malades, la valeur mesurée par le test est plus élevée que chez les non-malades : D. Si le seuil de détection augmente, alors la spécificité augmente également. E. Si le seuil de détection augmente la sensibilité augmente également. QCM 11 : Dans le cadre d'une étude sur les habitudes alimentaires d'une population, on demande à 76 familles de 4 personnes leur consommation en pâtes en kg au cours d'un mois. On considère que la quantité de pâtes consommées peut prendre toutes les valeurs possibles. D'après la représentation graphique ci-dessous, indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses : A. La quantité de pâtes consommées est une variable quantitative continue. B. Il s'agit d'un diagramme en bâtons. C. La médiane est comprise dans l'intervalle [9-13] kg. D. Le 1er quartile et la médiane sont compris dans le même intervalle. E. Cette variable peut être discrétisée. QCM 12 : On réalise une étude sur la concentration générale des étudiants en PACES de Maraîchers. On souhaite comparer la moyenne des mémoires des étudiants en PACES un mois après l'instauration d'un traitement à base de vitamines parmi 3 stratégies thérapeutiques différentes. On constitue alors trois échantillons : 24 étudiants en PACES traités avec la stratégie A (Memorex), 66 étudiants en PACES traités selon la stratégie B (Dolimémoire) et 31 selon la stratégie C (Maraichboost). Les variances sont égales dans les deux populations d'étudiants en PACES B et C. De plus la variable "mémoire de l'étudiant en PACES" est une variable quantitative continue et suit une loi normale dans les trois échantillons : A. Pour comparer la mémoire entre le groupe A et le groupe C, nous pouvons utiliser un test Z de l'écart réduit. B. Pour comparer la mémoire entre le groupe B et le groupe C, nous pouvons utiliser un test Z de l'écart réduit. C. Il faudra aussi utiliser un test du χ 2. D. Pour comparer la mémoire entre le groupe B et le groupe C, nous pouvons utiliser un test de Student car les variances de l'échantillon B et l'échantillon C sont égales, et que la variable suit une loi normale. E. Le test de Student est un test non-paramétrique. QCM 13 : On réalise un sondage dans lequel on demande à des passants s'ils utilisent plutôt le terme «pain au chocolat» ou «chocolatine» pour parler de la mythique viennoiserie : Toulouse Foix Paris Totaux Pain au chocolat Chocolatine Totaux / 291
231 Voilà le tableau des effectifs observés : Toulouse Foix Paris Totaux Pain au chocolat Chocolatine Totaux On donne le degré de signification p = 0,001. On cherche à déterminer si ces trois villes utilisent en même proportion ces 2 termes, au risque d'erreur α = 0,05 : A. On ne peut pas utiliser le test de χ 2car un effectif observé est inférieur à 5. B. H0 peut être définie comme l'égalité des moyennes dans les 3 échantillons. C. La statistique de test vaut : 2 χ 0= (4 50) (36 50) (80 50) (96 50) (64 50) (20 50) D. On rejette H0 au risque α de 5%. E. On voit que la différence observée entre Toulouse et Paris est très grande. On décide de rejeter immédiatement H0. QCM 14 : Afin d'étudier l'association entre la formation d'une thrombose (caillot/ thrombus) au niveau des veines des membres inférieurs et le risque de faire une embolie pulmonaire, on inclus dans une étude 100 patients ayant fait une embolie pulmonaire et 100 individus indemnes. On a recueilli, pour tous, les examens d'échographie Doppler, sur 5 ans, de la veine grande saphène présente au niveau du membre inférieur afin de mettre en évidence une thrombose veineuse. Dans cet échantillon 80% des personnes ayant fait une embolie pulmonaire avaient eu auparavant un thrombus tandis que seulement 10% des personnes saines sont suivies pour thrombus de la veine grande saphène. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses : A. Il s'agit d'une étude exposés - non exposés. B. Le recueil de l'information sur la présence de thrombus est rétrospectif. C. L'objectif est descriptif. D. L'avantage de cette étude est qu'elle est précise et non biaisée par rapport à l'exposition. E. L'odds ratio de cette étude est de 36. QCM 15 : Une étude souhaite évaluer l'efficacité d'un nouvel antidiabétique par rapport à un médicament placebo. Pour comparer leurs efficacités respectives, on mesure la glycémie des participants. On suit également en parallèle l'évolution de leurs taux d'hémoglobine glyquée. L'étude est randomisée et contrôlée, et ni les patients ni les médecins ne savent quel traitement est attribué à chacun des participants : A. Il s'agit d'une étude d'observation de cohortes à visée analytique. B. La randomisation permet de réduire le biais lié à la subjectivité du malade. C. L'étude est dite «ouverte». D. Le taux d'hémoglobine glyquée est un critère intermédiaire de l'étude. 231 / 291
232 E. Dans ce type d'essai, on interprète les résultats en terme de causalité. Sujet Type 2 (15 QCM 1h) QCM 1 : On mesure la PSA (pression sanguine artérielle) chez 30 individus. On réalise deux prélèvements pour chaque personne au cours de la journé, et 1 mesure par prélèvement. On obtient finalement 60 valeurs différentes. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Entre les différentes valeurs observés, il existe une variabilité intra-individuelle. B. Un patient n aura pas la même mesure lors de la seconde prise de la PSA du fait de la variabilité inter-individuelle. C. Un patient n aura pas la même mesure lors de seconde prise de PSA du fait de la variabilité analytique instrumentale. D. Si on avait répété la mesure plus de fois, on aurait pu éliminer la variabilité instrumentale. E. La variabilité instrumentale s explique par les fluctuations biologiques qui se déroulent au cours de la journée chez un individu. 5 QCM 2 : Soit la fonction g ( x, y)=sin( x) 4y + 2xy. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. La fonction g(x, y)est définie sur lr2. B. dg =cos( x)+ 2y dx C. dg =20y 4+ 2x dy D. g( π, 2)=40 4 π 4 E. La différentielle de la fonction g est : dg ( x, y)=[cos( x)+ 2y ]. dx+ [ 20y + 2x]. dy QCM 3 : Soient les fonctions f (x)= 1 ; g( x )=x 3+ 4 x et h(x )=f o g. Indiquer si les prox positions suivantes sont vraies ou fausses. 3 x 2+ 4 A. h ' ( x)= 6 x + 8 x x 4 B. La fonction h est impaire. C. L ensemble de définition de h est IR+*. D. La fonction h admet une asymptote verticale en 0, d équation x=0. E. La fonction h admet une asymptote horizontale en d équation y=0. x QCM 4: Soit la fonction f définie par f ( x, y )=4ye. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. La première dérivée partielle est df =4ye x dx B. La deuxième dérivée partielle est df =4 e x dy x C. L incertitude absolue de la fonction est ( f )max 4ye + 4 e x 232 / 291
233 D. La variation relative de la fonction est f y x+ f y E. La variation relative de la fonction est f 4ye 4e. x+. y x x f 4ye 4ye x x QCM 5 : A propos de la figure ci-dessous, indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Le point A correspond à la moyenne observée sur l échantillon. B. Le point B correspond à Q3. C. C correspond a une valeur extrême de l échantillon. D. Il est nécessaire de prendre la valeur C en compte lors d'un calcul de moyenne. E. La médiane est plus sensible que la moyenne aux valeurs extrêmes. QCM 6 : Lors d une étude menée en Haute-Garonne sur un échantillon représentatif de la population, on obtient les données suivantes sur l âge des pères à leur premier enfant : Effectif Pourcentage Hommes de moins de 15 ans 5 0,5% Hommes de 15 à 24 ans ,0% Hommes de 25 à 34 ans ,5% Hommes de 35 à 44 ans ,3% Hommes de 45 à 54 ans 80 8,0% Hommes de plus de 55 ans 28 2,7% Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. L âge est une variable quantitative. B. La médiane de l échantillon se situe dans l intervalle 35 à 44 ans. C. La classe modale se situe dans le même intervalle que la médiane. D. La moyenne ne peut pas être estimée à partir des données fournies dans le tableau. E. Pour représenter un histogramme de fréquences on peut prendre les données de la colonne des pourcentages en ordonnées, et l âge en abscisses. 233 / 291
234 QCM 7 : On souhaite évaluer la performance d un nouveau test biologique quantitatif noté A pour effectuer le diagnostic d une maladie M. Pour cela, on réalise une étude incluant 100 individus atteint de la maladie M et 100 individus indemnes de la maladie, le diagnostic final de cette maladie sur les 200 individus ayant été posé sans incertitude avec une méthode de référence. Les résultats montrent que le nouveau test A a une sensibilité de 85% et une spécificité de 45%. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Le nombre de vrais positifs est de 85. B. Le pourcentage de faux négatifs est de 15%. C. 60 individus ont un résultat négatif au nouveau test biologique A. On souhaite maintenant construire une courbe ROC avec ces données. D. Les valeurs de sensibilité et de spécificité sont définies selon un seuil choisi, et permettront de construire une courbe ROC. E. Si on fait varier le seuil de décision permettant de considérer le test comme positif, cela va modifier l aire sous la courbe ROC. QCM 8 : Dans la population des étudiants en PACES, la probabilité de la maladie M est 0,3. Pour dépister cette maladie on utilise un test T. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Vis-à-vis de ce test T, on peut dire que la probabilité a priori de la maladie est égale à 0,3. B. Si après un test T positif, la probabilité a posteriori de la maladie est 0,8, le test T présente un intérêt diagnostique pour la maladie M. C. Si après un test T positif, la probabilité a posteriori de la maladie est de 0,3, le test T présente un intérêt diagnostique pour la maladie M. En pratique clinique, certains signes sont pathognomoniques de la maladie M : ils s observent uniquement dans le cas de cette maladie M. D. Lorsqu on évalue un signe pathognomonique, le nombre de faux négatifs est égal à 0. E. La valeur prédictive positive pour ce signe est égale à 1. QCM 9 : La probabilité que la France gagne en quart de finale est de 0,6. De plus on sait que la probabilité qu elle gagne un match sachant qu elle a gagné le précédent est de 0,3. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. La probabilité que la France perde en quart de finale est de ⅖. B. La probabilité que la France gagne la demi-finale est de 0,9. C. La probabilité que la France arrive en finale est de 0,18. D. La probabilité que la France perde en demi-finale est de 0,1. E. On ne peut pas savoir la probabilité que la France gagne la Coupe du Monde. QCM 10 : La prévalence d une maladie infectieuse M chez les habitants français est de 18%. On cherche à savoir combien d habitants de Toulouse seront touchés par cette maladie afin de prévoir les infrastructures nécessaires. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. 18% est aussi la prévalence chez les toulousains car les toulousains sont français. B. On va calculer un intervalle de confiance pour estimer la prévalence de la maladie M à Toulouse. C. Si on choisit un risque α de 1% plutôt que de 5%, on réduit l amplitude de l intervalle. D. Si l intervalle à 5% est de [15;22], on peut dire qu il y a 95% de chances que la prévalence de la population toulousaine pour la maladie M soit comprise entre 15% et 22%. E. Cette démarche de raisonnement s appelle de la déduction. 234 / 291
235 QCM 11 : Récemment, une nouvelle protéine a été découverte : la mathématine. Il semblerait qu elle améliore les performances des élèves de PACES à l épreuve de mathématiques du premier semestre. Pour le vérifier, on compare les taux de mathématine d élèves ayant eu des résultats supérieurs à 10/20 (groupe 1) à l épreuve de mathématiques, à ceux d élèves ayant eux des résultats inférieurs à 10/20 (groupe 2). Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. L hypothèse nulle peut être formulée de la manière suivante : «le taux moyen de mathématine est supérieur chez les élèves du groupe 1 par rapport à ceux du groupe 2». B. Un test statistique nous permettra de conclure au rejet ou non de l hypothèse d égalité des taux moyens de mathématine observés sur les deux échantillons étudiés. C. Il n est pas nécessaire de déterminer le caractère unilatéral ou bilatéral de l hypothèse alternative avant de faire le test statistique. Après avoir utilisé un test adapté et choisi un risque α de 0,05, la valeur de p est d environ 0,001. D. Le résultat est significatif et donc on ne rejette pas l hypothèse nulle. E. Le résultat est significatif et on en conclut que l hypothèse nulle est fausse. QCM 12 : On réalise une étude sur des personnes possédant un diabète de type II. On souhaite comparer la glycémie des patients après 1 an d un traitement parmi deux stratégies possibles. On constitue pour cela 2 échantillons : - Échantillon 1 : 30 patients traités par la stratégie A - Échantillon 2 : 50 patients traités par la stratégie B La glycémie est une variable quantitative continue qui suit une loi normale dans les deux échantillons. On considère que les variances sont égales dans les populations dont sont issues les deux échantillons. L objectif principal de l étude est de savoir si les glycémies sont égales dans les populations dont sont issus ces échantillons. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Pour comparer la glycémie entre les deux échantillons, on pourra utiliser le test Z de l écart réduit. B. Pour comparer la glycémie entre les deux échantillons, on pourra utiliser le test de Student. C. Si on rejette H0, on peut conclure que les deux stratégies sont inefficaces. D. Le choix de l hypothèse alternative a des conséquences sur le risque d erreur de première espèce. E. Il faut utiliser un test de comparaison de moyennes pour des échantillons indépendants. QCM 13 : Dans un échantillon de 100 personnes, représentatif de la population d Occitanie, on mesure le taux d alcool dans le sang. On trouve un résultat de m = 0,01 g/l en moyenne. Dans un autre échantillon de 101 personnes, représentatif de la population de Bretagne, on mesure le taux d alcool dans le sang. On trouve un résultat de m = 0,09 g/l en moyenne. On se demande alors si la valeur issue de l échantillon de 100 personnes représentatif de la population d Occitanie, diffère, au risque 5%, de la valeur issue de l échantillon de 101 personnes représentatif de la population de Bretagne. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Bien que n1 et n2 soient tous deux supérieurs ou égaux à 30, on ne peut pas comparer les deux moyennes car n1 n est pas égal à n2. B. Comme n1 30 et n2 30, on peut utiliser le test de l écart réduit. On peut également utiliser un test de Student à 199 degrés de liberté à condition que σ1 = σ2, mais sans condition de normalité. C. L hypothèse nulle H0 est «Il n y a pas de différence significative entre le taux d alcool dans le sang des populations d Occitanie et de Bretagne». D. Sachant que la statistique de test t0 = 1,04, on peut conclure que l on n observe pas de différence statistiquement significative. 235 / 291
236 Par ailleurs, la littérature nous indique que le taux d alcool moyen dans le sang pour la population d Occitanie est de 0,02 g/l. On se demande alors si la valeur issue de l échantillon de 100 personnes représentatif de la population d Occitanie, diffère, au risque 5%, de la valeur de référence de la population d Occitanie. E. Il s agit d une comparaison de deux moyennes observées dans 2 échantillons appariés, puisque l échantillon de l enquête est inclus dans la population totale d Occitanie. QCM 14 : Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. Une étude a étudié l association entre l exposition maternelle au bisphénol A (BPA) et la survenue d accouchement prématuré femmes ayant accouché prématurément et ayant accouché à terme ont été incluses dans l étude. Un interrogatoire de la mère a permis d identifier 300 cas d exposition dans le groupe d accouchements prématurés et 400 dans le groupe d accouchements à terme. A. Le schéma d étude correspond à un essai randomisé. B. Dans cette étude, on peut calculer l incidence de l exposition au BPA. C. L odds ratio est égal à 0,75. D. Le risque relatif est égal à 7/34. E. Ce schéma d étude est adapté à l étude des maladies rares. QCM 15 : A propos des essais cliniques médicamenteux, indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. On peut évaluer la tolérance d un médicament lors d un essai clinique. B. La randomisation assure la comparabilité initiale des groupes sur tout caractère, connu ou non, en-dehors du traitement de l étude. C. Un groupe de comparaison sous placebo est nécessaire pour affirmer une évolution observée suite à un traitement de l étude. D. Le fait que tous les sujets inclus dans l essai puissent recevoir le traitement A ou le traitement B correspond à un appariement. E. La différence d efficacité observée entre les deux groupes peut être attribuée au traitement de l étude. Sujet Type 3 (15 QCM 1h) : QCM 1 : Soit la fonction f définie par f (x)=ln x 1. Indiquer si les propositions 3 x2 ( ) suivantes sont vraies ou fausses. A. f(x) peut aussi être écrite sous la forme : f (x)=ln(x 1) 3 ln( x 2) B. Df = ] 0 ; + [ ) x 1 x f (x) D. La fonction h(x )= possède le même domaine de définition que f ln (3 x ) E. lim f ( x) = C. f ' ( x) = ( x 0 + QCM 2 : Soit la fonction Q permettant d'accéder à un indice de qualité de sommeil chez l'étudiant en PACES. Cette fonction dépend de trois variables : - la variable s représentant la pratique sportive - la variable p représentant la durée passée à travailler la physique après 22h - et la variable d correspondant à un coefficient représentatif de l'état général de détente de l'étudiant. 236 / 291
237 Tous les paramètres sont strictements positifs. La fonction Q est de la forme suivante : Q(s,p,d) = s 3 e6 d 92 p Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. Q 3 s2 e6 d = s 92 p Q s 3 e6 d B. = p 92 p 2 A. C. Sachant que les paramètres s et d sont connus sans imprécision, toutes choses égales par ailleurs, une augmentation de l'incertitude sur p entraîne une diminution de l'incertitude absolue sur Q. D. Toutes choses étant égales par ailleurs, sachant que les paramètres d et p sont connus sans imprécision, la variation absolue sur Q ne dépend pas de p. E. Dans l'hypothèse où toutes les dérivées partielles de la fonction Q s'annulent en un point (s'; p'; d'), on peut parler d'extremum local pour ce point M. QCM 3 : Soit la fonction g définie par g ( x)= cos(2x) Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. La dérivée de g(x) est g ' ( x)= 3 + cos(2x) 2.sin (2x) B. La courbe représentative de la fonction g est symétrique par rapport à l axe des ordonnées 5 x C. Soit la fonction f définie par f (x)=. On a : f o g=20 cos (2 x ) D. La fonction f o g est croissante sur ]0 ; π/2[ E. La fonction g peut s écrire aussi g( x )= co s 2 (x)+ si n2 ( x) 3+ cos(2 x) QCM 4 :Au sein de la population, la prévalence de l infarctus du myocarde est de 4%. La variable aléatoire X représente le nombre de personnes ayant eu un infarctus du myocarde dans un échantillon de taille n, représentatif de la population et dont la prévalence d infarctus du myocarde est également de 4%. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. X suit une loi de Bernoulli. B. L espérance de X dépend de la taille de l échantillon mais pas la variance. C. Pour n = 200, la variable aléatoire X suit une loi binomiale d espérance 8 et de variance 7,68. D. Pour n = 100, l espérance devient approximativement égale à la variance. E. En tant que variable discrète, il est préférable d étudier la distribution de X par un histogramme. QCM 5 : Dans des conditions standards d examen, on dose 5 fois la glycémie chez 100 sujets différents. On obtient 500 valeurs de glycémie différentes. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. La variabilité intra-individuelle participe à la dispersion des valeurs observées. B. La variabilité inter-individuelle participe à la dispersion des valeurs observées. C. L erreur de mesure (variabilité analytique) participe à la dispersion des valeurs observées. D. La variabilité intra-individuelle et la variabilité inter-individuelle participent à la dispersion des valeurs observées, mais pas l erreur de mesure puisque chaque sujet a été prélevé 5 fois. 237 / 291
238 E. L erreur de mesure participe à la dispersion des valeurs observées mais pas la variabilité intra-individuelle. QCM 6 : Une pharmacienne aimerait connaître le nombre moyen de boîtes de paracétamol vendues par jour en France. Pour cela elle compte le nombre de boîtes de paracétamol achetées dans sa pharmacie pendant 100 jours, la moyenne journalière est m = 11,7 et la variance s²p]dctp est présent dans le milieu de culture. = 9. On considère que la clientèle de sa pharmacie est représentative de toutes celles de France. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. On arrondira 1,96 à 2. A. Le calcul de l intervalle de pari est une démarche inductive. B. L intervalle de confiance à 95 % est de [11,5 ; 11,9] C. L intervalle de confiance à 95 % est de [11,1 ; 12,3] D. On ne peut pas calculer l intervalle de confiance car on ne sait pas si la distribution suit une loi normale. E. Il y a 95% de chance que la vraie moyenne de boîtes de paracétamol vendues en France dans une pharmacie soit comprise dans l intervalle de confiance calculé QCM 7 : La probabilité d être fumeur dans une population est de 0,2. Une étude montre que 70% des fumeurs consomment régulièrement de l alcool (plus de 3 verres par semaine) alors que seulement 10% des non fumeurs sont des consommateurs réguliers d alcool. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. La probabilité d être fumeur et de consommer régulièrement de l alcool est égale à 0,14. B. La probabilité de consommer régulièrement de l alcool dans cette population est égale à 0,7 + 0,1 = 0,8 C. La probabilité d être fumeur et de ne pas consommer régulièrement de l alcool est égale à 0,2 x 0,3 D. Dans l ensemble de la population, la probabilité d être dans le groupe fumeur sachant que l on ne consomme pas régulièrement de l alcool est égale au rapport (0,2 x 0,3)/(1 0,22) E. La probabilité d être un non fumeur et de ne pas consommer régulièrement de l alcool est égale à 0,9 QCM 8 : Dans une étude, les chercheurs ont évalué les performances de l IRM pour le diagnostic d une rupture complète des ligaments croisés du genoux dans une population P de 1300 patients. Parmi les 1300 patients, 400 avaient une rupture totale des ligaments avérée et un test IRM positif. Le nombre de faux positifs est de 500 et celui de vrais négatifs est de 250. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Le nombre de faux négatifs est égal à 150 B. La sensibilité de ce test est égale à environ 33% C. La spécificité de ce test est égale à environ 73% D. La valeur prédictive positive de ce test est inférieure à 50% dans la population P E. La valeur prédictive négative de ce test est égale à 0,625 dans la population P 238 / 291
239 QCM 9 : On relève les notes (sur 20) d une promotion d infirmiers sur deux années consécutives. On réalise la représentation graphique ci-dessous. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Le 25ème percentile de l année 2018 est moins élevé que la médiane de l année B. La distribution des notes en 2018 semble symétrique. C. En 2018 la distribution semble gaussienne. D. Le pourcentage de filles dans cette promotion pourrait être représentée par un diagramme en camembert. E. L écart interquartile en 2018 est supérieur à l étendue en QCM 10 : Un manchot empereur qui se sent seul est certain que sa femme manchot, qui est partie chasser, reviendra dans 10 jours, en considérant que cette durée est la moyenne pour les manchots empereurs. Étant d une intelligence rare, il décide de tirer au sort 100 manchots femelles pour voir le temps qu il faut pour qu elles soient de retour. Il trouve que, sur cet échantillon, il faut en moyenne 12 jours pour qu elles reviennent, avec un écart type de 1 jour. Il réalise un test statistique pour estimer si la différence par rapport à la valeur vraie est dû à un hasard d'échantillonnage au risque de première espèce de 5%. Indiquer si les propositions sont vraies ou fausses. Données: p = 0,03 A. L hypothèse nulle est que la moyenne observée sur l échantillon peut être considérée comme égale à la moyenne théorique du temps nécessaire pour que les manchots femelles reviennent. B. La statistique de test est égale à 20 en valeur absolue. C. On conclut que le test est statistiquement significatif. D. Le test utilisé pour répondre à la question est un test de l écart réduit. E. On rejette H0 car p < ɑ. QCM 11 : On a un échantillon de 100 étudiants toulousains. On trouve un nombre moyen m d étudiants étrangers égal à 13 dans cet échantillon. On se demande alors si la différence avec la moyenne théorique nationale µ = 16 (pour 100 élèves) est significative au risque α = 0, / 291
240 Sachant que la valeur seuil au risque α est supérieure à la valeur observée de la statistique de test, indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. - L hypothèse nulle est H0 : m = On accepte l hypothèse nulle H0 avec un risque alpha de le faire à tort. - Le risque d erreur de 1ère espèce β consiste en ne pas rejeter H0 si H1 est vraie. - Le degré de signification est inférieur à α. - Si l hypothèse nulle est vraie, la différence observée entre ces deux moyennes peut être expliquée par les fluctuations d échantillonnage. QCM 12 : Un médecin veut évaluer les effets de la caféine sur les performances intellectuelles des PACES. Pour cela il tire au sort un échantillon représentatif de 36 PACES qui boivent du café et un échantillon représentatif de 19 PACES qui n en boivent pas. On donne les résultats suivants pour les notes moyennes obtenues au concours. On admet que les notes sont distribuées selon une loi normale et de même variance dans les deux populations dont sont issus les échantillons. La statistique du test est 15,34 et la valeur seuil au risque 5% vaut 16,3. PACES qui boivent du café PACES qui ne boivent pas de café Moyenne 15,9 16,2 Variance 10 9,8 Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. On considère que l on ne peut pas utiliser un test de Student car les variances ne sont pas égales. B. La statistique du test se calcule avec une différence d effectifs au numérateur. C. On va utiliser un test de comparaison de deux moyennes pour échantillons indépendants D. Le nombre de degrés de liberté vaut 54. E. On rejette l'hypothèse nulle. QCM 13 : On réalise une étude épidémiologique portant sur l effet d un nouveau désinfectant oculaire chez des porteurs quotidiens de lentilles de contact. Son objectif étant de constater s il existe une différence d incidence des conjonctivites chez les utilisateurs du nouveau désinfectant et ceux qui utilisent le désinfectant de référence habituellement proposé par les ophtalmologues. L étude dure 4 mois et est très coûteuse. A la fin de l étude, on constate qu il y a eu 7 conjonctivites chez les utilisateurs du nouveau désinfectant, et 15 chez les utilisateurs du désinfectant de référence. Le critère de jugement est la survenue d une conjonctivite pendant la période d étude. Pour l hypothèse nulle H0, on obtient une p-value supérieure à 0,05. Indiquez si les réponses suivantes sont vraies ou fausses : A. Le schéma suivi est celui d une étude cas-témoin. B. S il s agissait d un essai clinique en intention de traiter (ITT) les patients n utilisant pas le désinfectant alors qu ils appartiennent au groupe qui devait le faire seraient exclus de l étude. C. Le fait d être indemne de la conjonctivite au départ de l étude est un critère d inclusion. D. La p-value étant supérieure à 0,05, on peut conclure à une efficacité égale des deux désinfectants. E. Il s agit d une étude prospective ayant un niveau de preuve supérieur aux études castémoin. QCM 14 : A propos des études cliniques, indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Les études de cohortes sont les études avec le plus fort niveau de preuve. 240 / 291
241 B. La mesure du taux de cholestérol chez un sujet réalisée tous les 6 mois peut être qualifiée de donnée longitudinale. C. Un risque relatif ou un rapport de côtes inférieur à 1 signifie que l exposition est un facteur de risque de l évènement étudié. D. Si on estime que le facteur d exposition est «être fumeur» et l évènement «développer un cancer du poumon» alors un risque relatif ayant pour valeur 50 s interprète comme «il y a 50 fois plus de chances de développer cancer du poumon chez les fumeurs que chez les non fumeurs». E. Le tirage au sort est un bon moyen pour diminuer le biais de sélection. QCM 15 : Pour minimiser l épidémie de grippe à venir, le ministère de la santé lance une étude épidémiologique pour savoir ce qui semble contaminer le plus entre faire la bise ou serrer la main, et conseiller la population en fonction des résultats. Les chargés de l étude constituent deux groupes avec chacun sujets. Le groupe G+ a eu la grippe l année précédente, le groupe G- ne l a pas eue. On demande aux sujets de ces deux groupes quelle est le geste qu ils réalisent le plus, la bise ou le serrage de main. Dans le groupe G+, 7500 préfèrent serrer la main, tandis que dans le groupe G-, 8000 préfèrent faire la bise. Le ministère de la santé pense que le facteur d exposition est le serrage de main et on considère que si les sujets ne font pas la bise, ils serrent la main. L intervalle de confiance de la mesure d association adaptée à l étude est [α7,5 ; 13]. Indiquez si les réponses suivantes sont vraies ou fausses : A. Ce type d étude permet de calculer une incidence. B. Si le ministère de la santé souhaite des résultats rapides, il demandera aux chargés d études de faire une étude exposés/non-exposés. C. La mesure d association adaptée à cette étude a pour valeur 12. D. On est dans le cadre d une étude analytique, donc on peut calculer un odds-ratio. E. Compte-tenu de l intervalle de confiance donné, la valeur de la mesure d association adaptée à l étude permet de conclure au risque α près, à une association significative entre le fait de serrer la main et d attraper la grippe. QCM En Vrac ( 38 QCM ) : I. Variabilité en médecine QCM 1 : Variabilités, quelles affirmations sont vraies? A. Une mesure peut être faite sans aucune erreur. B. La variabilité intra-individuelle est le reflet des fluctuations d échantillonnage. C. Si les conditions d une mesure sont standardisées alors il n y a pas de variabilité pré instrumentale. D. L appareil de mesure est la cause d une variabilité analytique pré-instrumentale. E. Chaque mesure est dépendante uniquement d un seul type de variabilités. QCM 2 : On mesure maintenant la glycémie d une personne sur un unique prélèvement sanguin. Le prélèvement a été réparti dans 30 tubes, 15 tubes sont analysés avec la machine A et 15 autres par la machine B. On constate que les valeurs observées sont plus dispersées avec la machine A qu avec la machine B. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. La machine A manque certainement de précision. B. Il est possible que les mesures des machines A et B soient biaisées toutes les deux. C. Il est possible que les mesures des machines A et B puissent manquer d exactitude. D. Le manque de précision lié à l erreur de mesure instrumentale est plus important avec la machine A qu avec la machine B. E. L erreur de mesure pré-instrumentale est plus importante avec la machine A qu avec la machine B. 241 / 291
242 QCM 3 : Un laboratoire mesure 40 fois la glycémie dans le même tube provenant du même prélèvement chez un seul malade avec une nouvelle technique de mesure. On sait que la glycémie de ce patient est égale à 2g/L. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Si toutes les mesures sont comprises entre 2,41 et 2,42 g/l, on peut dire que la mesure est imprécise mais pas biaisée. B. La nouvelle mesure ne peut pas être à la fois biaisée et imprécise. C. Une grande dispersion des valeurs autour de 2g/L caractérise l imprécision de la mesure. D. Si toutes les mesures sont comprises entre 2g/L et 2,01g/L, la mesure est précise et non biaisée. E. Quand une mesure est biaisée, on dit qu elle manque d exactitude. QCM 4 : On mesure 20 fois la pression artérielle (PA) chez un même patient, dans des conditions standardisées identiques, à différents moments de la journée. On obtient 20 valeurs différentes de PA. Quelles composantes de la variabilité participent à expliquer cette dispersion. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. La variabilité inter-individuelle est la seule responsable de la dispersion des valeurs observées. B. La variabilité intra-individuelle est la seule responsable de la dispersion des valeurs observées. C. La variabilité analytique est la seule responsable de la dispersion des valeurs observées. D. La variabilité intra-individuelle et l erreur de mesure expliquent en partie la variabilité totale des 20 valeurs observées, mais pas la variabilité inter-individuelle. E. La variabilité inter-individuelle, intra-individuelle et l erreur de mesure contribuent à la dispersion des valeurs observées. QCM 5 : Les recommandations de bonnes pratiques recommandent d effectuer plusieurs mesures de la pression artérielle (PA) chez un patient avant de prescrire tout traitement. Indiquez si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Cette recommandation est justifiée car la PA varie d un jour à l autre chez une personne, c est ce qu on appelle la variabilité inter-individuelle. B. Cette recommandation est justifiée car il n est pas aisé de mesurer la PA, ce qui entraîne des risques d erreur de mesure instrumentale. C. Cette recommandation est inutile car une seule mesure de la PA permet d éliminer les variabilités instrumentales et pré-instrumentales. D. Cette recommandation est justifiée et a pour but de réduire la variabilité intra-individuelle. E. Les nouveaux appareils étant exacts et précis, on n observe plus de variabilité. II. Analyse QCM 6 : La fonction V déterminant le volume d'une pyramide à base carrée, de côté c et de hauteur h, est définie par V (c, h)= c h (avec c > 0 et h > 0). A. V 2 = c h c 3 B. V 1 = h / 291
243 C. On peut calculer les variations relatives approchées en utilisant la formule de la dérivée logarithmique, soit dln(f) = df/f. D. V c h = + V c h E. La valeur de c étant supposée connue sans imprécision, l'incertitude relative sur V est égale à l incertitude relative sur h. QCM 7 : A propos des fonctions usuelles A. Toute fonction polynôme admet une propriété de symétrie. B. Le monôme -4x7 présente une symétrie par rapport à l'axe des abscisses. C. La fonction f(x) = 5x4 est paire, décroissante sur ]- ;0] et croissante sur [0;+ [. D. La fonction tan(x), définie par le quotient cos(x)/sin(x), est impaire et π périodique. E. Pour pouvoir parler de la parité d'une fonction, la symétrie de son domaine de définition par rapport à 0 est une condition nécessaire. QCM 8 : À propos des fonctions usuelles A. La fonction tan(x), définie sur Df = R - {π/2 + kπ}, avec k appartenant à Z, est stricπ/2 + kπ}, avec k appartenant à Z, est strictement croissante sur l'ensemble de son domaine de définition. B. La somme de deux fonctions continues monotones de même ensemble de définition variant dans le même sens est une fonction monotone qui varie elle aussi dans ce sens. C. Le produit de deux fonctions monotones variant dans le même sens est une fonction monotone qui varie elle aussi dans ce sens. D. Soient les fonctions f et g, de même domaine de définition. La fonction f étant croissante et la fonction g étant décroissante, la composée fog est décroissante. E. Les fonctions exp(x) et ln(x) sont toutes les deux strictement croissantes sur R. QCM 9 : À propos du développement limité (DL) d'une fonction A. Le DL d'une fonction f au voisinage d'un point x0 correspond à une approximation polynomiale de cette fonction en x0. B. Le DL d'ordre 1 d'une fonction g s'écrit sous la forme: g(x0 + h) = g(x0) + g '(x0)*h. C. Les fonctions inverse, racine carrée et logarithme n'admettent pas de DL d'ordre 1 en 0. D. Le DL d'ordre 1 en 0 de la fonction f(x) = exp(-3x 2) est f(0 + h) = 1 + h + o(h). E. Le DL d'ordre 1 en 9 de la fonction f(x) = ln(3 + x 2) - x est f(9 + h) = ln(84) 3 + (3/14 1/6)*h + o(h). QCM 10 : Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Soit la fonction f définie par f ( x )= 3x+ 12. L ensemble de définition de f est Df = ]4 ; + [ B. La fonction f est croissante sur Df. C. ln(16)=2ln(4) D. Soient les fonctions g et h définies par g( x )=e 8 x et h(x )=ln(5 x+3). On peut dire que g o h=e 8 ln(5 x+3 ) E. La fonction racine carrée est dérivable pour tout x Є 𝒟, sachant que 𝒟 est le do, sachant que 𝒟, sachant que 𝒟 est le do est le do maine de définition de la fonction racine carrée. 243 / 291
244 QCM 11 : Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses : 2 A. Le domaine de définition de la fonction f définie par f ( x )= 8x + 3 x+ 1 ln ( x) est IR *+ ln ( x) ln ( A) B. LogA(x)= C. ln (x p )=l n p (x ) D. exp(px) = p.exp(x) E. Si f(x) est dérivable sur l intervalle I, alors pour tout x appartement à un intervalle K compris dans I, on a : si f (x) 0, alors f est strictement croissante sur K QCM 12 : À propos des limites, indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses : 2 A. lim ( x ln ( x ))=0 x 0 + B. lim x + ( [ 3 3 x + 5x = x + 8x 2 ) C. lim ln ( x +230) x + 1 =+ x2 ] 3 x+ 2 x + 8ln ( x) D. lim 3 E. lim [ x exp( x) ]=+ x + QCM 13 : Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses : A. La fonction tan(x) = cos( x ) est une fonction paire et périodique de périodicité π sin(x ) B. La fonction ln(x) est la fonction réciproque de la fonction exponentielle, elle est donc définie sur IR C. La fonction racine est négligeable en + devant tout polynôme de degré 1 D. La limite d un polynôme en + est équivalente à son monôme de plus haut degré E. La fonction inverse est strictement décroissante sur IR* 244 / 291
245 III. Statistiques descriptives QCM 14 : Le tableau ci-dessous rapporte la réussite au concours PACES en fonction du temps de travail (en heure) par jour sur un échantillon de 450 P2. Temps de travail par jour (en heures) % de réussite [α0 ; 2[α 2% [α2 ; 4[α 3% [α4 ; 6[α 30% [α6 ; 8[α 25% [α8 ; 10[α 28% [α10 ; 12[α 8% 12 4% Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Le temps est une variable quantitative continue B. Dans la population la classe modale est [4;6[ C. La médiane est comprise dans l intervalle [6;8[ D. A partir de ces données, on peut estimer le temps moyen de travail par jour dans l échantillon. E. Si l échantillon augmente, le polygone des fréquences tend vers la fonction de répartition de la loi de probabilité QCM 15 : A propos des statistiques descriptives A. La variance est la moyenne arithmétique des carrés des écarts à la moyenne B. La formule de l écart type est la suivante : σ = var(x) Pour la suite de l exercice, V(x) = 16 et X = 2 C. Le coefficient de variation vaut 5/2 D. Le coefficient de variation permet de comparer des séries d unités différentes E. Le polygone des fréquences tend vers la densité de la loi de probabilité QCM 16 : A. Une variable a 2 valeurs : oui et non. Elle est dite dichotomique. B. Le nombre de dents est une variable quantitative continue. C. On peut transformer une variable ordinale en variable quantitative. D. La moyenne se prête facilement aux calculs et tests tout en étant peu influencée par les valeurs anormalement élevées ou basses. E. Sur un histogramme, X est telle que les valeurs précédents X représentent la moitié de l histogramme. QCM 17 : Un centre de recherche épidémiologique mesure le diamètre moyen des tumeurs mammaires sur un échantillon de 100 patientes représentatives de la population source. Soit X la variable aléatoire représentant le diamètre des tumeurs mammaires. On sait que : (A) E(X) = 4 cm (B) σ = 3 cm 245 / 291
246 Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Var(X) = 9 c m 2 B. Le centre se rend compte que l appareil de mesure a surestimé la mesure des tumeurs de 4 cm de manière systématique. On peut affirmer que var(x) = 5 c m2 C. La taille de la tumeur est l unité statistique. D. La valeur du diamètre moyen des tumeurs est sensible aux valeurs extrêmes de l échantillon de patientes. E. Un diagramme en bâtons est la représentations graphique la plus pertinente pour décrire la distribution de la variable X. IV. Variables aléatoires, lois de probabilité discrètes et continues QCM 18 : Un hôpital s intéresse au nombre de passages infirmiers en chambre par patient par jour. On note X la variable aléatoire représentant le nombre de passages infirmiers par patient en une journée. X=k P(X=k) 0,05 0,07 0,33 0,25 0,2 0,1 Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. La probabilité qu un patient ait au moins une visite est de 1. B. Soit F la fonction de répartition de la variable aléatoire X, alors F(2) = 0,07 C. P(X > 5) = 0,3 D. P( X 2 X 4) ou la probabilité que X soit supérieur à 1 sachant que X est inférieur à 4, est égal au rapport 0,65/0,7 E. L espérance E(X) vaut 4,78 Énoncé QCM 19 et 20 : Dans une population A, on étudie l IMC des adultes. Dans les calculs, on approximera la valeur 1,96 par 2. QCM 19 : Soit X la variable aléatoire représentant la taille. X est normalement distribuées et a pour moyenne 168 cm et écart type 10. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. X est une variable aléatoire continue. B. On s attend à ce que 50% de la population mesure plus de 168cm C. On s attend à ce que 5% de la population mesure moins de 148 cm D. On s attend à ce que 32% de la population mesure plus de 178 cm E. On s attend à ce qu environ 32% de la population mesure moins de 158 cm ou plus de 178 cm. QCM 20 : On s intéresse au poids dans un échantillon de 200 personnes représentatif de la population B. Dans cet échantillon, la variable Y représentant le poids est normalement distribuée et a pour moyenne 70 kg et écart type 8. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Le nombre moyen de personnes pesant moins de 70 kg est de 100. B. Le nombre moyen de personnes pesant moins de 62 kg est de 16. C. Le nombre moyen de personnes pesant entre 54 et 86 kg est de 190. D. Le nombre moyen de personnes pesant plus de 80 kg est inférieur à 32. E. Le mode, la médiane et la moyenne de Y sont égaux. QCM 21 : Soient A, B, C, des événements indépendants. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Les événements A, B, C étant indépendants, ils sont forcément incompatibles aussi. B. P(A B) = / 291
247 C. P(A B) = P(A) + P(B) - P(A)x P(B) D. Si P(A) + P(B) = 1, alors A et B sont exclusifs E. P(Ā) = 1 - P(A) V. Échantillonnage, estimation ponctuelle et par intervalle QCM 22 : On veut estimer la glycémie chez des patients exposés à deux types de traitements : un nouveau traitement N et un traitement de référence R. Pour cela on recueille les valeurs de glycémie dans deux groupes représentatifs de patients : un groupe de taille n N=100 patients traités avec N et un groupe de taille nr=150 patients traités avec R. Dans le groupe R, l intervalle de confiance à 95 % encadrant l estimation mrde la moyenne de la glycémie µrest [α0,8;1,0]. Dans le groupe N la moyenne de la glycémie est mn= 0,9 et la variance est s²p]dctp est présent dans le milieu de culture.r= 0,02. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. On peut dire qu il est certain que le moyenne vraie µ R de la glycémie dans la population source des patients traités par R est comprise entre 0,8 et 1,0. B. L intervalle de confiance à 95 % encadrant l estimation de la moyenne de la glycémie chez les patients traités par N est [0,9 1,96 0,02 0,02 ; 0,9+1,96 ] C. Les effectifs des deux groupes sont suffisants pour utiliser le principe du théorème central limite lors du calcul des intervalles de confiance à 95 % D. Le calcul de l intervalle de pari est une démarche déductive. E. On ne peut pas calculer l intervalle de confiance à 95 % pour le groupe de patients N car on ne sait pas si la distribution de la glycémie est normale. QCM 23 : Un médecin souhaite souhaite déterminer la proportion de personnes ayant la grippe sur une année. Il arrive à calculer le nombre de patients atteints de la grippe et les compile dans une base de données. Il obtient un proportion de 0,5. Il tire alors au sort 100 patients de cette base de données et se demande combien d entre eux ont eu la grippe. On arrondira 1,96 à 2. A. L intervalle de pari à 95 % de la moyenne est [0,4 ; 0,6] B. L intervalle de pari à 95 % de la moyenne est [0,2 ; 0,8] C. Les 100 patients constituent la population cible de l étude D. L intervalle de pari est une démarche inductive alors que l intervalle de confiance est une démarche déductive E. Pour appliquer le théorème central limite le nombre patients doit être supérieur à 50. QCM 24 : On sait qu une maladie M atteint autant les jeunes que les personnes âgées. On se propose de constituer un échantillon de 200 personnes tirées au sort parmi l ensemble des patients d un hôpital toulousains atteints de la maladie M. Avant de constituer l échantillon, on calcule l intervalle de valeurs qui va estimer le pourcentage de jeunes que l on va observer sur cet échantillon de 200 personnes Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Cet intervalle est l intervalle de pari. 247 / 291
248 B. Cet intervalle sera plus étroit si le nombre de personnes incluses dans l échantillon est de 100 personnes. C. Si on réduit le risque alpha, l intervalle sera plus étroit. D. L ensemble des patients atteints de la maladie M dans cet hôpital toulousains constitue la population cible. E. Les patients âgées hospitalisés en France constituent la population cible. VI. Tests d hypothèses, comparaisons QCM 25 : Un maraichois affirme à un rangueillois que la fréquence de gens beaux est égale entre Purpan et Rangueil depuis les trois dernières années. Le rangueillois est en désaccord et décide d effectuer un test statistique pour essayer de prouver que le maraichois a tort. Le tableau ci-dessous donne les effectifs correspondants à un échantillon représentatif des PACES toulousains en 2016, 2017 et On se demande si la répartition de gens beaux diffère au fil des ans entre Purpan et Rangueil. On choisira un risque de première espèce de 5%, p = 0,635 et une statistique de test qui vaut 102, Purpan Rangueil A. On pourrait utiliser un test de Student pour comparer les fréquences de gens beaux par fac. B. Le test utilisé pour répondre à la question posée suit une loi statistique à 2 degrés de liberté. C. La condition à appliquer est que les effectifs observés soient supérieurs à 30. D. L hypothèse nulle est que les deux fréquences calculées sont égales dans les deux populations. E. La statistique de test étant supérieure au risque alpha on rejette l hypothèse nulle, il y a bien une différence entre la beauté des purpanais et des rangueillois. QCM 26 : À propos des tests d hypothèse, indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Le degré de signification ne correspond pas à la p-value. B. Si p est supérieur ou égal à α, on ne rejette pas H 0. C. Plus p est important, moins H0 est crédible. D. p est une caractéristique du test. E. Plus la probabilité d observer sous H 0 des valeurs plus extrêmes que la valeur observée est faible, moins H0 est crédible. QCM 27, 28 et 29 : Un jeune météorologue commence des recherches dans le but de savoir quelle région de France est la plus ensoleillée. Il étudie donc le nombre de jours où il y a du soleil, sur une année. QCM 27 : Il s intéresse d abord à comparer l ensoleillement de différentes personnes vivant dans la région Occitanie et celle de différentes personnes de la région Île-de-France. Sur un échantillon de 21 personnes vivant en Occitanie, il trouve une moyenne de 225 jours ensoleillés/an (avec un écarttype de 0,4). Sur un échantillon de 61 personnes vivant en Île-de-France, il trouve une moyenne de 78 jours ensoleillés/an (avec un écart type de 0,2). Il 248 / 291
249 veut donc savoir s il y a un lien significatif entre la région et l ensoleillement, au risque d erreur de 5%. En admettant la normalité des distributions et l égalité des variances dans les deux populations, indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Il s agit de deux échantillons appariés B. Il peut utiliser un test de l écart réduit C. Il peut utiliser un test de Student D. Le nombre de degrés de liberté associé au test permettant de répondre à cette question est 2 E. La variance commune s² = 0,07 QCM 28 : Suite du QCM précédent. Sachant que t(2) ; α/2 = 4,3 et t(80) ; α/2 = 1,99, indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. On est dans le cas d un test unilatéral. B. H0 : μm.1 μm.2. C. Dans le calcul de la statistique de test, la valeur absolue du numérateur vaut 147. D. Sachant que la statistique de test vaut environ 3114, on rejette H 0 avec un risque d erreur de 5%. E. Si on rejette H0, p est donc inférieur ou égal à α. QCM 29 : Ensuite, le météorologue s intéresse à deux populations différentes d Occitanie. Il décide de comparer le département de la Haute-Garonne avec le Gers, pour déterminer quel département est le plus ensoleillé. Il demande donc à un certain nombre de personnes de chaque département s ils considèrent que leur département est ensoleillé.dans le département de la Haute-Garonne, sur un échantillon de 200 personnes, 110 répondent positivement ; et dans le département Gersois, sur un échantillon de 200 personnes, 180 estiment que le département est ensoleillé. On donne : X²(2) ; 0,01= 9,21 ; X²(1) ; 0,01= 6,63 ; X²(1) ; 0,02= 5,412 Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. On peut utiliser un test de l écart réduit car les échantillons sont supérieurs ou égaux à 30. B. On peut utiliser un test de l écart réduit car les effectifs attendus sont tous supérieurs ou égaux à 5. C. On a 1 ddl. D. X0² = E. On sait que la statistique de test vaut environ 61,4. Au risque d erreur 1%, on peut dire qu il existe un lien significatif entre département et niveau d ensoleillement. QCM 30 : Dans une population de jeunes PACES on souhaite comparer les niveaux de vitamine D entre les purpanais et les rangueillois après le concours de mai. On constitue un échantillon représentatif de cette population de 144 personnes de Rangueil et un échantillon également représentatif de 100 personnes de Purpan. On observe chez les Rangueillois un taux de vitamine D moyen de 200 ng avec un écart type de 6ng et un taux moyen chez les Purpanais de 100ng avec un écart type de 15ng. Données: α =5 % p=0,37 A. Il faut vérifier que les effectifs théoriques soient supérieurs à 5. B. Le numérateur de la statistique du test vaut m1-m2 C. Pour vérifier l hypothèse selon laquelle les taux de vitamine D dans les populations de PACES de Rangueil et de Purpan sont égaux on va utiliser un test de Student. 249 / 291
250 D. D après l énoncé, la statistique du test est dans la zone de non rejet de l hypothèse nulle. E. Les deux échantillons sont appariés. VII. Probabilités conditionnelles, sensibilité, spécificités, valeurs prédictives QCM 31 : Un marqueur diagnostic du cancer du sein est évalué dans une étude. On remarque que plus la valeur du marqueur est élevé, plus la probabilité d être atteint par le cancer du sein est élevée. Indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Une courbe de ROC peut être un bon moyen pour évaluer les performances du marqueur. B. Si on augmente la valeur seuil qui caractérise un test positif, cela entraîne une augmentation de la sensibilité. C. La spécificité du marqueur diagnostic du cancer du sein ainsi que la valeur prédictive positive dépendent du seuil choisi pour conclure à la positivité du test diagnostic. D. La sensibilité du marqueur diagnostic du cancer du sein ainsi que la valeur prédictive négative dépendent du seuil choisi pour conclure à la positivité du test diagnostic. E. Plus la surface sous la courbe ROC est grande, plus le test est erroné. QCM 32 : À propos des probabilités conditionnelles : A. La sensibilité est la probabilité pour un patient d être positif au test diagnostic sachant qu il n est pas réellement malade. B. La sensibilité varie en sens inverse de la spécificité et dépend de la prévalence. C. La spécificité et la sensibilité influent sur les valeurs prédictives positives (VPP) et négatives (VPN). D. La VPN diminue quand la prévalence augmente. E. La courbe ROC idéale présente une sensibilité et une spécificité de 100% chacune. QCM 33 : Dans un hôpital, on appelle Q la population d étude atteinte d une maladie chronique. On appelle C l évènement «avoir une maladie curable», I l événement «avoir une maladie incurable» et V l évènement «suivre un traitement à vie». 55% des patients ont une maladie incurable et 75% d entre eux suivent un traitement à vie. Parmi les patients à maladie curable, la majorité d entre eux, soit 80%, ne suivent pas de traitement à vie. A. PC(V) = 0,2. B. PI(V) et PC(V) sont deux événements incompatibles. C. P(Q) = 1. D. Avec un test diagnostic, on pourrait calculer la VPP et la VPN à partir de ces données d études. E. P(V) = PC(V)*P(C) + PC (V)*P(C ) QCM 34 : On étudie la rectocolite hémorragique chez 500 jeunes adolescents à l aide d un nouveau test diagnostic. Parmi eux, 200 sont malades et parmis ceux-ci 50 ont un test négatif. 100 parmi les non malades ont un test positif. A. Il y a autant de résultats positifs que négatifs. B. VPP = 1,5. C. VPN = 0,8. D. Sensibilité = 0, / 291
251 E. La prévalence de la rectocolite hémorragique dans la population générale est de 2/5. QCM 35 : Soit A, B et C trois événements distincts. A. Si A et B incompatibles, B et C incompatibles et B et C incompatibles, P(A B C) = P(A) + P(B) + P(C). B. Si A et B incompatibles et A et C incompatibles, P(A B C) = P(A) + P(B) + P(C). C. L augmentation du seuil de décision (ou de positivité), donc le déplacement de celui-ci vers la droite donc vers les valeurs les plus hautes, fait augmenter la spécificité aux dépens de la sensibilité. D. Si A et B indépendants, P(A B) = P(A)*P(B). E. Si A et B incompatibles, P(A B) = P(A) + P(B). VIII. Méthodologie des essais cliniques et des études épidémiologiques QCM 36 : A propos des études d observation, indiquez si les réponses suivantes sont vraies ou fausses. A. Les études transversales sont analytiques. B. Les cohortes consistent en un suivi à travers le temps d un groupe de personnes choisies dans la population et ayant le moins de points communs possibles pour être représentatifs de la population générale. C. Les études rétrospectives sont généralement plus coûteuses que les études prospectives. D. Une étude cas-témoin est une étude rétrospective relativement peu coûteuse, qui, à partir de deux groupes, permet de retracer l influence de certains facteurs d exposition sur l apparition d une maladie, et ce sans biais d attrition. E. Dans une étude cas-témoins, les cas sont les patients exposés à un facteur de risque, et les témoins sont ceux qui ne sont pas exposés à ce facteur. QCM 37 : Un essai clinique contrôlé randomisé en double insu a été conduit pour évaluer l efficacité d'un traitement miraculeux sur l'optimisation de la mémoire chez des anciens PACES atteints aujourd'hui d'amnésie. Au total, 260 personnes âgés de moins de 60 ans avec des difficultés pour mémoriser à l'inclusion mais n'étant pas atteints du syndrome d'alzheimer ont été incluses dans l'étude. Le critère de jugement est la quantité de cours retenus entre l'inclusion et la visite à 1 an. Il est de 6 dans le groupe placebo et 8 dans le groupe traité (p=0,86). Le taux de participation à un an est excellent (98%). Concernant cet essai clinique, indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Le double insu permet de maintenir la comparabilité en cours d'essai en évitant les biais liés à la connaissance du traitement et assure une distribution similaire de toutes les caractéristiques connues ou inconnues des participants. B. Les critères d'éligibilité doivent être vérifiés juste après la randomisation. C. Si cette étude était réalisée dans plusieurs centres à la fois, une stratification de la randomisation pourrait être proposée. D. Il n'a pas été possible de montrer la supériorité du traitement «miraculeux» au placebo pour un risque d erreur α consenti de 5%. E. Dans cette étude, le biais d'attrition est très élevé. 251 / 291
252 QCM 38 : A propos des études observationnelles, indiquer si les propositions suivantes sont vraies ou fausses. A. Lors d'une étude rétrospective, l'exposition est mesurée avant la survenue de l'événement étudié. B. Le nombre de perdus de vue lors d'une étude prospective peut être élevé. C. La randomisation d'un traitement a lieu avant que les sujets aient signé le consentement à participer à une étude. D. Le groupe contrôle peut être composé soit de sujets ne recevant qu'un traitement inactif, soit de sujets recevant un traitement de référence. E. Les études exposés/non exposés sont des études expérimentales dans lesquelles les sujets seront exposés ou non à un facteur de risque afin d'étudier la survenue ou non de la maladie. Correction : Sujet Type 1 : QCM 1 : BD A. La fonction exponentielle est toujours strictement positive sur IR, la fonction f est définie par le quotient de 2 fonctions toujours strictement positives, par conséquent f est toujours strictement positive sur IR. Or, une fonction strictement positive ne s annule donc pas (strictement positif 0. 2 ex e 2 x 3 x 2 2 x + x 1 x y B. VRAI : En effet, on peut écrire f (x)= 4 x 1 =e car y =e e e 2 f est de la forme e v avec v=2 x 2 + x 1 2 (e v )'=v '. e v donc f ' (x)=( 4 x+ 1). e2 x +x 1 2 C. f ' (x)=( 4 x+ 1). e2 x +x 1 2 e 2 x + x 1 est strictement positive sur IR, cela revient donc à étudier le signe de 4 x+1 : 4 x+1=0 4 x= 1 x= 4 x+1> 0 4 x> 1 x> x f' f Décroissante D. VRAI : lim x + Croissante f (x)=+. E. Il n y a pas de limites finies lorsque x tend vers plus ou moins l'infini, donc pas d'asymptote horizontale. Et il n y a pas de valeurs interdites, donc pas d'asymptote verticale. 252 / 291
253 QCM 2 : DE A. g( x ) est impaire, h(x ) paire, il faut étudier la symétrie de la courbe pour savoir cela sur des fonctions polynômes. B. Il faut vérifier les signes de la dérivée, ils doivent coïncider avec les variations de g( x ). Ici, ce n est pas le cas : C. On doit regarder le plus haut degré, c'est 4, qui est un degré pair, donc cela ne correspond pas du tout à la courbe qui est une fonction impaire, symétrique en O. D. VRAI : Oui à l'extremum x= 5. QCM 3 : AC A. VRAI : f (x, y )= y. cos ( y ). sin( x ) x. sin( y ) + x. y.cos ( y ) x. y.cos ( y ) y. cos ( y ). sin( x ) y. cos ( y ). sin(x ) sin ( x) = se simplifie par y. cos( y ), d où x. y.cos ( y ) x. y.cos ( y ) x Dans x. sin( y ) sin( y ), on repère =tan( y ), puis on simplifie par x, d où x. y. cos ( y ) cos( y) x. sin( y ) tan( y ) =. x. y. cos ( y ) y On se retrouve ainsi avec f (x, y )= sin(x ) tan( y) + x y π 2 B. tan( x) étant définie sur IR \ ( +k π, k Z ), la fonction f n est donc pas définie pour π y= + k π, k Z. De plus, elle n'est pas définie lorsque x=0 ou y=0. 2 C. VRAI : Ici, on demande la dérivée partielle en fonction de x. Dans les dérivées partielles, il n'y a pas besoin de mettre le «dx»!! Alors que dans les différentielles, il le faut. D. Attention! Il manque.dx et.dy (sinon l expression de la différentielle est juste!). E. La fonction n est pas définie pour x=0 ou y=0 (car il y a x et y au dénominateur). QCM 4 : AC B. La somme des incertitudes relatives sur λ et t. λ t C. VRAI : Si tout est constant sauf λ, ( Δ N )max N 0 t e. Δ λ.donc une augmentation de Δ λ induit une augmentation de ( Δ N )max. D. Si t est constant, Δ N N 0 t e λ t. Δ λ. Donc si N0 augmente, Δ n diminue du fait du signe moins. E. On calcule d abord l incertitude relative : Pour cela, on commence par faire ln (N)=ln(N 0)+ln (e λ t )=ln(n 0 ) λ t. Ensuite, on dérive ce qu on a obtenu : d ln (N )= λ. dt t. d λ. On écrit alors la variation relative : Δ N λ. Δ t t. Δ λ. 253 / 291
254 Puis l incertitude relative : ( Δ N )max λ. Δt + t. Δ λ. Ensuite, on nous dit que λ est considérée sans incertitude, donc On voit que t n apparaît pas dans cette écriture, donc l incertitude relative n est pas proportionnelle à t. QCM 5 : AB A. VRAI : la variabilité inter-individuelle est présente lorsqu'il y a plusieurs personnes, ici il y en a 20. B. VRAI : il y a toujours de la variabilité analytique. C. Attention, même si on ne mesure le prélèvement qu'une seule fois il y a quand même de la variabilité intra-individuelle. Dès qu'il y a de la variabilité inter-individuelle, il y a aussi de la variabilité intra-individuelle. Cf le tableau hyper bien du prof où tout est bien clair! D. Attention il s'agit d'un manque de précision (car les valeurs sont dispersées) et pas d'un manque d'exactitude. Rappel : (C) manque de précision = erreur aléatoire : les valeurs sont dispersées (D) manque d'exactitude = biais : les valeurs sont centrées autour de la mauvaise valeur E. cf question D : il s'agit d'un manque d exactitude (et d'une probable PLS). QCM 6 : CD A. Attention à l'unité! La variance est le carré de l'écart-type, ce qui vaut aussi pour l'unité. Donc V = 4 kg2. B. Aucun rapport, on ne compare pas 2 moyennes ici. C. VRAI : Avec Y = X μ. σ D. VRAI : Dans une distribution normale, 95% des valeurs sont comprises entre μ 2 σ=50 2 2=46 kg et μ+2 σ =50+2 2=54 kg. E. Comme 95% des valeurs sont comprises entre μ 2 σ et μ+2 σ, on a 95% + la partie à gauche (donc 5/2 = 2,5%) des valeurs qui sont inférieures à μ+2 σ, soient 97,5% des valeurs qui sont inférieures à 54 kg. Pour ce genre de QCMs, toujours penser à la représentation de la loi normale : QCM 7 : BE A. Il s'agit d'une loi binomiale. La loi de Bernoulli correspond au fait de choisir une femme et d'obtenir seulement 2 événements possibles : Déjà vécu une grossesse et jamais vécu de grossesse. La loi binomiale correspond ici à répéter 200 fois le schéma de Bernoulli de manière indépendante pour estimer un nombre de femmes répondant à l'événement déjà vécu une grossesse, c'est donc une loi binomiale : X ~ B(200 ; 0,41) (avec comme paramètres : n = 200 et π = 0,41). B. VRAI : On utilise la formule E(X) = n π = 200 x 0,41 = 42. À ne pas confondre avec la formule de la variance : V(X) = n π (1- π ). C. Plus le nombre est grand, plus l'estimation devient précise car les fluctuations d'échantillonnage diminuent. (Une étude sur un grand nombre de gens a toujours plus de poids qu'une étude impliquant peu d'individus, cf les produits de télé-achat miraculeux testés sur environ 3 personnes). 254 / 291
255 D. Toutes les conditions d'applications ne sont pas remplies : n = 200 donc bien supérieur à 50, mais π = 0,41, donc non inférieur à 0,05. QCM 8 : C A. Les étudiants de Maraîchers présents à la BU Sciences constituent l échantillon ; les étudiants en PACES de Maraîchers constituent la population source ; les étudiants en PACES de Toulouse constituent la population cible. B. C est une démarche d induction (moyen mnémotechnique : IC Intervalle de Confiance InduCtion. n 2 ( x i m)2 C. VRAI : on adopte la formule s = i =1 n 1 D. Déjà, il s agit d un intervalle de confiance et non de pari. Par contre, le calcul est bon : IC 95 =[m z α / s s ; m+ z α / 2 ] n n Comme c est un intervalle de confiance à 95%, z α / 2=1,96 2. D où IC 95 =[12, ; 12,3+ 2 ] Donc I C 95 %=[12, ; 12,3+2 ]=[12,1 ;12,5 ] E. Si la variance diminue quand la taille de l échantillon augmente. QCM 9 : ACD A)=1 P (B A)=1 0,01=0,99. A. VRAI : P( B B. P( A B)=P( A) P( B A)=0,2 0,01=0,002. C. VRAI : P( A B)= P( A B) 0,002 = =0,005. P( B) 0,4 Astuce pour faire la division : 2 =0,5, puis on décale la virgule des deux zéros présents au 4 numérateur. D. VRAI : La probabilité d'aimer les maths P(B) est de 0,4. La probabilité d'aimer les maths et d'être en PACES P( A B) est de 0,002. Or, P( B)=P ( A B)+ P ( A B). Donc P( A B)=P ( B) P ( A B)=0,4 0,002=0,398. E. Il faudrait que P( A B)=0. QCM 10 : ABD A. VRAI : Un signe pathognomonique est caractéristique d une pathologie : s il est présent, alors c est nécessairement telle pathologie ; mais il n est pas nécessairement présent chez tous les individus ayant la maladie (contrairement à un signe constant qui n est pas carac- 255 / 291
256 téristique d une pathologie, mais présent chez tous les individus atteints de cette maladie). B. VRAI : la sensibilité est la probabilité d'avoir un test positif sachant qu'on est malade. Se= VP = =. VP + FN C. On ne peut pas déduire la VPP et VPN sur la population dans cette question, en effet rien ne nous dit que l'échantillon est représentatif de la population. D. VRAI : Moyen Mnémotechnique : ASAP (comme le rappeur) : Augmentation Seuil Augmentation spécificité (ça ne marche pas avec sensibilité, un peu tiré par les cheveux mais il m'a sauvé la vie plusieurs fois...). E. La sensibilité et la spécificité varient en sens inverse ; et on a vu dans l'item D que si le seuil de détection augmentait, alors la spécificité augmentait, donc la sensibilité diminue si le seuil de détection augmente. QCM 11 : ACDE B. C'est un histogramme : les rectangles ne sont pas séparés par des espaces. L'histogramme sert à représenter des variables quantitatives continues. C. VRAI : à partir de l histogramme, on fait le tableau des effectifs cumulés croissants (ECC) : Classe Effectif ECC La médiane correspond à la moyenne entre la 38ème et la 39ème valeur, elle se trouve bien dans l intervalle [9;13]. D. VRAI : le 1er quartile correspond à la 76/4 = 19ème valeur, donc il est bien dans l intervalle [9;13], comme la médiane. E. VRAI : puisqu'il s'agit d'une variable quantitative continue, on peut la transformer en variable quantitative discrète, mais cela entraîne une perte d'information. QCM 12 : B A. Nous ne pouvons pas utiliser un test Z de l'écart réduit car la taille de l'échantillon A est inférieure à 30 étudiants en PACES ; par conséquent les conditions d'applications du test Z de l'écart réduit ne sont pas validées (il faut n > 30). B. VRAI : Toutes les conditions sont réunies, de plus les variances sont égales et la variable suit une loi normale. C. Le test du χ 2 sert à comparer des fréquences, pas des moyennes. D. Tout est vrai, sauf que les variances doivent être égales dans les populations et pas les échantillons! E. On a des conditions pour appliquer le test de Student, c'est donc un test qui dépend de paramètres : c'est un test paramétrique. (On ne voit pas de tests non-paramétriques en PACES). QCM 13 : CD A. La condition est que les effectifs ATTENDUS soient supérieurs à 5, et non pas les effectifs observés. On peut donc utiliser un test de χ 2. B. L égalité des fréquences (ou proportions) dans les 3 populations. 256 / 291
257 2 (O ij E ij ) C. VRAI : χ = E ij ij 2 0 D. VRAI : car p < α. E. On rejette H0 car on a fait le test statistique et que p < α, on ne peut pas dire seulement en observant les effectifs que H0 est à rejeter. QCM 14 : BE A. Il s'agit d'une étude cas-témoins. On a des sains (témoins) et des malades (cas), et on étudie de manière rétrospective leurs antécédents de thrombose. B. VRAI : Il se fait après avoir inclus les cas-témoins en récupérant tous les examens précédemment faits. C. L'objectif est analytique, on veut comprendre l'influence de l'exposition à un risque sur la survenue d'une maladie = ici la présence d'un thrombus sur le risque de survenue d'embolie pulmonaire. D. Attention c'est une étude cas-témoins donc présence de biais et manque de précision ainsi qu'une difficulté de représentativité des groupes observés surtout pour le groupe témoin. E. VRAI : OR = ad = =36 bc E+ E- Total M M Total QCM 15 : DE A. Il s'agit d'un essai clinique (seuls les essais cliniques sont randomisés). B. C'est l'insu qui permet de limiter le biais de subjectivité. De même, la randomisation permet de maintenir la comparabilité initiale alors que l'insu permet de maintenir la comparabilité au cours de l'étude. C. Elle est dite «en double insu» car ni médecins ni patients ne savent quel traitement a été attribué entre le nouvel antidiabétique et le placebo. Dans un essai «ouvert», patients et médecins savent à qui est attribué chacun des traitements. (En simple insu, seul le patient n'est pas au courant). D. VRAI : Les critères intermédiaires sont des paramètres cliniques ou biologiques (mesurables) prédictifs de l'évolution clinique. Le critère principal est la glycémie car c'est le critère permettant au mieux de mesurer l'effet attendu (le rôle d'un antidiabétique étant de réguler la glycémie du patient). E. VRAI : Les résultats ne sont pas dus aux fluctuations d'échantillonnage et sont imputables au seul traitement de l'étude (lien de causalité ne pouvant pas être déterminé dans les études d'observations). 257 / 291
258 Sujet Type 2 : QCM 1 : AC A. VRAI : On réalise 2 mesures chez chaque personne. Les personnes n auront pas forcement la même valeur de PSA entre les 2 mesures (par exemple : la PSA n est pas la même au début et à la fin de la journée). Il y a donc bien une variabilité intra-individuelle c est-àdire chez une variation chez un même individu au cours du temps. On peut aussi raisonner en se disant que lorsqu on a de la variabilité inter-individuelle on a aussi de la variabilité intra-individuelle et instrumentale. Quand il y a de la variabilité intra-individuelle il y a aussi de la variabilité analytique. Autrement dit, pour les sources de variabilité on peut retenir : variabilité inter-individuelle > intra-individuelle > analytique (instrumentale + pré-instrumentale). B. La variabilité inter-individuelle c est la variabilité que l on observe entre différentes personnes (par exemple entre une personne âgées et une personne jeune). Si on répète deux fois la même mesure chez un patient cela signifie qu on est toujours chez le même patient.on ne peut donc pas avoir de variabilité inter-individuelle. C. VRAI : La variabilité analytique (instrumentale et pré-instrumentale) est toujours présente! On peut la minimiser mais jamais la supprimer. Elle est due aux conditions et aux instruments permettant la mesure. Un appareil ne donnera jamais la valeur vraie! On peut aussi raisonner comme précédemment : on a de la variabilité intra-individuelle (2 mesures chez la même personne a des moments différents) donc on a forcément de la variabilité analytique. D. On ne peut pas supprimer la variabilité analytique (instrumentale + préinstrumentale)! On peut la réduire en répétant les mesures mais on ne peut pas la supprimer. E. Les fluctuations biologiques chez un individu expliquent la variabilité intra-individuelle. QCM 2 : ABE C. dy = 20y 4+ 2x! Attention aux signes. dg 5 D. g (π ; 2)=sin(π ) 4 ( 2) 2 π ( 2)=0 4 ( 32) 4 π =128 4 π. E. VRAI : la différentielle correspond à la somme des dérivées partielles pondérées par.dx et.dy. QCM 3 : BDE A. h ' ( x)= g ' 3 x 2+ 4 = g2 x 6+ 8 x x 4 2 3x ( x + 4x) - f g = f (g ( x))= - ( x + 4x) est de la forme (a+ b), c est une identité remarquable, donc (a+ b) =a + 2ab+ b, donc ( x + 4x) =x + 2x 4x+ 16x 3 B. h( x)= = = 3 3 x 4 x ( x + 4 x) x + 4 x 3 Puisque h( x)= h( x) la fonction est impaire. C. L ensemble de définition est IR*. D. La limite de h est de ± quand x tend vers 0. Ainsi, h admet une asymptote verticale en 0, d équation x= / 291
259 E. La limite de h est de 0 quand x tend vers. Ainsi, h admet une asymptote horizontale en d équation y=0. QCM 4: BD x A. C est 4ye car la dérivée de e x est e x C. Il manque x et y, l incertitude absolue s obtient à partir de la différentielle et est ( f ) max ~ 4 ye x. x + 4e x. y D. VRAI :Pour calculer la variation relative : - Je fais ln (f (x ; y ))=ln (4 ye x )=ln( 4)+ ln( y)+ ln(e x )=ln(4 )+ ln ( y ) x. - Je calcule les dérivées partielles logarithmiques de la fonction, selon le résultat que j ai trouvé : dln (f ) = 1 dln (x) dln(f ) 1 = C. dln ( y) y B. - J en déduis donc la variation relative : f 1 1. x +. y f y x E. Il manque un signe devant le premier 4ye. La variation relative de la fonction est x donc : x Δf 1 Δf 4ye 4e 1. Δ x +. Δ y [. Δ x ]+ [. Δ y ]soit x x f y f 4ye 4ye QCM 5 : CD A. Il s'agit de la médiane. B. Il s'agit de l extrémité supérieure, c est la plus grande valeur de l échantillon inférieure à Q 3+1,5(Q 3 Q 1). D. VRAI : Que ce soit la moyenne, la médiane ou l étendue on doit bien prendre en compte toutes les valeurs. E. C'est l'inverse. QCM 6: ACDE Pour faciliter le calcul de l item B, on pense à faire un tableau des effectifs cumulés croissants (ECC) : Effectif Pourcentage ECC Hommes de moins de 15 ans 5 0,5% 0,5 Hommes de 15 à 24 ans ,0% 31,5 Hommes de 25 à 34 ans ,5% 66 Hommes de 35 à 44 ans ,3% 89,3 Hommes de 45 à 54 ans 80 8,0% 97,3 259 / 291
260 Hommes de plus de 55 ans 28 2,7% 100 B. La médiane (50%) se situe dans l intervalle 25 à 34 ans : c est la moyenne entre la 50 ème et la 51ème valeur. D. VRAI : En effet pour calculer la moyenne il faut disposer des valeurs individuelles de chaque personne. E. VRAI : Attention piège courant. Faites bien attention à trouver les bonnes données en ordonnées et en abscisses, et à vérifier qu on parle bien de fréquences pour des pourcentages, et d effectifs pour des nombres de personnes! QCM 7: ACD M+ M- Total T+ 85 (VP) 55 (FP) 140 T- 15 (FN) 45 (VN) 60 Total B. Le nombre de FN est de 15/200 15%. E. Quelque soit le seuil choisi sur la courbe, la surface sous la courbe n est pas modifiée! En effet, changer de seuil revient à prendre un point différent sur la courbe, mais la courbe sera la même. QCM 8: ABE B.C. Pour qu un test présente un intérêt diagnostique, il faut que probabilité a posteriori > probabilité a priori. C est-à-dire que l on dépiste plus de malades avec le test que sans le test. D. C est le nombre de faux positifs qui est égal à 0 car on ne peut pas observer le signe (test positif) s il n y a pas de maladie. E. VRAI : VPP= VP VP = =1 VP+ FP VP+0 QCM 9: AC On note Q l événement gagner en quart de finale ou passer en demi-finale, D l événement gagner en demi-finale ou passer en finale, et F l événement gagner en finale ou gagner la coupe du monde. 260 / 291
261 A. VRAI : 1-0,6 = 0,4 = ⅖ car il s agit de l événement contraire de la France gagne en quart. B et C. 0,6 x 0,3 = 0,18 il faut multiplier et non additionner! )=0,6 0,7=0,42. D. P( D E. VRAI : Si on peut le savoir! Ce serait P( F)=0,6 0,3 0,3=0,054,on peut bien le visualiser grâce à un arbre. QCM 10 : DE A. On va passer par un intervalle de pari justement parce qu on ne peut pas généraliser aussi simplement. Cet intervalle permettra d estimer la prévalence au sein de la population toulousaine. B. On connaît la valeur théorique sur une grande population et on cherche à déterminer la valeur observée sur un plus petit échantillon. On va donc faire un intervalle de pari et non pas de confiance. C. Si on choisit un risque de 1% on cherche à avoir plus de chance que la valeur vraie soit comprise dans cet intervalle : on veut qu il y ait très peu d erreurs possibles. Pour avoir plus de chances qu une valeur appartienne à un intervalle, on élargit cet intervalle. Donc plus on réduit le risque α (risque que la valeur vraie cherchée n appartienne pas à cet intervalle), plus on élargit l intervalle, plus on augmente l amplitude de l intervalle. D. VRAI : C est comme ça que s interprètent les intervalles! E. VRAI : La déduction permet, à partir des valeurs théoriques (vraies), de réaliser des estimations sur l échantillon. Ici, on connaît la valeur théorique (la prévalence de la maladie en France). On cherche à déterminer la valeur sur un échantillon (population de Toulouse), donc c est bien de la déduction. Moyen mnémotechnique : IC intervalle de confiance induction, donc l intervalle de pari est de la déduction. QCM 11 : Tout faux A. Attention l hypothèse nulle correspond à une ÉGALITÉ! Ici, elle serait de la forme : «le taux moyen de mathématine chez les élèves du groupe 1 est égal à celui des élèves du groupe 2». B. Rappel de cours : «L'objectif d'un test statistique peut être de déterminer si la différence entre deux valeurs observées sur deux échantillons est due aux fluctuations d échantillonnage ou si elle est due à une vraie différence entre les populations dont sont issus les échantillons.». Ainsi, dans cet item, il ne faut pas parler d égalité des taux sur les 2 échantillons étudiés mais d égalité des taux sur les populations dont sont issues les échantillons. C. C est absolument nécessaire : l hypothèse nulle et l hypothèse alternative doivent être définies a priori. D. Le résultat est significatif car p α donc on rejette l hypothèse nulle. E. On ne conclut JAMAIS qu une hypothèse nulle est vraie ou fausse! On ne peut que la rejeter ou ne pas la rejeter : on ne l accepte pas non plus. QCM 12 : ABE A. VRAI : La condition pour le test Z de l écart-réduit est n 30. B. VRAI : Les conditions pour le test S de Student sont : peu importe la taille de l échantillon, normalité des distributions (qu on ne vérifie pas si n 30du fait du théorème central limit et égalité des variances dans les populations. C. On ne peut pas conclure à une double inefficacité à partir des données fournies. D. Il n influe pas sur α, mais il influe sur β et sur le seuil de décision. QCM 13 : BCD A. Il n est pas nécessaire que n1 soit égal à n2, puisque les 2 échantillons sont indépendants. B. VRAI : DDL = n1 + n2-2 = ( ) - 2 = / 291
262 C. VRAI : H0 porte toujours sur la population générale et non sur le ou les échantillons. Elle peut être formulée sous la forme d une égalité ou d une absence de différences. D. VRAI : le risque est de 5% donc on compare t0 à 1,96. t0 < 1,96 donc on ne peut pas rejeter H0, on n observe pas de différence statistiquement significative. E. C est une comparaison d une moyenne observée à une valeur théorique. QCM 14: CE A. C est une étude cas-témoins et non un essai clinique. B. L incidence est une mesure dynamique qui fait intervenir un facteur temps, on la calcule donc dans les études exposés - non exposés. C. VRAI : Le mieux est de faire un tableau avec les données de l énoncé: E+ E- M M Donc : OR = (300*1700) / (400*1700) = ¾ = 0,75. D. On ne peut pas calculer de RR dans une étude cas-témoins, un risque relatif étant un rapport d incidences (piège fréquent)! E. VRAI : C est un des avantages des études cas-témoins. QCM 15 : ABE C. Le groupe contrôle peut aussi recevoir un traitement de référence (mais sinon le reste de l item est juste) D. Cela veut dire que les sujets répondent aux critères d inclusion. E. VRAI : Il s agit d un essai clinique donc on peut conclure à une causalité. Sujet Type 3 : QCM 1 : D A. f (x)=ln (x 1) ln(3 x 2)=ln( x 1) ln (3) ln(x 2 )=ln( x 1) ln(3) 2 ln (x) x 1 >0 et que 3 x 2 0donc Df = ] 1 ; + [ 2 3x 1 2 C. f (x)=ln (x 1) ln(3) 2 ln ( x ) donc f ' ( x) = x 1 x B. Il faut que D. Vrai : On ajoute aux conditions de l item B deux conditions : il faut que 3x > 0 et que ln(3x) 0, c est à dire x ⅓, mais ces deux conditions n ont pas d importance car on avait déjà x > 1 (donc > 0 et ⅓). Donc le domaine de définition ne change pas. E. lim x 0 + x 1 = et on ne peut pas calculer lim ln( X )car la fonction ln n est pas définie 2 X 3x sur ]- ; 0[ QCM 2 : A Q e6 d e6d 3 2 donc = s 3 s s 92 p 92 p 3 6d 3 6d Q s e 1 s 3 e6 d s e 1 B. Q= = 2 = donc p p p 92 p 2 A. Vrai : Q= C. Lorsque l'on calcule une incertitude absolue, le but est de maximiser les éventuelles variations et d'éviter leur compensation. On ajoute donc des valeurs absolues ce qui donne pour l'item C : Q max = s 3 e6 d s 3 e6 d. p =. p. Donc une augmentation de l'incerti92 p 2 92 p 2 tude sur p (c est à dire p ) entraîne une augmentation de l'incertitude absolue sur Q. 262 / 291
263 D. Pour d et p connus sans imprécision, c est-à-dire pour Δ d=0et Δ p=0, ΔQ = 3 s2 e6 d Δs. 92 p On voit que p est au niveau du dénominateur donc la variation sur Q dépend de p. E. Dans l'hypothèse où toutes les dérivées partielles de la fonction Q s'annulent en un point, on a un point critique (par définition). Or, un extremum local est forcément un point critique, mais un point critique n'est pas forcément un extremum local! QCM 3 : BE A. g ' ( x)= 1 2sin (2x) 2sin (2x) = 2 2 (3+ cos(2x)) (3+ cos(2x)) B. Vrai : La fonction g est paire. On a bien g(x)=g(-x) car cos(x) = cos(-x). Donc sa courbe est symétrique par rapport à l axe des ordonnées. 5 =5(3+cos(2 x ))=15+ 5 cos(2 x) 1 C. 3+cos (2 x ) D. ( f o g)' = 5 2 sin(2 x)= 10 sin(2 x). Or sin(2x) > 0 sur ]0 ; π/2[ donc ( f o g) ' < 0 sur ]0 ; π/2[. La fonction f o g est donc décroissante sur ]0 ; π/2[ f o g=f (g(x ))= E. Vrai : cos²(x) + sin²(x) = 1 QCM 4 : CD A. Pour un individu, la variable qui détermine la probabilité d avoir un infarctus du myocarde suit une loi de Bernoulli (soit on l a, soit on ne l a pas). Dans un échantillon de taille n, on a une répétition de cette épreuve de Bernoulli n fois donc X suit une loi binomiale B(n, π). B. L espérance (nπ) et la variance (nπ(1-π)) sont proportionnelles à la taille de l échantillon. C. Vrai : E(X) = nπ = 200 x 0,04 = 9 et var(x) = nπ(1- π) = 200 x 0,04 x (1-0,04) = 7,68 D. Vrai : Puisque n > 50, π < 0,05 et np < 5, la loi binomiale tend vers une loi de Poisson de paramètre 𝝀 = nπ = 4 = nπ = 4 E. L histogramme est utilisé pour les variables continues. Pour des variables discrètes il faudrait plutôt un diagramme en bâtons. QCM 5 : ABC A. Vrai : On dose 5 fois chez le même sujet. B. Vrai : On dose chez 100 sujets différents. C. Vrai : On effectue plusieurs mesures. D. Voir ci-dessus. E. Voir ci-dessus. QCM 6 : CE A. L intervalle de pari est une démarche déductive. 2 2 s s 9 9 B. IC=[m 2 ; m+ 2 ]=[11,7 2 ; m+ 2 ] n n donc l intervalle de confiance est égal à [11,1 ; 12,3] D. n>30 donc on peut utiliser le TCL et considérer la distribution comme normale. QCM 7 : ACD Conseil : Écrire toutes les informations de l énoncé sur le brouillon (et si vous avez le temps écrire aussi tout ce que l on peut en déduire) : ) = 1 - P(F) = 0,8 P(F) = 0,2 P( F P(A F) = 0,7 P( A F) = 1 - P(A F) = 0,3 ) = 1 - P (A F ) = 0,9 P (A F ) = 0,1 P ( A F A. Vrai : P (A F) = P(F) * P(A F) = 0,2 * 0,7 = 0,14 ) * P(A F ) = 0,2 x 0,7 + 0,8 x 0,1 = 0,22 B. P(A) = P(F) * P(A F) + P(( F 263 / 291
264 C. Vrai : P ( F A) = P(F) * P( A F) = 0,2 x 0,3 D. Vrai : P (F A ) = P (F A) / P( A) = P (F A) / (1 - P(A) ) = (0,2 x 0,3) / (1-0,22) ) x P( ) = 0,8 x 0,9 = 0,72 E. P( F A ) = P( F A F QCM 8 : ADE Conseil : Pour ce genre de QCM, toujours faire un tableau. T+ T- Total M M Total B. La sensibilité est égale à 400/550 soit environ 73%. C. La spécificité est égale à 250/750 soit environ 33% D. Vrai : VPP = 400/900 = 44% E. Vrai : VPN = 250/400 = 0,625 QCM 9 : AD B. On voit que la médiane est décalée (par rapport aux quartiles et aux extrémités) C. Car asymétrique. E. L écart interquartile en 2018 est beaucoup plus petit que l étendue en 2019 (ne pas oublier les valeurs extrêmes!) QCM 10 : BCDE A. L hypothèse nulle est que la moyenne de la population peut être considérée comme égale à la moyenne théorique énoncée par le pingouin mâle. Attention, ce piège tombe assez souvent, c est vraiment important de retenir que l hypothèse nulle et l hypothèse alternative s expriment en parlant d une population et non d un échantillon. B. Vrai : ici on utilise un test de l écart réduit (car n > 30) dont la statistique est Z = ( µ m) s2 n. 264 / 291
265 Donc Z = = = C. Vrai car 0,03 (p) < 0,05 (𝛼).). QCM 11 : E A. H0 doit porter sur la population et non l échantillon, donc H0 : μm. = 16. B. On n affirme jamais qu on accepte H0. On dit seulement qu on ne rejette pas H0. C. Le risque β est le risque d erreur de 2 ème espèce. Le risque d erreur de 1ère espèce est α. Sinon, le risque de deuxième espèce consiste bien à ne pas rejeter H 0 si H1 est vraie. D. La valeur observée est inférieure à la valeur seuil, donc le degré de signification est supérieur à α. QCM 12 : C A. Les variances sont égales dans les deux populations (d'après l'énoncé) B. La statistique d un test de comparaison de moyennes a une différence de moyennes au numérateur. D. Le nombre de degrés de liberté est = 53 E. La statistique du test est inférieure à la valeur seuil, on ne rejette pas l hypothèse nulle ici (donc les gens qui boivent du café ont des résultats similaires à ceux qui n en boivent pas). QCM 13 : CE A. L étude doit être prospective et permettre d apprécier l incidence, de plus, il est précisé dans l énoncé que l étude est longue et coûteuse, cela caractérise les études exposés/nonexposés. B. En intention de traiter, même si des patients sont peu assidus ou ne sont plus suivis, on les maintient dans l étude. C. Vrai : Dans une étude exposé/non exposé, TOUS les sujets inclus doivent être initiale ment sains en ce qui concerne la maladie considérée. D. A partir de la p-value on ne peut pas conclure à une égalité, seulement à une différence ou à une absence de preuves de différence. On dit que la différence observée entre les deux désinfectants est non-significative. E. Vrai : C est une étude exposé/non exposé, donc analytique, qui possède donc bel et bien un niveau de preuve plus élevé que les études cas-témoin (qui elles sont descriptives). QCM 14 : BDE A. Ce sont les études expérimentales qui possèdent le plus fort niveau de preuve. Les études de cohorte sont en deuxième position. B. Vrai : On dit que les données sont longitudinales lorsqu il existe plusieurs mesures à travers le temps par sujet. C. Un risque relatif ou un rapport de côtes inférieur à 1 signifie que l exposition est un facteur de protection de l'événement étudié. E. Vrai : Le biais de sélection est lié à une différence de composition entre le groupe traité et le groupe témoin. Un tirage au sort permettra donc d éviter ce biais QCM 15 : CE A. Il s agit d une étude cas-témoins, puisque le nombre de cas et de témoins se fait de manière arbitraire, il est impossible de calculer une quelconque incidence. B. Les études exposés/non-exposés sont bien plus longues à réaliser que les études cas-témoins. C. Vrai : On est dans une étude cas-témoin, la seule mesure d association que l on peut calculer est un odds-ratio. En suivant la formule on trouve bien 12. Attention, pour ne pas se tromper il fallait bien noter que le facteur d exposition est le fait de serrer la main, et 265 / 291
266 qu il y avait par conséquent 2000 exposés dans le groupe G- (car qui ne font la bise nous donne 2000). Pour aide, voici le tableau récapitulatif des données de l énoncé. E+ E- Total G G Total D. On peut calculer un odds-ratio, mais les études cas-témoins sont descriptives, et non analytiques. E. Vrai : On a trouvé plus haut une valeur d odds-ratio de 12. Cette valeur se trouve dans l intervalle de confiance donné. On peut donc penser au risque α près que la grippe se transmet plus facilement en serrant la main qu en faisant la bise. QCM en Vrac : I. Variabilité en médecine QCM 1 : C A. Il y a toujours au moins l erreur instrumentale sur une valeur expérimentale. B. C est la variabilité inter-individuelle. La variabilité intra-individuelle est la variabilité biologique propre à 1 seul individu. D. L appareil de mesure est la cause de la variabilité INSTRUMENTALE, la pré -instrumentale dépend seulement des conditions de mesure E. Les variabilités peuvent être de plusieurs types sur une seule mesure (ex : une mesure de température est soumis à la variabilité intra-individuelle, pré-instrumentale et instrumentale) QCM 2 : ABCD E. C est l erreur de mesure instrumentale qui est plus importante avec la machine A. QCM 3 : CDE A. Mesures biaisées = inexactes, mesures peu dispersées = précises. B. Une mesure peut être les deux à la fois. QCM 4 : D A. Elle n est pas présente car il y a un seul patient. B. Pas seulement, il y a aussi la variabilité analytique. C. Pas seulement, il y a aussi la variabilité intra-individuelle. D. VRAI : Un seul patient. E. Voir A. QCM 5 : BD A. C est la variabilité intra-individuelle, un seul individu. C. La variabilité analytique est toujours présente. E. Il y aura toujours de la variabilité même avec des appareils récents. II. Analyse QCM 6 : ACE B. V = 1/3 * c2 h 266 / 291
267 D. Pour calculer la variation relative V/V, on utilise la dérivée logarithmique. Ainsi : ln(v) = ln(1/3 * c2 * h) = ln(1/3) + ln(c2) + ln(h) = ln(1/3) + 2*ln(c) + ln(h) 2 1 dc dh ln(v ) ln(v ). dc +. dh = dc + dh = 2. + c h c h c h c h + Soit V/V 2. c h V h E. VRAI : Pour c connu sans imprécisions, = car c = 0 V h D'où dln(v) = QCM 7 : CE A. Ce sont les fonctions monômes qui admettent systématiquement une propriété de symétrie, car les termes de fonction paire et de fonction impaire proviennent justement de l'étude de ces fonctions. Les fonctions polynômes n'ont pas en général de propriétés re marquables concernant la symétrie ou le sens de variation. B. Le degré du monôme -4x7 est égal à 7: c'est un degré impair donc la fonction est impaire, ce qui se traduit par une symétrie par rapport à l'origine. D. La fonction tan(x) est définie par le quotient sin(x)/cos(x) et non l'inverse! Le reste de la proposition est vrai. QCM 8 : BD A. La fonction tan(x) est croissante sur tout intervalle ]-π/2 + kπ ; π/2 + kπ[ avec k appartenant à Z, mais pas sur l'ensemble de son domaine de définition, puisqu'elle n'est pas continue. C. Il n'existe pas de propriété particulière concernant le sens de variation d'un produit de deux fonctions. D. VRAI : Démonstration: Soient a et b deux réels tels que a b. a b g(a) g(b) (car g est décroissante, donc l'ordre est changé) f[g(a)] f[g(b)] (car f est croissante, donc l'ordre est conservé) fog est décroissante. +* E. ln n est définie que sur R QCM 9 : ACE A. VRAI : C'est la définition du développement limité. B. Il manque ce que l'on appelle le reste : h*ε(h), qui rend compte de l'erreur de notre mo dèle et qui devient négligeable lorsque la variable est suffisamment proche de x0 (lim ε(h) quand h 0 = 0). C. VRAI : Les dérivées de ces fonctions ne sont pas calculables en 0, donc elles n'admettent pas de DL d'ordre 1 en 0. D. f(0 + h) = f(0) + f '(0)*h + o(h) = exp(-3*0 2) + [-6*0*exp(-3*02)]*h + o(h) = 1 + o(h). QCM 10 : BCD A. Df = [ -4 ; + [ (la fonction est définie sur -4) 3 donc positive sur ]- 4 ; + [, ainsi, f(x) est croissante sur Df. 2 3x+ 12 C. VRAI : ln(16) = ln(4 2) = 2ln(4) 1 E. La fonction n est pas dérivable pour x = 0 car la dérivée de la fonction racine est 2 x B. VRAI : f ' ( x)= QCM 11 : AB A. VRAI : Le domaine de définition de ln(x) est IR *+ 267 / 291
268 C. ln(xp)=p*ln(x) D. exp (xp) = (exp(x))p E. Non pas strictement car on a f (x) 0 et non pas strictement supérieur à 0 (avec le signe >) QCM 12 : AB B. VRAI : Le quotient 3 x3 +5 x 3 x3 3 est équivalent à en +. = 4 x4 + 8 x2 4 x4 4 x C. On utilise le théorème des croissances comparées (la fonction ln est négligeable devant la fonction x 2en plus l infini) et donc la limite est 0. D. On utilise le théorème de l Hospital, ou bien on passe par les croissances comparées. Si on utilise l Hospital on trouve que la limite est la même que celle du quotient des dérivés 3 d où limite est égale à celle de : 2 x 3 x. La limite tend donc vers + = 8 16 x E. La fonction exponentielle croît plus vite que x 3, donc la limite tend vers 0. QCM 13 : CD A. Attention la fonction tan(x) = sin(x) / cos(x), le reste est vrai B. La fonction ln est définie sur IR*+ (donc les réels positifs, privés de 0) D. VRAI : Et celle en 0 est équivalente à son monôme de plus bas degré E. On ne peut pas dire qu elle est décroissante sur son ensemble de définition. En effet elle est décroissante sur ]-, 0[ et sur ]0, + [. En effet pour x < x, on a f(-x)<f(x) III. Statistiques descriptives QCM 14 : AC B. C est dans l échantillon D. Impossible de calculer la moyenne avec un intervalle infini ( 12 ; +infini) E. Si l échantillon augmente, le polygone des fréquences tend vers la densité de la loi de probabilité QCM 15 : ABDE C. Cv = σ/x = 4/2 = 2 QCM 16 : A B. Le nombres de dents : 1,2,3, est une variable quantitative discrète C. Seul l inverse est possible : quantitative en ordinale D. La moyenne est très influencée par les valeurs anormalement élevées et basses E. Il s agit de la médiane QCM 17 : D A. VRAI : Var(X) = σ 2=9 c m 2 B. Un changement d origine ne change pas la variance (toujours même écart entre les valeurs) : var(x +k) = var(x) C. Une patiente avec une tumeur est l unité statistique. La taille de la tumeur est la variable. D. VRAI : la moyenne est très sensible aux valeur extrêmes. E. Un diagramme en bâtons est utilisé pour les variables quantitatives discrètes, X est une variable quantitative continue. 268 / 291
269 IV. Variables aléatoires, lois de probabilité discrètes et continues QCM 18 : ABD A. VRAI : P(X 1) = 0,05 + 0,07 + 0,33 + 0,25 + 0,2 + 0,1 = 1 B. VRAI : F(2) = P(X = 2) = 0,07 C. P(X > 5) = P(X = 6) = 0,1 D. VRAI : P( (X 2) (X 4) ) = P (( X 4 ) (X 2)) P (2 X 4) = = 0,65 / 0,7 P( X 4) P( X 4) E. E(X) = 0,05x1 + 0,07x2 = 0,33x3 + 0,25x4 + 0,2x5 + 0,1x6 = 3,78 QCM 19 : ABDE B. VRAI : X est normalement distribué c est-à-dire que la distribution est symétrique et centrée sur la moyenne, qui est identique à la médiane et à la mode. Donc 50% des va leurs sont supérieures à 168 cm. C. Il s agit d une distribution normale donc 95% de la population mesure entre (E(X) 1,96!) et (E(X) + 1,96!) donc environ 2,5% mesure moins de (E(X) - 1,9 6!) 168-2x10 = 148 cm. D. Même raisonnement que dans l item C, mais environ 16% mesure plus de (E(X) +!) = 178cm E. VRAI : voir items C et D. QCM 20 : ACDE A. VRAI : Même raisonnement que dans l item 5B. 50% des personnes pèsent moins de 70kg, soit 200/2 = 100 personnes. B. 16% des personnes pèsent moins de (E(X) -!) = 70-8 = 62 kg. 16% de 200 = 32 per sonnes. C. VRAI : 95% des personnes pèsent entre (E(X) - 1,96!) et (E(X) + 1,9 6!), soit 54 et 62 kg. 95% de 200 = 190 personnes. D. VRAI : 16% des personnes (donc 32 personnes) ont un poids supérieur à 78 kg (70 +!) donc un peu moins de 16% des personnes (donc moins de 32 personnes) ont un poids supérieur à 80 kg. E. VRAI : distribution normale. QCM 21 : CDE A. Des événements indépendants peuvent être compatibles! B. P(A B) = 0 si les évènements sont exclusifs. C. VRAI : Comme A et B sont indépendants, P(A B) = P(A) x P(B) V. Échantillonnage, estimation ponctuelle et par intervalle QCM 22 : BCD A. On ne peut pas être certain, l intervalle de confiance est à 95 % et non 100 % E. Comme nr> 30 on peut appliquer le théorème central limite et considérer que la glycémie est normale QCM 23 : A A. VRAI : Le calcul de l intervalle de pari est 0,25 0,25 [0,5 2 ; 0,5+2 ]=[0,4 ; 0,6] [ π 2 π (1 π ) π (1 π ) ; π +2 ] soit n n B. Voir item A. C. Les 100 patients sont un échantillon tiré de la population source (= base de données), la population cible correspond à toutes les personnes qui pourraient être atteintes de la grippe. 269 / 291
270 D. C est l inverse. E. Le TLC peut être appliqué pour n > 30. QCM 24: A B. Plus n est grand, plus l intervalle est étroit (plus on est sûr) C. Si on réduit le risque alpha de se tromper, l intervalle est plus large D. La population source E. Jeunes et vieux hospitalisés en France VI. Tests d hypothèses, comparaisons QCM 25 : B A. Ici on compare des fréquences, on va donc utiliser un test du chi2 si les conditions sont remplies (cf correction de l item C) C. La condition pour utiliser un test du chi2 est que les effectifs théoriques soient tous supérieurs à 5. D. Des deux fréquences théoriques E. On ne rejette pas l hypothèse nulle parce que p > alpha. QCM 26 : E A. Degré de signification = p-value = p B. Si p est seulement supérieur (et non égal), on ne rejette pas H 0. C. Plus p est faible, moins H0 est crédible. D. p est attaché à une expérience particulière. Par contre, α est une caractéristique du test. QCM 27 : CE A. Les deux échantillons sont indépendants. B. Il ne peut pas car l échantillon vivant en Occitanie est inférieur à 30. C. VRAI : En effet, les deux conditions nécessaires sont remplies. D. On doit utiliser un test de Student. Il y a donc n 1+n2-2 ddl donc =80 ddl. E. VRAI : On a s2= (n1 1) s 21 +(n2 1) s22 = 0,07 n1 +n2 2 QCM 28 : DE A. On est dans le cas d un test bilatéral : on cherche seulement à savoir s il existe une dif férence. B. Il s agit de H1. H0 contient toujours le signe =, et H0 : μm.1 = μm.2. C. t0= m1 m2 1 1 s x( + ) n 1 n2 et m1 - m2 = = D. VRAI : En effet, on a It0I >t(80) ; α/2 QCM 29 : CD On a ce tableau de contingence des effectifs observés : Oui Non Total Haute-Garonne Gers Total / 291
271 On a ce tableau de contingence des effectifs attendus : Oui Non Total Haute-Garonne Gers Total A. On a des effectifs et non des moyennes, il faut donc utiliser le test Chi-2. Cependant, on a bien les conditions d utilisation d un test de l écart réduit. B. On a des effectifs, il faut donc utiliser le test Chi-2, dont les conditions d utilisation sont celles décrites dans la question. C. En effet on a (l-1)(k-1) ddl donc (2-1)(2-1)= 1 ddl. E. VRAI : En effet, on a un test bilatéral à 1 ddl et avec un risque de 0,01 donc on compare la statistique de test à la valeur seuil X² (1) ; 0,01= 6,63. On a donc X0² > X²(1) ; 0,01 donc on rejette H0. QCM 30 : BCD A. Ici on ne compare pas des fréquences, on compare deux moyennes donc on ne va pas utiliser le test du chi2. On voit que n1 30 et n2 30 donc on applique le test des écarts réduits. E. On fait le test avec deux groupes de personnes différents: ces échantillons sont indépendants. VII. Probabilités conditionnelles, sensibilité, spécificités, valeurs prédictives QCM 31 : ACD B. Si on augmente le seuil alors on diminue la sensibilité. C. VRAI : Car la VPP varie en fonction de la spécificité et de la sensibilité et ces deux derniers dépendent du seuil. D. VRAI : Car la VPN varie en fonction de la sensibilité et de la spécifié et ces deux derniers dépendent du seuil E. Plus la surface sous la courbe est élevée, plus le test est significatif. QCM 32 : CDE A. Sachant qu il EST réellement malade (attention à la négation). B. Spécificité et sensibilité ne dépendent pas de la prévalence. C D E. VRAI : cours. QCM 33 : AE B. Deux évènements indépendants donc pas incompatibles. C. Q est une population, pas un événement. D. Non, car la population d étude n est pas représentative de la population générale (à la limite représentative des malades chroniques), dans ce cas, on ne peut calculer ni la VPN ni la VPP. QCM 34 : ACD A. VRAI : Faire un tableau M+ T+ T- Total / 291
272 M Total B. La VPP ne peut excéder 1. C. VRAI : 200/250 = 0,8. D. VRAI : 150/200 = 0,75. E. La population d étude n est pas extensible à la population générale. QCM 35 : ACD B. S'ils sont incompatibles ils ne peuvent se réaliser en même temps, le calcul de probabilité proposé n a pas de solution. C. VRAI : cours : E. Même correction qu à la A et B. VIII. Méthodologie des essais cliniques et des études épidémiologiques QCM 36 : D A. Les études transversales sont descriptives. B. Au contraire! Les cohortes sont faites à partir de groupes qui sont constitués de per sonnes comportant un ou plusieurs points communs que sont les critères d inclusion. C. Les études prospectives (typiquement les études exposé/non exposé) sont plus chères à réaliser, et plus longues que les études rétrospectives type cas-témoin. D. VRAI : Une étude cas-témoin est rétrospective et ne nécessite pas un suivi dans le temps, ainsi, il n y a pas de perdus de vue E. Attention, c est la définition d une étude exposé/non exposé. QCM 37 : CD A. C'est la randomisation qui permet d'obtenir une distribution similaire de toutes les caractéristiques connues ou inconnues des participants. Le double insu permet d'éviter les biais liés à la connaissance du traitement autant par les scientifiques que par les patients. B. Les critères d'éligibilité doivent être vérifiés juste après la randomisation. C. VRAI : Pour les études multicentriques, la randomisation peut être stratifiée pour éviter des déséquilibres liés à des effectifs limités. D. VRAI : p=0,86 > alpha = 0,05 donc pas de mise en évidence de différence statistiquement significative. E. Le biais d'attrition correspond aux perdus de vue, ici il y a très peu de perdus de vue donc le biais d'attrition est faible. QCM 38 : BD A. C'est le cas pour une étude prospective. Lors d'une étude rétrospective, la survenue de l'exposition est mesurée après l'événement. 272 / 291
273 B. VRAI : Bien sûr, cela constitue le biais d'attrition. En revanche, pour une étude rétrospective, on s'intéresse à des sujets déjà atteints et on observe s'ils ont été exposés à un facteur de risque ou non lors des dernières années : il n'y a donc pas de raison qu'on les perde de vue lors d'une étude rétrospective. C. La randomisation a lieu après que les sujets aient signé le consentement (sinon ils feraient déjà parti de l'étude sans avoir pu donner leur avis sur leur participation à celle-ci). D. VRAI : En effet, lors d'un essai clinique, on peut comparer un traitement aussi bien à un traitement de référence pour déterminer s'il est plus efficace par exemple, ou à un placebo pour déterminer s'il participe à l'amélioration de l'état du patient. E. Ce sont des études d'observation, on ne peut pas faire d'étude expérimentale en exposant volontairement des sujets à un facteur de risque, ce n'est pas très éthique. On ne va pas forcer des sujets à fumer pour voir s'ils développeront plus facilement un cancer des poumons. 273 / 291
274 Bien-Être et Méthodologie : Mathilde Engels, médecine à Rangueil, doublante Si tu lis ce témoignage c est que tu es en quête d un peu de chaleur humaine, motiva tion et conseils pratiques pour le mois qui t attend alors c est ce que je te propose! Mon credo : toujours se donner au maximum tout en prenant de la distance sur son travail pour ne pas se laisser surmonter par le stress Comme tu l as compris, d après mon expérience, la réussite se trouve dans le respect et l écoute de soi-même avant tout Mon organisation générale : Pendant les 10 premiers jours des révisions je me suis donné comme objectif de revoir tous les cours en faisant le poly de Noël et une annale de maths par jour. Pour cela j avais noté tout le syllabus chapitre par chapitre sur une feuille et je m étais calculé le nombre de points à voir chaque jour pour respecter ce programme. Pour les 10 jours suivants je me suis attelée aux annales au rythme de 1 année en 2 jours afin d ingérer réellement les connaissances et non pas les faire pour les faire. Puis je me laissais le reste de la journée pour revoir les cours sur lesquels j avais des difficultés. Exemple d une journée réussie : Réveil à 6h30 avec la pêche et l envie de carburer! + petit déjeuner Début du programme du jour à 7h (si ce que vous avez choisi la veille de travailler ne vous plaît plus, changez! Le but est qu à la fin tout soit compris mais pas de se forcer) Pause goûter à 10h d une quinzaine de minutes, reprise et repas de 12h30 à 13h Reprise du programme l après-midi avec souvent deux pauses jusqu à 20h Dîner, relecture ou seulement détente en fonction de l atteinte des objectifs et de mon humeur Coucher vers 23h PS : c est normal que certains jours soient plus difficiles, qu on ne soit pas satisfait du travail accompli mais le principal est de s améliorer chaque jour et d avoir encore plus de motivation pour le lendemain. Petits conseils qui ont changé ma vie (ou au moins les révisions) : Je n allumais pas mon portable de la matinée et seulement à la pause midi pour une concentration optimale au moment de la journée ou j étais le plus efficace A la fin de la journée, je me retraçais tout ce que j avais appris et je me félicitais pour me mettre dans un bon mood pour le lendemain. Allez au lit en étant fiers de vous! Au moins une fois par semaine un p tit footing, appels à quelques amis bienveillants et des bons goûters me rappelaient que j étais encore un être vivant et social :D En cas de grosse panique : sortez, changez vous les idées pour vous calmer et prendre un peu de recul puisque ce qui est fait est fait : on ne peut que mieux faire! 274 / 291
275 Période des fêtes et moments de pause : En ce qui me concerne, le premier jour de révisions et le 25 décembre je n ai pas tou ché de cours afin de : dans le premier cas, faire mon planning et me préparer menta lement, et dans le deuxième, passer du temps avec ma famille et de n avoir aucuns regret sur le plan personnel. Mathilde Sellier, deuxième année d'odontologie, doublante à rangueil Hello, j espère que vous allez bien, je vais vous donnez mes petits tips pour les révisions! Je passais les premières semaines à réviser mes cours à fond et revoir les TD (je trouve ça important vu que ce sont des QCM de la fac). Je faisais très peu de QCM au début, surtout des cours pour augmenter le nombre de QCM petit à petit. Ensuite je faisais le poly de noël en parallèle des cours et je finissais par les annales. Il est important de pas commencer les annales trop tôt car au final je connaissais les ré ponses des QCM par cœur et ça me servait même plus d entraînement. Le soir je suis fatiguée et j'ai du mal à réviser, surtout lire des cours sans m'endormir, du coup je faisais des annales de maths tous les soirs dès le début car il y en a énormément et c'est bien d'en faire un peu chaque jour pour arriver bien entraîné au concours. Je préférais consacrer une demi journée à une seule matière : en primante je changeais de matière toutes les heures mais je ne pouvais pas beaucoup avancer du coup je retenais moins bien car j'avais pas de vision d'ensemble sur le chapitre et ça me faisait trop de coupures où je devais changer de cours. Il est très important de s'écouter soi, de faire nos révisions en fonction de notre personne et pas en fonction des autres (même si je sais que c'est dur à faire). Ça ne sert à rien de continuer à travailler parce que notre ami travaille jusqu'à une heure du matin alors que nous, on n'est plus efficace à partir 23h. Autant aller se coucher quand on est fatigué, quitte à se lever plus tôt le lendemain, comme ça on peut travailler dans les meilleurs conditions, c'est à dire reposé. Ça m'arrivait quand j'étais trop fatiguée, de faire des petites siestes la journée, et ce n'est pas du temps perdu vu qu'ensuite on travaille plus efficacement (ne pas culpabiliser). Il faut vraiment privilégier la qualité à la quantité et ne pas se tuer à la tâche alors qu'on tombe de fatigue sur son bureau, ça ne sert à rien! Mes pauses, c'était d'aller faire du sport dehors, je trouvais ça mieux que de regarder la télé, car en peu de temps ça permet de se défouler physiquement et mentalement, je me sentais mieux dans mon corps et mon esprit et encore plus d'attaque pour réviser! Je passais mes révisions chez mes parents, ça me faisait une présence humaine dans la maison car je sais que je n'aurai pas pu passer toutes mes révisions seule à Toulouse. Mes parents ont été un soutien énorme, même si c'est pas toujours facile de réviser chez soi à cause du bruit, il me fallait vraiment une présence humaine pour tenir. 275 / 291
276 Pendant les révisions, il y a parfois des moments où vous pensez que vous n'allez pas y arriver, le moral commence à baisser etc... Dans ces moments, privilégiez votre bien être mental, c'est super important, donc prenez plus de pauses dans la limite du raisonnable, passez du temps avec votre famille ou vos amis, et parlez à vos proches de vos doutes et craintes. Ils seront là pour vous soutenir et vous rassurer. En tout cas, dites vous que les révisions c'est temporaire, ça ne va pas durer éternellement, vous allez bientôt pouvoir vous reposer! Et surtout ne laissez jamais vos questions sans réponse! En primante je ne savais pas où poser mes questions et j'avais peur de perdre du temps en les posant mais ce n'est pas du temps perdu, ça peut vous faire gagner des points au concours alors posez vos questions sur le forum de tutoweb, vous avez des réponses rapides et personnellement ça m'a sauvé la vie! Bon courage à tous pour le concours, ayez confiance en vous! 276 / 291
277 Le planning de Mathilde : 277 / 291
278 Garrigou Manon, 2ème année de Médecine à Purpan Ça y est vous êtes enfin arrivés dans cette fameuse période des révisions de Noël, votre dernière ligne droite avant le concours. Je vais vous donner quelques points qui pour moi sont très importants pour y arriver. GARDER SA MOTIVATION Pour moi le point le plus crucial est celui-ci. Vous y arriverez que si vous restez motivés et que vous y croyez. Il vous faut vous focaliser sur votre objectif et surtout vous persuader que vous l aurez car si vous êtes là c est que vous y croyez. Et parce que OUI vous en êtes capables! Ce n est pas évident et d autant plus en doublant c est vrai de se faire confiance car on l a déjà connu une première fois et le stress peut être un peu plus grand mais restez motivés c est l une des clefs du succès. GERER SON STRESS Alors oui le stress commence à monter. Il est donc très important que vous puissiez l évacuer afin qu il ne reste que le bon stress celui qui vous fait avancer et non couler. Pour gérer son stress à chacun sa méthode pour beaucoup c est le sport et c est une bonne technique. Pour moi ça a été la lecture, mes amis... Grâce à ces différents moyens j ai réussi à réduire mon stress et à positiver. Parce que oui, rester optimiste (même si c est plus facile à dire qu à faire) c est très important et si vous re lativisez face à se concours et bien vous l appréhenderez dans de bien meilleures conditions. Car oui il n y a pas que ça dans votre vie et il faut en avoir conscience pour éliminer un peu de ce stress. Alors allez y, trouvez votre méthode pour le gérer que ce soit le sport, la cuisine, l acupuncture, la musique et accordez vous du temps pour pratiquer cette activité qui ne sera que du bénéfice même si cela vous prend une heure dans votre planning. Pour les fêtes, car oui parlons en, beaucoup d entre vous doivent se dire qu ils ne pourront pas participer, ou passer du temps avec leurs proches, car ils ont beaucoup de choses à réviser mais noël c est important c est du bon temps, un moyen de vous détendre, de partager un moment avec les gens que vous aimez alors accordez le vous et ne culpabilisez pas. Personnellement je m étais accordée toute la journée de Noël et le soir du nouvel an avec le lendemain matin pour me remettre de la soirée (PS : c est parce que je m étais couchée tard). Et ça m avait fait énormément de bien de penser à autre chose qu au concours, de voir ma famille et mes amis. Alors vraiment je vous conseille de vous l accorder et pour les plus stressés : révisez un peu le soir si cela vous permet de déculpabiliser 278 / 291
279 ORGANISATION Bon maintenant abordons un autre point très important l organisation. Alors en primante, je n avais pas d organisation. J avais énormément de retard car je ne savais pas travailler je voulais tout savoir par cœur. Résultat des courses j ai fini d apprendre mes leçons la veille du concours et je n avais fait aucun QCM donc catastrophe pour moi. Conclusion, je travaillais beaucoup d heures, donc j accumulai de la fatigue et j étais alors moins efficace. Donc travailler plus ne veut pas forcément dire que vous gagnerez en efficacité. En doublant c était très différent, déjà j ai abordé cette période sans aucun retard dans mes révisions et mon approche était bien plus efficace en tout cas pour moi. Du coup je me suis organisée de cette façon : les deux premières semaines je n ai fait que des QCMs, notamment ceux du TAT et je faisais des QCMs par chapitre. Et dès que je faisais une erreur je la reprenais avec le cours et je comprenais d où venait cette erreur et je la notai pour ne plus la refaire. La dernière semaine par contre j ai fait toutes les annales de toutes les matières. Voici un exemple type d une de mes journées de travail : 8h-10h Chimie 10h-10h30 Pause Café 10h30-12h30 Histologie 12h30-14h Repas du midi 14h-16h Physique 16h-17h Pause café/gouter 17h-19h Génome Ceci est un de mes emplois du temps mais il pouvait varier en fonction de mon humeur il y avait des jours où je pouvais vraiment travailler donc je m avançais sur le jour d'après ce qui faisait que le lendemain je travaillais moins et inversement des jours où j avais bien moins envie de travailler et donc je le rattrapai le lendemain. Comme des fois vous aurez des imprévus, dites vous que ce n est pas grave, trouvez le temps et tout se passera bien pour vous. Pour finir je te souhaite beaucoup de courage! Je te souhaite le meilleur pour ce concours, tu vas y arriver! Tu es la/le meilleur(e)!!! Pleins de gros bisous d Amour et de Tendresse. Menaut Jules, médecine, primant à Purpan Garder le rythme et la motivation : Pour cette dernière ligne droite avant le concours, il est difficile de rester concentré jusqu au bout. Les quatre jours loin de mes amis après le concours blanc avaient semblé interminables pour moi. Et là, me dire que j allais rester seul plusieurs semaines J'ai eu du mal à rester motivé, mais j'ai réussi tout de même à garder la forme. Aborde tes révisions avec un emploi du temps, des objectifs à atteindre pour telle date ne laisse pas place à la désorganisation. Sans les cours en amphis, les journées deviennent plus longues de 4 heures, 4 heures à combler intelligemment. 279 / 291
280 Oui cela te permettra de travailler davantage! Mais il faut aussi savoir organiser des pauses! Ces révisions sont compliquées, tu te lèves il fait nuit, et pour ceux qui révisent tard comme moi, vous allez travailler dans la nuit de 17h30 à 23h ; presque 6 heures sans voir le soleil. Il faut donc mettre un maximum de rayons de soleil et d énergie dans vos journée! La musique m a beaucoup aidé, il faut que ça bouge (magic system merci ^^) ou que ça te donne l envie de continuer à travailler et à avancer (METALLICA)! Organise toi des longues pauses après manger, ou alors dans l après midi. Révi sant chez mes parents, après le repas de midi, je me mettais sur le lit et regardais YouTube plusieurs dizaines de minutes. Comme je le faisais au lycée. Ne t épuise pas dès le début car tu dois tenir si tu veux garder cette efficacité! État d esprit : En cette période de fête, tu peux parfois te sentir un peu triste ou démoralisé, être nostalgique du lycée où tu avais deux semaines de vacances. Cependant tu dois t accrocher. Pour cela tu dois regarder autour de toi et en arrière. Rappelle toi de la raison pour laquelle tu es là, de tes rêves, tes envies! On a tendance à travailler parce que c est comme ça, et à oublier notre motivation première. Pense à tes amis, qui te soutiennent et que tu soutiens, ils étaient ma source de motivation! Vraiment, j avais envie d une réussite commune avec eux ; mais pour cela tu dois réussir aussi, ou leur montrer que tu as tout donné pour eux. Je suis fier d'eux et de la façon dont on a passé cette année. C est avec eux que tu pourras rire et parler de cours à la fois et ils sont parmi les seuls à te comprendre. Pense à tes proches, ils te voient travailler comme ça depuis trois mois, ils te voient dédier ta vie à ce concours et sache le ils sont fiers de toi et sont impressionnés par ton courage (ils te le diraient si tu sortais un peu plus de ta grotte :p)! Pense à toi ; au chemin parcouru. Pense à tout ce que tu as accompli. Regarde toi un an en arrière ; pour ma part, je m imaginais le Jules du lycée me regardant réviser. Et je peux te dire que ton toi d il y a quelques mois n en croirait pas ses yeux, alors continue à t'auto-impressioner et crois en toi! Garde le sourire, la bonne humeur, ta gentillesse ; car le métier que tu souhaites faire en a besoin. Fais toi confiance et si tu lis ce témoignage c est que tu as déjà accompli de grandes choses au cours de toutes ces semaines! Courage jeune paces tu peux le faire et tu vas le faire! Liza Brisson, 2ème année de Pharmacie, Doublante à Rangueil Salut!!! Vous voilà maintenant entrez dans le monde des périodes de révisions, ce monde qui vous apparaît un peu hostile et dangereux pour l instant, mais cette période va vous permettre d apprendre autant les cours que sur vous-même. 280 / 291
281 Bon alors rassurez-vous, chaque personne possède son propre monde, ne comparez pas votre vision de cette période et votre organisation à celle des autres. Je vais donc vous raconter mon monde, dans lequel j espère que vous réussirez un peu à vous identifier. Sinon mon but est juste de vous faire voyager avec moi le temps d un instant. Il y a donc environ un an, je me relançais dans un nouveau monde, j attaquais ces 3 semaines avec envie, rage et détermination. Bon finalement, déprime a aussi décidé de faire partie du voyage. J ai quand même réussi à lui faire comprendre qu il fallait qu elle ne vienne pas trop m interrompre, même si elle en mourrait d envie. Voici comment je m étais organisé : la 1ère semaine, j avais un planning précis avec les chapitres à réviser, et les deux dernières je m étais mis sur mon planning la matière, et je faisais les QCMs de ce merveilleux poly de noël, et refaisais les TD, et si j en avais besoin je révisais les cours où je sentais que j avais encore des lacunes. En fin pour la 3ème et dernière semaine, je faisais une annale chaque jour que je prenais bien le temps de corriger. Je vais maintenant vous présenter mon planning de révision qui ne présente pas d ho raires précis c est vrai mais j avais divisé ma journée en 6 créneaux. Tous mes dimanches étaient libres afin de rattraper le retard de la semaine ou prendre de l avance si j avais fini tous ce qui était prévu (si vous culpabilisez trop d avoir une journée entière sans rien «prévue», je vous conseille alors d avoir un créneau tous les 3 soirs ) Je m étais aussi créé un syllabus pour pouvoir faire un petit trait dès que j avais fini de réviser un chapitre, ce qui me motivait beaucoup puisqu il me permettait de me rendre compte de tout ce que j avais déjà accompli. Une question qui vous a forcément traversé l esprit : Dans ce monde de travail, comment est-ce que je me suis organisé pour les fêtes? Étant team les cadeaux le 25 au matin, je m étais réservé toute la journée pour profiter de ma famille, j étais même allé au cinéma. J avais aussi prévu ma soirée du 31 en me disant que je ne me coucherai pas trop tard, mais j ai été malade donc finalement je me suis reposée et j ai repris le lendemain. Pour finir, je dirais que le plus important c est de vous écouter, de vous faire confiance, vous êtes capables et peu importe vos résultats, ils ne vous définissent aucunement en tant que personne courageuse que vous êtes. 281 / 291
282 Ce n est pas grave de douter, de se poser des questions. Et d ailleurs, posez des ques tions, faite appel à un ami / une amie, votre parrain/marraine, au forum de tutoweb, il n y a jamais de questions bêtes. Le TAT est là pour vous!!!! Promis c est la dernière ligne, je voulais juste vous dire de foncer, faites-en sorte de ne pas avoir de regrets, et enfin des gros bisous et pleins de courage!!!! Voici mon magnifique planning de la première semaine 282 / 291
283 MOULIN Laurine 2ème médecine doublante à Maraichers Les cours du premier semestre sont enfin terminés, tu peux être fière d avoir tenu jusqu ici, mais ne te relâche pas, il reste encore une période décisive à passer : les révisions! Pour t aider, je vais te partager mon expérience ici! 283 / 291
284 Le plan d attaque : Les révisions viennent de commencer, mais stop, ne te plonge pas directement dans tes cours! Il est important d avoir un fil conducteur, de te poser et définir tes objectifs! Moi, j ai procédé de la manière suivante : sur des feuilles blanches, j ai listé tous les noms de chapitre de cours par UE (avec l aide du syllabus de la fac). Sur d autres feuilles, je me suis listé toutes les séries de QCM (TD présentiel, entraînement, moodle, annales du concours blanc, annales du vrai concours etc) que je sou haitais faire, par UE, pendant les révisions. Ces listes étaient longues à faire, mais très pratiques, car elles me permettaient de voir où j en étais exactement, ce que je devais revoir et surtout, je savais dès le départ où j allais piocher mes qcm! Puis vint la confection du fameux planning de révision! J ai planifié uniquement des sessions de matière tout au long de la semaine sans me donner trop de contraintes pour ainsi suivre mes envies du moment. Pour calculer combien de session de relecture il me fallait par matière, j ai estimé le nombre total d heures à relire toute une matière et j ai placé mes sessions sur mon planning. Je prévoyais aussi à peu près quelle série de qcm j allais faire le soir. Une dernière ressource à avoir sous la main c est un tableau récapitulatif de tes notes aux annales, tu peux en télécharger sur le forum tutoweb section Méthodologie et organisation (merci Shiva <3 ). Enfin, pour clôturer, je me suis écrite une lettre de motivation, de citations et de soutien pour moi-même, pour dans quelques semaines. La motivation se dégrade parfois au fur et à mesure des révisions, je voulais avoir sous la main des mots qui seraient là pour me rebooster dès que j en avais besoin, qui me rappelleraient pourquoi je faisais ces révisions. L organisation de mes révisions : Je souhaitais relire deux fois tout le programme (la répétition fixe la notion) alors je me prévoyais deux tours d une semaine chacune avec le soir des sessions qcm. Durant ce cycle j aimais bien travailler par tranche de deux heures et me faire une pause de 15 min, je prévoyais 4 sessions de deux heures par jour et le soir à partir de 17h je commençais par une annale de maths puis, je faisais les TD du semestre, si possible sur les leçons relues le jour précédent, pour me faire des rappels. Les dernières semaines, je faisais des annales (1jour = 1 année d annales), les dernières séries de qcm que je n avais pas fait, des Concours blanc etc. Mes conseils en vrac : Se prévoir des horaires fixes pour l hygiène de vie (heure des repas, heure de coucher et réveil, sport), des temps de pause de minimum 10 min, ce sera très bénéfique pour être endurant! Réaliser un carnet à erreur où tu écris les corrections de tes erreurs tout au long des révisions lorsque tu fais les td, les annales etc et relis-le avant les épreuves! Poser toutes tes questions, il ne faut plus douter après les révisions! Poses tes questions aux professeurs sur moodle, aux tuteurs sur le forum tutoweb, ou aux dernières permanences avant le concours Prévoir du temps voire des jours libres pour les fêtes! Une journée off c est le plus beau des cadeaux que tu peux t offrir, fais toi au moins ce plaisir! Perso, j avais pris une journée entière à Noël et une soirée pour le nouvel an. Ne t accable pas sur tes notes d annales! Dis-toi que tu n as rien à perdre, et de l expérience à gagner! J espère que tous ces conseils t aideront! N hésites pas à discuter avec les tuteurs BEM OREO si besoin! Dépasses toi et force à toi! 284 / 291
285 RAGE Chloé - Doublante Rangueil Médecine Coucou :) Ça y est c est la période des révisions. Elle ne dure que 3 semaines, ce qui est court mais intense, il est donc super important de bien gérer son temps et de «s organiser un minimum». Personnellement j étais le genre qui avait besoin d organiser par matières et par chapitres ses journées pour être sûre d avoir tout vu et de pas passer du temps à réfléchir à ce que je dois faire, et équilibrer comme ça toutes les matières. Après ça reste personnel, tout dépend de vous ;) car encore une fois il n y a pas de méthode miracle! /!\ À NE PAS NÉGLIGER /!\ DORMIR!!!!!!!!!! Et oui car on ne le dit jamais assez il faut avoir son minimum vital de sommeil pour être efficace, et d autant plus que c est la nuit que notre cerveau fait son travail de mémorisation des choses vues durant la journée. Donc je vous conseille très fortement d y faire attention. Et de ne pas faire comme moi et d arriver complète ment épuisée au concours, croyez-en mon expérience c est se mettre des bâtons dans les roues tout seul, j avais rectifié ça pour les révisions de mai et c était bien mieux! Sieste, pour ceux qui sont adeptes des petites siestes chrono min MAX (sinon on a l effet inverse) c est un très bon moyen de récupérer et de poser son cerveau entre deux demie-journées par exemple. PRENDRE L AIR, ça c était mon petit truc à moi, tous les après midis j allai faire un tour du quartier avec quelqu un. D aller marcher pendant 15-30min c était vraiment une bonne bouffée d air (froid^^ parce qu en décembre voilà quoi) mais ça revigore, et je vous jure qu on apprécie de se lever de sa chaise pour aller oxygéner le cerveau un peu. Bien manger, faire des pauses, et se garder une soirée détente dans la semaine c est important pour avancer car n oubliez pas que vous jouez un marathon et pas un 100m Voici en gros le planning que je suivais pour mes révisions, je ne l ai pas détaillé plus parce que chacun à son rythme de travail et a besoin de ± temps selon les cours. Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche Biocell (2 chap) Biocell (2 chap) Biocell (2 chap) Biocell (2 chap) Biocell (2 chap) Biocell (2 chap) Biocell (2 chap) UE 1 Annale UE UE 1 qcms Annale UE 4 UE 1 qcms 4 UE cours 2 UE 3 cours UE 2 cours UE 3 cours UE 2 cours UE 3 cours UE 2 cours UE 2 qcms UE3 qcms PAUSE Retard + fiche maths UE3 qcms UE 2 qcms UE3 qcms UE 2 qcms UE3 qcms UE 1 Retard UE 1 Retard UE 1 Annale UE 4 Retard Je faisais beaucoup de qcms, de Tds et d annales. Car ne faire que du cours toute la journée je n y arrivais pas. Et de plus je trouve qu on apprend de ses erreurs, ça forge l esprit aux qcms surtout en UE2 où l on repère bien plus vite les pièges. La dernière semaine je faisais particulièrement beaucoup d annales. 285 / 291
286 Que faire pour Noël et 1er de l an? Grande question que sûrement beaucoup se pose, je ne peux que vous conseiller de profiter de ces soirées, sans trop d abus (alcool, couché pas trop tard), car ça permet de respirer et surtout sortir de la PACES le temps de quelques heures! Ovidiu Scobai, 2ème année de médecine, doublant à Rangueil Bonjour, je m appelle Ovidiu et je vais m employer à vous décrire mon expérience de deux ans en tant que paces. Je m en vais vous offrir plein de petites méthodes, citations et techniques qui m ont été fort utiles dans ce voyage au centre de la tête : la période de révisions. Chapitre 1 : «Le plus long des voyages commence par un premier pas» Lao-Tseu Je me rappelle très bien dans mon année de primant, avoir saisi une feuille, m être muni d un stylo et m être dit «c est parti, je fais mon planning de révisions!» Gribouillant avec ferveur, je contemplais d une angoisse croissante les cases qui se rem plissaient à n en pas finir, et j observais du coin de l œil la montagne de cours à révi ser. A ce moment-là, je pris peur, et pensai que jamais ma maigre cervelle ne serait capable d emmagasiner tout cela! Ce qui m a aidé à franchir le cap, surtout en primant, est cette citation de Lao-Tseu que j ai mis en titre. Peu importe la longueur du chemin à parcourir, la première action restera toujours la même : mettre un pied devant l autre. En paces, ce sera ouvrir un premier cours. Chapitre 2 : Quand l esprit divague Une fois lancé, je rencontrai rapidement un autre problème, auquel j avais déjà été confronté au cours du premier semestre. Je suis sûr que ceux parmi vous dotés d une imagination débordante savent exactement de quoi je veux parler : à un moment donné, en plein milieu d une leçon, l esprit se met à vagabonder dans des terres lointaines et sauvages. C est évident, réviser constamment n est pas intéressant pour lui, il fera ainsi tout pour vous extraire de vos révisions. Cela m a beaucoup retardé en primant et je perdais ainsi jusqu à deux heures par jour (environ). En doublant, j ai appris à sentir l arrivée de ces moments, ils se manifestaient par la montée d une «tension interne». A ce moment-là, je ne luttais plus, je sortais délibérément du cours et m étirait pendant cinq à dix secondes, laissant mon esprit gambader. Un temps infime comparé aux dix à vingt minutes de divagation auparavant. Par cet acte volontaire d étire- 286 / 291
287 ment, je maîtrisais la durée de ces moments, et pouvais ainsi une fois l étirement terminé, replonger sereinement dans la leçon. Chapitre 3 : «Les pauses sont la clé des grands succès» proverbe populaire roumain Autant en primant qu en doublant, j ai senti à de multiples moments mon esprit saturer, mon cerveau lâcher, et mes jambes refuser de se lever du canapé pour aller travailler. Ces moments sont durs, car on a l impression que notre vie entière tourne autour de la paces, que c est ce qui nous définit et que le fait d échouer ferait de nous des moins que rien. Mais c est faux! Nous sommes tellement plus que des paces, nous sommes des humains qui aiment, qui pleurent, qui crient et qui sautent. Et ça je pense que nous avons besoin de nous le rappeler, à tout moment de notre vie et surtout en première année. C est pourquoi il est important de consacrer un moment dans la semaine à ce qui nous passionne. Cela permet de refaire le plein de bonne humeur, de reprendre confiance en soi, et de repartir juste après, plus forts que jamais. 287 / 291
288 Tiphaine Portejoie Médecine - Primante Noël en profiter pour se remotiver! La période hivernale a toujours été ma préférée, pour l ambiance chaleureuse qui émane des maisons décorées et des magasins illuminés, avec l odeur de chocolat chaud et de cannelle qui plane dans les rues C est d ailleurs un soir d hiver que ai su que je voulais devenir médecin, inspirée par cette vie de famille et de partage que je voyais s étendre devant moi. Je voulais faire un métier que j aimais, pour lequel j apprécierais d aller au travail tous les jours, et qui me donnerait la possi bilité de profiter des fêtes avec ma famille et mes amis. Cela peut paraître enfantin, mais ce sont ces choses simples qui me motivent le plus, et alors que la période de révisions intensives me privait de profiter pleinement de ma fête préférée, l ambiance générale qui émanait me mettait du baume au cœur et me remotivait. Car pour avoir la filière qui nous plaît, il faut être motivé! Cela peut paraître simple à dire mais c est en fait très difficile de vraiment l être. Et lorsqu on atteint cet état de motivation absolue, le travail devient tout à coup parfaitement normal. La fatigue est bien réelle, les longues heures passées à s acharner sur des qcm sont bien réelles, mais tout ça ne dérange pas, car ça en vaut la peine Nous nous engageons dans des filières aux métiers prenants, où dans tous les cas la fatigue et le stress ne s en iront pas c est donc à nous d aimer ce travail, et si la PACES n est sans doute pas l année la plus plaisante de notre vie, il faut essayer de prendre toutes les choses positives qu elle a à nous offrir. Alors accrochez vous, car cela en vaut la peine, et quoi qu il arrive, faites ce qui vous rend heureux par-dessus tout! 288 / 291
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290 TAT Innovation Pédagogique Présentation des différents projets pédagogiques (R/P/M = fac avec le même programme) : Fiches (dispo sur la librairie) : 1. Fiche astuce qcms physique de la matière (P/M) 2. Fiche récapitulative des patho/tumeurs de différents UEs (R/P) 3. Schéma optique aide photométrie (R/P) 4. Fiche antisens sens génome (R) 5. Fiche équivalence UE4 6. Fiche génome amorce (M) Vidéo SAV optique (R/P) dispo sur la chaine youtube - 6 qcms basés sur le modèle des annales que l on a inventé : 2 qcms de calcul lumière / 2 qcms géométriques / 2 qcms optiques visuels + Mise en place fiche aide pour qcm calcul émittance Flashcards que vous retrouverais dans la librairie et le poly - Flashcards chimie orga (R/P) - Flashcards AA génome/biomol (R/P) - Flashcards AA biomol (M) Listing des anciens projets réalisés par le TAT (et en dehors du TAT*) En termes de vidéo : SAV math analyse (P/M/R) ; SAV physique (P/M) ; SAV atomistique (P/ R) ; vidéo sur le cours UE4 analyse (P/R/M) ; vidéo sur le cours de chimie organique UE1 (P/M) *PS : Il existe une chaîne YouTube maraîchoise avec 2 vidéos résumant l'ostéogenèse (M), cette vidéo ne fait pas partie des projets du TAT présent normalement sur la chaîne. Mais elle mérité d'être citée car elle peut être très utile!!! En termes de fiche disponible sur la librairie : fiche de conseil et cours UE4 (P/R/M) ; fiche des colorations en histologie UE2 (R/P) 290 / 291
291 Information : Il existe une plate-forme de qcm! Vous pouvez y retrouver divers QCMs, générer des épreuves et entrainements dans la matière de votre choix! Petit message aux paces : joyeuses fêtes de la part de la team péda, et donnez-vous à fond pour le concours :) Petit message pour les tuteurs/rms : merci à tous les tuteurs péda et aux autres tuteurs ou RM qui sont restés motiver pendant le S1 et/ou m'ont proposé plusieurs projets, en espérant avoir un S2 avec autant de projet <3 291 / 291
292 UE4 : Fiche équivalences Cette fiche a pour objectif de donner les équivalences usuelles en analyse, afin de calculer rapidement une limite sans passer par le théorème de l Hospital ou les développements limités qui peuvent être fastidieux. Ce tableau est une aide au calcul : on ne vous demandera jamais si l équivalence en 0 de tan(ax) est ax, mais ils pourront vous servir pour des limites compliquées. Fonction Équivalence ln(1+ax) sin(ax) fonction polynôme tan(ax) en 0 : ax en 0 : ax en 0 : terme de plus bas degré en +/- : terme de haut degré en 0 : ax cos(x) en 0 : 1 e x - 1 en 0 : x 1- cos(x) x en 0 : ˆ2 2 Les trois premières lignes sont les plus importantes à retenir (tombent souvent au concours) Règles de calcul sur les équivalences Tout le principe des équivalences est qu on peut les associer entre elles. Ainsi on peut : - Les multiplier - Les diviser - Mais pas les soustraire ou les additionner!! ln(1+3x) Exemple : Quelle est la limite en 0 de la fonction f(x)= sin(x)? On sait que lim ln(1+3x) lim 3x et que lim sin(x) lim x x 0 x 0 ln(1+3x) Donc lim sin(x) lim 3x x 3 x 0 x 0 Donc la limite de f(x) en 0 est 3. Astuce x 0 Une équivalence n est valable qu en un point précis: Si on a une équivalence en 0, elle ne sera pas valable en 1 ou en. Cependant : Si on demande lim sin(1/x), on peut calculer cette limite en prenant y = 1/x et en réécrivant : x lim sin(1/x) = lim sin(y) lim y lim 1/x x y 0 y 0 x x 0
293 MOTS CROISÉS EMBRYOLOGIE Éclatez-vous Horizontal : 2. Phénomène d apparition du disque embryonnaire tridermique 5. Structure étant à l origine du myélencéphale et du métencéphale 12. Territoire ventro médian des somites composés de mésenchyme et de MEC abondante et fluide 13. Premier feuillet embryonnaire mis en place au 16 ème jour en regard du nœud primitif 14. Malformation due à la non fermeture de l arc postérieur entrainant la formation d une poche méningée 15. Durant la 4 ème semaine, phénomène permettant le passage de l embryon d une forme plane à une forme cylindrique Vertical 1. Molécules dont le défaut d expression serait la cause de 2/3 des stérilités inexpliquées chez la femme 3. Fin duvet de poils fœtaux apparaissant entre la fin du 3 ème mois et le début du 4 ème 4. Structure d origine du syncytiotrophoblaste et du cytotrophoblaste 6. Malformation due au développement de l intestin moyen dans le cordon ombilical 7. Organe pesant à terme 500g à 600g en forme de galette arrondie 8. Potrusions au pôle apical des cellules endométriales et apparaissant sous l effet de la progestérone 9. Condensations mésenchymateuses provenant de la segmentation du mésoblaste para axial 10. Rein non segmenté se développant à la 5 ème semaine à partir de la partie caudale du mésoblaste intermédiaire 11. Organe formé grâce à la prolifération entoblastique et représentant environ 10% du poids fœtal à la 9 ème semaine
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295 Flashcards Acides Aminés Histidine = His Acide glutamique = Glu Sérine = Ser Glycine = Gly Phénylalanine = Phe Asparagine = Asn Thréonine = Thr Alanine = Ala Tyrosine = Tyr Glutamine = Gln Cystéine = Cys Valine = Val Tryptophane = Trp Lysine = Lys Méthionine = Met Leucine = Leu Proline = Pro Arginine = Arg Acide aspartique = Asp Isoleucine = Ile -
296 - Aliphatique - Hydrophobe - Encombrement stérique faible - Pas de carbone asymétrique - Hydroxylés - Hydrophile - Site de phosphorylation par des protéines kinases (PKA, PKC) - Site de O-glycosylation - Di-carboxylique - Hydrophile et ionisé (phi 3) - Accepteur de groupements NH 2 - Basique - Noyau immidazole - phi 7,6 - Essentiel - Donneur ou accepteur de H + - Aliphatique - Hydrophobe - Encombrement stérique faible - C de configuration S - Substrat de l ALAT - Hydroxylés - Hydrophile - Site de phosphorylation par des protéines kinases (PKA, PKC) - Site de O-glycosylation - Dérivé amidé de Asp - Neutre - Site de N- glycosylation des protéines - Aromatique - Hydrophobe - Absorbance max entre 260 et 280 nm dans l UV - Aliphatique - Hydrophobe - Encombrement stérique plus important - Essentiel - Soufrés - Hydrophobe - 2 cystéines proches dans espace peuvent former un pont disulfure C de configuration R - Dérivé amidé de Glu - Neutre - Site de N- glycosylation des protéines - Rôle dans stockage de NH 2 - Aromatique - Hydrophobe - Absorbance max entre 260 et 280 nm dans l UV - Site de phosphorylation par des Tyr-kinases - Aliphatique - Hydrophobe - Encombrement stérique plus important - Essentiel - Soufrés - Hydrophobe - Essentiel - Donneur de méthyle - Basique - Essentiel - Interactions ioniques dans protéines - phi 9,6 - Aromatique - Noyau indole - Hydrophobe - Absorbance max entre 260 et 280 nm dans l UV - Précurseur de la sérotonine - Aliphatique - Hydrophobe - Encombrement stérique plus important - Essentiel - Di-carboxylique - Hydrophile et ionisé (phi 3) - Basique - Interactions ioniques - phi 9,6 - Groupement guanidinium - Cyclique - Hydrophobe - Fonction amine secondaire - Coudure dans l enchainement peptidique
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